>> Non je pense surtout qu'il a voulu dire que ton etalement de
>> technique ne l'impressionnait pas... c'est tout...
>
> Effectivement... :-)))
Je souhaite compléter.
Je possède un bon mètre de bouquins traitant de technique photo : dans
des cartons au fond de mon garage, à présent. Pourquoi ?
Je me contente aujourd'hui de faire des photos. Je lis encore quelques
revues (allemandes entre autres) pour l'actualité et voir de belles
images, et j'étudie le mode d'emploi du Gimp. C'est tout.
Depuis quelques années je me tamponne un-peu-beaucoup de la technique.
Je saurais gloser du zone system, j'ai la collection des bouquins
d'Ansel Adams en anglais, j'ai un spotmètre, je me servais des courbes
du Photographe pour exposer mes papiers... et ainsi de suite ! Bon, je
sais exposer, depuis le temps, et me servir de la profondeur de champ.
Et ensuite ? Rien que quiconque ne peut apprendre en six mois de
lecture et un peu de tentatives et d'essais. Le reste est affaire de
regard.
Je suis beaucoup plus heureux comme ça. Je fais des photos plus
intuitives, plus risquées, plus originales. Je m'occupe de mon coup
d'oeil, pas d'astiquer mes cuvettes et de ranger mon sac. Je ne
réfléchis plus au coût des films. Je m'éclate encore plus avec le
numérique parce qu'il me libère encore un peu plus de la technique. Mes
meilleurs photos récentes défilent sur mon économiseur d'écran, tout
mes visiteurs les voient sur un beau 17 pouces TFT. Dans mon salon.
J'aurais pas assez de murs pour les accrocher.
Quelques instants de rêve dans un monde trop pressé. Ils sont contents.
Moi aussi.
Prochain achat : un portable pour regarder tout de suite mes photos en
voyage. Mes trois mille diapos sortent, elles, rarement de leur
classeurs. Et je ne te parle pas de négas NB... Impossible depuis
longtemps de squatter la salle de bains de mon deux-pièces pendant des
heures. Et même plus du tout envie.
Avant je trimballais deux boitiers, six objectifs (28 35 50 105, un
transtandard et un macro), deux ou trois sortes de films NB et couleur,
une palanquée de filtres Cokin, un spotmètre et une cellule à main, un
machin pour extraire les amorces rentrées malencontreusement en
changeant de film, etc. etc.
De toute façon ma colonne vertébrale ne me permettrait plus de porter
tout ça.
J'ai dans mon garage deux cartons pleins d'éprouvettes, de bouteilles,
au moins deux thermomètres, deux cuves de développement, des cuvettes,
un posemètre d'agrandissement, un scoponet, des classeurs avec des
abaques, encore des bouteilles accordéon, des pinces diverses, un reste
de sélenium kodak, et je ne sais quoi encore. Un margeur. Une plaque de
verre "customisée" pour les planches contacts. Et un vieil agrandisseur
russe qui sentira toute son existence la graisse rance.
Je m'éclate maintenant avec mon G3, un pied, un parasoleil bricolé, un
polarisant et c'est tout. Aller faire de la photo n'est plus synonyme
d'expédition. Et mon ordinateur dans mon salon, pas plus cher
finalement qu'un bon agrandisseur et ce qui va avec. Et qui sert aussi
à faire le courrier, les comptes, et à communiquer avec mes amis. Au
club, on projette les images numériques sur écran comme des diapos. La
définition est médiocre ? Tout le monde s'en fout !!! Une belle image
reste une belle image. Certains font des tirages papier, moi ça ne me
tente même plus. Je fais des images, je les montre, puis je pars en
faire d'autres.
Mesure spot quand même, le G3. Bôf. Je n'en ai quasi jamais besoin, avec
l'histogramme. De toutes façon, avant j'avais fini par mesurer le plus
souvent la lumière une fois par heure dans le creux de ma main... Je
peux toujours le faire, n'est-ce pas ?
Je fais maintenant des photos bras tendu au-dessus de la tête, au ras du
sol, en visée d'angle, etc... J'ai fait dimanche dernier, pour la
première fois depuis trente ans des photos pendant une course de côte
de motos près de chez moi (À Barr, pour les Alsacos et les
connaisseurs). J'ai passé un bon moment. Le suivi seule méthode
possible, tout en manuel, 140mm de focale équivalente, ça passait à 100
ou 150 km/h devant moi.
Les spectateurs voisins aussi ont passé un bon moment : je les ai
surpris à s'amuser de voir un quasi sexagénaire debout les jambes
écartées dans la boue et les coudes au corps lancer un "yesss !" sous
la pluie quand j'en avais une dans la boîte. Que je tenais comme un
Semflex, pardon, un Rolleiflex... :-)
Beaucoup de déchet ? Un paquet d'images où on ne voyait que la roue
arrière ou avant ? Et alors ? Quelques unes valent bien d'illustrer un
article. Les autres sont déjà effacées. Je n'avais pris "que" 100/150
photos, la pluie ayant finalement eu raison de mon enthousiasme.
Mais moins de déchet qu'en argentique. Et surtout _beaucoup_ moins cher
pour apprendre ! Parce que j'ai pu voir les images de suite et me
corriger sur le champ. En argentique, y'aurait fallu attendre la
prochaine course, et avoir déboursé 50 euros au moins entretemps pour
voir et corriger les erreurs. Là, je me suis corrigé entre chaque
concurrent.
Voilà.
--
Cordialement,
Serge Schmitt
« Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants ; c'est
l'indifférence des bons. » - Martin Luther King
et se retrouvent avec des images VGA prises avec un 5Mpx (j'en ai vu).
C'est même très courant.
"si je mets la grosse résolution ça dépasse de l'écran et je peux pas les envoyer par mail parceque c'est trop gros, alors je prends tout en 640x480". J'en ai vu aussi...
Oh que oui.
Et puis bien sûr le flash qu'on connaissait avant mais qui était mieux encaissé par le nega couleur.
Sans commune mesure.
Et n'oublions pas le très fameux "Zoom Numérique", le retard au déclenchement (parfois pas triste), la sur-ex systématique de certains modèles en plein soleil, le bruit pas vraiment discret dès que l'on monte en sensibilité (y connaissent pas Neat Image...) et les visages "poupée de cire" typique de nombreux numériques à pas trop cher.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
et se retrouvent avec des images VGA prises avec un 5Mpx (j'en ai vu).
C'est même très courant.
"si je mets la grosse résolution ça dépasse de
l'écran et je peux pas les envoyer par mail parceque c'est trop gros,
alors je prends tout en 640x480". J'en ai vu aussi...
Oh que oui.
Et puis bien sûr le flash qu'on connaissait avant mais
qui était mieux encaissé par le nega couleur.
Sans commune mesure.
Et n'oublions pas le très fameux "Zoom Numérique", le retard au
déclenchement (parfois pas triste), la sur-ex systématique de certains
modèles en plein soleil, le bruit pas vraiment discret dès que l'on monte
en sensibilité (y connaissent pas Neat Image...) et les visages "poupée de
cire" typique de nombreux numériques à pas trop cher.
et se retrouvent avec des images VGA prises avec un 5Mpx (j'en ai vu).
C'est même très courant.
"si je mets la grosse résolution ça dépasse de l'écran et je peux pas les envoyer par mail parceque c'est trop gros, alors je prends tout en 640x480". J'en ai vu aussi...
Oh que oui.
Et puis bien sûr le flash qu'on connaissait avant mais qui était mieux encaissé par le nega couleur.
Sans commune mesure.
Et n'oublions pas le très fameux "Zoom Numérique", le retard au déclenchement (parfois pas triste), la sur-ex systématique de certains modèles en plein soleil, le bruit pas vraiment discret dès que l'on monte en sensibilité (y connaissent pas Neat Image...) et les visages "poupée de cire" typique de nombreux numériques à pas trop cher.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
xuli
Certes , mais a coté de ça quand tu regardes les photos argentiques faites par ces mêmes personnes autrefois , il y avait beaucoup de : - photos mal exposées et surtout sous exposées - floues - mal cadrées - avec les yeux fermés ou regardant ailleurs.
Et tout ça par ce que les gens n'osaient pas refaire une prise , ne connaissant pas à l'avance le résultat .
Bref je pense quand même que pour beaucoup , il y a eu du progrès . En tout cas autour de moi c'est un peu comme ça .
Il suffit de feuilleter un album photos pour s'en convaincre ..
et se retrouvent avec des images VGA prises avec un 5Mpx (j'en ai vu).
C'est même très courant.
"si je mets la grosse résolution ça dépasse de l'écran et je peux pas les envoyer par mail parceque c'est trop gros, alors je prends tout en 640x480". J'en ai vu aussi...
Oh que oui.
Et puis bien sûr le flash qu'on connaissait avant mais qui était mieux encaissé par le nega couleur.
Sans commune mesure.
Et n'oublions pas le très fameux "Zoom Numérique", le retard au déclenchement (parfois pas triste), la sur-ex systématique de certains modèles en plein soleil, le bruit pas vraiment discret dès que l'on monte en sensibilité (y connaissent pas Neat Image...) et les visages "poupée de cire" typique de nombreux numériques à pas trop cher.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Certes , mais a coté de ça quand tu regardes les photos argentiques faites par
ces mêmes personnes autrefois , il y avait beaucoup de :
- photos mal exposées et surtout sous exposées
- floues
- mal cadrées
- avec les yeux fermés ou regardant ailleurs.
Et tout ça par ce que les gens n'osaient pas refaire une prise , ne
connaissant pas à l'avance le résultat .
Bref je pense quand même que pour beaucoup , il y a eu du progrès .
En tout cas autour de moi c'est un peu comme ça .
Il suffit de feuilleter un album photos pour s'en convaincre ..
et se retrouvent avec des images VGA prises avec un 5Mpx (j'en ai vu).
C'est même très courant.
"si je mets la grosse résolution ça dépasse de
l'écran et je peux pas les envoyer par mail parceque c'est trop gros,
alors je prends tout en 640x480". J'en ai vu aussi...
Oh que oui.
Et puis bien sûr le flash qu'on connaissait avant mais
qui était mieux encaissé par le nega couleur.
Sans commune mesure.
Et n'oublions pas le très fameux "Zoom Numérique", le retard au
déclenchement (parfois pas triste), la sur-ex systématique de certains
modèles en plein soleil, le bruit pas vraiment discret dès que l'on monte
en sensibilité (y connaissent pas Neat Image...) et les visages "poupée de
cire" typique de nombreux numériques à pas trop cher.
Certes , mais a coté de ça quand tu regardes les photos argentiques faites par ces mêmes personnes autrefois , il y avait beaucoup de : - photos mal exposées et surtout sous exposées - floues - mal cadrées - avec les yeux fermés ou regardant ailleurs.
Et tout ça par ce que les gens n'osaient pas refaire une prise , ne connaissant pas à l'avance le résultat .
Bref je pense quand même que pour beaucoup , il y a eu du progrès . En tout cas autour de moi c'est un peu comme ça .
Il suffit de feuilleter un album photos pour s'en convaincre ..
et se retrouvent avec des images VGA prises avec un 5Mpx (j'en ai vu).
C'est même très courant.
"si je mets la grosse résolution ça dépasse de l'écran et je peux pas les envoyer par mail parceque c'est trop gros, alors je prends tout en 640x480". J'en ai vu aussi...
Oh que oui.
Et puis bien sûr le flash qu'on connaissait avant mais qui était mieux encaissé par le nega couleur.
Sans commune mesure.
Et n'oublions pas le très fameux "Zoom Numérique", le retard au déclenchement (parfois pas triste), la sur-ex systématique de certains modèles en plein soleil, le bruit pas vraiment discret dès que l'on monte en sensibilité (y connaissent pas Neat Image...) et les visages "poupée de cire" typique de nombreux numériques à pas trop cher.
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Jean-Claude Ghislain
Certes , mais a coté de ça quand tu regardes les photos argentiques faites par ces mêmes personnes autrefois , il y avait beaucoup de : - photos mal exposées et surtout sous exposées - floues - mal cadrées - avec les yeux fermés ou regardant ailleurs.
Bien sur qu'il y a des ratés des deux côtés. Dans une pièce on tire tout ce qui vient du monde argentique (des pelloches donc) et dans une autre tout ce qui vient du monde numérique. Les tireuses sont les mêmes, réglées pareil et quand on regarde la production d'ensemble, c'est beaucoup plus souvent - techniquement - valable du côté argentique. Y a bien un truc qu'on évite en numérique, ce sont les films périmés tout magenta sur les bords...
Et tout ça par ce que les gens n'osaient pas refaire une prise , ne connaissant pas à l'avance le résultat .
Ca c'est un truc qui m'étonnait beaucoup au début (maintenant j'suis habitué), la plupart utilisent leur appareil numérique comme un argentique. Ils font des photos, l'écran sert à viser, mais jamais ils ne reviennent en arrière, jamais ils n'effacent une image et comme les clients argentiques, ils râlent si on tire cette photo des tentures où l'appareil a déclenché à l'insu de leur plein gré...
Cela va même jusqu'au burlesque, je me rappelle ce client qui trouvait que le numérique lui revenait cher, chaque fois que sa carte était pleine, il en achetait une autre. Ou cet autre qui amène sa carte, fait tirer les photos, efface sa carte et recommence ; s'il à besoin d'un retirage, il ramène une photo papier pour que l'on fasse un duplicata.
Il suffit de feuilleter un album photos pour s'en convaincre ..
Nous ne feuilletons peut-être pas les même albums, ou peut-être n'avons-nous pas les même exigences.
D'un autre côté, si techniquement c'est souvent décevant, artistiquement c'est plus amusant. Quelques-un(e)s s'essaient au montage numérique, c'est en général d'une qualité approximative, mais il y a parfois de très bonnes idées et des images très sympa. Ca je ne le voyais plus en argentique depuis longtemps...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Certes , mais a coté de ça quand tu regardes les photos argentiques
faites par ces mêmes personnes autrefois , il y avait beaucoup de :
- photos mal exposées et surtout sous exposées
- floues
- mal cadrées
- avec les yeux fermés ou regardant ailleurs.
Bien sur qu'il y a des ratés des deux côtés. Dans une pièce on tire tout
ce qui vient du monde argentique (des pelloches donc) et dans une autre
tout ce qui vient du monde numérique. Les tireuses sont les mêmes, réglées
pareil et quand on regarde la production d'ensemble, c'est beaucoup plus
souvent - techniquement - valable du côté argentique. Y a bien un truc
qu'on évite en numérique, ce sont les films périmés tout magenta sur les
bords...
Et tout ça par ce que les gens n'osaient pas refaire une prise , ne
connaissant pas à l'avance le résultat .
Ca c'est un truc qui m'étonnait beaucoup au début (maintenant j'suis
habitué), la plupart utilisent leur appareil numérique comme un
argentique. Ils font des photos, l'écran sert à viser, mais jamais ils ne
reviennent en arrière, jamais ils n'effacent une image et comme les
clients argentiques, ils râlent si on tire cette photo des tentures où
l'appareil a déclenché à l'insu de leur plein gré...
Cela va même jusqu'au burlesque, je me rappelle ce client qui trouvait que
le numérique lui revenait cher, chaque fois que sa carte était pleine, il
en achetait une autre. Ou cet autre qui amène sa carte, fait tirer les
photos, efface sa carte et recommence ; s'il à besoin d'un retirage, il
ramène une photo papier pour que l'on fasse un duplicata.
Il suffit de feuilleter un album photos pour s'en convaincre ..
Nous ne feuilletons peut-être pas les même albums, ou peut-être
n'avons-nous pas les même exigences.
D'un autre côté, si techniquement c'est souvent décevant, artistiquement
c'est plus amusant. Quelques-un(e)s s'essaient au montage numérique, c'est
en général d'une qualité approximative, mais il y a parfois de très bonnes
idées et des images très sympa. Ca je ne le voyais plus en argentique
depuis longtemps...
Certes , mais a coté de ça quand tu regardes les photos argentiques faites par ces mêmes personnes autrefois , il y avait beaucoup de : - photos mal exposées et surtout sous exposées - floues - mal cadrées - avec les yeux fermés ou regardant ailleurs.
Bien sur qu'il y a des ratés des deux côtés. Dans une pièce on tire tout ce qui vient du monde argentique (des pelloches donc) et dans une autre tout ce qui vient du monde numérique. Les tireuses sont les mêmes, réglées pareil et quand on regarde la production d'ensemble, c'est beaucoup plus souvent - techniquement - valable du côté argentique. Y a bien un truc qu'on évite en numérique, ce sont les films périmés tout magenta sur les bords...
Et tout ça par ce que les gens n'osaient pas refaire une prise , ne connaissant pas à l'avance le résultat .
Ca c'est un truc qui m'étonnait beaucoup au début (maintenant j'suis habitué), la plupart utilisent leur appareil numérique comme un argentique. Ils font des photos, l'écran sert à viser, mais jamais ils ne reviennent en arrière, jamais ils n'effacent une image et comme les clients argentiques, ils râlent si on tire cette photo des tentures où l'appareil a déclenché à l'insu de leur plein gré...
Cela va même jusqu'au burlesque, je me rappelle ce client qui trouvait que le numérique lui revenait cher, chaque fois que sa carte était pleine, il en achetait une autre. Ou cet autre qui amène sa carte, fait tirer les photos, efface sa carte et recommence ; s'il à besoin d'un retirage, il ramène une photo papier pour que l'on fasse un duplicata.
Il suffit de feuilleter un album photos pour s'en convaincre ..
Nous ne feuilletons peut-être pas les même albums, ou peut-être n'avons-nous pas les même exigences.
D'un autre côté, si techniquement c'est souvent décevant, artistiquement c'est plus amusant. Quelques-un(e)s s'essaient au montage numérique, c'est en général d'une qualité approximative, mais il y a parfois de très bonnes idées et des images très sympa. Ca je ne le voyais plus en argentique depuis longtemps...
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
Peter Pan
Ils font des photos, l'écran sert à viser, mais jamais ils ne reviennent en arrière, jamais ils n'effacent une image et comme les clients argentiques, ils râlent si on tire cette photo des tentures où l'appareil a déclenché à l'insu de leur plein gré...
Stupéfiant. T'en as beaucoup des comme ça ?
Cela va même jusqu'au burlesque, je me rappelle ce client qui trouvait que le numérique lui revenait cher, chaque fois que sa carte était pleine, il en achetait une autre.
Magnifique !
Ou cet autre qui amène sa carte, fait tirer les photos, efface sa carte et recommence ; s'il à besoin d'un retirage, il ramène une photo papier pour que l'on fasse un duplicata.
Plus classique ou plus "logique". Le syndrome "pcadiballe" ne s'étend pas trop sur le phénomène communicant de l'informatique :-)
-- Pierre http://www.ppan.net http://www.pasbanal.com
Ils font des photos, l'écran sert à viser, mais jamais ils ne
reviennent en arrière, jamais ils n'effacent une image et comme les
clients argentiques, ils râlent si on tire cette photo des tentures où
l'appareil a déclenché à l'insu de leur plein gré...
Stupéfiant. T'en as beaucoup des comme ça ?
Cela va même jusqu'au burlesque, je me rappelle ce client qui trouvait que
le numérique lui revenait cher, chaque fois que sa carte était pleine, il
en achetait une autre.
Magnifique !
Ou cet autre qui amène sa carte, fait tirer les
photos, efface sa carte et recommence ; s'il à besoin d'un retirage, il
ramène une photo papier pour que l'on fasse un duplicata.
Plus classique ou plus "logique". Le syndrome "pcadiballe" ne s'étend pas trop
sur le phénomène communicant de l'informatique :-)
--
Pierre
http://www.ppan.net
http://www.pasbanal.com
Ils font des photos, l'écran sert à viser, mais jamais ils ne reviennent en arrière, jamais ils n'effacent une image et comme les clients argentiques, ils râlent si on tire cette photo des tentures où l'appareil a déclenché à l'insu de leur plein gré...
Stupéfiant. T'en as beaucoup des comme ça ?
Cela va même jusqu'au burlesque, je me rappelle ce client qui trouvait que le numérique lui revenait cher, chaque fois que sa carte était pleine, il en achetait une autre.
Magnifique !
Ou cet autre qui amène sa carte, fait tirer les photos, efface sa carte et recommence ; s'il à besoin d'un retirage, il ramène une photo papier pour que l'on fasse un duplicata.
Plus classique ou plus "logique". Le syndrome "pcadiballe" ne s'étend pas trop sur le phénomène communicant de l'informatique :-)
-- Pierre http://www.ppan.net http://www.pasbanal.com
Jean-Claude
"pehache" a écrit dans le message de news:40a9288e$0$30069$
Ce sont des points qui à eux seuls ne peuvent pas (ne devraient pas) justifier un changement de démarche photographique pour un amateur. Ce sont
des à-côtés, des prétextes.
Je suis entièrement d'accord avec ce point de vue, même, et surtout si j'ai aussi cédé à ce travers. Je pense que nous sommes très nombreux à avoir besoin de changements, il faut que ça bouge, que ça aille de l'avant. Entre l'informatique et la photo numérique, y a matière à foncer. Je pense que fort souvent on est dans l'irrationnel. L'irrationnel, c'est un peu le propre de l'amateur. Sur ce forum, il est évident que plusieurs personnes se profilent commes des gens qui vivent de la photo, à des titres divers. Ceux-ci ne peuvent pas laisser, dans ce domaine, de place à l'irrationnel, comme chacun de nous dans notre gagne pain. Le pro de la photo est-il rationnel et analytique dans ses choix de moyen de transport, dans ses choix de vacances, de loisirs ? Lorsqu'on se délasse, il en va autrement et "le pretexte rempli la raison". Y a belle lurette que les publicitaires ont tout pigé... comme dit plus haut, avec le numérique, ils ont inventé le jetable à 500 Euros. Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est commencer à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir raisonnable... Bonne nuit. Jean-Claude
"pehache" <pehache_lerok@laposte.net.NOSPAM.ON.NET.invalid> a écrit dans le
message de news:40a9288e$0$30069$636a15ce@news.free.fr...
Ce sont des points qui à eux seuls ne peuvent pas (ne devraient pas)
justifier un changement de démarche photographique pour un amateur. Ce
sont
des à-côtés, des prétextes.
Je suis entièrement d'accord avec ce point de vue, même, et surtout si j'ai
aussi cédé à ce travers.
Je pense que nous sommes très nombreux à avoir besoin de changements, il
faut que ça bouge, que ça aille de l'avant. Entre l'informatique et la photo
numérique, y a matière à foncer. Je pense que fort souvent on est dans
l'irrationnel.
L'irrationnel, c'est un peu le propre de l'amateur. Sur ce forum, il est
évident que plusieurs personnes se profilent commes des gens qui vivent de
la photo, à des titres divers. Ceux-ci ne peuvent pas laisser, dans ce
domaine, de place à l'irrationnel, comme chacun de nous dans notre gagne
pain. Le pro de la photo est-il rationnel et analytique dans ses choix de
moyen de transport, dans ses choix de vacances, de loisirs ? Lorsqu'on se
délasse, il en va autrement et "le pretexte rempli la raison". Y a belle
lurette que les publicitaires ont tout pigé... comme dit plus haut, avec le
numérique, ils ont inventé le jetable à 500 Euros.
Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est commencer
à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir raisonnable...
Bonne nuit.
Jean-Claude
"pehache" a écrit dans le message de news:40a9288e$0$30069$
Ce sont des points qui à eux seuls ne peuvent pas (ne devraient pas) justifier un changement de démarche photographique pour un amateur. Ce sont
des à-côtés, des prétextes.
Je suis entièrement d'accord avec ce point de vue, même, et surtout si j'ai aussi cédé à ce travers. Je pense que nous sommes très nombreux à avoir besoin de changements, il faut que ça bouge, que ça aille de l'avant. Entre l'informatique et la photo numérique, y a matière à foncer. Je pense que fort souvent on est dans l'irrationnel. L'irrationnel, c'est un peu le propre de l'amateur. Sur ce forum, il est évident que plusieurs personnes se profilent commes des gens qui vivent de la photo, à des titres divers. Ceux-ci ne peuvent pas laisser, dans ce domaine, de place à l'irrationnel, comme chacun de nous dans notre gagne pain. Le pro de la photo est-il rationnel et analytique dans ses choix de moyen de transport, dans ses choix de vacances, de loisirs ? Lorsqu'on se délasse, il en va autrement et "le pretexte rempli la raison". Y a belle lurette que les publicitaires ont tout pigé... comme dit plus haut, avec le numérique, ils ont inventé le jetable à 500 Euros. Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est commencer à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir raisonnable... Bonne nuit. Jean-Claude
Peter Pan
Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est commencer à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir raisonnable...
Intéressant.
-- Pierre http://www.ppan.net http://www.pasbanal.com
Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est
commencer à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir
raisonnable...
Intéressant.
--
Pierre
http://www.ppan.net
http://www.pasbanal.com
Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est commencer à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir raisonnable...
Intéressant.
-- Pierre http://www.ppan.net http://www.pasbanal.com
Serge Schmitt
Bonjour ! Peter Pan a écrit récemment dans <40abbad9$0$309$
Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est commencer à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir raisonnable...
Intéressant.
:-) Intéressant en effet !
C'est pour ça que beaucoup d'agences et encore plus de directeurs artistiques réclament aujourd'hui des cédéroms. Que les agences remplacent une pièce d'armoires remplie de classeurs de dias par un serveur et quelques disques durs : l'économie sur les immobilisations mobilières et immobilières est fabuleuse. La facilité de sauvegarde aussi. La facilité pour transférer une image à un client à l'autre bout du monde aussi.
Et pour éviter de payer des personnes à scanner des négatifs, il y a peu de chance pour que dans quelques années on y accepte encore un support non numériques.
Quand aux photographes professionnels eux-mêmes (je parlent des free-lance, car les autres, font ce qu'on leur dit de faire), ils comprennent vite que tant qu'à scanner une gélatine pour pouvoir faire de la retouche à leur idée et livrer leur client dans les mêmes délais que les concurrents, autant partir tout de suite d'un original numérique. D'autant que certaines interventions (masquage) au lieu d'être faite pour chaque exemplaire le sont une fois pour toutes et sont ensuite parfaitement reproductibles. Voire quasi impossibles (burning et dodging en couleur) en argentique.
Restent certains amateurs style école de paysage américaine, et les producteurs d'images pour le marché de l'art : beaucoup restent encore fidèles au support gélatine, surtout en grand format, et au tirage papier. Mais, sur le marché de l'art, c'est _justement_ l'irrationnel qui commande !
On voit pourtant de plus en plus de ces artistes scanner leur beaux transparents et tirer en numérique, éventuellement sur des sorties sur du papier photographique.
Enfin, demandez aussi à Kodak pourquoi ils arrêtent le RD en argentique et contractent leur gamme de films.
Quand aux pièges à c..., c'est effectivement toujours au consommateur lambda qu'ils sont destinés, quel que soit le marché ou le produit. C'est parmi ces gens dont le moins qu'on puissent dire c'est qu'il sont mal informés (donc infraction à une des règles basiques des marchés concurrentiels, mais que fait la police libérale !) que se trouveront encore et toujours encore des régiments de gogos soigneusement entretenus et reproduits. Le moindre professionnel, en effet, calcule ses coûts. Il en va de sa survie sur le marché. -- Cordialement, Serge Schmitt « Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants ; c'est l'indifférence des bons. » - Martin Luther King
Bonjour ! Peter Pan a écrit récemment dans
<40abbad9$0$309$7a628cd7@news.club-internet.fr>
Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est
commencer à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir
raisonnable...
Intéressant.
:-) Intéressant en effet !
C'est pour ça que beaucoup d'agences et encore plus de directeurs
artistiques réclament aujourd'hui des cédéroms. Que les agences
remplacent une pièce d'armoires remplie de classeurs de dias par un
serveur et quelques disques durs : l'économie sur les immobilisations
mobilières et immobilières est fabuleuse. La facilité de sauvegarde
aussi. La facilité pour transférer une image à un client à l'autre bout
du monde aussi.
Et pour éviter de payer des personnes à scanner des négatifs, il y a peu
de chance pour que dans quelques années on y accepte encore un support
non numériques.
Quand aux photographes professionnels eux-mêmes (je parlent des
free-lance, car les autres, font ce qu'on leur dit de faire), ils
comprennent vite que tant qu'à scanner une gélatine pour pouvoir faire
de la retouche à leur idée et livrer leur client dans les mêmes délais
que les concurrents, autant partir tout de suite d'un original
numérique. D'autant que certaines interventions (masquage) au lieu
d'être faite pour chaque exemplaire le sont une fois pour toutes et
sont ensuite parfaitement reproductibles. Voire quasi impossibles
(burning et dodging en couleur) en argentique.
Restent certains amateurs style école de paysage américaine, et les
producteurs d'images pour le marché de l'art : beaucoup restent encore
fidèles au support gélatine, surtout en grand format, et au tirage
papier. Mais, sur le marché de l'art, c'est _justement_ l'irrationnel
qui commande !
On voit pourtant de plus en plus de ces artistes scanner leur beaux
transparents et tirer en numérique, éventuellement sur des sorties sur
du papier photographique.
Enfin, demandez aussi à Kodak pourquoi ils arrêtent le RD en argentique
et contractent leur gamme de films.
Quand aux pièges à c..., c'est effectivement toujours au consommateur
lambda qu'ils sont destinés, quel que soit le marché ou le produit.
C'est parmi ces gens dont le moins qu'on puissent dire c'est qu'il sont
mal informés (donc infraction à une des règles basiques des marchés
concurrentiels, mais que fait la police libérale !) que se trouveront
encore et toujours encore des régiments de gogos soigneusement
entretenus et reproduits. Le moindre professionnel, en effet, calcule
ses coûts. Il en va de sa survie sur le marché.
--
Cordialement,
Serge Schmitt
« Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants ; c'est
l'indifférence des bons. » - Martin Luther King
Bonjour ! Peter Pan a écrit récemment dans <40abbad9$0$309$
Il me semble que reconnaître que l'on cède à l'irrationnel, c'est commencer à se mettre des limites (de budjet) et commercer à devenir raisonnable...
Intéressant.
:-) Intéressant en effet !
C'est pour ça que beaucoup d'agences et encore plus de directeurs artistiques réclament aujourd'hui des cédéroms. Que les agences remplacent une pièce d'armoires remplie de classeurs de dias par un serveur et quelques disques durs : l'économie sur les immobilisations mobilières et immobilières est fabuleuse. La facilité de sauvegarde aussi. La facilité pour transférer une image à un client à l'autre bout du monde aussi.
Et pour éviter de payer des personnes à scanner des négatifs, il y a peu de chance pour que dans quelques années on y accepte encore un support non numériques.
Quand aux photographes professionnels eux-mêmes (je parlent des free-lance, car les autres, font ce qu'on leur dit de faire), ils comprennent vite que tant qu'à scanner une gélatine pour pouvoir faire de la retouche à leur idée et livrer leur client dans les mêmes délais que les concurrents, autant partir tout de suite d'un original numérique. D'autant que certaines interventions (masquage) au lieu d'être faite pour chaque exemplaire le sont une fois pour toutes et sont ensuite parfaitement reproductibles. Voire quasi impossibles (burning et dodging en couleur) en argentique.
Restent certains amateurs style école de paysage américaine, et les producteurs d'images pour le marché de l'art : beaucoup restent encore fidèles au support gélatine, surtout en grand format, et au tirage papier. Mais, sur le marché de l'art, c'est _justement_ l'irrationnel qui commande !
On voit pourtant de plus en plus de ces artistes scanner leur beaux transparents et tirer en numérique, éventuellement sur des sorties sur du papier photographique.
Enfin, demandez aussi à Kodak pourquoi ils arrêtent le RD en argentique et contractent leur gamme de films.
Quand aux pièges à c..., c'est effectivement toujours au consommateur lambda qu'ils sont destinés, quel que soit le marché ou le produit. C'est parmi ces gens dont le moins qu'on puissent dire c'est qu'il sont mal informés (donc infraction à une des règles basiques des marchés concurrentiels, mais que fait la police libérale !) que se trouveront encore et toujours encore des régiments de gogos soigneusement entretenus et reproduits. Le moindre professionnel, en effet, calcule ses coûts. Il en va de sa survie sur le marché. -- Cordialement, Serge Schmitt « Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants ; c'est l'indifférence des bons. » - Martin Luther King
pehache
"Serge Schmitt" a écrit dans le message de news: c8h6vi$h4l$
Intéressant.
:-) Intéressant en effet !
[snip]
Oui, oui, c'est intéressant tout ça, mais là on dilue et moi je n'ai toujours pas compris comment on pouvait remplacer des kilos de matériel 24x36 par un G3, ce qui était quand même plus ou moins le sujet de départ de ce fil.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
"Serge Schmitt" <sersch.nopourriel@altern.org> a écrit dans le message de
news: c8h6vi$h4l$1@yucatan.franconews.org...
Intéressant.
:-) Intéressant en effet !
[snip]
Oui, oui, c'est intéressant tout ça, mais là on dilue et moi je n'ai
toujours pas compris comment on pouvait remplacer des kilos de matériel
24x36 par un G3, ce qui était quand même plus ou moins le sujet de départ de
ce fil.
--
pehache
enlever NOSPAM. etc... pour répondre
remove NOSPAM... to reply
http://pehache.free.fr/public.html
"Serge Schmitt" a écrit dans le message de news: c8h6vi$h4l$
Intéressant.
:-) Intéressant en effet !
[snip]
Oui, oui, c'est intéressant tout ça, mais là on dilue et moi je n'ai toujours pas compris comment on pouvait remplacer des kilos de matériel 24x36 par un G3, ce qui était quand même plus ou moins le sujet de départ de ce fil.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Serge Schmitt
Bonjour ! pehache a écrit récemment dans <40acafa0$0$7711$
moi je n'ai toujours pas compris
Relis tous les posts. Au bout de plusieurs fois ça rentrera probablement. Je ne vois pas quoi répondre d'autre. -- Cordialement, Serge Schmitt « Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants ; c'est l'indifférence des bons. » - Martin Luther King
Bonjour ! pehache a écrit récemment dans
<40acafa0$0$7711$636a15ce@news.free.fr>
moi je n'ai
toujours pas compris
Relis tous les posts. Au bout de plusieurs fois ça rentrera
probablement.
Je ne vois pas quoi répondre d'autre.
--
Cordialement,
Serge Schmitt
« Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants ; c'est
l'indifférence des bons. » - Martin Luther King
Bonjour ! pehache a écrit récemment dans <40acafa0$0$7711$
moi je n'ai toujours pas compris
Relis tous les posts. Au bout de plusieurs fois ça rentrera probablement. Je ne vois pas quoi répondre d'autre. -- Cordialement, Serge Schmitt « Ce qui m'effraie, ce n'est pas l'oppression des méchants ; c'est l'indifférence des bons. » - Martin Luther King
Jean-Claude Ghislain
C'est pour ça que beaucoup d'agences et encore plus de directeurs artistiques réclament aujourd'hui des cédéroms.
Dans les agences que je connais, les ordinateurs ont fait une timide entrée entre 1992 et 1994. A cette époque on remarque également un glissement de la dia vers le négatif couleur, le coupable : "Fuji" et son extraordinaire 800 iso. Dès ce moment les agences commencent à scanner. Vers 1996, il y a quelques tests de prises de vues en numérique, principalement avec les boîtiers Kodak sur base Nikon. Mais l'investissement est très lourd et les photographes doivent se résoudre à n'avoir qu'un unique boîtier, c'est risqué mais l'investissement est trop important. Le véritable virage au tout numérique à eu lieu, dans presque toutes les agences, en 2002.
Mais le matériel utilisé par les agences et les photographes pro n'est pas comparable à ce que peut sortir un petit numérique à pas cher. Actuellement les réflex numériques et les dos pour moyen format (ou chambre) éclipsent la pellicule dont on a plus besoin. Ce n'est pas encore le cas avec le numérique grand public dont la qualité, bien qu'en progression, est encore assez loin des performances et des possibilités des pellicules (notamment en basse lumière).
-- Jean-Claude Ghislain www.grimart.com
C'est pour ça que beaucoup d'agences et encore plus de directeurs
artistiques réclament aujourd'hui des cédéroms.
Dans les agences que je connais, les ordinateurs ont fait une timide
entrée entre 1992 et 1994. A cette époque on remarque également un
glissement de la dia vers le négatif couleur, le coupable : "Fuji" et son
extraordinaire 800 iso. Dès ce moment les agences commencent à scanner.
Vers 1996, il y a quelques tests de prises de vues en numérique,
principalement avec les boîtiers Kodak sur base Nikon. Mais
l'investissement est très lourd et les photographes doivent se résoudre à
n'avoir qu'un unique boîtier, c'est risqué mais l'investissement est trop
important. Le véritable virage au tout numérique à eu lieu, dans presque
toutes les agences, en 2002.
Mais le matériel utilisé par les agences et les photographes pro n'est pas
comparable à ce que peut sortir un petit numérique à pas cher.
Actuellement les réflex numériques et les dos pour moyen format (ou
chambre) éclipsent la pellicule dont on a plus besoin. Ce n'est pas encore
le cas avec le numérique grand public dont la qualité, bien qu'en
progression, est encore assez loin des performances et des possibilités
des pellicules (notamment en basse lumière).
C'est pour ça que beaucoup d'agences et encore plus de directeurs artistiques réclament aujourd'hui des cédéroms.
Dans les agences que je connais, les ordinateurs ont fait une timide entrée entre 1992 et 1994. A cette époque on remarque également un glissement de la dia vers le négatif couleur, le coupable : "Fuji" et son extraordinaire 800 iso. Dès ce moment les agences commencent à scanner. Vers 1996, il y a quelques tests de prises de vues en numérique, principalement avec les boîtiers Kodak sur base Nikon. Mais l'investissement est très lourd et les photographes doivent se résoudre à n'avoir qu'un unique boîtier, c'est risqué mais l'investissement est trop important. Le véritable virage au tout numérique à eu lieu, dans presque toutes les agences, en 2002.
Mais le matériel utilisé par les agences et les photographes pro n'est pas comparable à ce que peut sortir un petit numérique à pas cher. Actuellement les réflex numériques et les dos pour moyen format (ou chambre) éclipsent la pellicule dont on a plus besoin. Ce n'est pas encore le cas avec le numérique grand public dont la qualité, bien qu'en progression, est encore assez loin des performances et des possibilités des pellicules (notamment en basse lumière).