Voici quelques questions concernant la table des partitions d'un disque:
_ cette table est-elle toujours écrit au début du disque ?
_ est-ce que son format dépend du système d'exploitation , y-a-t-il un
standard ?
_ le type d'OS que l'on voit quand on fait un fdisk est-il l'OS
réellement installé ou juste un tag indiqué dans la table des partitions ?
Bon, je me rends compte que mon argumentation est un peu bancale, donc je reprends à tête reposée.
D'une, Linux peut, autant que windows, s'installer sur un disque partitionné trivialement (une partition qui prend toute la place -- en fait, avec Linux, on pourrait même ne pas partitionner, mais ce ne serait pas une bonne idée). Mais on ne veut pas le faire : une partie importante des problèmes de windows provient justement du fait que son swap réside dans le filesystem. De même, séparer le système et les données personnelles est une la plupart du temps bonne idée. Donc quasiment aucune distribution ne fonctionne comme ça.
Effectivement, une distribution va demander à partitionner, donc.
Mais c'est un faux problème : ce partitionnement peut être fait de manière complètement automatique.
Tu te plains d'une mandrake qui choisit 1 Go de swap ; je me suis laissé avoir par ton ton scandalisé, mais à la réflexion je pense comme Michel Talon : c'est un chois parfaitement raisonnable. Pour deux raisons. D'une, il y a des applications, dans le domaine du multimédia par exemple, et pas seulement pour des informaticiens censés savoir configurer leur système, qui peuvent demander une grande quantité de mémoire virtuelle. De deux, une machine qui a 512 Mo de mémoire vive a probablement également un disque dur conséquent : investir 1 Go de ce disque pour augmenter les chances que tout fonctionne sans acroc est une idée tout à fait raisonnable. Après, il se peut que ton usage ne comporte pas ces applications gourmandes en mémoire, et que tu préfères plus de place sur disque dur, mais eh, c'est une installation automatique, elle doit marcher pour tout le monde. Dans ces conditions, telle que tu as décrit la situation, 1 Go me semble proche de l'optimal pour la taille du swap.
Donc des installations automatiques où la difficulté du partitionnement ne se pose pas, il en existe. Parfait.
Bon, je me rends compte que mon argumentation est un peu bancale, donc je
reprends à tête reposée.
D'une, Linux peut, autant que windows, s'installer sur un disque partitionné
trivialement (une partition qui prend toute la place -- en fait, avec Linux,
on pourrait même ne pas partitionner, mais ce ne serait pas une bonne idée).
Mais on ne veut pas le faire : une partie importante des problèmes de
windows provient justement du fait que son swap réside dans le filesystem.
De même, séparer le système et les données personnelles est une la plupart
du temps bonne idée. Donc quasiment aucune distribution ne fonctionne comme
ça.
Effectivement, une distribution va demander à partitionner, donc.
Mais c'est un faux problème : ce partitionnement peut être fait de manière
complètement automatique.
Tu te plains d'une mandrake qui choisit 1 Go de swap ; je me suis laissé
avoir par ton ton scandalisé, mais à la réflexion je pense comme Michel
Talon : c'est un chois parfaitement raisonnable. Pour deux raisons. D'une,
il y a des applications, dans le domaine du multimédia par exemple, et pas
seulement pour des informaticiens censés savoir configurer leur système, qui
peuvent demander une grande quantité de mémoire virtuelle. De deux, une
machine qui a 512 Mo de mémoire vive a probablement également un disque dur
conséquent : investir 1 Go de ce disque pour augmenter les chances que tout
fonctionne sans acroc est une idée tout à fait raisonnable. Après, il se
peut que ton usage ne comporte pas ces applications gourmandes en mémoire,
et que tu préfères plus de place sur disque dur, mais eh, c'est une
installation automatique, elle doit marcher pour tout le monde. Dans ces
conditions, telle que tu as décrit la situation, 1 Go me semble proche de
l'optimal pour la taille du swap.
Donc des installations automatiques où la difficulté du partitionnement ne
se pose pas, il en existe. Parfait.
Bon, je me rends compte que mon argumentation est un peu bancale, donc je reprends à tête reposée.
D'une, Linux peut, autant que windows, s'installer sur un disque partitionné trivialement (une partition qui prend toute la place -- en fait, avec Linux, on pourrait même ne pas partitionner, mais ce ne serait pas une bonne idée). Mais on ne veut pas le faire : une partie importante des problèmes de windows provient justement du fait que son swap réside dans le filesystem. De même, séparer le système et les données personnelles est une la plupart du temps bonne idée. Donc quasiment aucune distribution ne fonctionne comme ça.
Effectivement, une distribution va demander à partitionner, donc.
Mais c'est un faux problème : ce partitionnement peut être fait de manière complètement automatique.
Tu te plains d'une mandrake qui choisit 1 Go de swap ; je me suis laissé avoir par ton ton scandalisé, mais à la réflexion je pense comme Michel Talon : c'est un chois parfaitement raisonnable. Pour deux raisons. D'une, il y a des applications, dans le domaine du multimédia par exemple, et pas seulement pour des informaticiens censés savoir configurer leur système, qui peuvent demander une grande quantité de mémoire virtuelle. De deux, une machine qui a 512 Mo de mémoire vive a probablement également un disque dur conséquent : investir 1 Go de ce disque pour augmenter les chances que tout fonctionne sans acroc est une idée tout à fait raisonnable. Après, il se peut que ton usage ne comporte pas ces applications gourmandes en mémoire, et que tu préfères plus de place sur disque dur, mais eh, c'est une installation automatique, elle doit marcher pour tout le monde. Dans ces conditions, telle que tu as décrit la situation, 1 Go me semble proche de l'optimal pour la taille du swap.
Donc des installations automatiques où la difficulté du partitionnement ne se pose pas, il en existe. Parfait.
Jean-Louis Liagre
Nicolas George wrote:
D'une, Linux peut, autant que windows, s'installer sur un disque partitionné trivialement (une partition qui prend toute la place -- en fait, avec Linux, on pourrait même ne pas partitionner, mais ce ne serait pas une bonne idée). Mais on ne veut pas le faire : une partie importante des problèmes de windows provient justement du fait que son swap réside dans le filesystem. De même, séparer le système et les données personnelles est une la plupart du temps bonne idée. Donc quasiment aucune distribution ne fonctionne comme ça.
A l'origine le partitionnement d'un disque était conçu pour permettre d'y installer plusieurs O/S. Il était prévu qu'il ne devait y avoir qu'une seule partition par O/S. Liberté était laissée à l'O/S pour gérée sa partition, et en particulier d'y créer de nouvelles subdivisions.
Microsoft n'a pas compris les specs et a crée le système des partitions logiques ou étendues pour subdiviser une partition. Une installation MS prend donc normalement soit une, soit deux partitions primaires, sur les 4 disponibles.
Linux n'a pas non plus respecté ses specs (le fait que les specs de la table de partition n'étaient pas publiques n'a pas aidé), et a utilisé n'importe quelle partition primaire ou secondaire pour y mettre directement un file-system. L'ID de partition conçu à l'origine pour identifier l'O/S s'est transformé en identificateur de type de file-system. Ce genre de confusion n'a, par exemple, pas favorisé la cohabitation de Linux et Solaris, le même identifiant ayant été choisi pour Solaris et le swap linux, problème résolu depuis Solaris 10.
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les *BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
Nicolas George wrote:
D'une, Linux peut, autant que windows, s'installer sur un disque partitionné
trivialement (une partition qui prend toute la place -- en fait, avec Linux,
on pourrait même ne pas partitionner, mais ce ne serait pas une bonne idée).
Mais on ne veut pas le faire : une partie importante des problèmes de
windows provient justement du fait que son swap réside dans le filesystem.
De même, séparer le système et les données personnelles est une la plupart
du temps bonne idée. Donc quasiment aucune distribution ne fonctionne comme
ça.
A l'origine le partitionnement d'un disque était conçu pour permettre
d'y installer plusieurs O/S.
Il était prévu qu'il ne devait y avoir qu'une seule partition par O/S.
Liberté était laissée à l'O/S pour gérée sa partition, et en particulier
d'y créer de nouvelles subdivisions.
Microsoft n'a pas compris les specs et a crée le système des partitions
logiques ou étendues pour subdiviser une partition. Une installation
MS prend donc normalement soit une, soit deux partitions primaires,
sur les 4 disponibles.
Linux n'a pas non plus respecté ses specs (le fait que les specs
de la table de partition n'étaient pas publiques n'a pas aidé),
et a utilisé n'importe quelle partition primaire ou secondaire
pour y mettre directement un file-system.
L'ID de partition conçu à l'origine pour identifier l'O/S s'est
transformé en identificateur de type de file-system.
Ce genre de confusion n'a, par exemple, pas favorisé la
cohabitation de Linux et Solaris, le même identifiant ayant été
choisi pour Solaris et le swap linux, problème résolu depuis Solaris 10.
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les
*BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition
en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
D'une, Linux peut, autant que windows, s'installer sur un disque partitionné trivialement (une partition qui prend toute la place -- en fait, avec Linux, on pourrait même ne pas partitionner, mais ce ne serait pas une bonne idée). Mais on ne veut pas le faire : une partie importante des problèmes de windows provient justement du fait que son swap réside dans le filesystem. De même, séparer le système et les données personnelles est une la plupart du temps bonne idée. Donc quasiment aucune distribution ne fonctionne comme ça.
A l'origine le partitionnement d'un disque était conçu pour permettre d'y installer plusieurs O/S. Il était prévu qu'il ne devait y avoir qu'une seule partition par O/S. Liberté était laissée à l'O/S pour gérée sa partition, et en particulier d'y créer de nouvelles subdivisions.
Microsoft n'a pas compris les specs et a crée le système des partitions logiques ou étendues pour subdiviser une partition. Une installation MS prend donc normalement soit une, soit deux partitions primaires, sur les 4 disponibles.
Linux n'a pas non plus respecté ses specs (le fait que les specs de la table de partition n'étaient pas publiques n'a pas aidé), et a utilisé n'importe quelle partition primaire ou secondaire pour y mettre directement un file-system. L'ID de partition conçu à l'origine pour identifier l'O/S s'est transformé en identificateur de type de file-system. Ce genre de confusion n'a, par exemple, pas favorisé la cohabitation de Linux et Solaris, le même identifiant ayant été choisi pour Solaris et le swap linux, problème résolu depuis Solaris 10.
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les *BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
Hugues
Ce cher Eric Lévénez a dit :
Le but ici n'est pas de comparer un système contre un autre, c'est just e de voir si une fonctionnalité donnée (format des disques Mac) est utilis able directement et sans problème sur un système.
Je ne suis pas d'accord. Le fond du problème est de savoir si tel o u tel système sait gérer, du moins nativement, la fonctionnali té en question. Qu'elle soit activée ou non dans une distrib X ou Y, qu'il f aille ou non télécharger un soft A ou B pour pouvoir en profiter n'est PAS le problème. Or, c'est très justement de cette façon que tu détourn es le débat initial.
Et je n'ai jamais dit que le support des disques apple se faisait en un claquement de doigts. GNU/Linux n'est PAS MacOSX, pas plus qu'il n'est MS Windows. Il n'empeche qu'il sait, oui, il sait réellement, gérer les par titions Apple. Et ce sans avoir à acheter une sombre solution propriétaire paya nte qui marchotte dans certains cas bien particuliers (couleur du boîtier, pointu re de l'administrateur système, et nombre de cafés bus en moyenne le ma tin par l'utilisateur).
-- Hugues - Debianiste avant tout - http://www.nullpart.net/~hugues/Linux/
Ce cher Eric Lévénez <eric@levenez.com> a dit :
Le but ici n'est pas de comparer un système contre un autre, c'est just e de
voir si une fonctionnalité donnée (format des disques Mac) est utilis able
directement et sans problème sur un système.
Je ne suis pas d'accord. Le fond du problème est de savoir si tel o u tel
système sait gérer, du moins nativement, la fonctionnali té en
question. Qu'elle soit activée ou non dans une distrib X ou Y, qu'il f aille
ou non télécharger un soft A ou B pour pouvoir en profiter n'est PAS le
problème. Or, c'est très justement de cette façon que tu détourn es le débat
initial.
Et je n'ai jamais dit que le support des disques apple se faisait en un
claquement de doigts. GNU/Linux n'est PAS MacOSX, pas plus qu'il n'est MS
Windows.
Il n'empeche qu'il sait, oui, il sait réellement, gérer les par titions
Apple. Et ce sans avoir à acheter une sombre solution propriétaire paya nte qui
marchotte dans certains cas bien particuliers (couleur du boîtier, pointu re de
l'administrateur système, et nombre de cafés bus en moyenne le ma tin par
l'utilisateur).
--
Hugues - Debianiste avant tout - http://www.nullpart.net/~hugues/Linux/
Le but ici n'est pas de comparer un système contre un autre, c'est just e de voir si une fonctionnalité donnée (format des disques Mac) est utilis able directement et sans problème sur un système.
Je ne suis pas d'accord. Le fond du problème est de savoir si tel o u tel système sait gérer, du moins nativement, la fonctionnali té en question. Qu'elle soit activée ou non dans une distrib X ou Y, qu'il f aille ou non télécharger un soft A ou B pour pouvoir en profiter n'est PAS le problème. Or, c'est très justement de cette façon que tu détourn es le débat initial.
Et je n'ai jamais dit que le support des disques apple se faisait en un claquement de doigts. GNU/Linux n'est PAS MacOSX, pas plus qu'il n'est MS Windows. Il n'empeche qu'il sait, oui, il sait réellement, gérer les par titions Apple. Et ce sans avoir à acheter une sombre solution propriétaire paya nte qui marchotte dans certains cas bien particuliers (couleur du boîtier, pointu re de l'administrateur système, et nombre de cafés bus en moyenne le ma tin par l'utilisateur).
-- Hugues - Debianiste avant tout - http://www.nullpart.net/~hugues/Linux/
Paulette Dubois
Le 23 juin 2005, Eric Lévénez a écrit dans fr.comp.os.unix :
Un ordinateur prêt pour le desktop est un ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans prise de tête et sans connaissance particulière.
Non, ça c'est une machine à laver.
Le 23 juin 2005, Eric Lévénez a écrit dans fr.comp.os.unix :
Un ordinateur prêt pour le desktop est un
ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans
prise de tête et sans connaissance particulière.
Le 23 juin 2005, Eric Lévénez a écrit dans fr.comp.os.unix :
Un ordinateur prêt pour le desktop est un ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans prise de tête et sans connaissance particulière.
Non, ça c'est une machine à laver.
Paulette Dubois
Le 23 juin 2005, Eric Lévénez a écrit dans fr.comp.os.unix :
Tout comme 100 % des disques PC/Intel marchent par exemple sur Windows XP.
Encore une ânerie !
"Marchent" : je ne pense pas (pas sans hallucionogènes amha). "Fonctionnent" : c'est surrement exagéré (Ca implique de pouvoir lire et écrire les données). "Tournent" : OK.
Sauf votre respect, ce fils pourrait laisser penser que vous confondez : - l'architecture matèrielle ; - les noyaux des systèmes d'exploitations ; - les systèmes d'exploitation.
-- Je n'ai plus de lecteur de disquettes sur mon PC sous Linux. Linux ne sait DONC pas lire les disquettes. C'est un scandale !
Le 23 juin 2005, Eric Lévénez a écrit dans fr.comp.os.unix :
Tout comme 100 % des disques PC/Intel marchent par exemple
sur Windows XP.
Encore une ânerie !
"Marchent" : je ne pense pas (pas sans hallucionogènes amha).
"Fonctionnent" : c'est surrement exagéré (Ca implique de pouvoir lire et
écrire les données).
"Tournent" : OK.
Sauf votre respect, ce fils pourrait laisser penser que vous confondez :
- l'architecture matèrielle ;
- les noyaux des systèmes d'exploitations ;
- les systèmes d'exploitation.
--
Je n'ai plus de lecteur de disquettes sur mon PC sous Linux. Linux ne sait
DONC pas lire les disquettes. C'est un scandale !
Le 23 juin 2005, Eric Lévénez a écrit dans fr.comp.os.unix :
Tout comme 100 % des disques PC/Intel marchent par exemple sur Windows XP.
Encore une ânerie !
"Marchent" : je ne pense pas (pas sans hallucionogènes amha). "Fonctionnent" : c'est surrement exagéré (Ca implique de pouvoir lire et écrire les données). "Tournent" : OK.
Sauf votre respect, ce fils pourrait laisser penser que vous confondez : - l'architecture matèrielle ; - les noyaux des systèmes d'exploitations ; - les systèmes d'exploitation.
-- Je n'ai plus de lecteur de disquettes sur mon PC sous Linux. Linux ne sait DONC pas lire les disquettes. C'est un scandale !
Arnaud Launay
Le Mon, 27 Jun 2005 15:33:44 +0200, Paulette Dubois écrivit:
Un ordinateur prêt pour le desktop est un ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans prise de tête et sans connaissance particulière. Non, ça c'est une machine à laver.
L'ordinateur des femmes, avec le fer à repasser dans le rôle de la souris ?
Le Mon, 27 Jun 2005 15:33:44 +0200, Paulette Dubois écrivit:
Un ordinateur prêt pour le desktop est un
ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans
prise de tête et sans connaissance particulière.
Non, ça c'est une machine à laver.
L'ordinateur des femmes, avec le fer à repasser dans le rôle de
la souris ?
Le Mon, 27 Jun 2005 15:33:44 +0200, Paulette Dubois écrivit:
Un ordinateur prêt pour le desktop est un ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans prise de tête et sans connaissance particulière. Non, ça c'est une machine à laver.
L'ordinateur des femmes, avec le fer à repasser dans le rôle de la souris ?
À (at) Sat, 25 Jun 2005 09:28:33 +0200, Jean-Louis Liagre écrivait (wrote):
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les *BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
Juste une petite précision : en *BSD, ce qu'on appelle 'slice' c'est ce que le monde Windows, entre autres, appelle 'partition' (primaire). Et les partitions *BSD sont en fait des subdivisions des slices.
-- Paul Gaborit - <http://perso.enstimac.fr/~gaborit/>
À (at) Sat, 25 Jun 2005 09:28:33 +0200,
Jean-Louis Liagre <jlliagre@localhost> écrivait (wrote):
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les
*BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition
en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
Juste une petite précision : en *BSD, ce qu'on appelle 'slice' c'est ce que le
monde Windows, entre autres, appelle 'partition' (primaire). Et les partitions
*BSD sont en fait des subdivisions des slices.
--
Paul Gaborit - <http://perso.enstimac.fr/~gaborit/>
À (at) Sat, 25 Jun 2005 09:28:33 +0200, Jean-Louis Liagre écrivait (wrote):
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les *BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
Juste une petite précision : en *BSD, ce qu'on appelle 'slice' c'est ce que le monde Windows, entre autres, appelle 'partition' (primaire). Et les partitions *BSD sont en fait des subdivisions des slices.
-- Paul Gaborit - <http://perso.enstimac.fr/~gaborit/>
Jean-Louis Liagre
Paul Gaborit wrote:
À (at) Sat, 25 Jun 2005 09:28:33 +0200, Jean-Louis Liagre écrivait (wrote):
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les *BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
Juste une petite précision : en *BSD, ce qu'on appelle 'slice' c'est ce que le monde Windows, entre autres, appelle 'partition' (primaire). Et les partitions *BSD sont en fait des subdivisions des slices.
Exact, les termes sont inversés par rapport à Solaris sur x86/x64 ...
Paul Gaborit wrote:
À (at) Sat, 25 Jun 2005 09:28:33 +0200,
Jean-Louis Liagre <jlliagre@localhost> écrivait (wrote):
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les
*BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition
en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
Juste une petite précision : en *BSD, ce qu'on appelle 'slice' c'est ce que le
monde Windows, entre autres, appelle 'partition' (primaire). Et les partitions
*BSD sont en fait des subdivisions des slices.
Exact, les termes sont inversés par rapport à Solaris sur x86/x64 ...
À (at) Sat, 25 Jun 2005 09:28:33 +0200, Jean-Louis Liagre écrivait (wrote):
Des seuls O/S ayant respecté les specs originales, subsistent les *BSD et descendants comme Solaris, qui subdivisent leur partition en slices contenant files-systems, swap ou raw devices ...
Juste une petite précision : en *BSD, ce qu'on appelle 'slice' c'est ce que le monde Windows, entre autres, appelle 'partition' (primaire). Et les partitions *BSD sont en fait des subdivisions des slices.
Exact, les termes sont inversés par rapport à Solaris sur x86/x64 ...
Paulette Dubois
Le 28 juin 2005, Arnaud Launay a écrit dans fr.comp.os.unix :
Un ordinateur prêt pour le desktop est un ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans prise de tête et sans connaissance particulière. Non, ça c'est une machine à laver.
L'ordinateur des femmes, avec le fer à repasser dans le rôle de la souris ?
Je ne vois pas le rapport entre la machine à laver, le fer à repasser et les femmes. Pour ce qui est de la souris, mon chat s'en occupe.
Le 28 juin 2005, Arnaud Launay a écrit dans fr.comp.os.unix :
Un ordinateur prêt pour le desktop est un
ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans
prise de tête et sans connaissance particulière.
Non, ça c'est une machine à laver.
L'ordinateur des femmes, avec le fer à repasser dans le rôle de
la souris ?
Je ne vois pas le rapport entre la machine à laver, le fer à repasser et
les femmes. Pour ce qui est de la souris, mon chat s'en occupe.
Le 28 juin 2005, Arnaud Launay a écrit dans fr.comp.os.unix :
Un ordinateur prêt pour le desktop est un ordinateur achetable en grande surface, installable et utilisable sans prise de tête et sans connaissance particulière. Non, ça c'est une machine à laver.
L'ordinateur des femmes, avec le fer à repasser dans le rôle de la souris ?
Je ne vois pas le rapport entre la machine à laver, le fer à repasser et les femmes. Pour ce qui est de la souris, mon chat s'en occupe.