de cet homme...Évidemment autre chose que le peintre américain à la mode dont on ous rabat en ce moment les oreilles !...
rebat
albert
"Bour-Brown" a écrit :
Sauf que l'idée, c'est ce petit truc : à chaque fois qu'on dépasse les 360°, c'est un pano un poil différent qui prend la place. La pièce est la même, mais la personne assise s'est levée, ou bien au deuxième tour le placard fermé est ouvert, un vêtement au sol, le tour suivant c'est carrément trois tiroirs qui dégorgent,
De soutien-gorges ?
Dépasser le 360° est très excitant, mais on doit le faire à un niveau imaginaire, sinon la répétition est fastidieuse. Cela m'a beaucoup intéressé à une époque, je les appelais des multipanoramiques. Le secret est de changer de point de vue. Quand tu réalises ton image, à un moment donné, tu te déplaces et tu continues, tu peux le faire indéfiniment et aller au delà de 360°. Bien entendu les raccords entre deux déplacements seront un peu ardus, il faut les anticiper.
Sans vouloir la ramener sur ce sujet que je connais bien, j'en garde deux :
Un complètement réinventé, au sommet de la montagne, où mènent tous les chemins : http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/multi_belin_gauchea.htm
Cela peut paraître idiot, mais comme à l'époque je m'attaquais à une idée d'envergure et techniquement n'ayant guère les moyens, avec en plus de l'argentique scanné, j'avais besoin comme les derviches tourneurs d'une petite rengaine qui allait et venait dans ma tête :
« Diverses sont les lignes de la vie Comme le sont les routes et les bornes des monts Ce qu'ici nous sommes, un dieu, là-bas, peut le parfaire Dans l'harmonie, la récompense éternelle et la paix. » Hölderlin
Un autre beaucoup plus déjanté, mais dans le respect de l'unité de lieu comme dans les pièces de théatre, en l'occurence un parc fin XIXème avec tous ses ingrédients, le kiosque, le buste du général, les buis, la nymphète en bronze jouant avec le cabri et la montagne au loin qui se répète un peu : http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/panorama_multi_salins_02.htm
Je pourrais extrapoler en te disant que ce que je te montre et te raconte ici correspond en tous points de vue à un multipanoramique littéraire, étant donné que la montagne qu'on voit au loin dans le deuxième panoramique est celle au sommet de laquelle j'ai pris les photos du premier...
On pourrait encore aller plus loin et dire que notre relation épistolaire se poursuivra autant que notre vision des choses pourra s'accorder.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
"Bour-Brown" a écrit :
Sauf que l'idée, c'est ce petit truc : à chaque fois qu'on dépasse les
360°, c'est un pano un poil différent qui prend la place. La pièce est la
même, mais la personne assise s'est levée, ou bien au deuxième tour le
placard fermé est ouvert, un vêtement au sol, le tour suivant c'est
carrément trois tiroirs qui dégorgent,
De soutien-gorges ?
Dépasser le 360° est très excitant, mais on doit le faire à un niveau
imaginaire, sinon la répétition est fastidieuse. Cela m'a beaucoup intéressé
à une époque, je les appelais des multipanoramiques. Le secret est de
changer de point de vue. Quand tu réalises ton image, à un moment donné, tu
te déplaces et tu continues, tu peux le faire indéfiniment et aller au delà
de 360°. Bien entendu les raccords entre deux déplacements seront un peu
ardus, il faut les anticiper.
Sans vouloir la ramener sur ce sujet que je connais bien, j'en garde
deux :
Un complètement réinventé, au sommet de la montagne, où mènent tous les
chemins :
http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/multi_belin_gauchea.htm
Cela peut paraître idiot, mais comme à l'époque je m'attaquais à une
idée d'envergure et techniquement n'ayant guère les moyens, avec en plus de
l'argentique scanné, j'avais besoin comme les derviches tourneurs d'une
petite rengaine qui allait et venait dans ma tête :
« Diverses sont les lignes de la vie
Comme le sont les routes et les bornes des monts
Ce qu'ici nous sommes, un dieu, là-bas, peut le parfaire
Dans l'harmonie, la récompense éternelle et la paix. »
Hölderlin
Un autre beaucoup plus déjanté, mais dans le respect de l'unité de lieu
comme dans les pièces de théatre, en l'occurence un parc fin XIXème avec
tous ses ingrédients, le kiosque, le buste du général, les buis, la nymphète
en bronze jouant avec le cabri et la montagne au loin qui se répète un peu :
http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/panorama_multi_salins_02.htm
Je pourrais extrapoler en te disant que ce que je te montre et te
raconte ici correspond en tous points de vue à un multipanoramique
littéraire, étant donné que la montagne qu'on voit au loin dans le deuxième
panoramique est celle au sommet de laquelle j'ai pris les photos du
premier...
On pourrait encore aller plus loin et dire que notre relation
épistolaire se poursuivra autant que notre vision des choses pourra
s'accorder.
Amitiés,
albert
----------------------------------------------------------
Photographies imaginaires
http://photo.imaginaire.free.fr
----------------------------------------------------------
Sauf que l'idée, c'est ce petit truc : à chaque fois qu'on dépasse les 360°, c'est un pano un poil différent qui prend la place. La pièce est la même, mais la personne assise s'est levée, ou bien au deuxième tour le placard fermé est ouvert, un vêtement au sol, le tour suivant c'est carrément trois tiroirs qui dégorgent,
De soutien-gorges ?
Dépasser le 360° est très excitant, mais on doit le faire à un niveau imaginaire, sinon la répétition est fastidieuse. Cela m'a beaucoup intéressé à une époque, je les appelais des multipanoramiques. Le secret est de changer de point de vue. Quand tu réalises ton image, à un moment donné, tu te déplaces et tu continues, tu peux le faire indéfiniment et aller au delà de 360°. Bien entendu les raccords entre deux déplacements seront un peu ardus, il faut les anticiper.
Sans vouloir la ramener sur ce sujet que je connais bien, j'en garde deux :
Un complètement réinventé, au sommet de la montagne, où mènent tous les chemins : http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/multi_belin_gauchea.htm
Cela peut paraître idiot, mais comme à l'époque je m'attaquais à une idée d'envergure et techniquement n'ayant guère les moyens, avec en plus de l'argentique scanné, j'avais besoin comme les derviches tourneurs d'une petite rengaine qui allait et venait dans ma tête :
« Diverses sont les lignes de la vie Comme le sont les routes et les bornes des monts Ce qu'ici nous sommes, un dieu, là-bas, peut le parfaire Dans l'harmonie, la récompense éternelle et la paix. » Hölderlin
Un autre beaucoup plus déjanté, mais dans le respect de l'unité de lieu comme dans les pièces de théatre, en l'occurence un parc fin XIXème avec tous ses ingrédients, le kiosque, le buste du général, les buis, la nymphète en bronze jouant avec le cabri et la montagne au loin qui se répète un peu : http://photo.imaginaire.free.fr/panoramique/panorama_multi_salins_02.htm
Je pourrais extrapoler en te disant que ce que je te montre et te raconte ici correspond en tous points de vue à un multipanoramique littéraire, étant donné que la montagne qu'on voit au loin dans le deuxième panoramique est celle au sommet de laquelle j'ai pris les photos du premier...
On pourrait encore aller plus loin et dire que notre relation épistolaire se poursuivra autant que notre vision des choses pourra s'accorder.
Amitiés, albert ---------------------------------------------------------- Photographies imaginaires http://photo.imaginaire.free.fr ----------------------------------------------------------
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mercredi 24/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <k69mcv$okh$, les doux mélismes suivants :
de cet homme...Évidemment autre chose que le peintre américain à la mode dont on nous rabat en ce moment les oreilles !...
rebat
As-tu remarqué comme le "a" est proche du "e", sur Mon Clavier ?... Le "z", entre les deux..."z" comme *zigouigoui*...
Maintenant, qu'on l'aime ou pas, Hopper a quelque chose à dire, incontestablement...Certaines de ses toiles ont quelque chose de fascinant, trouvé-Je...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mercredi
24/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message <k69mcv$okh$1@dont-email.me>, les doux
mélismes suivants :
de cet homme...Évidemment autre chose que le peintre américain à la
mode dont on nous rabat en ce moment les oreilles !...
rebat
As-tu remarqué comme le "a" est proche du "e", sur Mon Clavier ?...
Le "z", entre les deux..."z" comme *zigouigoui*...
Maintenant, qu'on l'aime ou pas, Hopper a quelque chose à dire,
incontestablement...Certaines de ses toiles ont quelque chose de
fascinant, trouvé-Je...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Ghost-Rider nous susurrait, le mercredi 24/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <k69mcv$okh$, les doux mélismes suivants :
de cet homme...Évidemment autre chose que le peintre américain à la mode dont on nous rabat en ce moment les oreilles !...
rebat
As-tu remarqué comme le "a" est proche du "e", sur Mon Clavier ?... Le "z", entre les deux..."z" comme *zigouigoui*...
Maintenant, qu'on l'aime ou pas, Hopper a quelque chose à dire, incontestablement...Certaines de ses toiles ont quelque chose de fascinant, trouvé-Je...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le mercredi 24/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <508847aa$0$23458$, les doux mélismes suivants :
Du moment que tu as une idée, tout devient très facile à réaliser.
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le mercredi
24/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<508847aa$0$23458$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
Du moment que tu as une idée, tout devient très facile à réaliser.
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le mercredi 24/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <508847aa$0$23458$, les doux mélismes suivants :
Du moment que tu as une idée, tout devient très facile à réaliser.
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Stephane Legras-Decussy
Le 25/10/2012 09:18, MELMOTH a écrit :
Maintenant, qu'on l'aime ou pas, Hopper a quelque chose à dire, incontestablement...Certaines de ses toiles ont quelque chose de fascinant, trouvé-Je...
le problème est surtout que quand on est peintre, il faut savoir peindre à peu près bien ...
Le 25/10/2012 09:18, MELMOTH a écrit :
Maintenant, qu'on l'aime ou pas, Hopper a quelque chose à dire,
incontestablement...Certaines de ses toiles ont quelque chose de
fascinant, trouvé-Je...
le problème est surtout que quand on est peintre, il faut
savoir peindre à peu près bien ...
Maintenant, qu'on l'aime ou pas, Hopper a quelque chose à dire, incontestablement...Certaines de ses toiles ont quelque chose de fascinant, trouvé-Je...
le problème est surtout que quand on est peintre, il faut savoir peindre à peu près bien ...
Bour-Brown
albert a écrit ( k69mfs$3mm$ )
Le secret est de changer de point de vue. Quand tu réalises ton image, à un moment donné, tu te déplaces et tu continues, tu peux le faire indéfiniment et aller au delà de 360°.
Oui, mais non. Faire du continu, un mélange de panoramique et de travelling latéral on va dire, sur ce coup ce n'est pas ce que j'ai en tête. Perso je parle d'un 360° dans une scène donnée, et seuls quelques éléments changent au gré des rotations.
Pour le dire autrement, imaginons-nous sur une scène de théâtre, face à la salle. En tournant on va voir la cour, le lointain, le jardin, la face, et ça recommence. À chaque tour les choses peuvent changer, un personnage rentre, sort, agitation dans les coulisses, les spectateurs eux-mêmes, etc. On peut même imaginer qu'aucun retour en arrière n'est possible, par exemple qu'à chaque tour (ou même en va-et-vient) des éléments changent, que la pièce se joue sous nos yeux, avec nous comme personnage centrale.
Panoramique temporel.
albert a écrit
( k69mfs$3mm$1@speranza.aioe.org )
Le secret est de changer de point de vue. Quand tu réalises ton image, à
un moment donné, tu te déplaces et tu continues, tu peux le faire
indéfiniment et aller au delà de 360°.
Oui, mais non. Faire du continu, un mélange de panoramique et de travelling
latéral on va dire, sur ce coup ce n'est pas ce que j'ai en tête. Perso je
parle d'un 360° dans une scène donnée, et seuls quelques éléments changent
au gré des rotations.
Pour le dire autrement, imaginons-nous sur une scène de théâtre, face à la
salle. En tournant on va voir la cour, le lointain, le jardin, la face, et
ça recommence. À chaque tour les choses peuvent changer, un personnage
rentre, sort, agitation dans les coulisses, les spectateurs eux-mêmes, etc.
On peut même imaginer qu'aucun retour en arrière n'est possible, par exemple
qu'à chaque tour (ou même en va-et-vient) des éléments changent, que la
pièce se joue sous nos yeux, avec nous comme personnage centrale.
Le secret est de changer de point de vue. Quand tu réalises ton image, à un moment donné, tu te déplaces et tu continues, tu peux le faire indéfiniment et aller au delà de 360°.
Oui, mais non. Faire du continu, un mélange de panoramique et de travelling latéral on va dire, sur ce coup ce n'est pas ce que j'ai en tête. Perso je parle d'un 360° dans une scène donnée, et seuls quelques éléments changent au gré des rotations.
Pour le dire autrement, imaginons-nous sur une scène de théâtre, face à la salle. En tournant on va voir la cour, le lointain, le jardin, la face, et ça recommence. À chaque tour les choses peuvent changer, un personnage rentre, sort, agitation dans les coulisses, les spectateurs eux-mêmes, etc. On peut même imaginer qu'aucun retour en arrière n'est possible, par exemple qu'à chaque tour (ou même en va-et-vient) des éléments changent, que la pièce se joue sous nos yeux, avec nous comme personnage centrale.
Panoramique temporel.
Bour-Brown
MELMOTH a écrit ( )
Vous ne seriez pas *hors charte*, là ?
Ah oui, mais faut lire tous les mots, c'est pour ça.
MELMOTH a écrit
( mn.ca307dca346a0186.12355@free.fr )
Vous ne seriez pas *hors charte*, là ?
Ah oui, mais faut lire tous les mots, c'est pour ça.
Ah oui, mais faut lire tous les mots, c'est pour ça.
£g
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 50898ed4$0$21261$
albert a écrit ( k69mfs$3mm$ )
Le secret est de changer de point de vue. Quand tu réalises ton image, à un moment donné, tu te déplaces et tu continues, tu peux le faire indéfiniment et aller au delà de 360°.
Oui, mais non. Faire du continu, un mélange de panoramique et de travelling latéral on va dire, sur ce coup ce n'est pas ce que j'ai en tête. Perso je parle d'un 360° dans une scène donnée, et seuls quelques éléments changent au gré des rotations.
Pour le dire autrement, imaginons-nous sur une scène de théâtre, face à la salle. En tournant on va voir la cour, le lointain, le jardin, la face, et ça recommence. À chaque tour les choses peuvent changer, un personnage rentre, sort, agitation dans les coulisses, les spectateurs eux-mêmes, etc. On peut même imaginer qu'aucun retour en arrière n'est possible, par exemple qu'à chaque tour (ou même en va-et-vient) des éléments changent, que la pièce se joue sous nos yeux, avec nous comme personnage centrale.
Le genre de la publicité avec les 4 saisons de Vivaldi, il y à le décor et l'âge des personnages qui changent à chaque tours
"Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> a écrit dans le message de news:
50898ed4$0$21261$ba4acef3@reader.news.orange.fr...
albert a écrit
( k69mfs$3mm$1@speranza.aioe.org )
Le secret est de changer de point de vue. Quand tu réalises ton
image, à
un moment donné, tu te déplaces et tu continues, tu peux le faire
indéfiniment et aller au delà de 360°.
Oui, mais non. Faire du continu, un mélange de panoramique et de
travelling
latéral on va dire, sur ce coup ce n'est pas ce que j'ai en tête.
Perso je
parle d'un 360° dans une scène donnée, et seuls quelques éléments
changent
au gré des rotations.
Pour le dire autrement, imaginons-nous sur une scène de théâtre, face
à la
salle. En tournant on va voir la cour, le lointain, le jardin, la
face, et
ça recommence. À chaque tour les choses peuvent changer, un personnage
rentre, sort, agitation dans les coulisses, les spectateurs eux-mêmes,
etc.
On peut même imaginer qu'aucun retour en arrière n'est possible, par
exemple
qu'à chaque tour (ou même en va-et-vient) des éléments changent, que
la
pièce se joue sous nos yeux, avec nous comme personnage centrale.
Le genre de la publicité avec les 4 saisons de Vivaldi, il y à le décor
et l'âge des personnages qui changent à chaque tours
"Bour-Brown" a écrit dans le message de news: 50898ed4$0$21261$
albert a écrit ( k69mfs$3mm$ )
Le secret est de changer de point de vue. Quand tu réalises ton image, à un moment donné, tu te déplaces et tu continues, tu peux le faire indéfiniment et aller au delà de 360°.
Oui, mais non. Faire du continu, un mélange de panoramique et de travelling latéral on va dire, sur ce coup ce n'est pas ce que j'ai en tête. Perso je parle d'un 360° dans une scène donnée, et seuls quelques éléments changent au gré des rotations.
Pour le dire autrement, imaginons-nous sur une scène de théâtre, face à la salle. En tournant on va voir la cour, le lointain, le jardin, la face, et ça recommence. À chaque tour les choses peuvent changer, un personnage rentre, sort, agitation dans les coulisses, les spectateurs eux-mêmes, etc. On peut même imaginer qu'aucun retour en arrière n'est possible, par exemple qu'à chaque tour (ou même en va-et-vient) des éléments changent, que la pièce se joue sous nos yeux, avec nous comme personnage centrale.
Le genre de la publicité avec les 4 saisons de Vivaldi, il y à le décor et l'âge des personnages qui changent à chaque tours
Bour-Brown
£g a écrit ( 508a26dd$0$3110$ )
Le genre de la publicité avec les 4 saisons de Vivaldi, il y à le décor et l'âge des personnages qui changent à chaque tours
Euh, si tu penses à ça : http://www.youtube.com/watch?v=DtHyWtyggK4
c'est un travelling latéral et du Chostakovitch, je pense.
N'importe comment, dans mon esprit le passage du temps serait plus anecdotique, je pense davantage à « Fenêtre sur cour », un film de Hitchcock dans lequel l'observateur est assigné à une place unique et résout un puzzle policier à partir des seules bribes disponibles.
£g a écrit
( 508a26dd$0$3110$ba620e4c@news.skynet.be )
Le genre de la publicité avec les 4 saisons de Vivaldi, il y à le décor et
l'âge des personnages qui changent à chaque tours
Euh, si tu penses à ça :
http://www.youtube.com/watch?v=DtHyWtyggK4
c'est un travelling latéral et du Chostakovitch, je pense.
N'importe comment, dans mon esprit le passage du temps serait plus
anecdotique, je pense davantage à « Fenêtre sur cour », un film de Hitchcock
dans lequel l'observateur est assigné à une place unique et résout un puzzle
policier à partir des seules bribes disponibles.
Le genre de la publicité avec les 4 saisons de Vivaldi, il y à le décor et l'âge des personnages qui changent à chaque tours
Euh, si tu penses à ça : http://www.youtube.com/watch?v=DtHyWtyggK4
c'est un travelling latéral et du Chostakovitch, je pense.
N'importe comment, dans mon esprit le passage du temps serait plus anecdotique, je pense davantage à « Fenêtre sur cour », un film de Hitchcock dans lequel l'observateur est assigné à une place unique et résout un puzzle policier à partir des seules bribes disponibles.
MELMOTH
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le vendredi 26/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <508a357c$0$23451$, les doux mélismes suivants :
Euh, si tu penses à ça : http://www.youtube.com/watch?v=DtHyWtyggK4
c'est un travelling latéral et du Chostakovitch, je pense.
Deuxième valse d'icelui, effectivement...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le vendredi
26/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<508a357c$0$23451$ba4acef3@reader.news.orange.fr>, les doux mélismes
suivants :
Euh, si tu penses à ça :
http://www.youtube.com/watch?v=DtHyWtyggK4
c'est un travelling latéral et du Chostakovitch, je pense.
Deuxième valse d'icelui, effectivement...
--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant
Ce cher mammifère du nom de Bour-Brown nous susurrait, le vendredi 26/10/2012, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans le message <508a357c$0$23451$, les doux mélismes suivants :
Euh, si tu penses à ça : http://www.youtube.com/watch?v=DtHyWtyggK4
c'est un travelling latéral et du Chostakovitch, je pense.
Deuxième valse d'icelui, effectivement...
-- Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui accroît sa science accroît sa douleur. [Ecclésiaste, 1-18] MELMOTH - souffrant