la longueur d'onde de la lumière visible est entre 0.4 et 0.8 microns
http://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_d%27onde#La_longueur_d.27onde_en_optique
donc avec un capteur à 1 micron le pixel, on va avoir des soucis
la longueur d'onde de la lumière visible est entre 0.4 et 0.8 microns
http://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_d%27onde#La_longueur_d.27onde_en_optique
donc avec un capteur à 1 micron le pixel, on va avoir des soucis
la longueur d'onde de la lumière visible est entre 0.4 et 0.8 microns
http://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_d%27onde#La_longueur_d.27onde_en_optique
donc avec un capteur à 1 micron le pixel, on va avoir des soucis
Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
Le 17/12/2014 12:31, Benoit a écrit :
> Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
> photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
> fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
Au passage, vérifie la probabilité qu'a un photon d'en***er une mouche
en fonction de la taille de la mouche et de la longueur d'onde.
Le 17/12/2014 12:31, Benoit a écrit :
> Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
> photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
> fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
Au passage, vérifie la probabilité qu'a un photon d'en***er une mouche
en fonction de la taille de la mouche et de la longueur d'onde.
Le 17/12/2014 12:31, Benoit a écrit :
> Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
> photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
> fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
Au passage, vérifie la probabilité qu'a un photon d'en***er une mouche
en fonction de la taille de la mouche et de la longueur d'onde.
Jean-Pierre Roche wrote:Le 15/12/2014 14:27, F#FF0000 a écrit :Il commence à être possible de sortir des images brutes des
smartphones récents (Nexus 5+), grâce à Camera FV-5 par
exemple. Mais que reste-t'il aux reflex ? :-)
Le fait qu'un capteur sur un téléphone fait entre 1 et de micromètre
et que la longueur d'onde de la lumière est entre 0,4 et 0,8 micromètre.
Quand un capteur commence à avoir la taille de ce qu'il mesure... pas
prêt d'avoir quelque chose de net.
Jean-Pierre Roche <jproche@sanspub.invalid> wrote:
Le 15/12/2014 14:27, F#FF0000 a écrit :
Il commence à être possible de sortir des images brutes des
smartphones récents (Nexus 5+), grâce à Camera FV-5 par
exemple. Mais que reste-t'il aux reflex ? :-)
Le fait qu'un capteur sur un téléphone fait entre 1 et de micromètre
et que la longueur d'onde de la lumière est entre 0,4 et 0,8 micromètre.
Quand un capteur commence à avoir la taille de ce qu'il mesure... pas
prêt d'avoir quelque chose de net.
Jean-Pierre Roche wrote:Le 15/12/2014 14:27, F#FF0000 a écrit :Il commence à être possible de sortir des images brutes des
smartphones récents (Nexus 5+), grâce à Camera FV-5 par
exemple. Mais que reste-t'il aux reflex ? :-)
Le fait qu'un capteur sur un téléphone fait entre 1 et de micromètre
et que la longueur d'onde de la lumière est entre 0,4 et 0,8 micromètre.
Quand un capteur commence à avoir la taille de ce qu'il mesure... pas
prêt d'avoir quelque chose de net.
Le 15/12/2014 16:36, Benoit a écrit :Jean-Pierre Roche wrote:Le 15/12/2014 14:27, F#FF0000 a écrit :Il commence à être possible de sortir des images brutes des
smartphones récents (Nexus 5+), grâce à Camera FV-5 par
exemple. Mais que reste-t'il aux reflex ? :-)
Le fait qu'un capteur sur un téléphone fait entre 1 et de micromètre
et que la longueur d'onde de la lumière est entre 0,4 et 0,8 micromètre.
Quand un capteur commence à avoir la taille de ce qu'il mesure... pas
prêt d'avoir quelque chose de net.
Erreur.
La longueur d'onde PLUS la finesse spectrale (la définition en
fréquence) du photon font sa longueur, qui dans le domaine optique
visible peut approcher voire dépasser le mètre, en incohérent, et bien
davantage avec les lasers, où les photons ne sont pas individualisés à
la source mais grégaires (bosons). Expérience : interférences à grande
différence de chemin optique, même en incohérent (avant les lasers).
En revanche, le diamètre à l'arrivée sur l'absorbeur (resp. : au départ
sur l'émetteur) a le diamètre de la réaction d'absorption. Soit de
l'ordre du nanomètre dans la plupart des cas. Voire 0,5 nm le grand
diamètre d'une molécule de monoxyde de carbone, pour le photon I.R. qui
a la bonne fréquence, et une longueur d'onde de 4,7 micromètres (2 170
cm^-1).
Et dans l'espace qui sépare l'émetteur de l'absorbeur ? Voir équations
de Clerk Maxwell, et optique de Fresnel. Un calcul violemment approché
donne l'ordre de grandeur et un majorant, là :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/GEOMETRIE_infond.htm#_Toc47953041
Ce qui sur des longueurs astronomiques peut donner des largeurs
également astronomiques, d'où les interactions bosoniques entre photons
qui rendent possible l'astronomie interférentielle à large base :
durant leur long trajet, et chacun étalé sur un large diamètre, ils ont
eu tout le temps de se mettre en bon accord de fréquence et de phase.
Ce sont des bosons...
Exercice : calculer le diamètre maximal du fuseau de Fermat d'un photon
optique (on prendra lambda = 0,4 µm) venant du Soleil et absorbé sur
Terre. On négligera les diamètres respectifs de l'émetteur et de
l'absorbeur. On se contentera de la distance moyenne de la terre au
Soleil.
Rappel de la définition transactionniste du photon :
Un photon est une transaction réussie entre trois partenaires : un
émetteur, un absorbeur, et l'espace qui ses sépare, qui transfère par
des moyens électromagnétiques un quantum d'action h, et respectivement
une impulsion-énergie qui dépend des repères respectifs de l'émetteur
et de l'absorbeur.
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/coluche-nous-avait-explique-154321
Bien que nous partagions les mêmes équations d'évolution que la clique
hégémonique, héritière de la clique Göttingen-København, nous ne
partageons pas les mêmes conditions aux limites : nous, nous tenons
compte des conditions finales autant que des conditions initiales.
Nous ne décrivons donc pas la même physique ; nous ne plantons pas un
"observateur" macrophysique au beau milieu de l'image microphysique ;
nous ne télescopons pas des mailles d'analyse séparées par cinq ou six
ou sept ou huit ordres de grandeurs. Les copenhaguistes si, qui
déguisent leur corpuscule maintenu depuis Rutherford (1911) derrière
des propriétés statistiques magiques : "probabilité d'apparition du
corpuscule" (et de la vierge à Fatima ?).
Pour savoir le diamètre approximatif d'un photon à l'arrivée sur son
absorbeur, il faut préciser la physique de l'absorbeur, surtout si en
plus on lui assigne le rôle d'être le capteur dans notre
instrumentation.
En minéralogie, nous sommes confrontés aux centres F (comme Farben) qui
ont une absorption beaucoup plus forte que le reste du cristal, et le
plus souvent spectrale, d'où une couleur. Dans un mica genre phlogopite
ou biotite, fortement coloré voire noir, à comparer à la muscovite bien
transparente, les centres F sont majoritairement des ions ferriques,
ferreux, manganeux, et titane, voire fluor et lithium, et leur
voisinage électronique sur environ une à deux deux distances
interatomiques du centre. Dans ces cas là, voilà tu sais la largeur du
photon à l'arrivée : quelques Ångströms.
Le 15/12/2014 16:36, Benoit a écrit :
Jean-Pierre Roche <jproche@sanspub.invalid> wrote:
Le 15/12/2014 14:27, F#FF0000 a écrit :
Il commence à être possible de sortir des images brutes des
smartphones récents (Nexus 5+), grâce à Camera FV-5 par
exemple. Mais que reste-t'il aux reflex ? :-)
Le fait qu'un capteur sur un téléphone fait entre 1 et de micromètre
et que la longueur d'onde de la lumière est entre 0,4 et 0,8 micromètre.
Quand un capteur commence à avoir la taille de ce qu'il mesure... pas
prêt d'avoir quelque chose de net.
Erreur.
La longueur d'onde PLUS la finesse spectrale (la définition en
fréquence) du photon font sa longueur, qui dans le domaine optique
visible peut approcher voire dépasser le mètre, en incohérent, et bien
davantage avec les lasers, où les photons ne sont pas individualisés à
la source mais grégaires (bosons). Expérience : interférences à grande
différence de chemin optique, même en incohérent (avant les lasers).
En revanche, le diamètre à l'arrivée sur l'absorbeur (resp. : au départ
sur l'émetteur) a le diamètre de la réaction d'absorption. Soit de
l'ordre du nanomètre dans la plupart des cas. Voire 0,5 nm le grand
diamètre d'une molécule de monoxyde de carbone, pour le photon I.R. qui
a la bonne fréquence, et une longueur d'onde de 4,7 micromètres (2 170
cm^-1).
Et dans l'espace qui sépare l'émetteur de l'absorbeur ? Voir équations
de Clerk Maxwell, et optique de Fresnel. Un calcul violemment approché
donne l'ordre de grandeur et un majorant, là :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/GEOMETRIE_infond.htm#_Toc47953041
Ce qui sur des longueurs astronomiques peut donner des largeurs
également astronomiques, d'où les interactions bosoniques entre photons
qui rendent possible l'astronomie interférentielle à large base :
durant leur long trajet, et chacun étalé sur un large diamètre, ils ont
eu tout le temps de se mettre en bon accord de fréquence et de phase.
Ce sont des bosons...
Exercice : calculer le diamètre maximal du fuseau de Fermat d'un photon
optique (on prendra lambda = 0,4 µm) venant du Soleil et absorbé sur
Terre. On négligera les diamètres respectifs de l'émetteur et de
l'absorbeur. On se contentera de la distance moyenne de la terre au
Soleil.
Rappel de la définition transactionniste du photon :
Un photon est une transaction réussie entre trois partenaires : un
émetteur, un absorbeur, et l'espace qui ses sépare, qui transfère par
des moyens électromagnétiques un quantum d'action h, et respectivement
une impulsion-énergie qui dépend des repères respectifs de l'émetteur
et de l'absorbeur.
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/coluche-nous-avait-explique-154321
Bien que nous partagions les mêmes équations d'évolution que la clique
hégémonique, héritière de la clique Göttingen-København, nous ne
partageons pas les mêmes conditions aux limites : nous, nous tenons
compte des conditions finales autant que des conditions initiales.
Nous ne décrivons donc pas la même physique ; nous ne plantons pas un
"observateur" macrophysique au beau milieu de l'image microphysique ;
nous ne télescopons pas des mailles d'analyse séparées par cinq ou six
ou sept ou huit ordres de grandeurs. Les copenhaguistes si, qui
déguisent leur corpuscule maintenu depuis Rutherford (1911) derrière
des propriétés statistiques magiques : "probabilité d'apparition du
corpuscule" (et de la vierge à Fatima ?).
Pour savoir le diamètre approximatif d'un photon à l'arrivée sur son
absorbeur, il faut préciser la physique de l'absorbeur, surtout si en
plus on lui assigne le rôle d'être le capteur dans notre
instrumentation.
En minéralogie, nous sommes confrontés aux centres F (comme Farben) qui
ont une absorption beaucoup plus forte que le reste du cristal, et le
plus souvent spectrale, d'où une couleur. Dans un mica genre phlogopite
ou biotite, fortement coloré voire noir, à comparer à la muscovite bien
transparente, les centres F sont majoritairement des ions ferriques,
ferreux, manganeux, et titane, voire fluor et lithium, et leur
voisinage électronique sur environ une à deux deux distances
interatomiques du centre. Dans ces cas là, voilà tu sais la largeur du
photon à l'arrivée : quelques Ångströms.
Le 15/12/2014 16:36, Benoit a écrit :Jean-Pierre Roche wrote:Le 15/12/2014 14:27, F#FF0000 a écrit :Il commence à être possible de sortir des images brutes des
smartphones récents (Nexus 5+), grâce à Camera FV-5 par
exemple. Mais que reste-t'il aux reflex ? :-)
Le fait qu'un capteur sur un téléphone fait entre 1 et de micromètre
et que la longueur d'onde de la lumière est entre 0,4 et 0,8 micromètre.
Quand un capteur commence à avoir la taille de ce qu'il mesure... pas
prêt d'avoir quelque chose de net.
Erreur.
La longueur d'onde PLUS la finesse spectrale (la définition en
fréquence) du photon font sa longueur, qui dans le domaine optique
visible peut approcher voire dépasser le mètre, en incohérent, et bien
davantage avec les lasers, où les photons ne sont pas individualisés à
la source mais grégaires (bosons). Expérience : interférences à grande
différence de chemin optique, même en incohérent (avant les lasers).
En revanche, le diamètre à l'arrivée sur l'absorbeur (resp. : au départ
sur l'émetteur) a le diamètre de la réaction d'absorption. Soit de
l'ordre du nanomètre dans la plupart des cas. Voire 0,5 nm le grand
diamètre d'une molécule de monoxyde de carbone, pour le photon I.R. qui
a la bonne fréquence, et une longueur d'onde de 4,7 micromètres (2 170
cm^-1).
Et dans l'espace qui sépare l'émetteur de l'absorbeur ? Voir équations
de Clerk Maxwell, et optique de Fresnel. Un calcul violemment approché
donne l'ordre de grandeur et un majorant, là :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/GEOMETRIE_infond.htm#_Toc47953041
Ce qui sur des longueurs astronomiques peut donner des largeurs
également astronomiques, d'où les interactions bosoniques entre photons
qui rendent possible l'astronomie interférentielle à large base :
durant leur long trajet, et chacun étalé sur un large diamètre, ils ont
eu tout le temps de se mettre en bon accord de fréquence et de phase.
Ce sont des bosons...
Exercice : calculer le diamètre maximal du fuseau de Fermat d'un photon
optique (on prendra lambda = 0,4 µm) venant du Soleil et absorbé sur
Terre. On négligera les diamètres respectifs de l'émetteur et de
l'absorbeur. On se contentera de la distance moyenne de la terre au
Soleil.
Rappel de la définition transactionniste du photon :
Un photon est une transaction réussie entre trois partenaires : un
émetteur, un absorbeur, et l'espace qui ses sépare, qui transfère par
des moyens électromagnétiques un quantum d'action h, et respectivement
une impulsion-énergie qui dépend des repères respectifs de l'émetteur
et de l'absorbeur.
http://www.agoravox.fr/culture-loisirs/culture/article/coluche-nous-avait-explique-154321
Bien que nous partagions les mêmes équations d'évolution que la clique
hégémonique, héritière de la clique Göttingen-København, nous ne
partageons pas les mêmes conditions aux limites : nous, nous tenons
compte des conditions finales autant que des conditions initiales.
Nous ne décrivons donc pas la même physique ; nous ne plantons pas un
"observateur" macrophysique au beau milieu de l'image microphysique ;
nous ne télescopons pas des mailles d'analyse séparées par cinq ou six
ou sept ou huit ordres de grandeurs. Les copenhaguistes si, qui
déguisent leur corpuscule maintenu depuis Rutherford (1911) derrière
des propriétés statistiques magiques : "probabilité d'apparition du
corpuscule" (et de la vierge à Fatima ?).
Pour savoir le diamètre approximatif d'un photon à l'arrivée sur son
absorbeur, il faut préciser la physique de l'absorbeur, surtout si en
plus on lui assigne le rôle d'être le capteur dans notre
instrumentation.
En minéralogie, nous sommes confrontés aux centres F (comme Farben) qui
ont une absorption beaucoup plus forte que le reste du cristal, et le
plus souvent spectrale, d'où une couleur. Dans un mica genre phlogopite
ou biotite, fortement coloré voire noir, à comparer à la muscovite bien
transparente, les centres F sont majoritairement des ions ferriques,
ferreux, manganeux, et titane, voire fluor et lithium, et leur
voisinage électronique sur environ une à deux deux distances
interatomiques du centre. Dans ces cas là, voilà tu sais la largeur du
photon à l'arrivée : quelques Ångströms.
Le 17/12/2014 12:31, Benoit a écrit :Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
pas sur que ce soit utile, on arrive là à la physique quantique qui
n'est pas d'accès facile.
si les "aspérités de surface" (à définir :-)) sont plus petites que la
longueur d'onde, l'onde est réfléchie totalement (réflexion spéculaire).
je ne sais pas l'effet que ca a sur un capteur, mais à mon avis ce n'est
pas bon :-)
la longueur d'onde de la lumière visible est entre 0.4 et 0.8 microns
http://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_d%27onde#La_longueur_d.27onde_en_optique
donc avec un capteur à 1 micron le pixel, on va avoir des soucis
Le 17/12/2014 12:31, Benoit a écrit :
Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
pas sur que ce soit utile, on arrive là à la physique quantique qui
n'est pas d'accès facile.
si les "aspérités de surface" (à définir :-)) sont plus petites que la
longueur d'onde, l'onde est réfléchie totalement (réflexion spéculaire).
je ne sais pas l'effet que ca a sur un capteur, mais à mon avis ce n'est
pas bon :-)
la longueur d'onde de la lumière visible est entre 0.4 et 0.8 microns
http://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_d%27onde#La_longueur_d.27onde_en_optique
donc avec un capteur à 1 micron le pixel, on va avoir des soucis
Le 17/12/2014 12:31, Benoit a écrit :Si, puisqu'il a une plus grande superficie, la probabilité qu'un
photon tape à côté est plus faible. Je vais faire un tour sur
fr.sci.maths pour avoir les bons calculs.
pas sur que ce soit utile, on arrive là à la physique quantique qui
n'est pas d'accès facile.
si les "aspérités de surface" (à définir :-)) sont plus petites que la
longueur d'onde, l'onde est réfléchie totalement (réflexion spéculaire).
je ne sais pas l'effet que ca a sur un capteur, mais à mon avis ce n'est
pas bon :-)
la longueur d'onde de la lumière visible est entre 0.4 et 0.8 microns
http://fr.wikipedia.org/wiki/Longueur_d%27onde#La_longueur_d.27onde_en_optique
donc avec un capteur à 1 micron le pixel, on va avoir des soucis
Dans vos capteurs CCD, le diamètre de la réaction d'absorption demeure
dans le domaine du nanomètre. Laissez donc tomber vos inquiétudes non
fondées. Ces capteurs ont sûrement d'autres défauts, mais pas ceux qui
sont hypothésés ici.
Dans vos capteurs CCD, le diamètre de la réaction d'absorption demeure
dans le domaine du nanomètre. Laissez donc tomber vos inquiétudes non
fondées. Ces capteurs ont sûrement d'autres défauts, mais pas ceux qui
sont hypothésés ici.
Dans vos capteurs CCD, le diamètre de la réaction d'absorption demeure
dans le domaine du nanomètre. Laissez donc tomber vos inquiétudes non
fondées. Ces capteurs ont sûrement d'autres défauts, mais pas ceux qui
sont hypothésés ici.
Le 06/01/2015 22:38, jc_lavau a écrit :Dans vos capteurs CCD, le diamètre de la réaction d'absorption demeure
dans le domaine du nanomètre. Laissez donc tomber vos inquiétudes non
fondées. Ces capteurs ont sûrement d'autres défauts, mais pas ceux qui
sont hypothésés ici.
tout ça est bel et bon, mais ne nous avance pas beaucoup.
un réflecteur radar est en mailles, pas plein.
j'ai mesuré des défauts de surface plane en verre avec des franges
d'interférences en lumière noire (ultra violets).
tant mieux si ca n'a pas d'influence sur les capteurs, on verra bien
jdd
Le 06/01/2015 22:38, jc_lavau a écrit :
Dans vos capteurs CCD, le diamètre de la réaction d'absorption demeure
dans le domaine du nanomètre. Laissez donc tomber vos inquiétudes non
fondées. Ces capteurs ont sûrement d'autres défauts, mais pas ceux qui
sont hypothésés ici.
tout ça est bel et bon, mais ne nous avance pas beaucoup.
un réflecteur radar est en mailles, pas plein.
j'ai mesuré des défauts de surface plane en verre avec des franges
d'interférences en lumière noire (ultra violets).
tant mieux si ca n'a pas d'influence sur les capteurs, on verra bien
jdd
Le 06/01/2015 22:38, jc_lavau a écrit :Dans vos capteurs CCD, le diamètre de la réaction d'absorption demeure
dans le domaine du nanomètre. Laissez donc tomber vos inquiétudes non
fondées. Ces capteurs ont sûrement d'autres défauts, mais pas ceux qui
sont hypothésés ici.
tout ça est bel et bon, mais ne nous avance pas beaucoup.
un réflecteur radar est en mailles, pas plein.
j'ai mesuré des défauts de surface plane en verre avec des franges
d'interférences en lumière noire (ultra violets).
tant mieux si ca n'a pas d'influence sur les capteurs, on verra bien
jdd
Le 06/01/2015 23:08, jdd a écrit :un réflecteur radar est en mailles, pas plein.
et conducteur. C'est l'essentiel.
Tandis que pour les capteurs CCD, c'est l'absorption qui est le
phénomène utile, et de préférence optimisé.
La réflectance en face avant est nuisible, mais j'ignore les valeurs
précises pour ces capteurs.
Le 06/01/2015 23:08, jdd a écrit :
un réflecteur radar est en mailles, pas plein.
et conducteur. C'est l'essentiel.
Tandis que pour les capteurs CCD, c'est l'absorption qui est le
phénomène utile, et de préférence optimisé.
La réflectance en face avant est nuisible, mais j'ignore les valeurs
précises pour ces capteurs.
Le 06/01/2015 23:08, jdd a écrit :un réflecteur radar est en mailles, pas plein.
et conducteur. C'est l'essentiel.
Tandis que pour les capteurs CCD, c'est l'absorption qui est le
phénomène utile, et de préférence optimisé.
La réflectance en face avant est nuisible, mais j'ignore les valeurs
précises pour ces capteurs.
Le 06/01/2015 23:19, jc_lavau a écrit :Le 06/01/2015 23:08, jdd a écrit :
Tandis que pour les capteurs CCD, c'est l'absorption qui est le
phénomène utile, et de préférence optimisé.
La réflectance en face avant est nuisible, mais j'ignore les valeurs
précises pour ces capteurs.
ben voilà. C'est justement le problème que je voulais évoquer. La partie
réfléchie de la lumière ne sert pas, l'éventualité de franges
d'interférences (s'il y a une surface réfléchissante il y en a peut-être
deux?) détruit l'image.
Le 06/01/2015 23:19, jc_lavau a écrit :
Le 06/01/2015 23:08, jdd a écrit :
Tandis que pour les capteurs CCD, c'est l'absorption qui est le
phénomène utile, et de préférence optimisé.
La réflectance en face avant est nuisible, mais j'ignore les valeurs
précises pour ces capteurs.
ben voilà. C'est justement le problème que je voulais évoquer. La partie
réfléchie de la lumière ne sert pas, l'éventualité de franges
d'interférences (s'il y a une surface réfléchissante il y en a peut-être
deux?) détruit l'image.
Le 06/01/2015 23:19, jc_lavau a écrit :Le 06/01/2015 23:08, jdd a écrit :
Tandis que pour les capteurs CCD, c'est l'absorption qui est le
phénomène utile, et de préférence optimisé.
La réflectance en face avant est nuisible, mais j'ignore les valeurs
précises pour ces capteurs.
ben voilà. C'est justement le problème que je voulais évoquer. La partie
réfléchie de la lumière ne sert pas, l'éventualité de franges
d'interférences (s'il y a une surface réfléchissante il y en a peut-être
deux?) détruit l'image.