La condamnation est legere, et sur un point qui a ete reconnu par Guillermito: il a utilise une copie sans licence de l'antivirus, d'ou contrefacon.
J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur autorise la revente est nulle.
Laurent Blume wrote:
La condamnation est legere, et sur un point qui a ete reconnu par
Guillermito: il a utilise une copie sans licence de l'antivirus, d'ou
contrefacon.
J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente
commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent
attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur
autorise la revente est nulle.
La condamnation est legere, et sur un point qui a ete reconnu par Guillermito: il a utilise une copie sans licence de l'antivirus, d'ou contrefacon.
J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur autorise la revente est nulle.
A. Caspis
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire attention à bien avoir la license.
Mais la plupart des licences interdisent de décompiler, de publier des benchmarks, etc.
Il reste donc à établir que de telles clauses sont abusives.
AC
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou
son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire
attention à bien avoir la license.
Mais la plupart des licences interdisent de décompiler,
de publier des benchmarks, etc.
Il reste donc à établir que de telles clauses sont abusives.
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire attention à bien avoir la license.
Mais la plupart des licences interdisent de décompiler, de publier des benchmarks, etc.
Il reste donc à établir que de telles clauses sont abusives.
AC
Guillermito
In article , says...
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit [je censure un brin, sinon c'est encore moi qui vait prendre :) ] il faut faire attention à bien avoir la license.
Ca ne parait pas très réaliste, dans les faits. Quand on voit des advisories qui concernent parfois une dizaine de version d'un logiciel (Entreprise, Pro, Personal, NT, Server, etc, etc...), donc avec une faille qui a été testée sur *tous* ces produits, dans combien de cas le chercheur ou la boite de sécurité possède une licence valide pour chacun des logiciels, parfois à plusieurs milliers de dollars pièce ? Ca ne doit pas arriver souvent, à mon avis.
Et ça n'est jamais un problème, parce que les entreprises responsables, une fois prévenues, répondent en faisant ce qui est important pour leurs clients: elles bouchent les trous de leurs produits. Pas toujours en souriant, mais c'est justement là la force du full disclosure : engendrer une collaboration un peu contre-nature, parce que le chercheur et l'éditeur ont des buts et des intérêts complètement différents, donc sourires et poignée de main un peu crispés, mais qui finalement servira à élever le niveau de sécurité du logiciel, et la protection des consommateurs. Envoyer les avocats pour vérifier si les licences sont valides ne leur vient généralement pas à l'idée, ne serait-ce qu'à cause de la publicité négative que cela va engendrer. La preuve.
Ce qui est assez ironique, c'est que dans cet article de eWeek, le journaliste fait exactement ce qu'un internaute a fait pour moi : cessation de la licence à fins de tests. On va voir s'ils seront poursuivis à leur tour :
De la même façon, selon un scénario inversé, ceux qui me reprochent d'avoir désassemblé leur programme, ont présenté à des conférences de sécurité (BlackHat) des... désassemblages de librairies windows :
D'ailleurs, je me demandais s'il y avait eu dans le vaste monde de la sécurité informatique, des cas similaires à ce qui m'est arrivé.
-- Guillermito http://www.guillermito2.net
In article <e66a5a09.0503110130.57dfb358@posting.google.com>,
pierre_meyrion@yahoo.fr says...
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit
[je censure un brin, sinon c'est encore moi qui vait prendre :) ]
il faut faire attention à bien avoir la license.
Ca ne parait pas très réaliste, dans les faits. Quand on voit des
advisories qui concernent parfois une dizaine de version d'un logiciel
(Entreprise, Pro, Personal, NT, Server, etc, etc...), donc avec une
faille qui a été testée sur *tous* ces produits, dans combien de cas le
chercheur ou la boite de sécurité possède une licence valide pour chacun
des logiciels, parfois à plusieurs milliers de dollars pièce ? Ca ne doit
pas arriver souvent, à mon avis.
Et ça n'est jamais un problème, parce que les entreprises responsables,
une fois prévenues, répondent en faisant ce qui est important pour leurs
clients: elles bouchent les trous de leurs produits. Pas toujours en
souriant, mais c'est justement là la force du full disclosure : engendrer
une collaboration un peu contre-nature, parce que le chercheur et
l'éditeur ont des buts et des intérêts complètement différents, donc
sourires et poignée de main un peu crispés, mais qui finalement servira à
élever le niveau de sécurité du logiciel, et la protection des
consommateurs. Envoyer les avocats pour vérifier si les licences sont
valides ne leur vient généralement pas à l'idée, ne serait-ce qu'à cause
de la publicité négative que cela va engendrer. La preuve.
Ce qui est assez ironique, c'est que dans cet article de eWeek, le
journaliste fait exactement ce qu'un internaute a fait pour moi :
cessation de la licence à fins de tests. On va voir s'ils seront
poursuivis à leur tour :
De la même façon, selon un scénario inversé, ceux qui me reprochent
d'avoir désassemblé leur programme, ont présenté à des conférences de
sécurité (BlackHat) des... désassemblages de librairies windows :
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit [je censure un brin, sinon c'est encore moi qui vait prendre :) ] il faut faire attention à bien avoir la license.
Ca ne parait pas très réaliste, dans les faits. Quand on voit des advisories qui concernent parfois une dizaine de version d'un logiciel (Entreprise, Pro, Personal, NT, Server, etc, etc...), donc avec une faille qui a été testée sur *tous* ces produits, dans combien de cas le chercheur ou la boite de sécurité possède une licence valide pour chacun des logiciels, parfois à plusieurs milliers de dollars pièce ? Ca ne doit pas arriver souvent, à mon avis.
Et ça n'est jamais un problème, parce que les entreprises responsables, une fois prévenues, répondent en faisant ce qui est important pour leurs clients: elles bouchent les trous de leurs produits. Pas toujours en souriant, mais c'est justement là la force du full disclosure : engendrer une collaboration un peu contre-nature, parce que le chercheur et l'éditeur ont des buts et des intérêts complètement différents, donc sourires et poignée de main un peu crispés, mais qui finalement servira à élever le niveau de sécurité du logiciel, et la protection des consommateurs. Envoyer les avocats pour vérifier si les licences sont valides ne leur vient généralement pas à l'idée, ne serait-ce qu'à cause de la publicité négative que cela va engendrer. La preuve.
Ce qui est assez ironique, c'est que dans cet article de eWeek, le journaliste fait exactement ce qu'un internaute a fait pour moi : cessation de la licence à fins de tests. On va voir s'ils seront poursuivis à leur tour :
De la même façon, selon un scénario inversé, ceux qui me reprochent d'avoir désassemblé leur programme, ont présenté à des conférences de sécurité (BlackHat) des... désassemblages de librairies windows :
D'ailleurs, je me demandais s'il y avait eu dans le vaste monde de la sécurité informatique, des cas similaires à ce qui m'est arrivé.
-- Guillermito http://www.guillermito2.net
Fabien LE LEZ
On 11 Mar 2005 10:12:55 GMT, ():
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire attention à bien avoir la license.
D'une manière générale, il vaut mieux s'attacher les services d'un avocat pour être légalement irréprochable. Ne nous y trompons pas : si Viguard n'avait pas trouvé le coup de la licence pour attaquer, ils auraient trouvé autre chose.
Quant à Tegam tout le monde sait maintenant qui ils sont
Tout le monde ? T'es sûr ? Les professionnels de la sécurité qui s'intéressent un peu à ce qui se passe autour d'eux, certes. Je ne suis pas sûr que ça représente la majorité des utilisateurs potentiels de Viguard.
-- ;-)
On 11 Mar 2005 10:12:55 GMT, pierre_meyrion@yahoo.fr
(pierre_meyrion@yahoo.fr):
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou
son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire
attention à bien avoir la license.
D'une manière générale, il vaut mieux s'attacher les services d'un
avocat pour être légalement irréprochable. Ne nous y trompons pas : si
Viguard n'avait pas trouvé le coup de la licence pour attaquer, ils
auraient trouvé autre chose.
Quant à Tegam tout le monde sait maintenant qui ils sont
Tout le monde ? T'es sûr ?
Les professionnels de la sécurité qui s'intéressent un peu à ce qui se
passe autour d'eux, certes. Je ne suis pas sûr que ça représente la
majorité des utilisateurs potentiels de Viguard.
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire attention à bien avoir la license.
D'une manière générale, il vaut mieux s'attacher les services d'un avocat pour être légalement irréprochable. Ne nous y trompons pas : si Viguard n'avait pas trouvé le coup de la licence pour attaquer, ils auraient trouvé autre chose.
Quant à Tegam tout le monde sait maintenant qui ils sont
Tout le monde ? T'es sûr ? Les professionnels de la sécurité qui s'intéressent un peu à ce qui se passe autour d'eux, certes. Je ne suis pas sûr que ça représente la majorité des utilisateurs potentiels de Viguard.
-- ;-)
Xavier Roche
Fabien LE LEZ wrote:
Quant à Tegam tout le monde sait maintenant qui ils sont Tout le monde ? T'es sûr ?
Ben vu comment ils se sont bien pourri eux mêmes leur image sur l'ensemble des moteurs de recherche de la planète avec la floppée d'articles à leur sujet (notamment à l'étranger), même le plus naze des technico-commercial peut être au courant.
Fabien LE LEZ wrote:
Quant à Tegam tout le monde sait maintenant qui ils sont
Tout le monde ? T'es sûr ?
Ben vu comment ils se sont bien pourri eux mêmes leur image sur
l'ensemble des moteurs de recherche de la planète avec la floppée
d'articles à leur sujet (notamment à l'étranger), même le plus naze des
technico-commercial peut être au courant.
Quant à Tegam tout le monde sait maintenant qui ils sont Tout le monde ? T'es sûr ?
Ben vu comment ils se sont bien pourri eux mêmes leur image sur l'ensemble des moteurs de recherche de la planète avec la floppée d'articles à leur sujet (notamment à l'étranger), même le plus naze des technico-commercial peut être au courant.
Erwann ABALEA
On Fri, 11 Mar 2005, Jean-Marc Desperrier wrote:
Laurent Blume wrote:
La condamnation est legere, et sur un point qui a ete reconnu par Guillermito: il a utilise une copie sans licence de l'antivirus, d'ou contrefacon.
J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur autorise la revente est nulle.
Mais est-ce qu'interdire la cession de la license d'utilisation est légal? Je ne pense pas. Mais je ne suis pas juriste.
-- Erwann ABALEA - RSA PGP Key ID: 0x2D0EABD5 ----- Pas de panique, ça sera pire.
On Fri, 11 Mar 2005, Jean-Marc Desperrier wrote:
Laurent Blume wrote:
La condamnation est legere, et sur un point qui a ete reconnu par
Guillermito: il a utilise une copie sans licence de l'antivirus, d'ou
contrefacon.
J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente
commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent
attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur
autorise la revente est nulle.
Mais est-ce qu'interdire la cession de la license d'utilisation est légal?
Je ne pense pas. Mais je ne suis pas juriste.
--
Erwann ABALEA <erwann@abalea.com> - RSA PGP Key ID: 0x2D0EABD5
-----
Pas de panique, ça sera pire.
La condamnation est legere, et sur un point qui a ete reconnu par Guillermito: il a utilise une copie sans licence de l'antivirus, d'ou contrefacon.
J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur autorise la revente est nulle.
Mais est-ce qu'interdire la cession de la license d'utilisation est légal? Je ne pense pas. Mais je ne suis pas juriste.
-- Erwann ABALEA - RSA PGP Key ID: 0x2D0EABD5 ----- Pas de panique, ça sera pire.
Erwann ABALEA
On Fri, 11 Mar 2005, A. Caspis wrote:
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire attention à bien avoir la license.
Mais la plupart des licences interdisent de décompiler, de publier des benchmarks, etc.
Pas en Europe, du moins pas si l'éditeur refuse de fournir les infos nécessaires à une intéropérabilité. Dans ce cas, la décompilation est autorisée.
-- Erwann ABALEA - RSA PGP Key ID: 0x2D0EABD5 ----- FC> Commencez par ne pas envoyer vos contributions en triple exemplaire JD> Quelle contribution ? J'abandonne. PLONK. -+- FC in GNU : Une fois, 2 fois, 3 fois, adjugé au plonké du fond -+-
On Fri, 11 Mar 2005, A. Caspis wrote:
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou
son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire
attention à bien avoir la license.
Mais la plupart des licences interdisent de décompiler,
de publier des benchmarks, etc.
Pas en Europe, du moins pas si l'éditeur refuse de fournir les infos
nécessaires à une intéropérabilité. Dans ce cas, la décompilation est
autorisée.
--
Erwann ABALEA <erwann@abalea.com> - RSA PGP Key ID: 0x2D0EABD5
-----
FC> Commencez par ne pas envoyer vos contributions en triple exemplaire
JD> Quelle contribution ?
J'abandonne. PLONK.
-+- FC in GNU : Une fois, 2 fois, 3 fois, adjugé au plonké du fond -+-
La leçon à tirer est que lorsque l'on veut démontrer qu'un produit ou son principe est une escroquerie (Viguard par exemple) il faut faire attention à bien avoir la license.
Mais la plupart des licences interdisent de décompiler, de publier des benchmarks, etc.
Pas en Europe, du moins pas si l'éditeur refuse de fournir les infos nécessaires à une intéropérabilité. Dans ce cas, la décompilation est autorisée.
-- Erwann ABALEA - RSA PGP Key ID: 0x2D0EABD5 ----- FC> Commencez par ne pas envoyer vos contributions en triple exemplaire JD> Quelle contribution ? J'abandonne. PLONK. -+- FC in GNU : Une fois, 2 fois, 3 fois, adjugé au plonké du fond -+-
Eric Demeester
dans (in) fr.comp.securite, Xavier Roche ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
Ben vu comment ils se sont bien pourri eux mêmes leur image sur l'ensemble des moteurs de recherche de la planète avec la floppée d'articles à leur sujet (notamment à l'étranger), même le plus naze des technico-commercial peut être au courant.
Ne jamais sous-estimer le potentiel de nuisance du technico-commercial, en matière de sécurité mal digérée en général, et d'aptitude à analyser la qualité de ce que d'autres technico-commerciaux sont capables de lui vendre en particulier.
J'en vois malheureusement des exemples tous les jours.
-- Eric Demeester - http://www.galacsys.net
dans (in) fr.comp.securite, Xavier Roche <xroche@free.fr.NOSPAM.invalid>
ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
Ben vu comment ils se sont bien pourri eux mêmes leur image sur
l'ensemble des moteurs de recherche de la planète avec la floppée
d'articles à leur sujet (notamment à l'étranger), même le plus naze des
technico-commercial peut être au courant.
Ne jamais sous-estimer le potentiel de nuisance du technico-commercial,
en matière de sécurité mal digérée en général, et d'aptitude à analyser
la qualité de ce que d'autres technico-commerciaux sont capables de lui
vendre en particulier.
J'en vois malheureusement des exemples tous les jours.
dans (in) fr.comp.securite, Xavier Roche ecrivait (wrote) :
Bonsoir,
Ben vu comment ils se sont bien pourri eux mêmes leur image sur l'ensemble des moteurs de recherche de la planète avec la floppée d'articles à leur sujet (notamment à l'étranger), même le plus naze des technico-commercial peut être au courant.
Ne jamais sous-estimer le potentiel de nuisance du technico-commercial, en matière de sécurité mal digérée en général, et d'aptitude à analyser la qualité de ce que d'autres technico-commerciaux sont capables de lui vendre en particulier.
J'en vois malheureusement des exemples tous les jours.
-- Eric Demeester - http://www.galacsys.net
Eric Demeester
dans (in) fr.comp.securite, pm ecrivait (wrote):
Bonsoir,
Il reste à mon sens que lorsqu'un éditeur est certain de la qualité de ses produits, il semble plus logique d'opposer le mepris à la critique, plutôt que de vouloir faire taire l'"impudent" par des moyens judiciaires.
Un bon éditeur se devrait à mon sens d'accepter la critique pour travailler à améliorer ses produits au bénéfice commun de ses _clients_ et de lui-même, plutôt que de répondre par le mépris ou par l'attaque.
Ce n'est malheureusement pas le premier cas que je rencontre...
-- Eric Demeester - http://www.galacsys.net
dans (in) fr.comp.securite, pm <bidonorama@gmail.com> ecrivait (wrote):
Bonsoir,
Il reste à mon sens que lorsqu'un éditeur est certain de la qualité de
ses produits, il semble plus logique d'opposer le mepris à la critique,
plutôt que de vouloir faire taire l'"impudent" par des moyens judiciaires.
Un bon éditeur se devrait à mon sens d'accepter la critique pour
travailler à améliorer ses produits au bénéfice commun de ses _clients_
et de lui-même, plutôt que de répondre par le mépris ou par l'attaque.
Ce n'est malheureusement pas le premier cas que je rencontre...
Il reste à mon sens que lorsqu'un éditeur est certain de la qualité de ses produits, il semble plus logique d'opposer le mepris à la critique, plutôt que de vouloir faire taire l'"impudent" par des moyens judiciaires.
Un bon éditeur se devrait à mon sens d'accepter la critique pour travailler à améliorer ses produits au bénéfice commun de ses _clients_ et de lui-même, plutôt que de répondre par le mépris ou par l'attaque.
Ce n'est malheureusement pas le premier cas que je rencontre...
-- Eric Demeester - http://www.galacsys.net
Laurent Blume
Fabien LE LEZ wrote:
D'une manière générale, il vaut mieux s'attacher les services d'un avocat pour être légalement irréprochable. Ne nous y trompons pas : si Viguard n'avait pas trouvé le coup de la licence pour attaquer, ils auraient trouvé autre chose.
Mais auraient-ils gagné? La licence, si j'ai bien compris, est justement tout ce qu'ils ont réussi à trouver, et le résultat n'est pas vraiment à la hauteur de leurs demandes initiales, pour l'instant.
Tout le monde ? T'es sûr ? Les professionnels de la sécurité qui s'intéressent un peu à ce qui se passe autour d'eux, certes. Je ne suis pas sûr que ça représente la majorité des utilisateurs potentiels de Viguard.
En tout cas, ça a certainement dû faire baisser leur karma. Je ne m'étais pas servi de ViGuard depuis des années, mais j'en gardais un bon souvenir. Ce n'est plus le cas.
Peut-être que la majorité, non, mais une minorité conséquente, tout de même.
Laurent
Fabien LE LEZ wrote:
D'une manière générale, il vaut mieux s'attacher les services d'un
avocat pour être légalement irréprochable. Ne nous y trompons pas : si
Viguard n'avait pas trouvé le coup de la licence pour attaquer, ils
auraient trouvé autre chose.
Mais auraient-ils gagné?
La licence, si j'ai bien compris, est justement tout ce qu'ils ont réussi à
trouver, et le résultat n'est pas vraiment à la hauteur de leurs demandes
initiales, pour l'instant.
Tout le monde ? T'es sûr ?
Les professionnels de la sécurité qui s'intéressent un peu à ce qui se
passe autour d'eux, certes. Je ne suis pas sûr que ça représente la
majorité des utilisateurs potentiels de Viguard.
En tout cas, ça a certainement dû faire baisser leur karma.
Je ne m'étais pas servi de ViGuard depuis des années, mais j'en gardais un bon
souvenir. Ce n'est plus le cas.
Peut-être que la majorité, non, mais une minorité conséquente, tout de même.
D'une manière générale, il vaut mieux s'attacher les services d'un avocat pour être légalement irréprochable. Ne nous y trompons pas : si Viguard n'avait pas trouvé le coup de la licence pour attaquer, ils auraient trouvé autre chose.
Mais auraient-ils gagné? La licence, si j'ai bien compris, est justement tout ce qu'ils ont réussi à trouver, et le résultat n'est pas vraiment à la hauteur de leurs demandes initiales, pour l'instant.
Tout le monde ? T'es sûr ? Les professionnels de la sécurité qui s'intéressent un peu à ce qui se passe autour d'eux, certes. Je ne suis pas sûr que ça représente la majorité des utilisateurs potentiels de Viguard.
En tout cas, ça a certainement dû faire baisser leur karma. Je ne m'étais pas servi de ViGuard depuis des années, mais j'en gardais un bon souvenir. Ce n'est plus le cas.
Peut-être que la majorité, non, mais une minorité conséquente, tout de même.