Ce message s'adresse à vous si vous éprouvez des difficultés à suivre le
fil qui vous intéresse ou si vous hésitez à poster sur ce forum en
raison des trolls. Il sera posté régulièrement (si j'y pense et que ça
ne dérange pas trop de monde à part les trolls) en cas de forte activité
trollesque.
Si la présence de messages abusifs vous gêne, vous avez plusieurs
possibilités:
1. Créer des règles de filtrage
-------------------------------
Votre lecteur de forums vous permet certainement de créer des règles de
filtrage.
Vous pouvez soit filtrer (= ignorer) un certain fil, ou, si plusieurs
fils sont concernés, filtrer les auteurs principalement responsables de
la pollution:
Olivier Aichelbaum acbm@ARETIRER.acbm.com
Roland Garcia roland-garcia@wanadoo.fr
Pierre VG kostic+spam@alussinan.org
ainsi que d'autres à votre guise.
2. Consulter la FAQ et les archives
-----------------------------------
Vérifiez si la FAQ répond à votre question:
http://www.lacave.net/~jokeuse/usenet/faq-fcsv.html
Vérifiez si votre question a déjà été posée dans le passé:
http://groups.google.fr
Dans le champ qui vous permet de formuler votre requête, tapez
group:fr.comp.securite.virus terme(s)
Les termes peuvent être le nom du virus auquel vous pensez avoir
affaire (évitez les préfixes tels que W32 qui ne sont pas les mêmes chez
tous les éditeurs), le nom de l'antivirus que vous utilisez, des
mots-clé qui permettent de cerner le problème, etc.
3. Consulter les forums anglophones
-----------------------------------
Le français est toléré sur les forums alt.comp.virus et
alt.comp.anti-virus. Vous ne recevrez pas forcément une réponse, mais il
peut arriver que votre message soit traduit en anglais et que les
réponses vous seront ensuite re-traduites en français. En tout cas, cela
vaut le coup d'essayer.
Soyez solidaires! Si vous apercevez un message en français sur ses
forums et que vous pensez pouvoir apporter une contribution utile,
n'hésitez pas!
4. Consulter les forums étrangers
---------------------------------
Si vous maîtrisez une langue autre que le français ou l'anglais, vous
pouvez tenter votre chance sur les forums étrangers:
Tu n'as jamais entendu parler des nombres imaginaires ?
Si, mais je n'ai jamais osé me les imaginer. ;-)
??? Il y a des recherches permanentes en mathématiques, ainsi qu'en informatique : on trouve toujours de nouvelles théories. C'est bien la preuve que les mathématiques, bien que codifiées, ne sont pas exactes.
Quel rapport entre l'exactitude et les nouvelles théories? Pensez-vous que ce soient des théories qui corrigent ou qui complètent?
Pareil en informatique : on utilise des algorythmes codifiés, ça ne veut pas dire pour autant qu'ils sont justes.
Ça dépend de ce que vous entendez par juste. Par exemple, vous pouvez prouver mathématiquement qu'un algorithme produit le résultat qu'on attend. Un genre de débogage théorique quoi.
Jeuf wrote:
Tu n'as jamais entendu parler des nombres imaginaires ?
Si, mais je n'ai jamais osé me les imaginer. ;-)
???
Il y a des recherches permanentes en mathématiques,
ainsi qu'en informatique :
on trouve toujours de nouvelles théories.
C'est bien la preuve que les mathématiques,
bien que codifiées, ne sont pas exactes.
Quel rapport entre l'exactitude et les nouvelles théories? Pensez-vous
que ce soient des théories qui corrigent ou qui complètent?
Pareil en informatique : on utilise des algorythmes codifiés,
ça ne veut pas dire pour autant qu'ils sont justes.
Ça dépend de ce que vous entendez par juste. Par exemple, vous pouvez
prouver mathématiquement qu'un algorithme produit le résultat qu'on
attend. Un genre de débogage théorique quoi.
Tu n'as jamais entendu parler des nombres imaginaires ?
Si, mais je n'ai jamais osé me les imaginer. ;-)
??? Il y a des recherches permanentes en mathématiques, ainsi qu'en informatique : on trouve toujours de nouvelles théories. C'est bien la preuve que les mathématiques, bien que codifiées, ne sont pas exactes.
Quel rapport entre l'exactitude et les nouvelles théories? Pensez-vous que ce soient des théories qui corrigent ou qui complètent?
Pareil en informatique : on utilise des algorythmes codifiés, ça ne veut pas dire pour autant qu'ils sont justes.
Ça dépend de ce que vous entendez par juste. Par exemple, vous pouvez prouver mathématiquement qu'un algorithme produit le résultat qu'on attend. Un genre de débogage théorique quoi.
Frederic Bonroy
Jeuf wrote:
"pas définie", "science exacte"... ça sonne pas bien ensemble, ça... Par ailleurs, une science qui dit à un endroit "a²=-1" est impossible"
C'est impossible dans l'ensemble des nombres naturels/entiers/réels. Vous pouvez même aller plus loin et dire que c'est absurde qu'il y ait deux résultats possibles pour la racine carrée d'un nombre positif. Ce n'est pas "exact", lequel prendre? Et pourtant, si vous y réfléchissez, vous vous apercevrez que c'est tout à fait logique.
et qui dit à un autre endroit "il existe un nombre tel que son carré =1"
-1 vous voulez dire?
ne me paraît pas être une science vraiment exacte...
Comme je le disais ailleurs, exacte dans la mesure où elle est formelle et précise.
Dans cette science, vous avez différents "secteurs" où s'appliquent des règles parfois différentes. Libre à vous de créer un ensemble de votre choix et d'y définir des opérations de votre choix. Vous pouvez très bien définir vous-même ce que doit faire l'opération + appliquée à l'ensemble {1, 2, 3} par exemple.
Jeuf wrote:
"pas définie", "science exacte"... ça sonne pas bien ensemble, ça...
Par ailleurs, une science qui dit à un endroit
"a²=-1" est impossible"
C'est impossible dans l'ensemble des nombres naturels/entiers/réels.
Vous pouvez même aller plus loin et dire que c'est absurde qu'il y ait
deux résultats possibles pour la racine carrée d'un nombre positif. Ce
n'est pas "exact", lequel prendre? Et pourtant, si vous y réfléchissez,
vous vous apercevrez que c'est tout à fait logique.
et qui dit à un autre endroit
"il existe un nombre tel que son carré =1"
-1 vous voulez dire?
ne me paraît pas être une science vraiment exacte...
Comme je le disais ailleurs, exacte dans la mesure où elle est formelle
et précise.
Dans cette science, vous avez différents "secteurs" où s'appliquent des
règles parfois différentes. Libre à vous de créer un ensemble de votre
choix et d'y définir des opérations de votre choix. Vous pouvez très
bien définir vous-même ce que doit faire l'opération + appliquée à
l'ensemble {1, 2, 3} par exemple.
"pas définie", "science exacte"... ça sonne pas bien ensemble, ça... Par ailleurs, une science qui dit à un endroit "a²=-1" est impossible"
C'est impossible dans l'ensemble des nombres naturels/entiers/réels. Vous pouvez même aller plus loin et dire que c'est absurde qu'il y ait deux résultats possibles pour la racine carrée d'un nombre positif. Ce n'est pas "exact", lequel prendre? Et pourtant, si vous y réfléchissez, vous vous apercevrez que c'est tout à fait logique.
et qui dit à un autre endroit "il existe un nombre tel que son carré =1"
-1 vous voulez dire?
ne me paraît pas être une science vraiment exacte...
Comme je le disais ailleurs, exacte dans la mesure où elle est formelle et précise.
Dans cette science, vous avez différents "secteurs" où s'appliquent des règles parfois différentes. Libre à vous de créer un ensemble de votre choix et d'y définir des opérations de votre choix. Vous pouvez très bien définir vous-même ce que doit faire l'opération + appliquée à l'ensemble {1, 2, 3} par exemple.
djehuti
"Frederic Bonroy" a écrit dans le message news:
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
@tchao
"Frederic Bonroy" <bidonavirus@yahoo.fr> a écrit dans le message news:
2n1rsnFs8kb2U2@uni-berlin.de
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain
intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce
n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi
certains sujets, disons, des sciences sociales.
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
@tchao
Jeuf
"djehuti" écriva...
"Frederic Bonroy" a écrit
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
:-)) Excellent ! Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques, puisque ce n'est pas une science exacte... Et l'informatique non plus, puisque les P-values* ne sont pas fiables... cf. la conclusion de l'article : "This incongruence of test statistics and P values is another example that statistical practice is generally poor, even in the most renowned scientific journals" Ce qui veut dire : "L'inadadéquation des P-values* dans les tests statistiques est un autre exemple que les démonstarations à l'aide des statistiques sont généralement peu fiables, même si elles sont présentées dans les plus grandes revues scientifiques". P-value : En statistique, valeur de résultat la plus petite, en-deça de laquelle le résultat est nul. (c'est de fait l'intervalle le plus petit possible entre deux mesures). Il est intéressant de noter que les calculs théoriques (grâce à l'informatique) et les observations pratiques ne se corroborent pas.
Encore un exemple de "science exacte" à peu près exacte, mais pas trop...
---------------------------------------------------------- JFV - EOT, car les trolls me gênent (objet de ce thread). ----------------------------------------------------------
"djehuti" écriva...
"Frederic Bonroy" <bidonavirus@yahoo.fr> a écrit
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain
intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce
n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi
certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
:-)) Excellent !
Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques,
puisque ce n'est pas une science exacte...
Et l'informatique non plus, puisque les P-values* ne sont pas fiables...
cf. la conclusion de l'article :
"This incongruence of test statistics and P values is another example that
statistical practice is generally poor, even in the most renowned scientific
journals"
Ce qui veut dire :
"L'inadadéquation des P-values* dans les tests statistiques est un autre
exemple que les démonstarations à l'aide des statistiques sont généralement
peu fiables, même si elles sont présentées dans les plus grandes revues
scientifiques".
P-value : En statistique, valeur de résultat la plus petite, en-deça de
laquelle le résultat est nul. (c'est de fait l'intervalle le plus petit
possible entre deux mesures). Il est intéressant de noter que les calculs
théoriques (grâce à l'informatique) et les observations pratiques ne se
corroborent pas.
Encore un exemple de "science exacte" à peu près exacte, mais pas trop...
----------------------------------------------------------
JFV - EOT, car les trolls me gênent (objet de ce thread).
----------------------------------------------------------
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
:-)) Excellent ! Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques, puisque ce n'est pas une science exacte... Et l'informatique non plus, puisque les P-values* ne sont pas fiables... cf. la conclusion de l'article : "This incongruence of test statistics and P values is another example that statistical practice is generally poor, even in the most renowned scientific journals" Ce qui veut dire : "L'inadadéquation des P-values* dans les tests statistiques est un autre exemple que les démonstarations à l'aide des statistiques sont généralement peu fiables, même si elles sont présentées dans les plus grandes revues scientifiques". P-value : En statistique, valeur de résultat la plus petite, en-deça de laquelle le résultat est nul. (c'est de fait l'intervalle le plus petit possible entre deux mesures). Il est intéressant de noter que les calculs théoriques (grâce à l'informatique) et les observations pratiques ne se corroborent pas.
Encore un exemple de "science exacte" à peu près exacte, mais pas trop...
---------------------------------------------------------- JFV - EOT, car les trolls me gênent (objet de ce thread). ----------------------------------------------------------
Frederic Bonroy
Jeuf wrote:
:-)) Excellent ! Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques, puisque ce n'est pas une science exacte...
Vous n'avez pas compris où je voulais en venir. Si vous voulez démontrer que les statistiques peuvent livrer des résultats, disons, "étonnants", vous n'avez qu'à faire la moyenne d'une série de valeurs dont une particulièrement grande, par exemple 2, 5, 6, 7 et 1549.
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et précis, eux.
Jeuf wrote:
:-)) Excellent !
Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques,
puisque ce n'est pas une science exacte...
Vous n'avez pas compris où je voulais en venir. Si vous voulez démontrer
que les statistiques peuvent livrer des résultats, disons, "étonnants",
vous n'avez qu'à faire la moyenne d'une série de valeurs dont une
particulièrement grande, par exemple 2, 5, 6, 7 et 1549.
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et
précis, eux.
:-)) Excellent ! Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques, puisque ce n'est pas une science exacte...
Vous n'avez pas compris où je voulais en venir. Si vous voulez démontrer que les statistiques peuvent livrer des résultats, disons, "étonnants", vous n'avez qu'à faire la moyenne d'une série de valeurs dont une particulièrement grande, par exemple 2, 5, 6, 7 et 1549.
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et précis, eux.
Frederic Bonroy
djehuti wrote:
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
Je ne me souviens plus des "p-values" - j'ai dû en entendre parler mais ça s'arrête là - mais cet article a l'air de critiquer plutôt l'application des statistiques que les statistiques mêmes.
djehuti wrote:
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain
intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce
n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi
certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
Je ne me souviens plus des "p-values" - j'ai dû en entendre parler mais
ça s'arrête là - mais cet article a l'air de critiquer plutôt
l'application des statistiques que les statistiques mêmes.
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
Je ne me souviens plus des "p-values" - j'ai dû en entendre parler mais ça s'arrête là - mais cet article a l'air de critiquer plutôt l'application des statistiques que les statistiques mêmes.
Jeuf
"Frederic Bonroy" a envie de troller un peu (mais occasionnellement)...
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et précis, eux.
Tu donnes la définition de "science", pas de "science exacte". Science : "Ensemble de connaissances caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables." (Petit Robert 2004) Le même Petit Bob nous précise : "Classement des sciences d'après leur objet et leurs méthodes : - Sciences exactes ou pures, sciences fondamentales. - Sciences expérimentales, où l'objet d'étude est soumis à l'expérience. - Sciences d'observations ou l'objet n'est que décrit, observé. - Sciences appliquées, au service de la technique" etc. En quoi l'informatique est-elle une science fondamentale ? Ne serait-elle pas plutôt une science au service de la technique ? Quels que soient les principes sur lesquels elle se base, ce n'est visiblement pas une science exacte ou pure (ou fondamentale, que je préfère à "exacte" pour les raisons données précédemment)
----------------------------------------------------------- JFV - Trollez, trollez, il en restera toujours quelque chose -----------------------------------------------------------
"Frederic Bonroy" a envie de troller un peu (mais occasionnellement)...
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et
précis, eux.
Tu donnes la définition de "science", pas de "science exacte".
Science :
"Ensemble de connaissances caractérisées par un objet (domaine)
et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives
vérifiables."
(Petit Robert 2004)
Le même Petit Bob nous précise :
"Classement des sciences d'après leur objet et leurs méthodes :
- Sciences exactes ou pures, sciences fondamentales.
- Sciences expérimentales, où l'objet d'étude est soumis à l'expérience.
- Sciences d'observations ou l'objet n'est que décrit, observé.
- Sciences appliquées, au service de la technique"
etc.
En quoi l'informatique est-elle une science fondamentale ?
Ne serait-elle pas plutôt une science au service de la technique ?
Quels que soient les principes sur lesquels elle se base,
ce n'est visiblement pas une science exacte ou pure
(ou fondamentale, que je préfère à "exacte" pour les raisons données
précédemment)
-----------------------------------------------------------
JFV - Trollez, trollez, il en restera toujours quelque chose
-----------------------------------------------------------
"Frederic Bonroy" a envie de troller un peu (mais occasionnellement)...
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et précis, eux.
Tu donnes la définition de "science", pas de "science exacte". Science : "Ensemble de connaissances caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables." (Petit Robert 2004) Le même Petit Bob nous précise : "Classement des sciences d'après leur objet et leurs méthodes : - Sciences exactes ou pures, sciences fondamentales. - Sciences expérimentales, où l'objet d'étude est soumis à l'expérience. - Sciences d'observations ou l'objet n'est que décrit, observé. - Sciences appliquées, au service de la technique" etc. En quoi l'informatique est-elle une science fondamentale ? Ne serait-elle pas plutôt une science au service de la technique ? Quels que soient les principes sur lesquels elle se base, ce n'est visiblement pas une science exacte ou pure (ou fondamentale, que je préfère à "exacte" pour les raisons données précédemment)
----------------------------------------------------------- JFV - Trollez, trollez, il en restera toujours quelque chose -----------------------------------------------------------
Ewa (siostra Ani) N.
Jeuf wrote:
:-)) Excellent ! Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques, puisque ce n'est pas une science exacte...
Vous n'avez pas compris où je voulais en venir. Si vous voulez démontrer que les statistiques peuvent livrer des résultats, disons, "étonnants", vous n'avez qu'à faire la moyenne d'une série de valeurs dont une particulièrement grande, par exemple 2, 5, 6, 7 et 1549.
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et précis, eux.
Avant d'avancer plus loin dans le débat sur "l'exactitude des sciences exactes" je me permets de rappeler que l'adjectif "exactes" a été accolé à l'époque où les "humanités" (philo, socio, science politique, économie...) ont commencé à revendiquer le statut des "sciences". L'expression "sciences exactes" s'est formé en opposition aux "sciences humaines et sociales", donc c'est simple phénomène de la linguistique synchronique (science exacte s'il en est -;) )
Ewcia
-- Niesz
Jeuf wrote:
:-)) Excellent !
Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques,
puisque ce n'est pas une science exacte...
Vous n'avez pas compris où je voulais en venir. Si vous voulez démontrer
que les statistiques peuvent livrer des résultats, disons, "étonnants",
vous n'avez qu'à faire la moyenne d'une série de valeurs dont une
particulièrement grande, par exemple 2, 5, 6, 7 et 1549.
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et
précis, eux.
Avant d'avancer plus loin dans le débat sur "l'exactitude des sciences
exactes" je me permets de rappeler que l'adjectif "exactes" a été
accolé à l'époque où les "humanités" (philo, socio, science politique,
économie...) ont commencé à revendiquer le statut des "sciences".
L'expression "sciences exactes" s'est formé en opposition aux
"sciences humaines et sociales", donc c'est simple phénomène de la
linguistique synchronique (science exacte s'il en est -;) )
:-)) Excellent ! Les statistiques ne doivent pas être des mathématiques, puisque ce n'est pas une science exacte...
Vous n'avez pas compris où je voulais en venir. Si vous voulez démontrer que les statistiques peuvent livrer des résultats, disons, "étonnants", vous n'avez qu'à faire la moyenne d'une série de valeurs dont une particulièrement grande, par exemple 2, 5, 6, 7 et 1549.
Et alors? Les principes mathématiques derrière sont toujours formels et précis, eux.
Avant d'avancer plus loin dans le débat sur "l'exactitude des sciences exactes" je me permets de rappeler que l'adjectif "exactes" a été accolé à l'époque où les "humanités" (philo, socio, science politique, économie...) ont commencé à revendiquer le statut des "sciences". L'expression "sciences exactes" s'est formé en opposition aux "sciences humaines et sociales", donc c'est simple phénomène de la linguistique synchronique (science exacte s'il en est -;) )
Ewcia
-- Niesz
Frederic Bonroy
Jeuf wrote:
Tu donnes la définition de "science", pas de "science exacte". Science : "Ensemble de connaissances caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables." (Petit Robert 2004) Le même Petit Bob nous précise : "Classement des sciences d'après leur objet et leurs méthodes : - Sciences exactes ou pures, sciences fondamentales.
Hihi. Ben si vous parlez d'une classification officielle... moi je parlais d'"exact" au sens commun du mot. Vous aussi d'ailleurs puique vous avez tenté de refuter mon argumentation.
- Sciences expérimentales, où l'objet d'étude est soumis à l'expérience. - Sciences d'observations ou l'objet n'est que décrit, observé. - Sciences appliquées, au service de la technique" etc. En quoi l'informatique est-elle une science fondamentale ? Ne serait-elle pas plutôt une science au service de la technique ?
Ça dépend à qui vous posez la question. ;-) Vous pouvez théoriquement (c'est le cas de le dire) faire de l'informatique sans ordinateur. Donc au service de la technique, certainement, mais son existence ne dépend pas de la technique.
----------------------------------------------------------- JFV - Trollez, trollez, il en restera toujours quelque chose -----------------------------------------------------------
Où c'est qu'on trolle?
Jeuf wrote:
Tu donnes la définition de "science", pas de "science exacte".
Science :
"Ensemble de connaissances caractérisées par un objet (domaine)
et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives
vérifiables."
(Petit Robert 2004)
Le même Petit Bob nous précise :
"Classement des sciences d'après leur objet et leurs méthodes :
- Sciences exactes ou pures, sciences fondamentales.
Hihi. Ben si vous parlez d'une classification officielle... moi je
parlais d'"exact" au sens commun du mot. Vous aussi d'ailleurs puique
vous avez tenté de refuter mon argumentation.
- Sciences expérimentales, où l'objet d'étude est soumis à l'expérience.
- Sciences d'observations ou l'objet n'est que décrit, observé.
- Sciences appliquées, au service de la technique"
etc.
En quoi l'informatique est-elle une science fondamentale ?
Ne serait-elle pas plutôt une science au service de la technique ?
Ça dépend à qui vous posez la question. ;-) Vous pouvez théoriquement
(c'est le cas de le dire) faire de l'informatique sans ordinateur. Donc
au service de la technique, certainement, mais son existence ne dépend
pas de la technique.
-----------------------------------------------------------
JFV - Trollez, trollez, il en restera toujours quelque chose
-----------------------------------------------------------
Tu donnes la définition de "science", pas de "science exacte". Science : "Ensemble de connaissances caractérisées par un objet (domaine) et une méthode déterminés, et fondés sur des relations objectives vérifiables." (Petit Robert 2004) Le même Petit Bob nous précise : "Classement des sciences d'après leur objet et leurs méthodes : - Sciences exactes ou pures, sciences fondamentales.
Hihi. Ben si vous parlez d'une classification officielle... moi je parlais d'"exact" au sens commun du mot. Vous aussi d'ailleurs puique vous avez tenté de refuter mon argumentation.
- Sciences expérimentales, où l'objet d'étude est soumis à l'expérience. - Sciences d'observations ou l'objet n'est que décrit, observé. - Sciences appliquées, au service de la technique" etc. En quoi l'informatique est-elle une science fondamentale ? Ne serait-elle pas plutôt une science au service de la technique ?
Ça dépend à qui vous posez la question. ;-) Vous pouvez théoriquement (c'est le cas de le dire) faire de l'informatique sans ordinateur. Donc au service de la technique, certainement, mais son existence ne dépend pas de la technique.
----------------------------------------------------------- JFV - Trollez, trollez, il en restera toujours quelque chose -----------------------------------------------------------
Où c'est qu'on trolle?
djehuti
salut "Frederic Bonroy" a écrit dans le message news:
djehuti wrote:
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
Je ne me souviens plus des "p-values" - j'ai dû en entendre parler mais ça s'arrête là - mais cet article a l'air de critiquer plutôt l'application des statistiques que les statistiques mêmes.
non, ça tend plutôt à démontrer que des scientifiques renommés (puisqu'ils publient dans les revues de référence) qui, comme toi, ont étudié les stats à l'université... n'en ont pas retenu grand chose ou ne savent plus vraiment s'en servir (la faute à l'outil informatique, sans doute)
m'enfin, c'était anecdotique
@tchao -- sont forts ces Espagnols !!!
salut
"Frederic Bonroy" <bidonavirus@yahoo.fr> a écrit dans le message news:
2n68pbFt8t9vU1@uni-berlin.de
djehuti wrote:
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain
intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce
n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi
certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
Je ne me souviens plus des "p-values" - j'ai dû en entendre parler
mais ça s'arrête là - mais cet article a l'air de critiquer plutôt
l'application des statistiques que les statistiques mêmes.
non, ça tend plutôt à démontrer que des scientifiques renommés (puisqu'ils
publient dans les revues de référence) qui, comme toi, ont étudié les stats
à l'université... n'en ont pas retenu grand chose ou ne savent plus vraiment
s'en servir (la faute à l'outil informatique, sans doute)
salut "Frederic Bonroy" a écrit dans le message news:
djehuti wrote:
J'ai toujours aimé les statistiques et j'ai suivi avec un certain intérêt le cours à l'université qui leur était consacré. Quoique ce n'était pas un cours purement mathématique car il abordait aussi certains sujets, disons, des sciences sociales.
http://www.biomedcentral.com/1471-2288/4/13
Je ne me souviens plus des "p-values" - j'ai dû en entendre parler mais ça s'arrête là - mais cet article a l'air de critiquer plutôt l'application des statistiques que les statistiques mêmes.
non, ça tend plutôt à démontrer que des scientifiques renommés (puisqu'ils publient dans les revues de référence) qui, comme toi, ont étudié les stats à l'université... n'en ont pas retenu grand chose ou ne savent plus vraiment s'en servir (la faute à l'outil informatique, sans doute)