Le 10/06/2012 11:15, Dominique a écrit :
> Il n'y a même pas une plainte déposée par Balkany, mon bon monsieur.
"Le député-maire de Levallois-Perret a porté plainte pour diffamation
contre l'auteur d'un site se moquant de son absentéisme record."
Le 10/06/2012 11:15, Dominique a écrit :
> Il n'y a même pas une plainte déposée par Balkany, mon bon monsieur.
"Le député-maire de Levallois-Perret a porté plainte pour diffamation
contre l'auteur d'un site se moquant de son absentéisme record."
Le 10/06/2012 11:15, Dominique a écrit :
> Il n'y a même pas une plainte déposée par Balkany, mon bon monsieur.
"Le député-maire de Levallois-Perret a porté plainte pour diffamation
contre l'auteur d'un site se moquant de son absentéisme record."
jr wrote:Le 10/06/2012 11:15, Dominique a écrit :Il n'y a même pas une plainte déposée par Balkany, mon bon monsieur.
"Le député-maire de Levallois-Perret a porté plainte pour diffamation
contre l'auteur d'un site se moquant de son absentéisme record."
Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière de
plainte pour diffamations :
"En 2003, il est condamné en première instance par le tribunal correctionnel de
Nanterre à 1 500 euros d'amende pour « images vexatoires et empreintes de mépris
visant à abaisser et ridiculiser [...] de façon publique » l'élue communiste
Annie Mandois qu'il avait accusé, lors d'un conseil municipal, d'avoir utilisé
des fonds publics dans l'intérêt d'un parti politique ou pour son intérêt
personnel.
Ses accusations d'avoir endoctriné des enfants lorsqu'elle était enseignante ne
sont pas retenus en première instance.
La Cour d'appel de Versailles le reconnaît coupable, le 31 mars 2004, de
diffamation et d'injures envers Annie Mandois.
Il est en outre condamné à verser 1 500 euros à Mme Mandois de dommages et
intérêts plus 1 000 euros pour préjudice moral."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Balkany
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte, semble t'il,
mais "les services de la mairie de Levallois-Perret " :-)
"Les services de la mairie de Levallois-Perret ont "porté plainte au
commissariat de police de Levallois, une plainte enregistrée pour +diffamation
envers personne détentrice d'un mandat électif+", a indiqué M. Gigon."
<http://www.jeanmarcmorandini.com/article-287844-balkany-porte-plainte-pour-diff
amation-contre-un-site-le-presentant-comme-un-depute-inutile.html>
Enfin, il ne reste plus à ces services qu'à démontrer la réalité de la
diffamation ...
Gandi a donc vraiment anticipé sur la réalité d'une condamnation hypothétique
:-)
jr<jqs@froc.net> wrote:
Le 10/06/2012 11:15, Dominique a écrit :
Il n'y a même pas une plainte déposée par Balkany, mon bon monsieur.
"Le député-maire de Levallois-Perret a porté plainte pour diffamation
contre l'auteur d'un site se moquant de son absentéisme record."
Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière de
plainte pour diffamations :
"En 2003, il est condamné en première instance par le tribunal correctionnel de
Nanterre à 1 500 euros d'amende pour « images vexatoires et empreintes de mépris
visant à abaisser et ridiculiser [...] de façon publique » l'élue communiste
Annie Mandois qu'il avait accusé, lors d'un conseil municipal, d'avoir utilisé
des fonds publics dans l'intérêt d'un parti politique ou pour son intérêt
personnel.
Ses accusations d'avoir endoctriné des enfants lorsqu'elle était enseignante ne
sont pas retenus en première instance.
La Cour d'appel de Versailles le reconnaît coupable, le 31 mars 2004, de
diffamation et d'injures envers Annie Mandois.
Il est en outre condamné à verser 1 500 euros à Mme Mandois de dommages et
intérêts plus 1 000 euros pour préjudice moral."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Balkany
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte, semble t'il,
mais "les services de la mairie de Levallois-Perret " :-)
"Les services de la mairie de Levallois-Perret ont "porté plainte au
commissariat de police de Levallois, une plainte enregistrée pour +diffamation
envers personne détentrice d'un mandat électif+", a indiqué M. Gigon."
<http://www.jeanmarcmorandini.com/article-287844-balkany-porte-plainte-pour-diff
amation-contre-un-site-le-presentant-comme-un-depute-inutile.html>
Enfin, il ne reste plus à ces services qu'à démontrer la réalité de la
diffamation ...
Gandi a donc vraiment anticipé sur la réalité d'une condamnation hypothétique
:-)
jr wrote:Le 10/06/2012 11:15, Dominique a écrit :Il n'y a même pas une plainte déposée par Balkany, mon bon monsieur.
"Le député-maire de Levallois-Perret a porté plainte pour diffamation
contre l'auteur d'un site se moquant de son absentéisme record."
Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière de
plainte pour diffamations :
"En 2003, il est condamné en première instance par le tribunal correctionnel de
Nanterre à 1 500 euros d'amende pour « images vexatoires et empreintes de mépris
visant à abaisser et ridiculiser [...] de façon publique » l'élue communiste
Annie Mandois qu'il avait accusé, lors d'un conseil municipal, d'avoir utilisé
des fonds publics dans l'intérêt d'un parti politique ou pour son intérêt
personnel.
Ses accusations d'avoir endoctriné des enfants lorsqu'elle était enseignante ne
sont pas retenus en première instance.
La Cour d'appel de Versailles le reconnaît coupable, le 31 mars 2004, de
diffamation et d'injures envers Annie Mandois.
Il est en outre condamné à verser 1 500 euros à Mme Mandois de dommages et
intérêts plus 1 000 euros pour préjudice moral."
http://fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Balkany
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte, semble t'il,
mais "les services de la mairie de Levallois-Perret " :-)
"Les services de la mairie de Levallois-Perret ont "porté plainte au
commissariat de police de Levallois, une plainte enregistrée pour +diffamation
envers personne détentrice d'un mandat électif+", a indiqué M. Gigon."
<http://www.jeanmarcmorandini.com/article-287844-balkany-porte-plainte-pour-diff
amation-contre-un-site-le-presentant-comme-un-depute-inutile.html>
Enfin, il ne reste plus à ces services qu'à démontrer la réalité de la
diffamation ...
Gandi a donc vraiment anticipé sur la réalité d'une condamnation hypothétique
:-)
Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière de
plainte pour diffamations :
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte, semble t'il,
Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière de
plainte pour diffamations :
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte, semble t'il,
Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière de
plainte pour diffamations :
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte, semble t'il,
Vous auriez dû lire la suite :
Gandi écrit : "Si nous étions contraints de nous substituer à vous faute
pour vous d'intervenir dans les délias requis, sur demande expresse de
Monsieur Patrick Balkany (...) notre intervention ne pourra,
techniquement, s'effectuer qu'au niveau de votre serveur dans son
intégralité (son accès pourrait être rendu impossible)."
Balkany n'apporte aucune preuve de préjudice et même pas le début de
commencement d'action à l'encontre du détenteur du site, alors il me
semble que la réaction de l'hébergeur est un tantinet disproportionnée
et surtout trop rapide.
De même, tu devrais savoir que le défendeur n'a pas à prouver la
diffamation, c'est à l'accusé de démontrer que cela n'en est pas.
Dites, Catteau, vous devriez éviter d'essayer de me donner des leçons
de droit pénal, hein.
2) Depuis quand la charge de la preuve est-elle inversée et où diable
avez vous lu qu'en droit français c'est à l'accusé d'apporter la preuve
de son innocence et pas à l'accusation d'apporter la preuve de la
culpabilité ??
Néanmoins je t'accorde
J'aime quand les imbéciles font preuve de condescendance à mon égard :-)
Et selon votre raisonnement, la charge de la preuve de mon innocence
m'incombera alors que Gandi n'aura qu'à dire qu'il est diffamé pour
qu'on le croit :-D
En effet, la phrase, déjà bien longue, que tu cites est coupée en son
milieu par des points de suspension et tu ignores absolument tout de ce
qui se cache derrière.
Demandez à E7, il a prétendu un jour qu'il connaît quelqu'un chez Gandi
qui le renseigne _par téléphone_ sur les courriers privés envoyés par
cette société à ses clients ...
Bref, partant d'un exposé des faits basé sur des preuves
volontairement tronquées, tu tiens des propos portant atteinte à la
réputation d'une société et pourrais donc parfaitement avoir un jour à
en rendre compte face à un juge.
Dites, Catteau, vous ne seriez pas en train de m'accuser de diffamer
Gandi? Ce qui est, en soi, une diffamation :-D
Vous auriez dû lire la suite :
Gandi écrit : "Si nous étions contraints de nous substituer à vous faute
pour vous d'intervenir dans les délias requis, sur demande expresse de
Monsieur Patrick Balkany (...) notre intervention ne pourra,
techniquement, s'effectuer qu'au niveau de votre serveur dans son
intégralité (son accès pourrait être rendu impossible)."
Balkany n'apporte aucune preuve de préjudice et même pas le début de
commencement d'action à l'encontre du détenteur du site, alors il me
semble que la réaction de l'hébergeur est un tantinet disproportionnée
et surtout trop rapide.
De même, tu devrais savoir que le défendeur n'a pas à prouver la
diffamation, c'est à l'accusé de démontrer que cela n'en est pas.
Dites, Catteau, vous devriez éviter d'essayer de me donner des leçons
de droit pénal, hein.
2) Depuis quand la charge de la preuve est-elle inversée et où diable
avez vous lu qu'en droit français c'est à l'accusé d'apporter la preuve
de son innocence et pas à l'accusation d'apporter la preuve de la
culpabilité ??
Néanmoins je t'accorde
J'aime quand les imbéciles font preuve de condescendance à mon égard :-)
Et selon votre raisonnement, la charge de la preuve de mon innocence
m'incombera alors que Gandi n'aura qu'à dire qu'il est diffamé pour
qu'on le croit :-D
En effet, la phrase, déjà bien longue, que tu cites est coupée en son
milieu par des points de suspension et tu ignores absolument tout de ce
qui se cache derrière.
Demandez à E7, il a prétendu un jour qu'il connaît quelqu'un chez Gandi
qui le renseigne _par téléphone_ sur les courriers privés envoyés par
cette société à ses clients ...
Bref, partant d'un exposé des faits basé sur des preuves
volontairement tronquées, tu tiens des propos portant atteinte à la
réputation d'une société et pourrais donc parfaitement avoir un jour à
en rendre compte face à un juge.
Dites, Catteau, vous ne seriez pas en train de m'accuser de diffamer
Gandi? Ce qui est, en soi, une diffamation :-D
Vous auriez dû lire la suite :
Gandi écrit : "Si nous étions contraints de nous substituer à vous faute
pour vous d'intervenir dans les délias requis, sur demande expresse de
Monsieur Patrick Balkany (...) notre intervention ne pourra,
techniquement, s'effectuer qu'au niveau de votre serveur dans son
intégralité (son accès pourrait être rendu impossible)."
Balkany n'apporte aucune preuve de préjudice et même pas le début de
commencement d'action à l'encontre du détenteur du site, alors il me
semble que la réaction de l'hébergeur est un tantinet disproportionnée
et surtout trop rapide.
De même, tu devrais savoir que le défendeur n'a pas à prouver la
diffamation, c'est à l'accusé de démontrer que cela n'en est pas.
Dites, Catteau, vous devriez éviter d'essayer de me donner des leçons
de droit pénal, hein.
2) Depuis quand la charge de la preuve est-elle inversée et où diable
avez vous lu qu'en droit français c'est à l'accusé d'apporter la preuve
de son innocence et pas à l'accusation d'apporter la preuve de la
culpabilité ??
Néanmoins je t'accorde
J'aime quand les imbéciles font preuve de condescendance à mon égard :-)
Et selon votre raisonnement, la charge de la preuve de mon innocence
m'incombera alors que Gandi n'aura qu'à dire qu'il est diffamé pour
qu'on le croit :-D
En effet, la phrase, déjà bien longue, que tu cites est coupée en son
milieu par des points de suspension et tu ignores absolument tout de ce
qui se cache derrière.
Demandez à E7, il a prétendu un jour qu'il connaît quelqu'un chez Gandi
qui le renseigne _par téléphone_ sur les courriers privés envoyés par
cette société à ses clients ...
Bref, partant d'un exposé des faits basé sur des preuves
volontairement tronquées, tu tiens des propos portant atteinte à la
réputation d'une société et pourrais donc parfaitement avoir un jour à
en rendre compte face à un juge.
Dites, Catteau, vous ne seriez pas en train de m'accuser de diffamer
Gandi? Ce qui est, en soi, une diffamation :-D
Dominique n'était pas loin de dire :
>>> Vous auriez dû lire la suite :
>>> Gandi écrit : "Si nous étions contraints de nous substituer à vous faute
>>> pour vous d'intervenir dans les délias requis, sur demande expresse de
>>> Monsieur Patrick Balkany (...) notre intervention ne pourra,
>>> techniquement, s'effectuer qu'au niveau de votre serveur dans son
>>> intégralité (son accès pourrait être rendu impossible)."
[snip]
> Balkany n'apporte aucune preuve de préjudice et même pas le début de
> commencement d'action à l'encontre du détenteur du site, alors il me
> semble que la réaction de l'hébergeur est un tantinet disproportionnée
> et surtout trop rapide.
Petite explication de texte :
"Si nous étions contraints de [...]", peut se traduire par, "dans le
cas où éventuellement il y aurait quelque chose qui nous obligerait à
[...] ; nous on dit ça mais on sait pas hein, cela dit il n'est pas
impossible que cela arrive un jour, tout comme il se pourrait
éventuellement que cela n'arrive jamais, mais bon on l'a dit, nous on
sait pas si cela arrivera ou non, donc on vous explique ce que l'on
devra faire lorsque cela arrivera, si d'aventure cela arrivait
évidement, comme ça au moins vous savez ce qui pourrait éventuellement
se passer."
A noter que la version employée par Gandi, si elle semble apparament
plus difficile à comprendre de par l'emploie du conditionnel, n'en
reste pas moins nettement plus courte.
>> De même, tu devrais savoir que le défendeur n'a pas à prouver la
>> diffamation, c'est à l'accusé de démontrer que cela n'en est pas.
>
> Dites, Catteau, vous devriez éviter d'essayer de me donner des leçons
> de droit pénal, hein.
Ca tombe bien, contrairement à toi je n'ai jamais eu la prétention de
donner des leçons de droit, pas plus civil que pénal.
> 2) Depuis quand la charge de la preuve est-elle inversée et où diable
> avez vous lu qu'en droit français c'est à l'accusé d'apporter la preuve
> de son innocence et pas à l'accusation d'apporter la preuve de la
> culpabilité ??
Madame Dominique Gobeaut, auriez-vous déjà oublié ces multiples leçons
de droit que vous avez données à longueur de messages dans les forums
de cette hiérarchie ?
Principalement celles concernant un sujet cher à
votre coeur, la diffamation et son exception de vérité ; cela tombe
bien, c'est très précisément le sujet dont il est question ici.
Mais ce n'est pas le seul cas et il n'est pas nécessaire de fouiller
beaucoup pour en trouver d'autres. Ainsi, l'on pourrait parler de la
décision N° 10-11.603 de la troisième chambre civile de la cour de
cassation (si j'ai bien traduit les abréviations juridiques) en date du
premier février 2011. Cet arrêt, concernant un locataire ayant porté
plainte
contre son bailleur pour non restitution de caution, indique
que c'est au bailleur d'apporter la preuve qu'il n'y a pas là un abus
de sa part.
Selon Maître Matthieu PUYBOURDIN, qui commente le-dit arrêt[1], "en
d'autres termes, le bailleur [NdA: l'accusé] a la charge de la preuve
et doit justifier son droit de rétention sur toute ou partie du dépôt
de garantie."
Je peux me tromper,
n'ayant pas fait d'étude de droit contrairement à
vous madame Dominique Gobeaut, mais lorsqu'un avocat, au barreau de
Paris, traduit en termes de tous les jours un arrêt d'une cour de
cassation, j'ai tendance à considérer que j'ai sous les yeux le droit
français tel qu'il est écrit et appliqué.
Donc, pour répondre enfin à votre question : au moins depuis le 1er
février 2011, mais quelque chose me dit que cela remonte à beaucoup
plus loin.
>> Néanmoins je t'accorde
>
> J'aime quand les imbéciles font preuve de condescendance à mon égard :-)
Désolé, mais pour ma part je ne compte pas t'épouser.
[snip]
> Et selon votre raisonnement, la charge de la preuve de mon innocence
> m'incombera alors que Gandi n'aura qu'à dire qu'il est diffamé pour
> qu'on le croit :-D
C'est ce que vous avez affirmé pendant six années dans quelques
milliers de messages, madame Dominique Gobeaut.
Et force est de constater que c'est aussi ainsi qu'est écrit le droit en
matière de diffamation.
Sauf à pouvoir présenter devant la cour le courrier
intégral envoyé par Gandi, à pouvoir démontrer que celui-ci était en
votre possession avant l'écriture de votre message et, évidement, à
considérer que ce courrier dise effectivement ce que vous pensez, vous
seriez condamnée par la justice pour diffamation à l'encontre de la
société Gandi. Ce, non sur la parole de Gandi, mais sur présentation de
vos propos portant atteinte à l'honneur de cette société en la
présentant comme liberticide, voir comme étant aux ordres d'une
certaine catégorie d'hommes politiques.
>> En effet, la phrase, déjà bien longue, que tu cites est coupée en son
>> milieu par des points de suspension et tu ignores absolument tout de ce
>> qui se cache derrière.
>
> Demandez à E7, il a prétendu un jour qu'il connaît quelqu'un chez Gandi
> qui le renseigne _par téléphone_ sur les courriers privés envoyés par
> cette société à ses clients ...
Je n'ai pas à demander divulgation du courrier en question, ce n'est
pas moi qui tient des propos présentant Gandi comme une société peu
fréquentable en me basant sur l'extrapolation du contenu d'un seul et
unique courrier.
>> Bref, partant d'un exposé des faits basé sur des preuves
>> volontairement tronquées, tu tiens des propos portant atteinte à la
>> réputation d'une société et pourrais donc parfaitement avoir un jour à
>> en rendre compte face à un juge.
>
> Dites, Catteau, vous ne seriez pas en train de m'accuser de diffamer
> Gandi? Ce qui est, en soi, une diffamation :-D
J'ennonce des faits, rien que des faits.
Premier fait : confirmés ou non, tes propos portent atteinte à la
réputation de la société Gandi.
Si Gandi portait plainte et si tu ne peux pas faire valoir l'exception de
vérité, ils seraient alors diffamatoires.
Pour autant, tu constateras que je ne me suis pas
substitué à la justice, seule à même de les qualifier. Pour ma part je
me suis contenté de dire qu'ils pourraient tout aussi bien être ainsi
qualifiés.
Second fait : tu n'as à aucun moment indiqué avoir connaissance de la
partie tronquée du courrier, donc tu te bases sur des preuves
volontairement tronquées ; ou tout du moins tu le laisses penser.
Si diffamation il devait y avoir de ma part, ce serait sur ce second
point, dans le cas fort peu probable ou tu aurais en fait eu
connaissance de l'intégralité du courrier avant d'écrire ton message.
Là effectivement, prétendre que tu t'es basée sur des preuves tronquées
serait diffamatoire.
Pour le reste l'exception de vérité est évidente ;
sur usenet l'on ne peut répondre à un message sans l'avoir au préalable
eu sous les yeux et donc en avoir eu connaissance. Le message que tu
aurais à produire pour faire valoir ton préjudice serait donc dans le
même temps l'exception de vérité qui me serait nécessaire pour ne pas
être condamné.
[1]
http://www.legavox.fr/article/immobilier/locations/locataires/charge-preuv
e-defaut-restitution-depot_5719_1.htm
Dominique n'était pas loin de dire :
>>> Vous auriez dû lire la suite :
>>> Gandi écrit : "Si nous étions contraints de nous substituer à vous faute
>>> pour vous d'intervenir dans les délias requis, sur demande expresse de
>>> Monsieur Patrick Balkany (...) notre intervention ne pourra,
>>> techniquement, s'effectuer qu'au niveau de votre serveur dans son
>>> intégralité (son accès pourrait être rendu impossible)."
[snip]
> Balkany n'apporte aucune preuve de préjudice et même pas le début de
> commencement d'action à l'encontre du détenteur du site, alors il me
> semble que la réaction de l'hébergeur est un tantinet disproportionnée
> et surtout trop rapide.
Petite explication de texte :
"Si nous étions contraints de [...]", peut se traduire par, "dans le
cas où éventuellement il y aurait quelque chose qui nous obligerait à
[...] ; nous on dit ça mais on sait pas hein, cela dit il n'est pas
impossible que cela arrive un jour, tout comme il se pourrait
éventuellement que cela n'arrive jamais, mais bon on l'a dit, nous on
sait pas si cela arrivera ou non, donc on vous explique ce que l'on
devra faire lorsque cela arrivera, si d'aventure cela arrivait
évidement, comme ça au moins vous savez ce qui pourrait éventuellement
se passer."
A noter que la version employée par Gandi, si elle semble apparament
plus difficile à comprendre de par l'emploie du conditionnel, n'en
reste pas moins nettement plus courte.
>> De même, tu devrais savoir que le défendeur n'a pas à prouver la
>> diffamation, c'est à l'accusé de démontrer que cela n'en est pas.
>
> Dites, Catteau, vous devriez éviter d'essayer de me donner des leçons
> de droit pénal, hein.
Ca tombe bien, contrairement à toi je n'ai jamais eu la prétention de
donner des leçons de droit, pas plus civil que pénal.
> 2) Depuis quand la charge de la preuve est-elle inversée et où diable
> avez vous lu qu'en droit français c'est à l'accusé d'apporter la preuve
> de son innocence et pas à l'accusation d'apporter la preuve de la
> culpabilité ??
Madame Dominique Gobeaut, auriez-vous déjà oublié ces multiples leçons
de droit que vous avez données à longueur de messages dans les forums
de cette hiérarchie ?
Principalement celles concernant un sujet cher à
votre coeur, la diffamation et son exception de vérité ; cela tombe
bien, c'est très précisément le sujet dont il est question ici.
Mais ce n'est pas le seul cas et il n'est pas nécessaire de fouiller
beaucoup pour en trouver d'autres. Ainsi, l'on pourrait parler de la
décision N° 10-11.603 de la troisième chambre civile de la cour de
cassation (si j'ai bien traduit les abréviations juridiques) en date du
premier février 2011. Cet arrêt, concernant un locataire ayant porté
plainte
contre son bailleur pour non restitution de caution, indique
que c'est au bailleur d'apporter la preuve qu'il n'y a pas là un abus
de sa part.
Selon Maître Matthieu PUYBOURDIN, qui commente le-dit arrêt[1], "en
d'autres termes, le bailleur [NdA: l'accusé] a la charge de la preuve
et doit justifier son droit de rétention sur toute ou partie du dépôt
de garantie."
Je peux me tromper,
n'ayant pas fait d'étude de droit contrairement à
vous madame Dominique Gobeaut, mais lorsqu'un avocat, au barreau de
Paris, traduit en termes de tous les jours un arrêt d'une cour de
cassation, j'ai tendance à considérer que j'ai sous les yeux le droit
français tel qu'il est écrit et appliqué.
Donc, pour répondre enfin à votre question : au moins depuis le 1er
février 2011, mais quelque chose me dit que cela remonte à beaucoup
plus loin.
>> Néanmoins je t'accorde
>
> J'aime quand les imbéciles font preuve de condescendance à mon égard :-)
Désolé, mais pour ma part je ne compte pas t'épouser.
[snip]
> Et selon votre raisonnement, la charge de la preuve de mon innocence
> m'incombera alors que Gandi n'aura qu'à dire qu'il est diffamé pour
> qu'on le croit :-D
C'est ce que vous avez affirmé pendant six années dans quelques
milliers de messages, madame Dominique Gobeaut.
Et force est de constater que c'est aussi ainsi qu'est écrit le droit en
matière de diffamation.
Sauf à pouvoir présenter devant la cour le courrier
intégral envoyé par Gandi, à pouvoir démontrer que celui-ci était en
votre possession avant l'écriture de votre message et, évidement, à
considérer que ce courrier dise effectivement ce que vous pensez, vous
seriez condamnée par la justice pour diffamation à l'encontre de la
société Gandi. Ce, non sur la parole de Gandi, mais sur présentation de
vos propos portant atteinte à l'honneur de cette société en la
présentant comme liberticide, voir comme étant aux ordres d'une
certaine catégorie d'hommes politiques.
>> En effet, la phrase, déjà bien longue, que tu cites est coupée en son
>> milieu par des points de suspension et tu ignores absolument tout de ce
>> qui se cache derrière.
>
> Demandez à E7, il a prétendu un jour qu'il connaît quelqu'un chez Gandi
> qui le renseigne _par téléphone_ sur les courriers privés envoyés par
> cette société à ses clients ...
Je n'ai pas à demander divulgation du courrier en question, ce n'est
pas moi qui tient des propos présentant Gandi comme une société peu
fréquentable en me basant sur l'extrapolation du contenu d'un seul et
unique courrier.
>> Bref, partant d'un exposé des faits basé sur des preuves
>> volontairement tronquées, tu tiens des propos portant atteinte à la
>> réputation d'une société et pourrais donc parfaitement avoir un jour à
>> en rendre compte face à un juge.
>
> Dites, Catteau, vous ne seriez pas en train de m'accuser de diffamer
> Gandi? Ce qui est, en soi, une diffamation :-D
J'ennonce des faits, rien que des faits.
Premier fait : confirmés ou non, tes propos portent atteinte à la
réputation de la société Gandi.
Si Gandi portait plainte et si tu ne peux pas faire valoir l'exception de
vérité, ils seraient alors diffamatoires.
Pour autant, tu constateras que je ne me suis pas
substitué à la justice, seule à même de les qualifier. Pour ma part je
me suis contenté de dire qu'ils pourraient tout aussi bien être ainsi
qualifiés.
Second fait : tu n'as à aucun moment indiqué avoir connaissance de la
partie tronquée du courrier, donc tu te bases sur des preuves
volontairement tronquées ; ou tout du moins tu le laisses penser.
Si diffamation il devait y avoir de ma part, ce serait sur ce second
point, dans le cas fort peu probable ou tu aurais en fait eu
connaissance de l'intégralité du courrier avant d'écrire ton message.
Là effectivement, prétendre que tu t'es basée sur des preuves tronquées
serait diffamatoire.
Pour le reste l'exception de vérité est évidente ;
sur usenet l'on ne peut répondre à un message sans l'avoir au préalable
eu sous les yeux et donc en avoir eu connaissance. Le message que tu
aurais à produire pour faire valoir ton préjudice serait donc dans le
même temps l'exception de vérité qui me serait nécessaire pour ne pas
être condamné.
[1]
http://www.legavox.fr/article/immobilier/locations/locataires/charge-preuv
e-defaut-restitution-depot_5719_1.htm
Dominique n'était pas loin de dire :
>>> Vous auriez dû lire la suite :
>>> Gandi écrit : "Si nous étions contraints de nous substituer à vous faute
>>> pour vous d'intervenir dans les délias requis, sur demande expresse de
>>> Monsieur Patrick Balkany (...) notre intervention ne pourra,
>>> techniquement, s'effectuer qu'au niveau de votre serveur dans son
>>> intégralité (son accès pourrait être rendu impossible)."
[snip]
> Balkany n'apporte aucune preuve de préjudice et même pas le début de
> commencement d'action à l'encontre du détenteur du site, alors il me
> semble que la réaction de l'hébergeur est un tantinet disproportionnée
> et surtout trop rapide.
Petite explication de texte :
"Si nous étions contraints de [...]", peut se traduire par, "dans le
cas où éventuellement il y aurait quelque chose qui nous obligerait à
[...] ; nous on dit ça mais on sait pas hein, cela dit il n'est pas
impossible que cela arrive un jour, tout comme il se pourrait
éventuellement que cela n'arrive jamais, mais bon on l'a dit, nous on
sait pas si cela arrivera ou non, donc on vous explique ce que l'on
devra faire lorsque cela arrivera, si d'aventure cela arrivait
évidement, comme ça au moins vous savez ce qui pourrait éventuellement
se passer."
A noter que la version employée par Gandi, si elle semble apparament
plus difficile à comprendre de par l'emploie du conditionnel, n'en
reste pas moins nettement plus courte.
>> De même, tu devrais savoir que le défendeur n'a pas à prouver la
>> diffamation, c'est à l'accusé de démontrer que cela n'en est pas.
>
> Dites, Catteau, vous devriez éviter d'essayer de me donner des leçons
> de droit pénal, hein.
Ca tombe bien, contrairement à toi je n'ai jamais eu la prétention de
donner des leçons de droit, pas plus civil que pénal.
> 2) Depuis quand la charge de la preuve est-elle inversée et où diable
> avez vous lu qu'en droit français c'est à l'accusé d'apporter la preuve
> de son innocence et pas à l'accusation d'apporter la preuve de la
> culpabilité ??
Madame Dominique Gobeaut, auriez-vous déjà oublié ces multiples leçons
de droit que vous avez données à longueur de messages dans les forums
de cette hiérarchie ?
Principalement celles concernant un sujet cher à
votre coeur, la diffamation et son exception de vérité ; cela tombe
bien, c'est très précisément le sujet dont il est question ici.
Mais ce n'est pas le seul cas et il n'est pas nécessaire de fouiller
beaucoup pour en trouver d'autres. Ainsi, l'on pourrait parler de la
décision N° 10-11.603 de la troisième chambre civile de la cour de
cassation (si j'ai bien traduit les abréviations juridiques) en date du
premier février 2011. Cet arrêt, concernant un locataire ayant porté
plainte
contre son bailleur pour non restitution de caution, indique
que c'est au bailleur d'apporter la preuve qu'il n'y a pas là un abus
de sa part.
Selon Maître Matthieu PUYBOURDIN, qui commente le-dit arrêt[1], "en
d'autres termes, le bailleur [NdA: l'accusé] a la charge de la preuve
et doit justifier son droit de rétention sur toute ou partie du dépôt
de garantie."
Je peux me tromper,
n'ayant pas fait d'étude de droit contrairement à
vous madame Dominique Gobeaut, mais lorsqu'un avocat, au barreau de
Paris, traduit en termes de tous les jours un arrêt d'une cour de
cassation, j'ai tendance à considérer que j'ai sous les yeux le droit
français tel qu'il est écrit et appliqué.
Donc, pour répondre enfin à votre question : au moins depuis le 1er
février 2011, mais quelque chose me dit que cela remonte à beaucoup
plus loin.
>> Néanmoins je t'accorde
>
> J'aime quand les imbéciles font preuve de condescendance à mon égard :-)
Désolé, mais pour ma part je ne compte pas t'épouser.
[snip]
> Et selon votre raisonnement, la charge de la preuve de mon innocence
> m'incombera alors que Gandi n'aura qu'à dire qu'il est diffamé pour
> qu'on le croit :-D
C'est ce que vous avez affirmé pendant six années dans quelques
milliers de messages, madame Dominique Gobeaut.
Et force est de constater que c'est aussi ainsi qu'est écrit le droit en
matière de diffamation.
Sauf à pouvoir présenter devant la cour le courrier
intégral envoyé par Gandi, à pouvoir démontrer que celui-ci était en
votre possession avant l'écriture de votre message et, évidement, à
considérer que ce courrier dise effectivement ce que vous pensez, vous
seriez condamnée par la justice pour diffamation à l'encontre de la
société Gandi. Ce, non sur la parole de Gandi, mais sur présentation de
vos propos portant atteinte à l'honneur de cette société en la
présentant comme liberticide, voir comme étant aux ordres d'une
certaine catégorie d'hommes politiques.
>> En effet, la phrase, déjà bien longue, que tu cites est coupée en son
>> milieu par des points de suspension et tu ignores absolument tout de ce
>> qui se cache derrière.
>
> Demandez à E7, il a prétendu un jour qu'il connaît quelqu'un chez Gandi
> qui le renseigne _par téléphone_ sur les courriers privés envoyés par
> cette société à ses clients ...
Je n'ai pas à demander divulgation du courrier en question, ce n'est
pas moi qui tient des propos présentant Gandi comme une société peu
fréquentable en me basant sur l'extrapolation du contenu d'un seul et
unique courrier.
>> Bref, partant d'un exposé des faits basé sur des preuves
>> volontairement tronquées, tu tiens des propos portant atteinte à la
>> réputation d'une société et pourrais donc parfaitement avoir un jour à
>> en rendre compte face à un juge.
>
> Dites, Catteau, vous ne seriez pas en train de m'accuser de diffamer
> Gandi? Ce qui est, en soi, une diffamation :-D
J'ennonce des faits, rien que des faits.
Premier fait : confirmés ou non, tes propos portent atteinte à la
réputation de la société Gandi.
Si Gandi portait plainte et si tu ne peux pas faire valoir l'exception de
vérité, ils seraient alors diffamatoires.
Pour autant, tu constateras que je ne me suis pas
substitué à la justice, seule à même de les qualifier. Pour ma part je
me suis contenté de dire qu'ils pourraient tout aussi bien être ainsi
qualifiés.
Second fait : tu n'as à aucun moment indiqué avoir connaissance de la
partie tronquée du courrier, donc tu te bases sur des preuves
volontairement tronquées ; ou tout du moins tu le laisses penser.
Si diffamation il devait y avoir de ma part, ce serait sur ce second
point, dans le cas fort peu probable ou tu aurais en fait eu
connaissance de l'intégralité du courrier avant d'écrire ton message.
Là effectivement, prétendre que tu t'es basée sur des preuves tronquées
serait diffamatoire.
Pour le reste l'exception de vérité est évidente ;
sur usenet l'on ne peut répondre à un message sans l'avoir au préalable
eu sous les yeux et donc en avoir eu connaissance. Le message que tu
aurais à produire pour faire valoir ton préjudice serait donc dans le
même temps l'exception de vérité qui me serait nécessaire pour ne pas
être condamné.
[1]
http://www.legavox.fr/article/immobilier/locations/locataires/charge-preuv
e-defaut-restitution-depot_5719_1.htm
Le 11/06/2012 10:01, Dominique a écrit :
> Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière
> de plainte pour diffamations :
Trop drôle.
> Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte,
> semble t'il,
Semble-t-il. Vous y arriverez.
Le 11/06/2012 10:01, Dominique a écrit :
> Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière
> de plainte pour diffamations :
Trop drôle.
> Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte,
> semble t'il,
Semble-t-il. Vous y arriverez.
Le 11/06/2012 10:01, Dominique a écrit :
> Au temps pour moi, j'avais oublié que Balkany était un expert en matière
> de plainte pour diffamations :
Trop drôle.
> Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte,
> semble t'il,
Semble-t-il. Vous y arriverez.
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte,
semble t'il,
Semble-t-il. Vous y arriverez.
Oui, Jacques Rouillard, grâce à votre bienveillance légendaire à mon
égard.
Au fait, pendant que je vous tiens,
vous ne pourriez pas communiquer ici
un de mes anciens messages
ça m'éviterait de devoir réécrire la même chose.
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte,
semble t'il,
Semble-t-il. Vous y arriverez.
Oui, Jacques Rouillard, grâce à votre bienveillance légendaire à mon
égard.
Au fait, pendant que je vous tiens,
vous ne pourriez pas communiquer ici
un de mes anciens messages
ça m'éviterait de devoir réécrire la même chose.
Ceci dit, techniquement, ce n'est pas Balkany qui a porté plainte,
semble t'il,
Semble-t-il. Vous y arriverez.
Oui, Jacques Rouillard, grâce à votre bienveillance légendaire à mon
égard.
Au fait, pendant que je vous tiens,
vous ne pourriez pas communiquer ici
un de mes anciens messages
ça m'éviterait de devoir réécrire la même chose.
Menace de rendre l'accès au serveur impossible alors qu'aucune
diffamation n'est prouvée de la part de Balkany, vous trouvez ça légal
comme comportement de la part de l'hébergeur?
Menace de rendre l'accès au serveur impossible alors qu'aucune
diffamation n'est prouvée de la part de Balkany, vous trouvez ça légal
comme comportement de la part de l'hébergeur?
Menace de rendre l'accès au serveur impossible alors qu'aucune
diffamation n'est prouvée de la part de Balkany, vous trouvez ça légal
comme comportement de la part de l'hébergeur?
Moi non, sauf injures racistes ou xénophobes la diffamation ne peut
avoir en soi un caractère *manifestement* illégal. Plus, souligner
*avec humour en pleine campagne électorale* l’absentéisme record du
député sortant me semble a priori relever du simple droit à l'opinion
politique et à la liberté d'expression.
Moi non, sauf injures racistes ou xénophobes la diffamation ne peut
avoir en soi un caractère *manifestement* illégal. Plus, souligner
*avec humour en pleine campagne électorale* l’absentéisme record du
député sortant me semble a priori relever du simple droit à l'opinion
politique et à la liberté d'expression.
Moi non, sauf injures racistes ou xénophobes la diffamation ne peut
avoir en soi un caractère *manifestement* illégal. Plus, souligner
*avec humour en pleine campagne électorale* l’absentéisme record du
député sortant me semble a priori relever du simple droit à l'opinion
politique et à la liberté d'expression.
http://www.pcinpact.com/news/71519-voteinutile-patrick-balkany-lcen-gandi.htm
- La lettre du représentant de Balkany à Gandi affirme mais ne démontre
rien, pas la moindre allégation possiblement diffamatoire n'est
rapportée.
- Je n'ai rien compris aux arguments juridiques de Gandi.
http://www.pcinpact.com/news/71519-voteinutile-patrick-balkany-lcen-gandi.htm
- La lettre du représentant de Balkany à Gandi affirme mais ne démontre
rien, pas la moindre allégation possiblement diffamatoire n'est
rapportée.
- Je n'ai rien compris aux arguments juridiques de Gandi.
http://www.pcinpact.com/news/71519-voteinutile-patrick-balkany-lcen-gandi.htm
- La lettre du représentant de Balkany à Gandi affirme mais ne démontre
rien, pas la moindre allégation possiblement diffamatoire n'est
rapportée.
- Je n'ai rien compris aux arguments juridiques de Gandi.