Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Je vous signale d'ailleurs qu'Orange, lui, a bien compris ce que cela
signifie et renvoie gentiment les soi disant diffamés vers une action en
justice préalable à leur demande de suppression d'un site.
Quant au parallèle effectué par Gandi dans ses réponses avec le commerce de
cannabis, c'est juste risible.
Une comparaison avec le téléchargement illégal aurait été àmha plus sérieuse
à défaut d'être convaincante.
Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Je vous signale d'ailleurs qu'Orange, lui, a bien compris ce que cela
signifie et renvoie gentiment les soi disant diffamés vers une action en
justice préalable à leur demande de suppression d'un site.
Quant au parallèle effectué par Gandi dans ses réponses avec le commerce de
cannabis, c'est juste risible.
Une comparaison avec le téléchargement illégal aurait été àmha plus sérieuse
à défaut d'être convaincante.
Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Je vous signale d'ailleurs qu'Orange, lui, a bien compris ce que cela
signifie et renvoie gentiment les soi disant diffamés vers une action en
justice préalable à leur demande de suppression d'un site.
Quant au parallèle effectué par Gandi dans ses réponses avec le commerce de
cannabis, c'est juste risible.
Une comparaison avec le téléchargement illégal aurait été àmha plus sérieuse
à défaut d'être convaincante.
http://owni.fr/2012/06/08/balkany-le-hacker-et-lhebergeur-diligent/
http://owni.fr/2012/06/08/balkany-le-hacker-et-lhebergeur-diligent/
http://owni.fr/2012/06/08/balkany-le-hacker-et-lhebergeur-diligent/
Dominique devait dire quelque chose comme ceci :Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta citation
et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
tiens dans ton message.
Dominique devait dire quelque chose comme ceci :
Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta citation
et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
tiens dans ton message.
Dominique devait dire quelque chose comme ceci :Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta citation
et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
tiens dans ton message.
Dominique n'était pas loin de dire :
>> Petite explication de texte :
>
> Sous-entendriez vous que la société Gandi n'est pas capable de se faire
> comprendre elle-même de ses clients?
Non, j'affirme que tu n'as pas compris ce qu'impliquait l'emploi du
conditionnel.
> Et nettement moins chargée en fautes d'orthographe et de grammaire...
> Je dis ça, je dis rien car vos fautes ne me dérangent pas, en
> général, [...]
Et ainsi tu te prends pour une oie blanche pendant que tu envoies la
cavalerie m'attaquer sur ce point, gloussant sur ta chaise.
Il y a tellement d'incohérences dans ton message, tellement
d'évidences de ton incapacité à comprendre des notions parfois
élémentaires, que j'ai longtemps hésité avant de te répondre.
En effet, il s'avère que cela n'en vaut tout simplement pas la peine.
Tu as raison en ce qui concerne l'énoncé du droit,
mais dans la majorité des cas tes explications ne correspondent tout
simplement pas à mon propos.
Or, la base même de la communication, qu'elle soit orale ou écrite,
est la compréhension des propos auxquels l'on répond.
Dès lors, tes leçons de droit n'ont qu'une valeur purement théorique ;
elles instruisent le lecteur, mais elles ne font en aucun cas avancer la
discussion.
Cela tout simplement parce que tu réponds à côté de
celle-ci, te lançant dans un monologue à ta gloire, dans l'espoir que
tes interlocuteurs se rattacheront aux wagons.
Néanmoins, il y a quelques points précis qui méritent une réponse, ne
serait-ce que pour te rendre la pareil et t'instruire à mon tour.
A vrai dire, l'ensemble mériterait une réponse plus ferme encore, mais ce
serait-là t'accorder bien plus d'importance que tu n'en auras jamais.
[snip]
> La question que je me pose c'est "Gandi peut-il légalement supprimer
> l'accès à un site qu'il héberge sans aucune décision de justice l'y
> obligeant, juste parce qu'un quelconque péquenot le lui demande?"
Dans ce cas, il serait temps que tu te plonges dans "le français pour
les nuls". En effet, s'il y avait la moindre interrogation dans ton
propos, elle aurait dû se ressentir dès le titre de ton message. Au
lieu d'être affirmatif, celui-ci aurait dû être interrogatif et donc,
pour coller au titre que tu as choisi : "Gandi aurait-il changé (en
mal) ?"
De même, le message ne contenait que deux mots de ta part,
"n'importenawak". A considérer que tu ais voulu écrire en fait
"portenawak", c'est-à-dire "n'importe quoi", il s'agit d'un jugement de
valeur et non d'une interrogation. Et si tu n'as pas voulu écrire
"portenawak", merci de fournir un dictionnaire Gobeaut-français la
prochaine fois.
Dans l'absolue ton commentaire prête à confusion. Se réfère-t-il au
contenu de l'article, ou bien à l'attitude de Gandi ? C'est là que le
titre intervient. Tu y cites nommément Gandi, mieux, de part sa forme
affirmative, tu les y juges. L'interprétation de tes propos ne prête
donc pas à confusion : Tu qualifies de "n'importe quoi" l'attitude de
Gandi.
Autrement dit, ton message est, peu ou prou, l'exacte opposé de la
question que tu voulais, dis-tu maintenant, poser.
[snip]
> Si les responsables de la société Gandi savent lire, ils doivent
> comprendre ici que le blogueur auquel ils s'adressaient est, pour
> l'instant, innocent, et n'a pas à être menacé d'une quelconque
> suspension de l'accès à son blog car cela ressemble fort à une pression
> sur quelqu'un qui n'est même pas encore officiellement mis en cause...
De l'importance du conditonnel. Si tu l'avais employé ici, tu aurais
mis en doute les capacités de lecture des reponsables de Gandi. Ce
n'est certes pas gentil, mais cela ne porte pas atteinte à leur honneur
pour autant. Tout le monde n'est pas capable de "lire", utilisé ici
dans le sens de "comprendre", des documents de travail écrit avec un
jargon spécifique ; que ce soit la notice d'entretien d'une centrale
nucléaire ou un document juridique, ils sont abscons pour le lecteur
lambda.
Mais voilà, tu as employé le présent, tu reconnais donc explicitement
qu'ils savent lire. Là où le conditionnel aurait impliqué
l'interrogation, sous forme d'un implicite, "peut-être ne savent-ils
pas qu'ils ne doivent pas", l'emploi du présent implique l'affirmation
; "[ils] savent lire, ils doivent comprendre", mais comme tu crois
qu'ils ne l'ont pas fait...
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est toi qui l'écrit.
[snip]
>> Désolé, mais pour ma part je ne compte pas t'épouser.
>
> De toute façon, vous n'épousez pas, on le sait.
Là c'est plus personnel, mais c'est encore une démonstration des
raccourcis que tu prends, tant en écriture qu'en lecture. Tu sautes à
la conclusion et t'y accroches, sans tenir compte des autres
possibilités.
En l'occurence, j'eus pu épouser, si elle l'avait désiré. Considérer
que ce n'est moi qui n'épouse pas, c'est aller bien vite en besogne
même si, de fait, c'est maintenant une vérité ; ne l'ayant épousée
elle, je n'en épouserais aucune si d'aventure...
[snip]
> Ben, excusez moi, Stéphane Catteau, mais, pour le moment, le seul qui a
> écrit, à propos de Gandi, les mots " liberticide", "aux ordres d'une
> certaine catégorie d'hommes politiques" et "société peu fréquentable",
> c'est vous :-)
Et pourtant, ces mots résumes tes phrases telles que tu les as
écrites. Mais je note l'effort de ta part. Arriver à retourner
complètement le sens de la discussion pour m'attribuer les propos qui
sont les tiens, cela doit expliquer l'état de fatigue que l'on note
dans la suite de ton message.
[snip]
> Heu? " des preuves volontairement tronquées" c'est votre opinion,
> Stéphane Catteau, pas des faits.
Un paragraphe présenté comme preuve et coupé en son milieu *est* une
preuve volontairement tronquée. C'est un fait, rien qu'un fait.
L'opinion intervient dès lors que l'on extrapole sur les raisons de
cette amputation, or il n'y a rien de cela ici.
Volontairement: adverbe ; Sans contrainte, intentionnellement.
Tronquer: verbe transitif ; Retrancher quelque chose, effectuer des
suppressions.
Aucun des termes que j'ai employé ne présument, dans un sens ou dans
l'autre, des raisons à l'origine de l'acte. Mon propos est donc une
affirmation d'autant plus neutre qu'elle est dépourvue de toute
velléité d'interprétation.
Ainsi, si d'aventure je tronquais volontairement un film que je ferais
voir à mes enfants, ce serait pour les préserver des portions à même de
les choquer gravement et non pour les priver des plus beaux passages ;
l'on peut volontairement tronquer de manière positive, si si si.
[snip]
>> Pour autant, tu constateras que je ne me suis pas
>> substitué à la justice, seule à même de les qualifier. Pour ma part je
>> me suis contenté de dire qu'ils pourraient tout aussi bien être ainsi
>> qualifiés.
>
> La forme dubitative peut être reconnue comme diffamation par les
> tribunaux.
Tout à fait. Mais voilà, le problème c'est que je n'ai absolument pas
employé la forme dubitative ; pas plus que la forme interrogative, qui
elle aussi pourrait être considérée comme diffamatoire.
Je ne sais trop si le problème se situe au niveau de la définition de
"dubitatif" (qui exprime un doute) ou de celle de "contitionnel"
(soumis à une condition), mais soit tu n'as pas compris, soit tu as
volontairement répondu totalement à côté du sujet.
[snip]
> Bon, il fallait le dire _avant _que c'était une blague, Stéphane.
> Allez retourne aider tes enfants à faire leurs devoirs mais fait
> attention, dans la vraie vie, 2+2, ça ne fait pas 5,84598073421
Pour une valeur suffisement grande de 2, si[1]. Etonnant qu'une
personne qui, comme toi, pratique à ce point l'approximation, n'en soit
pas consciente. Quant à l'avertissement sous-jacent, il est amusant à
relever puisque c'est une parole d'experte.
[1]
Je te laisse le soin de trouver la référence.
Dominique n'était pas loin de dire :
>> Petite explication de texte :
>
> Sous-entendriez vous que la société Gandi n'est pas capable de se faire
> comprendre elle-même de ses clients?
Non, j'affirme que tu n'as pas compris ce qu'impliquait l'emploi du
conditionnel.
> Et nettement moins chargée en fautes d'orthographe et de grammaire...
> Je dis ça, je dis rien car vos fautes ne me dérangent pas, en
> général, [...]
Et ainsi tu te prends pour une oie blanche pendant que tu envoies la
cavalerie m'attaquer sur ce point, gloussant sur ta chaise.
Il y a tellement d'incohérences dans ton message, tellement
d'évidences de ton incapacité à comprendre des notions parfois
élémentaires, que j'ai longtemps hésité avant de te répondre.
En effet, il s'avère que cela n'en vaut tout simplement pas la peine.
Tu as raison en ce qui concerne l'énoncé du droit,
mais dans la majorité des cas tes explications ne correspondent tout
simplement pas à mon propos.
Or, la base même de la communication, qu'elle soit orale ou écrite,
est la compréhension des propos auxquels l'on répond.
Dès lors, tes leçons de droit n'ont qu'une valeur purement théorique ;
elles instruisent le lecteur, mais elles ne font en aucun cas avancer la
discussion.
Cela tout simplement parce que tu réponds à côté de
celle-ci, te lançant dans un monologue à ta gloire, dans l'espoir que
tes interlocuteurs se rattacheront aux wagons.
Néanmoins, il y a quelques points précis qui méritent une réponse, ne
serait-ce que pour te rendre la pareil et t'instruire à mon tour.
A vrai dire, l'ensemble mériterait une réponse plus ferme encore, mais ce
serait-là t'accorder bien plus d'importance que tu n'en auras jamais.
[snip]
> La question que je me pose c'est "Gandi peut-il légalement supprimer
> l'accès à un site qu'il héberge sans aucune décision de justice l'y
> obligeant, juste parce qu'un quelconque péquenot le lui demande?"
Dans ce cas, il serait temps que tu te plonges dans "le français pour
les nuls". En effet, s'il y avait la moindre interrogation dans ton
propos, elle aurait dû se ressentir dès le titre de ton message. Au
lieu d'être affirmatif, celui-ci aurait dû être interrogatif et donc,
pour coller au titre que tu as choisi : "Gandi aurait-il changé (en
mal) ?"
De même, le message ne contenait que deux mots de ta part,
"n'importenawak". A considérer que tu ais voulu écrire en fait
"portenawak", c'est-à-dire "n'importe quoi", il s'agit d'un jugement de
valeur et non d'une interrogation. Et si tu n'as pas voulu écrire
"portenawak", merci de fournir un dictionnaire Gobeaut-français la
prochaine fois.
Dans l'absolue ton commentaire prête à confusion. Se réfère-t-il au
contenu de l'article, ou bien à l'attitude de Gandi ? C'est là que le
titre intervient. Tu y cites nommément Gandi, mieux, de part sa forme
affirmative, tu les y juges. L'interprétation de tes propos ne prête
donc pas à confusion : Tu qualifies de "n'importe quoi" l'attitude de
Gandi.
Autrement dit, ton message est, peu ou prou, l'exacte opposé de la
question que tu voulais, dis-tu maintenant, poser.
[snip]
> Si les responsables de la société Gandi savent lire, ils doivent
> comprendre ici que le blogueur auquel ils s'adressaient est, pour
> l'instant, innocent, et n'a pas à être menacé d'une quelconque
> suspension de l'accès à son blog car cela ressemble fort à une pression
> sur quelqu'un qui n'est même pas encore officiellement mis en cause...
De l'importance du conditonnel. Si tu l'avais employé ici, tu aurais
mis en doute les capacités de lecture des reponsables de Gandi. Ce
n'est certes pas gentil, mais cela ne porte pas atteinte à leur honneur
pour autant. Tout le monde n'est pas capable de "lire", utilisé ici
dans le sens de "comprendre", des documents de travail écrit avec un
jargon spécifique ; que ce soit la notice d'entretien d'une centrale
nucléaire ou un document juridique, ils sont abscons pour le lecteur
lambda.
Mais voilà, tu as employé le présent, tu reconnais donc explicitement
qu'ils savent lire. Là où le conditionnel aurait impliqué
l'interrogation, sous forme d'un implicite, "peut-être ne savent-ils
pas qu'ils ne doivent pas", l'emploi du présent implique l'affirmation
; "[ils] savent lire, ils doivent comprendre", mais comme tu crois
qu'ils ne l'ont pas fait...
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est toi qui l'écrit.
[snip]
>> Désolé, mais pour ma part je ne compte pas t'épouser.
>
> De toute façon, vous n'épousez pas, on le sait.
Là c'est plus personnel, mais c'est encore une démonstration des
raccourcis que tu prends, tant en écriture qu'en lecture. Tu sautes à
la conclusion et t'y accroches, sans tenir compte des autres
possibilités.
En l'occurence, j'eus pu épouser, si elle l'avait désiré. Considérer
que ce n'est moi qui n'épouse pas, c'est aller bien vite en besogne
même si, de fait, c'est maintenant une vérité ; ne l'ayant épousée
elle, je n'en épouserais aucune si d'aventure...
[snip]
> Ben, excusez moi, Stéphane Catteau, mais, pour le moment, le seul qui a
> écrit, à propos de Gandi, les mots " liberticide", "aux ordres d'une
> certaine catégorie d'hommes politiques" et "société peu fréquentable",
> c'est vous :-)
Et pourtant, ces mots résumes tes phrases telles que tu les as
écrites. Mais je note l'effort de ta part. Arriver à retourner
complètement le sens de la discussion pour m'attribuer les propos qui
sont les tiens, cela doit expliquer l'état de fatigue que l'on note
dans la suite de ton message.
[snip]
> Heu? " des preuves volontairement tronquées" c'est votre opinion,
> Stéphane Catteau, pas des faits.
Un paragraphe présenté comme preuve et coupé en son milieu *est* une
preuve volontairement tronquée. C'est un fait, rien qu'un fait.
L'opinion intervient dès lors que l'on extrapole sur les raisons de
cette amputation, or il n'y a rien de cela ici.
Volontairement: adverbe ; Sans contrainte, intentionnellement.
Tronquer: verbe transitif ; Retrancher quelque chose, effectuer des
suppressions.
Aucun des termes que j'ai employé ne présument, dans un sens ou dans
l'autre, des raisons à l'origine de l'acte. Mon propos est donc une
affirmation d'autant plus neutre qu'elle est dépourvue de toute
velléité d'interprétation.
Ainsi, si d'aventure je tronquais volontairement un film que je ferais
voir à mes enfants, ce serait pour les préserver des portions à même de
les choquer gravement et non pour les priver des plus beaux passages ;
l'on peut volontairement tronquer de manière positive, si si si.
[snip]
>> Pour autant, tu constateras que je ne me suis pas
>> substitué à la justice, seule à même de les qualifier. Pour ma part je
>> me suis contenté de dire qu'ils pourraient tout aussi bien être ainsi
>> qualifiés.
>
> La forme dubitative peut être reconnue comme diffamation par les
> tribunaux.
Tout à fait. Mais voilà, le problème c'est que je n'ai absolument pas
employé la forme dubitative ; pas plus que la forme interrogative, qui
elle aussi pourrait être considérée comme diffamatoire.
Je ne sais trop si le problème se situe au niveau de la définition de
"dubitatif" (qui exprime un doute) ou de celle de "contitionnel"
(soumis à une condition), mais soit tu n'as pas compris, soit tu as
volontairement répondu totalement à côté du sujet.
[snip]
> Bon, il fallait le dire _avant _que c'était une blague, Stéphane.
> Allez retourne aider tes enfants à faire leurs devoirs mais fait
> attention, dans la vraie vie, 2+2, ça ne fait pas 5,84598073421
Pour une valeur suffisement grande de 2, si[1]. Etonnant qu'une
personne qui, comme toi, pratique à ce point l'approximation, n'en soit
pas consciente. Quant à l'avertissement sous-jacent, il est amusant à
relever puisque c'est une parole d'experte.
[1]
Je te laisse le soin de trouver la référence.
Dominique n'était pas loin de dire :
>> Petite explication de texte :
>
> Sous-entendriez vous que la société Gandi n'est pas capable de se faire
> comprendre elle-même de ses clients?
Non, j'affirme que tu n'as pas compris ce qu'impliquait l'emploi du
conditionnel.
> Et nettement moins chargée en fautes d'orthographe et de grammaire...
> Je dis ça, je dis rien car vos fautes ne me dérangent pas, en
> général, [...]
Et ainsi tu te prends pour une oie blanche pendant que tu envoies la
cavalerie m'attaquer sur ce point, gloussant sur ta chaise.
Il y a tellement d'incohérences dans ton message, tellement
d'évidences de ton incapacité à comprendre des notions parfois
élémentaires, que j'ai longtemps hésité avant de te répondre.
En effet, il s'avère que cela n'en vaut tout simplement pas la peine.
Tu as raison en ce qui concerne l'énoncé du droit,
mais dans la majorité des cas tes explications ne correspondent tout
simplement pas à mon propos.
Or, la base même de la communication, qu'elle soit orale ou écrite,
est la compréhension des propos auxquels l'on répond.
Dès lors, tes leçons de droit n'ont qu'une valeur purement théorique ;
elles instruisent le lecteur, mais elles ne font en aucun cas avancer la
discussion.
Cela tout simplement parce que tu réponds à côté de
celle-ci, te lançant dans un monologue à ta gloire, dans l'espoir que
tes interlocuteurs se rattacheront aux wagons.
Néanmoins, il y a quelques points précis qui méritent une réponse, ne
serait-ce que pour te rendre la pareil et t'instruire à mon tour.
A vrai dire, l'ensemble mériterait une réponse plus ferme encore, mais ce
serait-là t'accorder bien plus d'importance que tu n'en auras jamais.
[snip]
> La question que je me pose c'est "Gandi peut-il légalement supprimer
> l'accès à un site qu'il héberge sans aucune décision de justice l'y
> obligeant, juste parce qu'un quelconque péquenot le lui demande?"
Dans ce cas, il serait temps que tu te plonges dans "le français pour
les nuls". En effet, s'il y avait la moindre interrogation dans ton
propos, elle aurait dû se ressentir dès le titre de ton message. Au
lieu d'être affirmatif, celui-ci aurait dû être interrogatif et donc,
pour coller au titre que tu as choisi : "Gandi aurait-il changé (en
mal) ?"
De même, le message ne contenait que deux mots de ta part,
"n'importenawak". A considérer que tu ais voulu écrire en fait
"portenawak", c'est-à-dire "n'importe quoi", il s'agit d'un jugement de
valeur et non d'une interrogation. Et si tu n'as pas voulu écrire
"portenawak", merci de fournir un dictionnaire Gobeaut-français la
prochaine fois.
Dans l'absolue ton commentaire prête à confusion. Se réfère-t-il au
contenu de l'article, ou bien à l'attitude de Gandi ? C'est là que le
titre intervient. Tu y cites nommément Gandi, mieux, de part sa forme
affirmative, tu les y juges. L'interprétation de tes propos ne prête
donc pas à confusion : Tu qualifies de "n'importe quoi" l'attitude de
Gandi.
Autrement dit, ton message est, peu ou prou, l'exacte opposé de la
question que tu voulais, dis-tu maintenant, poser.
[snip]
> Si les responsables de la société Gandi savent lire, ils doivent
> comprendre ici que le blogueur auquel ils s'adressaient est, pour
> l'instant, innocent, et n'a pas à être menacé d'une quelconque
> suspension de l'accès à son blog car cela ressemble fort à une pression
> sur quelqu'un qui n'est même pas encore officiellement mis en cause...
De l'importance du conditonnel. Si tu l'avais employé ici, tu aurais
mis en doute les capacités de lecture des reponsables de Gandi. Ce
n'est certes pas gentil, mais cela ne porte pas atteinte à leur honneur
pour autant. Tout le monde n'est pas capable de "lire", utilisé ici
dans le sens de "comprendre", des documents de travail écrit avec un
jargon spécifique ; que ce soit la notice d'entretien d'une centrale
nucléaire ou un document juridique, ils sont abscons pour le lecteur
lambda.
Mais voilà, tu as employé le présent, tu reconnais donc explicitement
qu'ils savent lire. Là où le conditionnel aurait impliqué
l'interrogation, sous forme d'un implicite, "peut-être ne savent-ils
pas qu'ils ne doivent pas", l'emploi du présent implique l'affirmation
; "[ils] savent lire, ils doivent comprendre", mais comme tu crois
qu'ils ne l'ont pas fait...
Ce n'est pas moi qui le dit, c'est toi qui l'écrit.
[snip]
>> Désolé, mais pour ma part je ne compte pas t'épouser.
>
> De toute façon, vous n'épousez pas, on le sait.
Là c'est plus personnel, mais c'est encore une démonstration des
raccourcis que tu prends, tant en écriture qu'en lecture. Tu sautes à
la conclusion et t'y accroches, sans tenir compte des autres
possibilités.
En l'occurence, j'eus pu épouser, si elle l'avait désiré. Considérer
que ce n'est moi qui n'épouse pas, c'est aller bien vite en besogne
même si, de fait, c'est maintenant une vérité ; ne l'ayant épousée
elle, je n'en épouserais aucune si d'aventure...
[snip]
> Ben, excusez moi, Stéphane Catteau, mais, pour le moment, le seul qui a
> écrit, à propos de Gandi, les mots " liberticide", "aux ordres d'une
> certaine catégorie d'hommes politiques" et "société peu fréquentable",
> c'est vous :-)
Et pourtant, ces mots résumes tes phrases telles que tu les as
écrites. Mais je note l'effort de ta part. Arriver à retourner
complètement le sens de la discussion pour m'attribuer les propos qui
sont les tiens, cela doit expliquer l'état de fatigue que l'on note
dans la suite de ton message.
[snip]
> Heu? " des preuves volontairement tronquées" c'est votre opinion,
> Stéphane Catteau, pas des faits.
Un paragraphe présenté comme preuve et coupé en son milieu *est* une
preuve volontairement tronquée. C'est un fait, rien qu'un fait.
L'opinion intervient dès lors que l'on extrapole sur les raisons de
cette amputation, or il n'y a rien de cela ici.
Volontairement: adverbe ; Sans contrainte, intentionnellement.
Tronquer: verbe transitif ; Retrancher quelque chose, effectuer des
suppressions.
Aucun des termes que j'ai employé ne présument, dans un sens ou dans
l'autre, des raisons à l'origine de l'acte. Mon propos est donc une
affirmation d'autant plus neutre qu'elle est dépourvue de toute
velléité d'interprétation.
Ainsi, si d'aventure je tronquais volontairement un film que je ferais
voir à mes enfants, ce serait pour les préserver des portions à même de
les choquer gravement et non pour les priver des plus beaux passages ;
l'on peut volontairement tronquer de manière positive, si si si.
[snip]
>> Pour autant, tu constateras que je ne me suis pas
>> substitué à la justice, seule à même de les qualifier. Pour ma part je
>> me suis contenté de dire qu'ils pourraient tout aussi bien être ainsi
>> qualifiés.
>
> La forme dubitative peut être reconnue comme diffamation par les
> tribunaux.
Tout à fait. Mais voilà, le problème c'est que je n'ai absolument pas
employé la forme dubitative ; pas plus que la forme interrogative, qui
elle aussi pourrait être considérée comme diffamatoire.
Je ne sais trop si le problème se situe au niveau de la définition de
"dubitatif" (qui exprime un doute) ou de celle de "contitionnel"
(soumis à une condition), mais soit tu n'as pas compris, soit tu as
volontairement répondu totalement à côté du sujet.
[snip]
> Bon, il fallait le dire _avant _que c'était une blague, Stéphane.
> Allez retourne aider tes enfants à faire leurs devoirs mais fait
> attention, dans la vraie vie, 2+2, ça ne fait pas 5,84598073421
Pour une valeur suffisement grande de 2, si[1]. Etonnant qu'une
personne qui, comme toi, pratique à ce point l'approximation, n'en soit
pas consciente. Quant à l'avertissement sous-jacent, il est amusant à
relever puisque c'est une parole d'experte.
[1]
Je te laisse le soin de trouver la référence.
Le 17/06/2012 18:27, Stéphane Catteau a écrit :Fat Dominique devait pérorer comme à son habitude :Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement
fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande
de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni
le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta
citation
et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
tiens dans ton message.
Tout est dans "manifestement illégale", or affubler dans un article un
parlementaire d'un bonnet d'âne ce n'est pas plus que de dessiner la
tête de Louis XVI en forme de poire, les articles satyriques ont des
des siècles d'existence.
Le 17/06/2012 18:27, Stéphane Catteau a écrit :
Fat Dominique devait pérorer comme à son habitude :
Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement
fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande
de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni
le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta
citation
et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
tiens dans ton message.
Tout est dans "manifestement illégale", or affubler dans un article un
parlementaire d'un bonnet d'âne ce n'est pas plus que de dessiner la
tête de Louis XVI en forme de poire, les articles satyriques ont des
des siècles d'existence.
Le 17/06/2012 18:27, Stéphane Catteau a écrit :Fat Dominique devait pérorer comme à son habitude :Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement
fourni le
lien:
"Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande
de juger
si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni
le juge
d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta
citation
et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
tiens dans ton message.
Tout est dans "manifestement illégale", or affubler dans un article un
parlementaire d'un bonnet d'âne ce n'est pas plus que de dessiner la
tête de Louis XVI en forme de poire, les articles satyriques ont des
des siècles d'existence.
La tête en forme de poire, c'était Louis Philippe.
Vous permettrez
certainement qu'on vous affuble d'un bonnet d'âne ?...
La tête en forme de poire, c'était Louis Philippe.
Vous permettrez
certainement qu'on vous affuble d'un bonnet d'âne ?...
La tête en forme de poire, c'était Louis Philippe.
Vous permettrez
certainement qu'on vous affuble d'un bonnet d'âne ?...
Le 17/06/2012 18:27, Stéphane Catteau a écrit :
> Dominique devait dire quelque chose comme ceci :
>
>> Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
>> lien:
>> "Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
>> si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
>>
>> Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
>> diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
>> d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
>
> Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
> jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta citation
> et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
> tiens dans ton message.
Tout est dans "manifestement illégale", or affubler dans un article un
parlementaire d'un bonnet d'âne ce n'est pas plus que de dessiner la
tête de Louis XVI en forme de poire, les articles satyriques ont des
des siècles d'existence.
Un exemple "non manifestement illégal" pour la route:
http://www.maitre-eolas.fr/images/miquets/Semaine%20rouge/soulevnul.png
Le 17/06/2012 18:27, Stéphane Catteau a écrit :
> Dominique devait dire quelque chose comme ceci :
>
>> Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
>> lien:
>> "Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
>> si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
>>
>> Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
>> diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
>> d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
>
> Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
> jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta citation
> et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
> tiens dans ton message.
Tout est dans "manifestement illégale", or affubler dans un article un
parlementaire d'un bonnet d'âne ce n'est pas plus que de dessiner la
tête de Louis XVI en forme de poire, les articles satyriques ont des
des siècles d'existence.
Un exemple "non manifestement illégal" pour la route:
http://www.maitre-eolas.fr/images/miquets/Semaine%20rouge/soulevnul.png
Le 17/06/2012 18:27, Stéphane Catteau a écrit :
> Dominique devait dire quelque chose comme ceci :
>
>> Bon, prenons l'argumentaire de Gandi dont vous avez aimablement fourni le
>> lien:
>> "Nous, hébergeur et absolument pas magistrats, la Loi nous demande de juger
>> si un contenu est "manifestement" illégal. Fabuleux non ?"
>>
>> Oui, cette méconnaissance de la loi par Gandi est fabuleuse car, la
>> diffamation a ceci de particulier que personne (ni le procureur ni le juge
>> d'instruction) ne peut la trouver "manifestement illégale".
>
> Tu cites, mais tu ne comprends pas. Tous les mots ont leur rôle à
> jouer, même l'ironique interrogation que tu as incluse dans ta citation
> et qui résume, en deux mots, l'ensemble du propos juridique que tu
> tiens dans ton message.
Tout est dans "manifestement illégale", or affubler dans un article un
parlementaire d'un bonnet d'âne ce n'est pas plus que de dessiner la
tête de Louis XVI en forme de poire, les articles satyriques ont des
des siècles d'existence.
Un exemple "non manifestement illégal" pour la route:
http://www.maitre-eolas.fr/images/miquets/Semaine%20rouge/soulevnul.png
Le 19/06/2012 15:45, Morokon a écrit :
> La tête en forme de poire, c'était Louis Philippe.
Exact après vérif...
> Vous permettrez
> certainement qu'on vous affuble d'un bonnet d'âne ?...
Toutafé, voire des oreilles de Mickey:
http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/02/1353078938.jpg
Le 19/06/2012 15:45, Morokon a écrit :
> La tête en forme de poire, c'était Louis Philippe.
Exact après vérif...
> Vous permettrez
> certainement qu'on vous affuble d'un bonnet d'âne ?...
Toutafé, voire des oreilles de Mickey:
http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/02/1353078938.jpg
Le 19/06/2012 15:45, Morokon a écrit :
> La tête en forme de poire, c'était Louis Philippe.
Exact après vérif...
> Vous permettrez
> certainement qu'on vous affuble d'un bonnet d'âne ?...
Toutafé, voire des oreilles de Mickey:
http://euro-synergies.hautetfort.com/media/00/02/1353078938.jpg