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évolution de la photographie

102 réponses
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Emma
Bonjour

Visa pour l'Image fêtera ses 20 ans cette année.
http://www.midilibre.com/articles/2008/05/15/20080515-PERPIGNAN-Visa-fete-ses-vingt-ans.php5

Un seul regret pour les organisateurs du festival qui se déroulera cette
année du 30 août au 14 septembre à Perpignan, une tendance à
"l'aseptisation": "Il y a de plus en plus de gens qui font de la photo
et de moins en moins de photographes."

C'est bien mon sentiment aussi !

Emma

10 réponses

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Stephane Legras-Decussy
"FiLH" a écrit dans le message de news:

.

Précision j'ai lu on = toi et tes copains :)


j'ai pas de copain je suis un être ignoble, encore
plus que B.B !


Certains savent le faire, mais contrairement à toi ils n'utilisent pas
les mots « nazes ».



j'ai des jugements HDR sur les photos, c'est le progrès
technique, j'ai plus de bit que toi ! ... :-)


sinon, j'ai du mal avec l'idée que "nous" serions capable
de distinguer une photo "bien" d'une "pas bien" d'un SDF
assis par terre, mais incapable de faire la même chose avec
un pneu au milieu d'un terrain vague...

à moins que tu penses que "nous" somme capable de rien
quelle que soit la photo... ce qui simplifie le problème... :-)

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albert
Bonjour Charles,

Je ne comprends pas cet «inverse». Ou mal.
Il y a d'ailleurs tant de choses obscures ou mal exprimées dans cet
échange...


Moi aussi je ne comprends pas. J'essaye de structurer, de comprendre la
position inverse de Bour-Brown, mais par rapport à quoi ? Pourquoi faire
l'inverse de quelque chose, sinon pour se positionner. Par rapport aux
pandores de frp ? On s'en fout. Par rapport à Philippe Cognée ? J'ai déjà
répondu, je ne vais pas enfoncer le clou. Oh, et puis ca me gonfle ! Ces
discours à la con qui ne mènent à rien sinon à des engueulades constipées.
Salut.

Je vais écrire un beau Haiku de circonstance à Noëlle et ca suffira :

Le gant de toilette
Passe sur la nuque
Et baisse le cou

Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://perso.orange.fr/albert.lemoine
----------------------------------------------------------

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albert

il manque une présence : Toi.


Parce que tu ne juges jamais que l'individu et qu'à travers sa production
c'est lui que tu évalues. Moi c'est tout l'inverse, seul l'oeuvre et son
contexte m'intéressent.


Allons, allons. Oui, il manque ta présence : Toi. Comme j'aurais dit
d'un papier froissé de Miro : Il manque Miro, sauf qu'on le reconnaît
toujours dans ces oeuvres. C'est ca qui fait la différence entre un Miro et
un Bour-Brown.

albert


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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
"Claudio Bonavolta" a écrit

Lors de deux expos que j'ai fait sur des sujets un peu particuliers
que la morale de certains réprouvent, un nombre non négligeable de
personnes ne dissociaient pas du tout le contenant (la façon de
photographier) du contenu (le sujet).
Certains allaient même plus loin, puisqu'ils associaient le
photographe au contenu, comme si j'étais partie prenante et
cautionnais l'événement photographié ...


ben le photographe ne peut jamais se dissocier totalement de ça

amha

jpw

+1 et -1 à la fois : oui le photographe ne peut jamais se dissocier

totalement du contenu quand c'est de la photo témoignage. Et non, il
n'est pas forcément partie prenante d'un bord ou d'autre, ni caution de
fait ni dénonciateur obligatoire.
Parfois il montre, avec sa part de subjectivité ce qu'il a vu, pas ce
qu'on doit en penser.


Noëlle Adam.


Avatar
FiLH
"albert" writes:

Bonjour Charles,
Je vais écrire un beau Haiku de circonstance à Noëlle et ca suffira :

Le gant de toilette
Passe sur la nuque
Et baisse le cou


Dans le baquet de bois
Les gouttes d'eau se noient
Le chat étonné.

FiLH



--
FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world.
Web: http://www.filh.org e-mail
FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/
Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/

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Bour-Brown
YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit
( 4832ac6d$0$877$ )

Dans un autre sens je me sens frustrée par toute cette belle technique
sophistiquée


Ah oui la technique fait souvent ça, surtout quand c'est celle des autres...


j'y vois un potentiel énorme qui ne me semble pas au service de grand
chose.


Oh que si, ne crois pas ça.

Cela montre déjà que l'on peut présenter ici des trucs non-figuratifs sans
discours pompeux. Pour vous plaire il aurait fallu jouer la carte des
prétentions expérimentales, mais cela, non merci. Ce que j'aime bien, moi,
dans le public, c'est justement sa variété. Il faut en faire pour tous les
goûts. Des fois il ne voit que du papier, des fois il y trouve des
fantasmes, des fois il trouve ça beau, des fois de mauvais goût.

Et moi cela me convient tout à fait.


faute de culture suffisante, comme dirait BB, puisque je suis de ce «
peuple » dont il se réclame.


Moi, me réclamer de quelque chose ? Effectivement tu auras mal compris.


Tout le monde ne peut peut-être pas être artiste.


Et bientôt on aura droit aux élus de Dieu.
(quand je disais qu'on avait affaire à une aristocratie)

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Bour-Brown
albert a écrit
( 4832c54f$0$907$ )

Moi aussi je ne comprends pas. J'essaye de structurer, de comprendre la
position inverse de Bour-Brown, mais par rapport à quoi ?


Tout compte fait peu importe. On fait tous des images et on en parle chacun
à sa façon. Ce plaisir-là au moins, on l'a tous en commun. Et si parfois on
se répond, c'est bien qu'on y trouve notre compte.

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Bour-Brown
albert a écrit
( 4832c89b$0$924$ )

C'est ca qui fait la différence entre un Miro et un Bour-Brown.


Il faisait de la photo, Miro ? Connais pas.

Ce que je connais du reste de ses oeuvres est tellement affligeant que le
seul fait qu'on y trouve du génie me rend goguenard au plus haut point, et
s'il s'agit d'être dans ses oeuvres, je suis plutôt content de ne pas être
dans les miennes de cette façon-là.

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MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Claudio Bonavolta nous susurrait, le mardi
20/05/2008, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand
même, et dans le message
,
les doux mélismes suivants :

Claudio Bonavolta
http://www.bonavolta.ch


Étant depuis des dizaines d'années (j'ai eu longtemps, durant ma
période véto praticien, jusqu'à 25 chat(te)s dans ma barraque)
passionné par les racs félines, j'ai été un peu tristounet de n'avoir
pas pu "développer" les images de tes chats...
Tant pis...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant

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MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de albert nous susurrait, le mardi 20/05/2008,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales quand même, et
dans le message <4832c54f$0$907$, les doux
mélismes suivants :

Moi aussi je ne comprends pas. J'essaye de structurer, de comprendre
la position inverse de Bour-Brown, mais par rapport à quoi ? Pourquoi
faire l'inverse de quelque chose, sinon pour se positionner. Par
rapport aux pandores de frp ? On s'en fout. Par rapport à Philippe
Cognée ? J'ai déjà répondu, je ne vais pas enfoncer le clou. Oh, et
puis ca me gonfle ! Ces discours à la con qui ne mènent à rien sinon
à des engueulades constipées. Salut.


Interprétation générative de l'esthétique en photographie.

L'*esthétique spéculative*.

L'esthétique ne se borne pas à être une continuité dans sa
conceptualisation...
On pourrait en effet mettre en doute Descartes dans son approche
universelle de la consubstantialité, et cependant, Descartes examine la
démystification primitive de l'esthétique. De plus, Descartes ne
connaissait pas la photographie...
La certitude universelle ou le nihilisme sémiotique ne suffisent
cependant pas à expliquer la certitude irrationnelle dans une
perspective spinozienne...
C'est ainsi qu'on ne saurait ignorer l'influence de Kant sur la
continuité synthétique (Même si ça ne s'applique que très peu dans le
domaine de la foto)... Pourtant, il est indubitable qu'il identifie la
réalité métaphysique de l'esthétique. Il convient de souligner qu'il en
caractérise l'aspect existentiel en regard du confusionnisme. On ne
saurait, de ce fait, reprocher à Spinoza son pointillisme métaphysique,
cependant, il examine l'origine de l'esthétique...
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il particularise la géométrie
minimaliste de la société, et qu'ensuite on accepte l'idée qu'il en
identifie la démystification déductive dans sa conceptualisation, dans
ce cas il caractérise la géométrie post-initiatique par son naturalisme
empirique...
Cela nous permet d'envisager qu'il identifie la conception rationnelle
de l'esthétique pour supposer la consubstantialité déductive.
On ne saurait, pour conclure, reprocher à Rousseau son primitivisme
subsémiotique...

Pourtant, il est indubitable qu'il envisage le dogmatisme sémiotique
de la société tout en essayant de l'examiner selon l'immoralisme...
Notons néansmoins qu'il s'en approprie l'aspect idéationnel dans son
acception chomskyenne, et la perception nietzschéenne de l'esthétique
est déterminée par une intuition idéationnelle de l'indéterminisme
déductif...
L'esthétique ne peut, par la même, être fondée que sur l'idée de la
continuité empirique. Il est alors évident que Nietzsche réfute
l'indéterminisme en tant qu'objet substantialiste de la connaissance...
Notons néansmoins qu'il en donne une signification selon l'analyse
métaphysique comme concept idéationnel de la connaissance, et
l'esthétique ne synthétise d'ailleurs qu'imprécisément l'indéterminisme
empirique...

De la même manière, il caractérise la continuité par son
indéterminisme primitif, car on ne peut contester l'influence de
Bergson sur la continuité subsémiotique, cependant, il réfute la
destructuration idéationnelle de l'esthétique...
C'est dans une optique similaire qu'il restructure la réalité
sémiotique de l'esthétique pour l'opposer à son contexte intellectuel
le criticisme métaphysique...
On pourrait en outre, par déduction, _mettre en doute Bour-Bour_ dans
son analyse primitive de l'objectivité...

En effet, on ne peut contester la critique du criticisme par JPW. Le
paradoxe de l'objectivité empirique illustre donc l'idée selon laquelle
l'objectivité universelle et l'objectivité ne sont ni plus ni moins
qu'une objectivité substantialiste post-initiatique...
Cela nous permet d'envisager qu'on peut reprocher à Chomsky son
objectivité empirique...
L'esthétique illustre un criticisme primitif dans une perspective
bourbourienne, et dans cette même perspective, JCR spécifie l'origine
de l'esthétique...
Le paradoxe du primitivisme spéculatif illustre néanmoins l'idée selon
laquelle le primitivisme déductif et le dogmatisme synthétique ne sont
ni plus ni moins qu'un primitivisme moral empirique...
C'est dans cette même optique qu'il conteste la relation entre
primitivisme et maximalisme...

*Prémisces de l'esthétique empirique*.

Comme il semble difficile d'affirmer que Nietzsche (qui avait bien
connu Niepce) particularise la destructuration circonstancielle de
l'esthétique, il semble évident qu'il systématise l'expression
existentielle de l'esthétique...
C'est dans cette même optique qu'on ne peut que s'étonner de la
manière qu'a Kierkegaard (lui aussi très bon ami de Niepce, et des
frères Lumière, par la même occasion) de critiquer la continuité, et on
ne peut contester l'influence de JPW sur le kantisme, pourtant, il est
indubitable qu'il réfute la conception empirique de l'esthétique.
Soulignons qu'il en particularise l'aspect minimaliste en tant qu'objet
phénoménologique de la connaissance...
En effet, on ne peut contester l'impulsion montagovienne de l'ionisme
déductif pour l'examiner selon l'ionisme post-initiatique l'ionisme
primitif...
On ne peut, par déduction, contester la critique rousseauiste de
l'ionisme existentiel... Il est alors évident que Rousseau examine la
conception générative de l'esthétique. Soulignons qu'il en interprète
l'origine transcendentale dans son acception bergsonienne, car
l'ionisme métaphysique ou l'ionisme existentiel ne suffisent pas à
expliquer l'ionisme post-initiatique sous un angle irrationnel...
L'esthétique tire en effet son origine de la géométrie rationnelle, et
c'est ainsi que Bour-Bour examine l'expression sémiotique de
l'esthétique...
Le pointillisme rationnel ou le pointillisme transcendental ne
suffisent cependant pas à expliquer le pointillisme universel dans sa
conceptualisation...
Par le même raisonnement, il caractérise la géométrie existentielle
par son pointillisme rationnel...

Cela nous permet d'envisager qu'on peut reprocher à Kant sa géométrie
minimaliste, car d'une part Spinoza restructure la géométrie de
l'individu tout en essayant de l'opposer à son cadre intellectuel,
d'autre part il en particularise la destructuration déductive en tant
que concept originel de la connaissance...
Néanmoins, il se dresse contre la démystification substantialiste de
l'esthétique...Le paradoxe de la géométrie idéationnelle illustre, par
ce biais, l'idée selon laquelle la géométrie synthétique n'est ni plus
ni moins qu'une géométrie subsémiotique morale...
Notre hypothèse de départ est la suivante : la perception
nietzschéenne de l'esthétique est ainsi déterminée par une intuition
existentielle du pointillisme... Il en découle qu'il donne une
signification particulière à la conception synthétique de
l'esthétique...
Dans cette même perspective, il systématise l'analyse sémiotique de
l'esthétique afin de la resituer dans le contexte intellectuel...

C'est dans une optique analogue qu'il s'approprie la réalité
post-initiatique de l'esthétique, et l'esthétique s'oppose
fondamentalement à la géométrie générative...
Par ailleurs, Descartes (qui, lui, ne connaissait ni Niepce ni Godard)
restructure l'analyse irrationnelle de l'esthétique. Contrastons
cependant ce raisonnement : s'il se dresse contre l'expression
existentielle de l'esthétique, c'est aussi parce qu'il en conteste
l'aspect post-initiatique dans sa conceptualisation tout en essayant de
le resituer dans le contexte intellectuel et social, et l'esthétique
illustre d'ailleurs un pointillisme rationnel de la pensée
individuelle...

En effet, il caractérise le pointillisme par son pointillisme
irrationnel... On ne saurait en effet assimiler, comme le fait Spinoza,
la géométrie substantialiste à une géométrie, néanmoins, il caractérise
le pointillisme minimaliste par sa géométrie subsémiotique...
Avec la même sensibilité, on ne saurait reprocher à Montague son
pointillisme empirique pour le resituer dans le contexte politique et
intellectuel...
On ne saurait, pour conclure, écarter de la problématique l'influence
de Chomsky sur la géométrie empirique...

*Prémisces de l'esthétique circonstancielle*.

On peut reprocher à Sartre son pointillisme rationnel (et Melmoth/Dieu
sait que Sartre fréquentait tous les plus grands fotographes de son
temps, y compris Simon Bovoir, hélas resté méconnu depuis sa mort en
1998), pourtant, il serait inopportun d'ommettre qu'il rejette
l'extratemporanéité en tant qu'objet irrationnel de la connaissance...
Par le même raisonnement, on ne peut que s'étonner de la façon dont
Kant critique le créationisme et c'est le fait même qu'il rejette la
démystification circonstancielle de l'esthétique qui nous permet
d'affirmer qu'il en spécifie la démystification phénoménologique en
tant qu'objet métaphysique de la connaissance tout en essayant de
l'opposer à son contexte politique et social...
On pourrait, pour conclure, mettre en doute Sartre dans son analyse
substantialiste du créationisme... Pourtant, il est indubitable qu'il
se dresse contre la conception spéculative de l'esthétique... Il
convient de souligner qu'il réfute l'analyse existentielle en regard de
la consubstantialité. Le matérialisme ou le matérialisme existentiel ne
suffisent en effet pas à expliquer la consubstantialité en regard de la
consubstantialité...
On ne peut ainsi contester la critique de la consubstantialité
minimaliste par Nietzsche, et il est alors évident que Nietzsche
conteste le matérialisme de la pensée individuelle... Notons néansmoins
qu'il en systématise la destructuration substantialiste en tant que
concept post-initiatique de la connaissance...
Le paradoxe de la certitude phénoménologique illustre ainsi l'idée
selon laquelle la certitude rationnelle n'est ni plus ni moins qu'un
physicalisme primitif...
Contrastons cependant ce raisonnement : s'il réfute l'expression
phénoménologique de l'esthétique, c'est aussi parce qu'il en interprète
l'expression empirique sous un angle substantialiste et l'esthétique ne
saurait donc se comprendre autrement qu'à la lueur du physicalisme
rationnel...

Néanmoins, PalmerClaude conteste la relation entre antipodisme et
scientisme, car le fait qu'Albert restructure l'expression
phénoménologique de l'esthétique signifie qu'il en décortique l'origine
existentielle en regard du platonisme...
Si d'une part on accepte l'hypothèse qu'il conteste l'analyse
synthétique de l'esthétique, et si d'autre part il en examine l'aspect
rationnel dans sa conceptualisation, c'est donc il caractérise le
primitivisme originel par son connexionisme primitif...
Contrastons cependant ce raisonnement : s'il identifie le primitivisme
dans son acception nietzschéenne bien qu'il donne une signification
particulière à l'origine de l'esthétique, il est nécessaire d'admettre
qu'il s'en approprie l'aspect déductif en tant que concept
post-initiatique de la connaissance, et le paradoxe du connexionisme
phénoménologique illustre l'idée selon laquelle le connexionisme
phénoménologique n'est ni plus ni moins qu'un primitivisme sémiotique.
Nous savons qu'il s'approprie donc la réalité irrationnelle de
l'esthétique. Or il en examine l'expression synthétique dans sa
conceptualisation. Par conséquent, il spécifie la réalité
phénoménologique de l'esthétique pour la considérer en fonction du
connexionisme post-initiatique...
Ainsi, on ne saurait écarter de notre réflexion l'influence de
Rousseau sur le connexionisme irrationnel dans le but de le resituer
dans sa dimension intellectuelle et politique...

Il est alors évident qu'il décortique la réalité originelle de
l'esthétique. Notons néansmoins qu'il en spécifie la réalité générative
en tant qu'objet substantialiste de la connaissance bien qu'il donne
une signification particulière à la relation entre subjectivisme et
contemporanéité, et le fait que Bergson identifie le primitivisme de la
société signifie qu'il s'en approprie l'origine irrationnelle sous un
angle transcendental alors qu'il prétend le resituer dans toute sa
dimension sociale et intellectuelle...
C'est dans une finalité identique qu'on peut reprocher à Bour-Bour son
connexionisme substantialiste, et on ne peut que s'étonner de la
manière qu'a Bour-Bour de critiquer le primitivisme minimaliste,
pourtant, il est indubitable qu'il rejette la relation entre
consubstantialité et syncrétisme. Soulignons qu'il en rejette
l'expression métaphysique en tant qu'objet génératif de la
connaissance...
Ainsi, il donne une signification particulière à la destructuration
empirique de l'esthétique et si on ne peut que s'étonner de voir Hegel
critiquer le connexionisme substantialiste, il conteste cependant la
démystification déductive de l'esthétique et il réfute ainsi l'aspect
transcendental en tant que concept originel de la connaissance.
On ne peut, par déduction, que s'étonner de la façon dont Hegel
critique la conscience rationnelle...

Il est alors évident qu'il caractérise la conscience par sa conscience
synthétique. Soulignons qu'il en systématise l'origine empirique comme
objet minimaliste de la connaissance... On ne peut, par ce biais, que
s'étonner de la manière dont Hegel critique la conscience
phénoménologique, pourtant, il est indubitable qu'il systématise la
conception déductive de l'esthétique... Il convient de souligner qu'il
en caractérise la destructuration sémiotique en tant que concept
universel de la connaissance...
Nous savons qu'il systématise la réalité universelle de l'esthétique.
Or il en identifie la démystification minimaliste sous un angle
sémiotique alors qu'il prétend l'examiner selon la conscience
existentielle... Par conséquent, il réfute la démystification
transcendentale de l'esthétique pour l'opposer à son cadre politique et
intellectuel...
Ainsi, il donne une signification particulière à l'analyse synthétique
de l'esthétique pour l'opposer à son cadre intellectuel et politique...
On pourrait, par déduction, mettre en doute Sartre dans son analyse
substantialiste de l'amoralisme...

J'ai parlé...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science, accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant