Jo Kerr , dans le message , a
écrit :Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Jo Kerr , dans le message <mn.aa3e7dbbd5e53894.115094@cappucino.com>, a
écrit :
Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Jo Kerr , dans le message , a
écrit :Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Nicolas George a utilisé son clavier pour écrire :Jo Kerr , dans le message , a
écrit :Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Bon puisque tu veux jouer:
Quel est avis sur les raisons qui font qu'un constructeur de GPS
tournant sous Linux, ne fournit pas de programme associé pour PC sous
Linux ?
Nicolas George a utilisé son clavier pour écrire :
Jo Kerr , dans le message <mn.aa3e7dbbd5e53894.115094@cappucino.com>, a
écrit :
Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Bon puisque tu veux jouer:
Quel est avis sur les raisons qui font qu'un constructeur de GPS
tournant sous Linux, ne fournit pas de programme associé pour PC sous
Linux ?
Nicolas George a utilisé son clavier pour écrire :Jo Kerr , dans le message , a
écrit :Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Bon puisque tu veux jouer:
Quel est avis sur les raisons qui font qu'un constructeur de GPS
tournant sous Linux, ne fournit pas de programme associé pour PC sous
Linux ?
Non, les fondements légaux se trouvent dans la loi. Et la loi dit à c e sujet
une chose et une seule : on ne peut distribuer une oeuvre de l'esprit
qu'avec l'autorisation de l'auteur, qui peut poser les conditions qu'il v eut
pour la donner. Tout le reste, ce sont les limites et restrictions à ce tte
règle.
Non, les fondements légaux se trouvent dans la loi. Et la loi dit à c e sujet
une chose et une seule : on ne peut distribuer une oeuvre de l'esprit
qu'avec l'autorisation de l'auteur, qui peut poser les conditions qu'il v eut
pour la donner. Tout le reste, ce sont les limites et restrictions à ce tte
règle.
Non, les fondements légaux se trouvent dans la loi. Et la loi dit à c e sujet
une chose et une seule : on ne peut distribuer une oeuvre de l'esprit
qu'avec l'autorisation de l'auteur, qui peut poser les conditions qu'il v eut
pour la donner. Tout le reste, ce sont les limites et restrictions à ce tte
règle.
Tu n'as pas du bien comprendre le principe même
du ->copyleft<- propre au libre qui consiste justement
a abandonner ton soi-disant "fondement légal" :)
Quelle loi ? Celle de la nationalité de l'auteur ?
Quel auteur ? dans des projets constitués de contributions
de 100aines de personnes de nationalité diverses et variées
tu en prends un au hasard ?
Tu n'as pas du bien comprendre le principe même
du ->copyleft<- propre au libre qui consiste justement
a abandonner ton soi-disant "fondement légal" :)
Quelle loi ? Celle de la nationalité de l'auteur ?
Quel auteur ? dans des projets constitués de contributions
de 100aines de personnes de nationalité diverses et variées
tu en prends un au hasard ?
Tu n'as pas du bien comprendre le principe même
du ->copyleft<- propre au libre qui consiste justement
a abandonner ton soi-disant "fondement légal" :)
Quelle loi ? Celle de la nationalité de l'auteur ?
Quel auteur ? dans des projets constitués de contributions
de 100aines de personnes de nationalité diverses et variées
tu en prends un au hasard ?
Jo Kerr , dans le message , a
écrit :Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Jo Kerr , dans le message <mn.aa3e7dbbd5e53894.115094@cappucino.com>, a
écrit :
Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Jo Kerr , dans le message , a
écrit :Tu as toujours été très bref et concis dans tes réponses. Mais là tu
évites de répondre.
Tu n'as pas posé de question.
Yliur , dans le message , a
écrit :
> Ce n'est pas écrit directement comme ça mais dans l'article 5, qui
> précise les conditions dans lesquelles il est possible de
> redistribuer les sources modifiées,
Il n'est pas question de distribuer des sources modifiées, il est
question de distribuer un programme qui « dépend ».
> Le paragraphe qui suit les 4 points de l'article 5 indique dans
> quelles conditions ça peut être considéré comme un agrégat plutôt
> qu'un ensemble : si les morceaux sont indépendants et ne sont pas
> par nature des extensions de l'oeuvre.
Oui, c'est bien joli, mais tout ça ne peut s'appliquer que dans la
mesure où la loi lui permet de s'appliquer. Cf. mon autre message :
Et la loi dit à ce sujet une chose et une seule : on ne peut
distribuer une oeuvre de l'esprit qu'avec l'autorisation de l'auteur,
qui peut poser les conditions qu'il veut pour accorder son
autorisation.
Si ce que tu distribues ne contient absolument rien que des choses
dont tu es l'auteur, personne ne peut t'imposer quoi que ce soit.
Plus précisément :
- La loi qui sous-tend les licences est celle de la propriété
littéraire et artistique, elle n'évoque pas le fait qu'un programme
marche ou pas, pas plus qu'elle n'évoque le fait qu'un roman ou un
tableau marche ou pas, parce que ça n'a pas de sens. Heureusement
pour certains éditeurs, soit dit en passant.
Donc le fait que ton programme ne puisse pas marcher en l'absence
de tel ou tel autre composant additionnel n'est pas pertinent : tu as
le droit de distribuer un programme dont la seule fonction est
d'afficher une erreur de liaison dynamique.
- Lorsqu'on compile un programme dépendant d'une bibliothèque, même
chargée dynamiquement, on embarque dans le binaire de petits bouts de
la bibliothèque : les définitions dans les entêtes, bien sûr, mais
aussi quelques bouts qui sont lus statiquement depuis l'objet partagé.
C'est sur ce point, et uniquement sur ce point, que repose,
juridiquement, l'aspect viral de la GPL : tu embarques des bouts de
la bibliothèque dans ton binaire, donc pour le redistribuer tu as
besoin de l'autorisation de l'auteur, qui te l'accorde si tu publies
également tes sources sous GPL.
Conséquences :
- Tu as parfaitement le droit de distribuer avec une licence fermée
les sources d'un programme qui dépend d'une bibliothèque sous GPL. Tu
n'auras pas le droit de distribuer de binaire de ce programme sous
cette licence, mais les gens qui le reçoivent peuvent produire ce
binaire sous leur propre responsabilité.
- Si tu produis un binaire sur un système où telle bibliothèque n'est
pas installée, alors la licence de cette bibliothèque ne peut pas
contraindre la licence de ton programme.
Dans le cas de la GPL, ça peut se produire ainsi : tu développes ton
programme avec la bibliothèque. En interne, donc pas de restriction
sur la redistribution. Puis tu développes une nouvelle implémentation
de la bibliothèque, avec la même interface, que tu mets sous la
licence que tu veux. Cette implémentation peut être toute pourrie,
voire ne pas marcher du tout, ce n'est pas grave. Tu produis le
binaire que tu vas distribuer en utilisant cette nouvelle
implémentation : ce binaire n'est pas concerné par la GPL. Pour
finir, tu produis ton CD d'installation avec le binaire à toi et
l'objet partagé de la bibliothèque sous GPL, plus les sources de
celles-ci, telles que tu les as récupérées sur le web. Si tu veux
être absolument sûr, tu mets sur ton CD l'objet partagé de ta version
de la bibliothèque, et la version GPL dans un autre répertoire, et tu
fais faire le boulot de mélange par le programme d'installation.
Il y a une difficulté dans ce qui précède : produire une
bibliothèque ayant la même interface sans copier l'interface. Pour
ça, il est possible de procéder ainsi : supposons que la bibliothèque
à copier s'appelle liba. Tu écris une bibliothèque liba-simple qui
emballe les fonction de liba dans une interface légèrement plus
simple et adaptée à ton programme. Tu devras distribuer liba-simple
sous GPL, mais c'est du code trivial, donc ce n'est pas un gros coût.
Ensuite, tu réimplémentes liba-simple : cette fois-ci, tu as le droit
de copier l'interface, puisque tu en es l'auteur.
Évidemment, tout ceci n'est pas écrit dans la licence, ni sur les
sites qui recommandent son usage : on ne veut certainement pas que
trop de monde sache qu'il est si facile de contourner les
restrictions.
Yliur , dans le message <20111121012151.0b0c76c5@alcheringa>, a
écrit :
> Ce n'est pas écrit directement comme ça mais dans l'article 5, qui
> précise les conditions dans lesquelles il est possible de
> redistribuer les sources modifiées,
Il n'est pas question de distribuer des sources modifiées, il est
question de distribuer un programme qui « dépend ».
> Le paragraphe qui suit les 4 points de l'article 5 indique dans
> quelles conditions ça peut être considéré comme un agrégat plutôt
> qu'un ensemble : si les morceaux sont indépendants et ne sont pas
> par nature des extensions de l'oeuvre.
Oui, c'est bien joli, mais tout ça ne peut s'appliquer que dans la
mesure où la loi lui permet de s'appliquer. Cf. mon autre message :
Et la loi dit à ce sujet une chose et une seule : on ne peut
distribuer une oeuvre de l'esprit qu'avec l'autorisation de l'auteur,
qui peut poser les conditions qu'il veut pour accorder son
autorisation.
Si ce que tu distribues ne contient absolument rien que des choses
dont tu es l'auteur, personne ne peut t'imposer quoi que ce soit.
Plus précisément :
- La loi qui sous-tend les licences est celle de la propriété
littéraire et artistique, elle n'évoque pas le fait qu'un programme
marche ou pas, pas plus qu'elle n'évoque le fait qu'un roman ou un
tableau marche ou pas, parce que ça n'a pas de sens. Heureusement
pour certains éditeurs, soit dit en passant.
Donc le fait que ton programme ne puisse pas marcher en l'absence
de tel ou tel autre composant additionnel n'est pas pertinent : tu as
le droit de distribuer un programme dont la seule fonction est
d'afficher une erreur de liaison dynamique.
- Lorsqu'on compile un programme dépendant d'une bibliothèque, même
chargée dynamiquement, on embarque dans le binaire de petits bouts de
la bibliothèque : les définitions dans les entêtes, bien sûr, mais
aussi quelques bouts qui sont lus statiquement depuis l'objet partagé.
C'est sur ce point, et uniquement sur ce point, que repose,
juridiquement, l'aspect viral de la GPL : tu embarques des bouts de
la bibliothèque dans ton binaire, donc pour le redistribuer tu as
besoin de l'autorisation de l'auteur, qui te l'accorde si tu publies
également tes sources sous GPL.
Conséquences :
- Tu as parfaitement le droit de distribuer avec une licence fermée
les sources d'un programme qui dépend d'une bibliothèque sous GPL. Tu
n'auras pas le droit de distribuer de binaire de ce programme sous
cette licence, mais les gens qui le reçoivent peuvent produire ce
binaire sous leur propre responsabilité.
- Si tu produis un binaire sur un système où telle bibliothèque n'est
pas installée, alors la licence de cette bibliothèque ne peut pas
contraindre la licence de ton programme.
Dans le cas de la GPL, ça peut se produire ainsi : tu développes ton
programme avec la bibliothèque. En interne, donc pas de restriction
sur la redistribution. Puis tu développes une nouvelle implémentation
de la bibliothèque, avec la même interface, que tu mets sous la
licence que tu veux. Cette implémentation peut être toute pourrie,
voire ne pas marcher du tout, ce n'est pas grave. Tu produis le
binaire que tu vas distribuer en utilisant cette nouvelle
implémentation : ce binaire n'est pas concerné par la GPL. Pour
finir, tu produis ton CD d'installation avec le binaire à toi et
l'objet partagé de la bibliothèque sous GPL, plus les sources de
celles-ci, telles que tu les as récupérées sur le web. Si tu veux
être absolument sûr, tu mets sur ton CD l'objet partagé de ta version
de la bibliothèque, et la version GPL dans un autre répertoire, et tu
fais faire le boulot de mélange par le programme d'installation.
Il y a une difficulté dans ce qui précède : produire une
bibliothèque ayant la même interface sans copier l'interface. Pour
ça, il est possible de procéder ainsi : supposons que la bibliothèque
à copier s'appelle liba. Tu écris une bibliothèque liba-simple qui
emballe les fonction de liba dans une interface légèrement plus
simple et adaptée à ton programme. Tu devras distribuer liba-simple
sous GPL, mais c'est du code trivial, donc ce n'est pas un gros coût.
Ensuite, tu réimplémentes liba-simple : cette fois-ci, tu as le droit
de copier l'interface, puisque tu en es l'auteur.
Évidemment, tout ceci n'est pas écrit dans la licence, ni sur les
sites qui recommandent son usage : on ne veut certainement pas que
trop de monde sache qu'il est si facile de contourner les
restrictions.
Yliur , dans le message , a
écrit :
> Ce n'est pas écrit directement comme ça mais dans l'article 5, qui
> précise les conditions dans lesquelles il est possible de
> redistribuer les sources modifiées,
Il n'est pas question de distribuer des sources modifiées, il est
question de distribuer un programme qui « dépend ».
> Le paragraphe qui suit les 4 points de l'article 5 indique dans
> quelles conditions ça peut être considéré comme un agrégat plutôt
> qu'un ensemble : si les morceaux sont indépendants et ne sont pas
> par nature des extensions de l'oeuvre.
Oui, c'est bien joli, mais tout ça ne peut s'appliquer que dans la
mesure où la loi lui permet de s'appliquer. Cf. mon autre message :
Et la loi dit à ce sujet une chose et une seule : on ne peut
distribuer une oeuvre de l'esprit qu'avec l'autorisation de l'auteur,
qui peut poser les conditions qu'il veut pour accorder son
autorisation.
Si ce que tu distribues ne contient absolument rien que des choses
dont tu es l'auteur, personne ne peut t'imposer quoi que ce soit.
Plus précisément :
- La loi qui sous-tend les licences est celle de la propriété
littéraire et artistique, elle n'évoque pas le fait qu'un programme
marche ou pas, pas plus qu'elle n'évoque le fait qu'un roman ou un
tableau marche ou pas, parce que ça n'a pas de sens. Heureusement
pour certains éditeurs, soit dit en passant.
Donc le fait que ton programme ne puisse pas marcher en l'absence
de tel ou tel autre composant additionnel n'est pas pertinent : tu as
le droit de distribuer un programme dont la seule fonction est
d'afficher une erreur de liaison dynamique.
- Lorsqu'on compile un programme dépendant d'une bibliothèque, même
chargée dynamiquement, on embarque dans le binaire de petits bouts de
la bibliothèque : les définitions dans les entêtes, bien sûr, mais
aussi quelques bouts qui sont lus statiquement depuis l'objet partagé.
C'est sur ce point, et uniquement sur ce point, que repose,
juridiquement, l'aspect viral de la GPL : tu embarques des bouts de
la bibliothèque dans ton binaire, donc pour le redistribuer tu as
besoin de l'autorisation de l'auteur, qui te l'accorde si tu publies
également tes sources sous GPL.
Conséquences :
- Tu as parfaitement le droit de distribuer avec une licence fermée
les sources d'un programme qui dépend d'une bibliothèque sous GPL. Tu
n'auras pas le droit de distribuer de binaire de ce programme sous
cette licence, mais les gens qui le reçoivent peuvent produire ce
binaire sous leur propre responsabilité.
- Si tu produis un binaire sur un système où telle bibliothèque n'est
pas installée, alors la licence de cette bibliothèque ne peut pas
contraindre la licence de ton programme.
Dans le cas de la GPL, ça peut se produire ainsi : tu développes ton
programme avec la bibliothèque. En interne, donc pas de restriction
sur la redistribution. Puis tu développes une nouvelle implémentation
de la bibliothèque, avec la même interface, que tu mets sous la
licence que tu veux. Cette implémentation peut être toute pourrie,
voire ne pas marcher du tout, ce n'est pas grave. Tu produis le
binaire que tu vas distribuer en utilisant cette nouvelle
implémentation : ce binaire n'est pas concerné par la GPL. Pour
finir, tu produis ton CD d'installation avec le binaire à toi et
l'objet partagé de la bibliothèque sous GPL, plus les sources de
celles-ci, telles que tu les as récupérées sur le web. Si tu veux
être absolument sûr, tu mets sur ton CD l'objet partagé de ta version
de la bibliothèque, et la version GPL dans un autre répertoire, et tu
fais faire le boulot de mélange par le programme d'installation.
Il y a une difficulté dans ce qui précède : produire une
bibliothèque ayant la même interface sans copier l'interface. Pour
ça, il est possible de procéder ainsi : supposons que la bibliothèque
à copier s'appelle liba. Tu écris une bibliothèque liba-simple qui
emballe les fonction de liba dans une interface légèrement plus
simple et adaptée à ton programme. Tu devras distribuer liba-simple
sous GPL, mais c'est du code trivial, donc ce n'est pas un gros coût.
Ensuite, tu réimplémentes liba-simple : cette fois-ci, tu as le droit
de copier l'interface, puisque tu en es l'auteur.
Évidemment, tout ceci n'est pas écrit dans la licence, ni sur les
sites qui recommandent son usage : on ne veut certainement pas que
trop de monde sache qu'il est si facile de contourner les
restrictions.
Nous n'avons pas la même notion de ce qui est "facile".
Et vient un moment où des humains jugent le résultat, si ça passe
devant un tribunal. Et en cas de foutage de gueule manifeste, le
résultat risque de ne pas tourner en faveur du truandeur.
Nous n'avons pas la même notion de ce qui est "facile".
Et vient un moment où des humains jugent le résultat, si ça passe
devant un tribunal. Et en cas de foutage de gueule manifeste, le
résultat risque de ne pas tourner en faveur du truandeur.
Nous n'avons pas la même notion de ce qui est "facile".
Et vient un moment où des humains jugent le résultat, si ça passe
devant un tribunal. Et en cas de foutage de gueule manifeste, le
résultat risque de ne pas tourner en faveur du truandeur.
nshag , dans le message
, a
crit :
> Tu n'as pas du bien comprendre le principe m me
> du ->copyleft<- propre au libre qui consiste justement
> a abandonner ton soi-disant "fondement l gal" :)
Et toi, tu n'as pas d bien comprendre le principe d'un tat de droit,
savoir que tu ne peux pas obliger autrui t'ob ir. Copyleft ou pas, peu
importe, l'auteur d'un logiciel ne peut contraindre d'autres auteurs de
logiciels que dans la mesure o la loi le lui permet.
Il est vrai que l'aspect international des choses complique la donne.
Heureusement, dans le cas qui nous int resse, les grandes lignes sont
globalement uniformis es.
> Quel auteur ? dans des projets constitu s de contributions
> de 100aines de personnes de nationalit diverses et vari es
> tu en prends un au hasard ?
Tous, tout simplement.
C'est m me a que sert la licence : plut t qu'on
leur demande tous chaque fois, ils expriment par un texte uniformis les
conditions sous lesquelles ils acceptent une redistribution. Si tu rempli s
ces conditions, c'est bon, tu peux y aller. Si tu ne veux pas les remplir ...
tu as toujours l'option de les contacter tous pour obtenir leur accord
personnellement.
nshag , dans le message
<8155c428-ce7e-4a8d-b869-5677dbe9e...@k26g2000yqd.googlegroups.com>, a
crit :
> Tu n'as pas du bien comprendre le principe m me
> du ->copyleft<- propre au libre qui consiste justement
> a abandonner ton soi-disant "fondement l gal" :)
Et toi, tu n'as pas d bien comprendre le principe d'un tat de droit,
savoir que tu ne peux pas obliger autrui t'ob ir. Copyleft ou pas, peu
importe, l'auteur d'un logiciel ne peut contraindre d'autres auteurs de
logiciels que dans la mesure o la loi le lui permet.
Il est vrai que l'aspect international des choses complique la donne.
Heureusement, dans le cas qui nous int resse, les grandes lignes sont
globalement uniformis es.
> Quel auteur ? dans des projets constitu s de contributions
> de 100aines de personnes de nationalit diverses et vari es
> tu en prends un au hasard ?
Tous, tout simplement.
C'est m me a que sert la licence : plut t qu'on
leur demande tous chaque fois, ils expriment par un texte uniformis les
conditions sous lesquelles ils acceptent une redistribution. Si tu rempli s
ces conditions, c'est bon, tu peux y aller. Si tu ne veux pas les remplir ...
tu as toujours l'option de les contacter tous pour obtenir leur accord
personnellement.
nshag , dans le message
, a
crit :
> Tu n'as pas du bien comprendre le principe m me
> du ->copyleft<- propre au libre qui consiste justement
> a abandonner ton soi-disant "fondement l gal" :)
Et toi, tu n'as pas d bien comprendre le principe d'un tat de droit,
savoir que tu ne peux pas obliger autrui t'ob ir. Copyleft ou pas, peu
importe, l'auteur d'un logiciel ne peut contraindre d'autres auteurs de
logiciels que dans la mesure o la loi le lui permet.
Il est vrai que l'aspect international des choses complique la donne.
Heureusement, dans le cas qui nous int resse, les grandes lignes sont
globalement uniformis es.
> Quel auteur ? dans des projets constitu s de contributions
> de 100aines de personnes de nationalit diverses et vari es
> tu en prends un au hasard ?
Tous, tout simplement.
C'est m me a que sert la licence : plut t qu'on
leur demande tous chaque fois, ils expriment par un texte uniformis les
conditions sous lesquelles ils acceptent une redistribution. Si tu rempli s
ces conditions, c'est bon, tu peux y aller. Si tu ne veux pas les remplir ...
tu as toujours l'option de les contacter tous pour obtenir leur accord
personnellement.
Yliur , dans le message , a
écrit :
> Nous n'avons pas la même notion de ce qui est "facile".
Peut-être. Je me place du point de vue de quelqu'un qui développe un
soft susceptible d'être vendu à profit. Faire un wrapper pour une
bibliothèque, c'est facile.
> Et vient un moment où des humains jugent le résultat, si ça passe
> devant un tribunal. Et en cas de foutage de gueule manifeste, le
> résultat risque de ne pas tourner en faveur du truandeur.
Manque de bol, le droit de la propriété intellectuelle, c'est du
foutage de gueule manifeste dans tous les sens, systématiquement.
Yliur , dans le message <20111121175153.554c937e@alcheringa>, a
écrit :
> Nous n'avons pas la même notion de ce qui est "facile".
Peut-être. Je me place du point de vue de quelqu'un qui développe un
soft susceptible d'être vendu à profit. Faire un wrapper pour une
bibliothèque, c'est facile.
> Et vient un moment où des humains jugent le résultat, si ça passe
> devant un tribunal. Et en cas de foutage de gueule manifeste, le
> résultat risque de ne pas tourner en faveur du truandeur.
Manque de bol, le droit de la propriété intellectuelle, c'est du
foutage de gueule manifeste dans tous les sens, systématiquement.
Yliur , dans le message , a
écrit :
> Nous n'avons pas la même notion de ce qui est "facile".
Peut-être. Je me place du point de vue de quelqu'un qui développe un
soft susceptible d'être vendu à profit. Faire un wrapper pour une
bibliothèque, c'est facile.
> Et vient un moment où des humains jugent le résultat, si ça passe
> devant un tribunal. Et en cas de foutage de gueule manifeste, le
> résultat risque de ne pas tourner en faveur du truandeur.
Manque de bol, le droit de la propriété intellectuelle, c'est du
foutage de gueule manifeste dans tous les sens, systématiquement.
et non d'un éventuel passage en double licence (car ils ne peuvent
revenir
sur celle qu'ils ont précédemment accepté), quand bien même tu les
contacterais tous le problème reste le même
et non d'un éventuel passage en double licence (car ils ne peuvent
revenir
sur celle qu'ils ont précédemment accepté), quand bien même tu les
contacterais tous le problème reste le même
et non d'un éventuel passage en double licence (car ils ne peuvent
revenir
sur celle qu'ils ont précédemment accepté), quand bien même tu les
contacterais tous le problème reste le même