Fausse adresse pour inscription a l'ecole primaire
85 réponses
Isabelle Sabatier
Bonjour,
Ma fille est confrontée à l'école à des problèmes récurrents de violence
depuis 2 ans qui semblent quasi-impossible à résoudre.
Nous habitons à la limite de deux villages. Nous aimerions la mettre dans
l'école de l'autre village, malheureusement les dérogations sont bloquées.
N'ayant plus grand chose à perdre vue la situation, nous envisageons de
l'inscrire dans l'école de l'autre commune en donnant une adresse à 200m de
chez nous mais sur l'autre commune et qui a l'avantage de ne pas avoir de
problème de courrier, c'est le même facteur.
1. Y a t-il un risque pénal ou juridique (en clair, que risquons-nous dans
le pire des cas) ?
2. Est-ce faisable ou avons nous oublié quelque chose d'important ? Tout
retour d'expérience nous serait très utile.
NB: Les autres parents confrontés au même problème ont mis leurs enfants
dans le privée, mais pour nous c'est loin, cher, et pas forcément dans nos
idées. Sans parler des places au compte-gouttes.
Le Tue, 3 Oct 2006 14:50:17 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle Sabatier" a écrit :
> Si l'école ne marche pas bien à votre goût, battez-vous pour qu'elle ait > les moyens de remplir sa mission, pour tous.
L'école dont nous dépendons ne manque d'aucun moyen, tout le budget municipal y passe. Aucune imigration, pas de cité mais des champs. C'est avant tout un problème de mentalité, et au risque de me répéter l'absence de contre-pouvoir qui peut dans certains cas conduire à des abus et à des excès. Les enseignants sont des humains, ni plus, ni moins. L'infaillibilité, c'est réservé au pape, non ? Le point où je vous rejoinds, c'est que la part de résponsabilité des parents est aussi grande que celle des enseignants. Mais justement, quand les enseignants ne régulent plus, c'est le chaos, et c'est ce que ma fille subit. Alors qu'on nous laisse partir, de préférence pas comme des voleurs
Et votre fille est la seule dans ce cas ?
N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
-- DC Débuts dans les groupes -> <news:fr.bienvenue> Pour en savoir plus -> <url:http://www.usenet-fr.net> Rédiger agréablement -> <url:http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html>
Le Tue, 3 Oct 2006 14:50:17 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle
Sabatier" <isabelle.nospam.sabatier@wanadoo.fr> a écrit :
> Si l'école ne marche pas bien à votre goût, battez-vous pour qu'elle ait
> les moyens de remplir sa mission, pour tous.
L'école dont nous dépendons ne manque d'aucun moyen, tout le budget
municipal y passe.
Aucune imigration, pas de cité mais des champs.
C'est avant tout un problème de mentalité, et au risque de me répéter
l'absence de contre-pouvoir qui peut dans certains cas conduire à des abus
et à des excès. Les enseignants sont des humains, ni plus, ni moins.
L'infaillibilité, c'est réservé au pape, non ?
Le point où je vous rejoinds, c'est que la part de résponsabilité des
parents est aussi grande que celle des enseignants. Mais justement, quand
les enseignants ne régulent plus, c'est le chaos, et c'est ce que ma fille
subit. Alors qu'on nous laisse partir, de préférence pas comme des voleurs
Et votre fille est la seule dans ce cas ?
N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
--
DC
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Le Tue, 3 Oct 2006 14:50:17 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle Sabatier" a écrit :
> Si l'école ne marche pas bien à votre goût, battez-vous pour qu'elle ait > les moyens de remplir sa mission, pour tous.
L'école dont nous dépendons ne manque d'aucun moyen, tout le budget municipal y passe. Aucune imigration, pas de cité mais des champs. C'est avant tout un problème de mentalité, et au risque de me répéter l'absence de contre-pouvoir qui peut dans certains cas conduire à des abus et à des excès. Les enseignants sont des humains, ni plus, ni moins. L'infaillibilité, c'est réservé au pape, non ? Le point où je vous rejoinds, c'est que la part de résponsabilité des parents est aussi grande que celle des enseignants. Mais justement, quand les enseignants ne régulent plus, c'est le chaos, et c'est ce que ma fille subit. Alors qu'on nous laisse partir, de préférence pas comme des voleurs
Et votre fille est la seule dans ce cas ?
N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
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Isabelle Sabatier
> Les contrats d'association avec le privé ont pu avoir une justification au moment du baby-boom, quand il s'agissait d'accueillir des élèves dans des écoles qui n'existaient pas, l'argent des contribuables ayant été gaspillé durant les années 50 dans des guerres coloniales en Indochine et en Algérie.
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les autres professions il existera un vrai contre-pouvoir. Pour l'instant, l'unique contre pouvoir, c'est le privé. Heureusement que cette soupape de sécurité existe, dans certaines situations ce n'est pas du luxe. Si la carte scolaire s'assouplit, le privé perdra une bonne partie de son intérêt, et on s'approchera peut-être un peu de l'idéal républicain.
Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça, portez plainte devant la justice.
C'est à l'échelle d'enfants de cet age. Pas de viol ou de racket. C'est la parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la cours n'est quasiment pas surveillée : les instits discutent en se regardant, il y a beaucoup d'angles morts. Vous ne connaissez sans doute pas le monde du travail, mais les cas de harcellement, pourtant fréquents sont toujours très difficile à prouver devant la justice, pourtant ce sont des adultes. Alors quand se sont des enfants...
> Les contrats d'association avec le privé ont pu avoir une justification
au moment du baby-boom, quand il s'agissait d'accueillir des élèves dans
des écoles qui n'existaient pas, l'argent des contribuables ayant été
gaspillé durant les années 50 dans des guerres coloniales en Indochine
et en Algérie.
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les autres
professions il existera un vrai contre-pouvoir. Pour l'instant, l'unique
contre pouvoir, c'est le privé. Heureusement que cette soupape de sécurité
existe, dans certaines situations ce n'est pas du luxe. Si la carte scolaire
s'assouplit, le privé perdra une bonne partie de son intérêt, et on
s'approchera peut-être un peu de l'idéal républicain.
Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la
terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça,
portez plainte devant la justice.
C'est à l'échelle d'enfants de cet age. Pas de viol ou de racket. C'est la
parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la cours n'est
quasiment pas surveillée : les instits discutent en se regardant, il y a
beaucoup d'angles morts.
Vous ne connaissez sans doute pas le monde du travail, mais les cas de
harcellement, pourtant fréquents sont toujours très difficile à prouver
devant la justice, pourtant ce sont des adultes. Alors quand se sont des
enfants...
> Les contrats d'association avec le privé ont pu avoir une justification au moment du baby-boom, quand il s'agissait d'accueillir des élèves dans des écoles qui n'existaient pas, l'argent des contribuables ayant été gaspillé durant les années 50 dans des guerres coloniales en Indochine et en Algérie.
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les autres professions il existera un vrai contre-pouvoir. Pour l'instant, l'unique contre pouvoir, c'est le privé. Heureusement que cette soupape de sécurité existe, dans certaines situations ce n'est pas du luxe. Si la carte scolaire s'assouplit, le privé perdra une bonne partie de son intérêt, et on s'approchera peut-être un peu de l'idéal républicain.
Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça, portez plainte devant la justice.
C'est à l'échelle d'enfants de cet age. Pas de viol ou de racket. C'est la parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la cours n'est quasiment pas surveillée : les instits discutent en se regardant, il y a beaucoup d'angles morts. Vous ne connaissez sans doute pas le monde du travail, mais les cas de harcellement, pourtant fréquents sont toujours très difficile à prouver devant la justice, pourtant ce sont des adultes. Alors quand se sont des enfants...
Isabelle Sabatier
> Et votre fille est la seule dans ce cas ?
N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
Que non. L'effectif à baissé de 30% en 3 ans alors que la population globale augmente, et d'après mes estimations les enfants scolarisés dans cette école représente moins de la moitié des enfants habitants la commune. A chaque fois c'est pareil, la 1ere année on se laisse surprendre, on reste là 2eme année en se disant qu'on a vraiment pas eu de chance la 1ere année, et la 3eme on devient réaliste et on cherche un point de chute.
> Et votre fille est la seule dans ce cas ?
N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
Que non. L'effectif à baissé de 30% en 3 ans alors que la population globale
augmente, et d'après mes estimations les enfants scolarisés dans cette école
représente moins de la moitié des enfants habitants la commune. A chaque
fois c'est pareil, la 1ere année on se laisse surprendre, on reste là 2eme
année en se disant qu'on a vraiment pas eu de chance la 1ere année, et la
3eme on devient réaliste et on cherche un point de chute.
N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
Que non. L'effectif à baissé de 30% en 3 ans alors que la population globale augmente, et d'après mes estimations les enfants scolarisés dans cette école représente moins de la moitié des enfants habitants la commune. A chaque fois c'est pareil, la 1ere année on se laisse surprendre, on reste là 2eme année en se disant qu'on a vraiment pas eu de chance la 1ere année, et la 3eme on devient réaliste et on cherche un point de chute.
Didier Cuidet
Le Tue, 3 Oct 2006 15:14:16 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle Sabatier" a écrit :
> Et votre fille est la seule dans ce cas ? > > N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
Que non. L'effectif à baissé de 30% en 3 ans alors que la population globale augmente, et d'après mes estimations les enfants scolarisés dans cette école représente moins de la moitié des enfants habitants la commune. A chaque fois c'est pareil, la 1ere année on se laisse surprendre, on reste là 2eme année en se disant qu'on a vraiment pas eu de chance la 1ere année, et la 3eme on devient réaliste et on cherche un point de chute.
C'est bien ce que je pointais.
Chacun cherche à tirer son épingle du jeu individuellement, et c'est l'école de tous qui en pâtit.
Pourquoi ne pas vous regrouper, et aller interpeller la hiérarchie ?
Mais avec des faits, pas avec des on-dit et des racontars de caniveau.
-- DC Débuts dans les groupes -> <news:fr.bienvenue> Pour en savoir plus -> <url:http://www.usenet-fr.net> Rédiger agréablement -> <url:http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html>
Le Tue, 3 Oct 2006 15:14:16 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle
Sabatier" <isabelle.nospam.sabatier@wanadoo.fr> a écrit :
> Et votre fille est la seule dans ce cas ?
>
> N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
Que non. L'effectif à baissé de 30% en 3 ans alors que la population globale
augmente, et d'après mes estimations les enfants scolarisés dans cette école
représente moins de la moitié des enfants habitants la commune. A chaque
fois c'est pareil, la 1ere année on se laisse surprendre, on reste là 2eme
année en se disant qu'on a vraiment pas eu de chance la 1ere année, et la
3eme on devient réaliste et on cherche un point de chute.
C'est bien ce que je pointais.
Chacun cherche à tirer son épingle du jeu individuellement, et c'est
l'école de tous qui en pâtit.
Pourquoi ne pas vous regrouper, et aller interpeller la hiérarchie ?
Mais avec des faits, pas avec des on-dit et des racontars de caniveau.
--
DC
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Rédiger agréablement -> <url:http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html>
Le Tue, 3 Oct 2006 15:14:16 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle Sabatier" a écrit :
> Et votre fille est la seule dans ce cas ? > > N'y a-t-il pas d'autres familles dans la même situation ?
Que non. L'effectif à baissé de 30% en 3 ans alors que la population globale augmente, et d'après mes estimations les enfants scolarisés dans cette école représente moins de la moitié des enfants habitants la commune. A chaque fois c'est pareil, la 1ere année on se laisse surprendre, on reste là 2eme année en se disant qu'on a vraiment pas eu de chance la 1ere année, et la 3eme on devient réaliste et on cherche un point de chute.
C'est bien ce que je pointais.
Chacun cherche à tirer son épingle du jeu individuellement, et c'est l'école de tous qui en pâtit.
Pourquoi ne pas vous regrouper, et aller interpeller la hiérarchie ?
Mais avec des faits, pas avec des on-dit et des racontars de caniveau.
-- DC Débuts dans les groupes -> <news:fr.bienvenue> Pour en savoir plus -> <url:http://www.usenet-fr.net> Rédiger agréablement -> <url:http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html>
djeel
ced wrote:
Pour ma part, il m'a fallu moins de 10 minutes au téléphone pour convaincre l'inspecteur d'académie qui avait pourtant encore moins de raisons que le maire d'accéder à ma demande puisque je ne suis même pas un électeur potentiels pour lui.
Quel talent ! Et quels étaient donc tes arguments ?
Alors oui, il faut que ça bouge, mais en attendant ma décision a été que ma fille ne subirait pas une année de plus le genre d'attitude laxiste et totalement navrante qui a été celle de la quasi totalité des gens qui étaient censés la prendre en charge durant sa maternelle.
Pour ce que tu décris, un seul responsable : l'inspecteur d'académie ! ;-)))
-- Djeel
ced wrote:
Pour ma part, il m'a fallu moins de 10
minutes au téléphone pour convaincre l'inspecteur d'académie qui
avait pourtant encore moins de raisons que le maire d'accéder à ma
demande puisque je ne suis même pas un électeur potentiels pour lui.
Quel talent !
Et quels étaient donc tes arguments ?
Alors oui, il faut que ça bouge, mais en attendant ma décision a été
que ma fille ne subirait pas une année de plus le genre d'attitude
laxiste et totalement navrante qui a été celle de la quasi totalité
des gens qui étaient censés la prendre en charge durant sa
maternelle.
Pour ce que tu décris, un seul responsable : l'inspecteur d'académie !
;-)))
Pour ma part, il m'a fallu moins de 10 minutes au téléphone pour convaincre l'inspecteur d'académie qui avait pourtant encore moins de raisons que le maire d'accéder à ma demande puisque je ne suis même pas un électeur potentiels pour lui.
Quel talent ! Et quels étaient donc tes arguments ?
Alors oui, il faut que ça bouge, mais en attendant ma décision a été que ma fille ne subirait pas une année de plus le genre d'attitude laxiste et totalement navrante qui a été celle de la quasi totalité des gens qui étaient censés la prendre en charge durant sa maternelle.
Pour ce que tu décris, un seul responsable : l'inspecteur d'académie ! ;-)))
-- Djeel
pioche encore
Didier Cuidet a écrit :
[...]
Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça, portez plainte devant la justice.
La "dernière fois" j'avais demandé à M Cuidet s'il avait des enfants scolarisés. J'avoue c'est de la simple curiosité mais il ne me semble pas qu'il ait répondu. Mais a voir son avis bien tranché sur le sujet on se dit qu'il a forcément matière à donner des leçons.
Didier Cuidet a écrit :
[...]
Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la
terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça,
portez plainte devant la justice.
La "dernière fois" j'avais demandé à M Cuidet s'il avait des enfants
scolarisés.
J'avoue c'est de la simple curiosité mais il ne me semble pas qu'il
ait répondu.
Mais a voir son avis bien tranché sur le sujet on se dit qu'il a
forcément matière à donner des leçons.
Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça, portez plainte devant la justice.
La "dernière fois" j'avais demandé à M Cuidet s'il avait des enfants scolarisés. J'avoue c'est de la simple curiosité mais il ne me semble pas qu'il ait répondu. Mais a voir son avis bien tranché sur le sujet on se dit qu'il a forcément matière à donner des leçons.
Isabelle Sabatier
> Pourquoi ne pas vous regrouper, et aller interpeller la hiérarchie ?
Mais avec des faits, pas avec des on-dit et des racontars de caniveau.
Les faits, c'est la parole d'enfants contre celle d'autres enfants. Il n'y a pas de Webcam, encore moins de témoignages d'adultes. Les instits sont indéboulonables, à part s'ils font quelque chose de très grave. Ce dont vous ne vous rendez pas compte, c'est que les parents vivent cela dans une grande solitude, presque dans la honte. Nous ne sommes pas du tout dans l'esprit de faire un sondage, ce serait plutôt l'omerta. A chaque rentrée on constate les départs, point. Ce qui complique encore plus, c'est que certains parents sont contents de l'école, tout simplement parce que leurs enfants ne sont pas dans le colimateur des terreurs et qu'ils n'ont pas un référentiel très clair, sans compter les famille des terreurs elles-mêmes. Donc c'est difficile d'être crédible quand les mécontents représentent peut-être 30 à 40% des effectifs. C'est en tout cas la ligne de défence de la directrice.
> Pourquoi ne pas vous regrouper, et aller interpeller la hiérarchie ?
Mais avec des faits, pas avec des on-dit et des racontars de caniveau.
Les faits, c'est la parole d'enfants contre celle d'autres enfants. Il n'y a
pas de Webcam, encore moins de témoignages d'adultes.
Les instits sont indéboulonables, à part s'ils font quelque chose de très
grave.
Ce dont vous ne vous rendez pas compte, c'est que les parents vivent cela
dans une grande solitude, presque dans la honte. Nous ne sommes pas du tout
dans l'esprit de faire un sondage, ce serait plutôt l'omerta. A chaque
rentrée on constate les départs, point.
Ce qui complique encore plus, c'est que certains parents sont contents de
l'école, tout simplement parce que leurs enfants ne sont pas dans le
colimateur des terreurs et qu'ils n'ont pas un référentiel très clair, sans
compter les famille des terreurs elles-mêmes. Donc c'est difficile d'être
crédible quand les mécontents représentent peut-être 30 à 40% des effectifs.
C'est en tout cas la ligne de défence de la directrice.
> Pourquoi ne pas vous regrouper, et aller interpeller la hiérarchie ?
Mais avec des faits, pas avec des on-dit et des racontars de caniveau.
Les faits, c'est la parole d'enfants contre celle d'autres enfants. Il n'y a pas de Webcam, encore moins de témoignages d'adultes. Les instits sont indéboulonables, à part s'ils font quelque chose de très grave. Ce dont vous ne vous rendez pas compte, c'est que les parents vivent cela dans une grande solitude, presque dans la honte. Nous ne sommes pas du tout dans l'esprit de faire un sondage, ce serait plutôt l'omerta. A chaque rentrée on constate les départs, point. Ce qui complique encore plus, c'est que certains parents sont contents de l'école, tout simplement parce que leurs enfants ne sont pas dans le colimateur des terreurs et qu'ils n'ont pas un référentiel très clair, sans compter les famille des terreurs elles-mêmes. Donc c'est difficile d'être crédible quand les mécontents représentent peut-être 30 à 40% des effectifs. C'est en tout cas la ligne de défence de la directrice.
djeel
Isabelle Sabatier wrote:
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les autres professions il existera un vrai contre-pouvoir. Pour l'instant, l'unique contre pouvoir, c'est le privé.
Il y a ... les parents ! Il y a un Conseil d'école avec des parents élus, il y a un inspecteur de l'Education Nationale, supérieur hiérarchique des enseignants de ton école, il y a des associations de parents d'élèves, il y a un Inspecteur d'académie, directeur des services départementaux de l'Education nationale, ...
C'est la parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la cours n'est quasiment pas surveillée : les instits discutent en se regardant, il y a beaucoup d'angles morts.
Voir plus haut, les instits ne peuvent faire n'importe quoi !
-- Djeel
Isabelle Sabatier wrote:
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les
autres professions il existera un vrai contre-pouvoir. Pour
l'instant, l'unique contre pouvoir, c'est le privé.
Il y a ... les parents !
Il y a un Conseil d'école avec des parents élus, il y a un inspecteur de
l'Education Nationale, supérieur hiérarchique des enseignants de ton école,
il y a des associations de parents d'élèves, il y a un Inspecteur
d'académie, directeur des services départementaux de l'Education nationale,
...
C'est la parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la
cours n'est quasiment pas surveillée : les instits discutent en se
regardant, il y a beaucoup d'angles morts.
Voir plus haut, les instits ne peuvent faire n'importe quoi !
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les autres professions il existera un vrai contre-pouvoir. Pour l'instant, l'unique contre pouvoir, c'est le privé.
Il y a ... les parents ! Il y a un Conseil d'école avec des parents élus, il y a un inspecteur de l'Education Nationale, supérieur hiérarchique des enseignants de ton école, il y a des associations de parents d'élèves, il y a un Inspecteur d'académie, directeur des services départementaux de l'Education nationale, ...
C'est la parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la cours n'est quasiment pas surveillée : les instits discutent en se regardant, il y a beaucoup d'angles morts.
Voir plus haut, les instits ne peuvent faire n'importe quoi !
-- Djeel
Didier Cuidet
Le Tue, 3 Oct 2006 15:03:58 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle Sabatier" a écrit :
> Les contrats d'association avec le privé ont pu avoir une justification > au moment du baby-boom, quand il s'agissait d'accueillir des élèves dans > des écoles qui n'existaient pas, l'argent des contribuables ayant été > gaspillé durant les années 50 dans des guerres coloniales en Indochine > et en Algérie.
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les autres professions il existera un vrai contre-pouvoir.
L'école n'est pas un pouvoir, c'est un service public. Il ne peut exister de contre service public.
Pour l'instant, l'unique contre pouvoir, c'est le privé.
Ce n'est pas un contre pouvoir, c'est l'expression du refus de l'appartenance à la communauté nationale.
Heureusement que cette soupape de sécurité existe, dans certaines situations ce n'est pas du luxe.
Si, c'est un luxe payé avec l'argent de tous les contribuables au profit d'une minorité.
Si la carte scolaire s'assouplit, le privé perdra une bonne partie de son intérêt, et on s'approchera peut-être un peu de l'idéal républicain.
Si la carte scolaire disparaît, ceux qui en auront les moyens et le temps pourront déplacer leurs enfants vers des écoles à tort ou à raison bien cotées, et les autres continueront à ne pas avoir le choix.
À moins que les parents du 9-3 se cotisent pour payer des cars afin de conduire leurs enfants dans les écoles de Neuilly (sur Seine, pas Plaisance).
> Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la > terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça, > portez plainte devant la justice.
C'est à l'échelle d'enfants de cet age. Pas de viol ou de racket. C'est la parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la cours n'est quasiment pas surveillée : les instits discutent en se regardant, il y a beaucoup d'angles morts.
C'est pourtant une de leurs fonctions.
Avez-vous consulté le rapport Baldet ? <URL:http://www.defenseurdesenfants.fr/pdf/rapport_baldet.pdf>
Vous ne connaissez sans doute pas le monde du travail, mais les cas de harcellement, pourtant fréquents sont toujours très difficile à prouver devant la justice, pourtant ce sont des adultes. Alors quand se sont des enfants...
Ce n'est pas une raison pour ne pas porter plainte.
Et si vous souhaitez changer votre enfant d'école, vous pourrez argumenter que c'est nécessaire pour éviter que votre enfant ne subisse des représailles.
Profitez-en pour alerter la presse, les associations de parents d'élèves, de protection de l'enfance, produisez des certificats de pédo-psychiâtres qui attesteront qu'il est impossible que votre enfant continue à être scolarisé dans ces conditions...
Foutez la merde.
Ce sera mieux si tous les parents qui ont usé de subterfuges vous soutiennent.
-- DC Débuts dans les groupes -> <news:fr.bienvenue> Pour en savoir plus -> <url:http://www.usenet-fr.net> Rédiger agréablement -> <url:http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html>
Le Tue, 3 Oct 2006 15:03:58 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle
Sabatier" <isabelle.nospam.sabatier@wanadoo.fr> a écrit :
> Les contrats d'association avec le privé ont pu avoir une justification
> au moment du baby-boom, quand il s'agissait d'accueillir des élèves dans
> des écoles qui n'existaient pas, l'argent des contribuables ayant été
> gaspillé durant les années 50 dans des guerres coloniales en Indochine
> et en Algérie.
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les autres
professions il existera un vrai contre-pouvoir.
L'école n'est pas un pouvoir, c'est un service public. Il ne peut
exister de contre service public.
Pour l'instant, l'unique contre pouvoir, c'est le privé.
Ce n'est pas un contre pouvoir, c'est l'expression du refus de
l'appartenance à la communauté nationale.
Heureusement que cette soupape de sécurité
existe, dans certaines situations ce n'est pas du luxe.
Si, c'est un luxe payé avec l'argent de tous les contribuables au profit
d'une minorité.
Si la carte scolaire
s'assouplit, le privé perdra une bonne partie de son intérêt, et on
s'approchera peut-être un peu de l'idéal républicain.
Si la carte scolaire disparaît, ceux qui en auront les moyens et le
temps pourront déplacer leurs enfants vers des écoles à tort ou à raison
bien cotées, et les autres continueront à ne pas avoir le choix.
À moins que les parents du 9-3 se cotisent pour payer des cars afin de
conduire leurs enfants dans les écoles de Neuilly (sur Seine, pas
Plaisance).
> Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la
> terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça,
> portez plainte devant la justice.
C'est à l'échelle d'enfants de cet age. Pas de viol ou de racket. C'est la
parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la cours n'est
quasiment pas surveillée : les instits discutent en se regardant, il y a
beaucoup d'angles morts.
C'est pourtant une de leurs fonctions.
Avez-vous consulté le rapport Baldet ?
<URL:http://www.defenseurdesenfants.fr/pdf/rapport_baldet.pdf>
Vous ne connaissez sans doute pas le monde du travail, mais les cas de
harcellement, pourtant fréquents sont toujours très difficile à prouver
devant la justice, pourtant ce sont des adultes. Alors quand se sont des
enfants...
Ce n'est pas une raison pour ne pas porter plainte.
Et si vous souhaitez changer votre enfant d'école, vous pourrez
argumenter que c'est nécessaire pour éviter que votre enfant ne subisse
des représailles.
Profitez-en pour alerter la presse, les associations de parents
d'élèves, de protection de l'enfance, produisez des certificats de
pédo-psychiâtres qui attesteront qu'il est impossible que votre enfant
continue à être scolarisé dans ces conditions...
Foutez la merde.
Ce sera mieux si tous les parents qui ont usé de subterfuges vous
soutiennent.
--
DC
Débuts dans les groupes -> <news:fr.bienvenue>
Pour en savoir plus -> <url:http://www.usenet-fr.net>
Rédiger agréablement -> <url:http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html>
Le Tue, 3 Oct 2006 15:03:58 +0200, dans fr.education.divers, "Isabelle Sabatier" a écrit :
> Les contrats d'association avec le privé ont pu avoir une justification > au moment du baby-boom, quand il s'agissait d'accueillir des élèves dans > des écoles qui n'existaient pas, l'argent des contribuables ayant été > gaspillé durant les années 50 dans des guerres coloniales en Indochine > et en Algérie.
D'accord pour interdire le privée le jour où, comme dans toutes les autres professions il existera un vrai contre-pouvoir.
L'école n'est pas un pouvoir, c'est un service public. Il ne peut exister de contre service public.
Pour l'instant, l'unique contre pouvoir, c'est le privé.
Ce n'est pas un contre pouvoir, c'est l'expression du refus de l'appartenance à la communauté nationale.
Heureusement que cette soupape de sécurité existe, dans certaines situations ce n'est pas du luxe.
Si, c'est un luxe payé avec l'argent de tous les contribuables au profit d'une minorité.
Si la carte scolaire s'assouplit, le privé perdra une bonne partie de son intérêt, et on s'approchera peut-être un peu de l'idéal républicain.
Si la carte scolaire disparaît, ceux qui en auront les moyens et le temps pourront déplacer leurs enfants vers des écoles à tort ou à raison bien cotées, et les autres continueront à ne pas avoir le choix.
À moins que les parents du 9-3 se cotisent pour payer des cars afin de conduire leurs enfants dans les écoles de Neuilly (sur Seine, pas Plaisance).
> Vous prétendez dans votre premier message que certains font régner la > terreur dans l'école. Si vous avez des raisons objectives d'affirmer ça, > portez plainte devant la justice.
C'est à l'échelle d'enfants de cet age. Pas de viol ou de racket. C'est la parole d'enfants contre celles d'autres enfants puisque la cours n'est quasiment pas surveillée : les instits discutent en se regardant, il y a beaucoup d'angles morts.
C'est pourtant une de leurs fonctions.
Avez-vous consulté le rapport Baldet ? <URL:http://www.defenseurdesenfants.fr/pdf/rapport_baldet.pdf>
Vous ne connaissez sans doute pas le monde du travail, mais les cas de harcellement, pourtant fréquents sont toujours très difficile à prouver devant la justice, pourtant ce sont des adultes. Alors quand se sont des enfants...
Ce n'est pas une raison pour ne pas porter plainte.
Et si vous souhaitez changer votre enfant d'école, vous pourrez argumenter que c'est nécessaire pour éviter que votre enfant ne subisse des représailles.
Profitez-en pour alerter la presse, les associations de parents d'élèves, de protection de l'enfance, produisez des certificats de pédo-psychiâtres qui attesteront qu'il est impossible que votre enfant continue à être scolarisé dans ces conditions...
Foutez la merde.
Ce sera mieux si tous les parents qui ont usé de subterfuges vous soutiennent.
-- DC Débuts dans les groupes -> <news:fr.bienvenue> Pour en savoir plus -> <url:http://www.usenet-fr.net> Rédiger agréablement -> <url:http://www.usenet-fr.net/fur/usenet/repondre-sur-usenet.html>
ced
> Quel talent ! Et quels étaient donc tes arguments ?
non désolé, ne cherche pas à détourner ce que j'écris. Je ne m'auto-congratule pas d'être un bon orateur (ce que je ne suis pas du tout) mais je voulais dire qu'un argument qu'une personne passe 5 mois à refouler (en douce puisque comme j'ai dit de visu c'était plutot oui et par lettre plutot non) peut faire mouche chez quelqu'un d'autre (et je n'avais pas changé d'argument entre-temps. Je disais juste ça pour l'auteur intial du fil de discussion, pour qu'elle ne s'arrête pas qu'à un avis.
Pour ce que tu décris, un seul responsable : l'inspecteur d'académie !
oui enfin, c'est un peu simple comme raisonnement. Quand je vois une institutrice qui, habitant à seulement quelques kilomètres de sa classe arrive plusieurs jours avec UNE à PLUSIEURS HEURES de retard à cause d'un probleme de voiture (et pas PLUSIEURS problemes jours apres jours non.. juste UN probleme mais faire des efforts pour venir au boulto n'était pas dans sa nature), que la malheureuse a attrapé une série de rhumes malencontreux qui tombaient tous le vendredi matin (c'est bien les W.E. de 3 jours quand le lundi on est arrivé au boulot à 14 h...) et enfin que cette personne ne fichait RIEN en classe (et c'est peu de le dire) si ce n'est de gronder par intermittence car les enfants à cet age ça fait du bruit ( étonnant comme constant non ?) Ceci dit, je ne défend pas spécialement l'inspecteur et nous avons bien sur contacté ce dernier à plusieurs reprises lors de cette année scolaire. Toujours est-il que c'était assez difficile car à chaque fois l'enseignant(e) était changé(e) et ça repartait de plus belle. Donc que l'inspecteur de "mène pas bien ses troupes" peut-être que oui, mais la mauvaise volonté individuelle au boulot de la part de personne assez tranquilles sur leur avenir est assez énervante quand il s'agit de nos enfants. -- Cédric (remplacer "myname" par "ced" pour me répondre par mail)
> Quel talent !
Et quels étaient donc tes arguments ?
non désolé, ne cherche pas à détourner ce que j'écris. Je ne
m'auto-congratule pas d'être un bon orateur (ce que je ne suis pas du
tout) mais je voulais dire qu'un argument qu'une personne passe 5 mois à
refouler (en douce puisque comme j'ai dit de visu c'était plutot oui et
par lettre plutot non) peut faire mouche chez quelqu'un d'autre (et je
n'avais pas changé d'argument entre-temps. Je disais juste ça pour
l'auteur intial du fil de discussion, pour qu'elle ne s'arrête pas qu'à
un avis.
Pour ce que tu décris, un seul responsable : l'inspecteur d'académie !
oui enfin, c'est un peu simple comme raisonnement. Quand je vois une
institutrice qui, habitant à seulement quelques kilomètres de sa classe
arrive plusieurs jours avec UNE à PLUSIEURS HEURES de retard à cause
d'un probleme de voiture (et pas PLUSIEURS problemes jours apres jours
non.. juste UN probleme mais faire des efforts pour venir au boulto
n'était pas dans sa nature), que la malheureuse a attrapé une série de
rhumes malencontreux qui tombaient tous le vendredi matin (c'est bien
les W.E. de 3 jours quand le lundi on est arrivé au boulot à 14 h...) et
enfin que cette personne ne fichait RIEN en classe (et c'est peu de le
dire) si ce n'est de gronder par intermittence car les enfants à cet age
ça fait du bruit ( étonnant comme constant non ?)
Ceci dit, je ne défend pas spécialement l'inspecteur et nous avons bien
sur contacté ce dernier à plusieurs reprises lors de cette année
scolaire. Toujours est-il que c'était assez difficile car à chaque fois
l'enseignant(e) était changé(e) et ça repartait de plus belle. Donc que
l'inspecteur de "mène pas bien ses troupes" peut-être que oui, mais la
mauvaise volonté individuelle au boulot de la part de personne assez
tranquilles sur leur avenir est assez énervante quand il s'agit de nos
enfants.
--
Cédric
(remplacer "myname" par "ced" pour me répondre par mail)
> Quel talent ! Et quels étaient donc tes arguments ?
non désolé, ne cherche pas à détourner ce que j'écris. Je ne m'auto-congratule pas d'être un bon orateur (ce que je ne suis pas du tout) mais je voulais dire qu'un argument qu'une personne passe 5 mois à refouler (en douce puisque comme j'ai dit de visu c'était plutot oui et par lettre plutot non) peut faire mouche chez quelqu'un d'autre (et je n'avais pas changé d'argument entre-temps. Je disais juste ça pour l'auteur intial du fil de discussion, pour qu'elle ne s'arrête pas qu'à un avis.
Pour ce que tu décris, un seul responsable : l'inspecteur d'académie !
oui enfin, c'est un peu simple comme raisonnement. Quand je vois une institutrice qui, habitant à seulement quelques kilomètres de sa classe arrive plusieurs jours avec UNE à PLUSIEURS HEURES de retard à cause d'un probleme de voiture (et pas PLUSIEURS problemes jours apres jours non.. juste UN probleme mais faire des efforts pour venir au boulto n'était pas dans sa nature), que la malheureuse a attrapé une série de rhumes malencontreux qui tombaient tous le vendredi matin (c'est bien les W.E. de 3 jours quand le lundi on est arrivé au boulot à 14 h...) et enfin que cette personne ne fichait RIEN en classe (et c'est peu de le dire) si ce n'est de gronder par intermittence car les enfants à cet age ça fait du bruit ( étonnant comme constant non ?) Ceci dit, je ne défend pas spécialement l'inspecteur et nous avons bien sur contacté ce dernier à plusieurs reprises lors de cette année scolaire. Toujours est-il que c'était assez difficile car à chaque fois l'enseignant(e) était changé(e) et ça repartait de plus belle. Donc que l'inspecteur de "mène pas bien ses troupes" peut-être que oui, mais la mauvaise volonté individuelle au boulot de la part de personne assez tranquilles sur leur avenir est assez énervante quand il s'agit de nos enfants. -- Cédric (remplacer "myname" par "ced" pour me répondre par mail)