J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente
commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent
attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur
autorise la revente est nulle.
J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente
commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent
attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur
autorise la revente est nulle.
J'invite la justice à s'intéresser des prés aux chaînes de revente
commerciale de jeux vidéo d'occasion. La probabilité qu'ils lisent
attentivement la licence de chaque jeu pour vérifier que l'éditeur
autorise la revente est nulle.
Mais auraient-ils gagné?
Mais auraient-ils gagné?
Mais auraient-ils gagné?
Le Sat, 12 Mar 2005 13:28:18 +0000, Laurent Blume a écrit :Mais auraient-ils gagné?
Ben justement, on n'en sait rien.
Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Du coup, on
n'a pas avancé d'un pouce sur ce terrain là,
voire même régressé au
regard des confusions que cela entraîne.
Le Sat, 12 Mar 2005 13:28:18 +0000, Laurent Blume a écrit :
Mais auraient-ils gagné?
Ben justement, on n'en sait rien.
Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Du coup, on
n'a pas avancé d'un pouce sur ce terrain là,
voire même régressé au
regard des confusions que cela entraîne.
Le Sat, 12 Mar 2005 13:28:18 +0000, Laurent Blume a écrit :Mais auraient-ils gagné?
Ben justement, on n'en sait rien.
Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Du coup, on
n'a pas avancé d'un pouce sur ce terrain là,
voire même régressé au
regard des confusions que cela entraîne.
Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Pourquoi cette affaire devrait-elle se transformer en procès du
full-disclosure ?!
Cette affaire me semble extrêmement complexe à apprécier et par
là-même à juger.
Pourquoi devrait-il y avoir évolution ou transformation dans le mode de
publication des failles ?
Cette affaire revêt un caractère délicat et particulier et n'a amha
rien à voir avec le full disclosure.
J'ai l'impression d'assister depuis le début des hostilités à un
règlement de compte entre deux parties : amies hier et ennemies
aujourd'hui. Où l'une des parties cherche coûte que coûte à abattre
l'autre par tous les moyens.
Pour ma part certainement pas. Il y aura toujours des publications de
failles quoiqu'il advienne.
Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Pourquoi cette affaire devrait-elle se transformer en procès du
full-disclosure ?!
Cette affaire me semble extrêmement complexe à apprécier et par
là-même à juger.
Pourquoi devrait-il y avoir évolution ou transformation dans le mode de
publication des failles ?
Cette affaire revêt un caractère délicat et particulier et n'a amha
rien à voir avec le full disclosure.
J'ai l'impression d'assister depuis le début des hostilités à un
règlement de compte entre deux parties : amies hier et ennemies
aujourd'hui. Où l'une des parties cherche coûte que coûte à abattre
l'autre par tous les moyens.
Pour ma part certainement pas. Il y aura toujours des publications de
failles quoiqu'il advienne.
Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Pourquoi cette affaire devrait-elle se transformer en procès du
full-disclosure ?!
Cette affaire me semble extrêmement complexe à apprécier et par
là-même à juger.
Pourquoi devrait-il y avoir évolution ou transformation dans le mode de
publication des failles ?
Cette affaire revêt un caractère délicat et particulier et n'a amha
rien à voir avec le full disclosure.
J'ai l'impression d'assister depuis le début des hostilités à un
règlement de compte entre deux parties : amies hier et ennemies
aujourd'hui. Où l'une des parties cherche coûte que coûte à abattre
l'autre par tous les moyens.
Pour ma part certainement pas. Il y aura toujours des publications de
failles quoiqu'il advienne.
Le Sat, 12 Mar 2005 18:20:37 +0000, LaDDL a écrit :Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Pourquoi cette affaire devrait-elle se transformer en procès du
full-disclosure ?!
Dis, fais moi plaisir, avant de me répondre, lis ce que j'écris. En
particulier DEVRAIT <> DEVAIT.Cette affaire me semble extrêmement complexe à apprécier et par
là-même à juger.
Clairement pas si compliquée que cela.
C'est tout ce qu'on raconte comme
conneries autour qui la rend compliquée à comprendre.
Pourquoi devrait-il y avoir évolution ou transformation dans le mode de
publication des failles ?
Est-ce que j'ai parlé de cela ?
Et de toute manière, il n'y a pas à
proprement parler de mode de publication des failles qui soit reconnu par
la loi comme valable...
La bonne foi reste à l'appréciation du juge.
Cette affaire revêt un caractère délicat et particulier et n'a amha
rien à voir avec le full disclosure.
Aujourd'hui non vu les développements de l'affaire qui est partie sur le
problème de la possession de licence (argument largement discutable
d'ailleurs),
mais ça n'a pas toujours été le cas.
Il suffit de
reprendre la chronologie de l'histoire,
en particulier les motifs de
plainte successifs, ou encore le réquisitoire du ministère public pour
s'en convaincre. Ce dernier nous disait en substance que les p'tits
particuliers n'avaient pas à chercher et divulguer des failles, devant
laisser le marché faire son oeuvre (risible).
J'ai l'impression d'assister depuis le début des hostilités à un
règlement de compte entre deux parties : amies hier et ennemies
aujourd'hui. Où l'une des parties cherche coûte que coûte à abattre
l'autre par tous les moyens.
C'est exactement le cas.
Le problème est le prétexte qui a été pris
qui a bien failli entrer en collision avec la notion de recherche et de
publication de faille (cf. supra).
En gros, une partie a largement
débordé le théâtre des opérations et bien failli (à mon sens) faire
des dommages collatéraux sérieux.
Pour ma part certainement pas. Il y aura toujours des publications de
failles quoiqu'il advienne.
Bien sûr, mais il y a pas de mal de gens qui se poseront des questions,
et qui ne publieront rien pour ne pas prendre le risque de se retrouver
dans la même situation que Guillermito,
en toute connaissance de cause ou
parce qu'ils auront été abusé par de mauvaises interprétations de
l'affaire.
Je ne pense pas que le monde de la sécurité en sorte indemne
et qu'on reparlera de cette histoire régulièrement.
Le Sat, 12 Mar 2005 18:20:37 +0000, LaDDL a écrit :
Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Pourquoi cette affaire devrait-elle se transformer en procès du
full-disclosure ?!
Dis, fais moi plaisir, avant de me répondre, lis ce que j'écris. En
particulier DEVRAIT <> DEVAIT.
Cette affaire me semble extrêmement complexe à apprécier et par
là-même à juger.
Clairement pas si compliquée que cela.
C'est tout ce qu'on raconte comme
conneries autour qui la rend compliquée à comprendre.
Pourquoi devrait-il y avoir évolution ou transformation dans le mode de
publication des failles ?
Est-ce que j'ai parlé de cela ?
Et de toute manière, il n'y a pas à
proprement parler de mode de publication des failles qui soit reconnu par
la loi comme valable...
La bonne foi reste à l'appréciation du juge.
Cette affaire revêt un caractère délicat et particulier et n'a amha
rien à voir avec le full disclosure.
Aujourd'hui non vu les développements de l'affaire qui est partie sur le
problème de la possession de licence (argument largement discutable
d'ailleurs),
mais ça n'a pas toujours été le cas.
Il suffit de
reprendre la chronologie de l'histoire,
en particulier les motifs de
plainte successifs, ou encore le réquisitoire du ministère public pour
s'en convaincre. Ce dernier nous disait en substance que les p'tits
particuliers n'avaient pas à chercher et divulguer des failles, devant
laisser le marché faire son oeuvre (risible).
J'ai l'impression d'assister depuis le début des hostilités à un
règlement de compte entre deux parties : amies hier et ennemies
aujourd'hui. Où l'une des parties cherche coûte que coûte à abattre
l'autre par tous les moyens.
C'est exactement le cas.
Le problème est le prétexte qui a été pris
qui a bien failli entrer en collision avec la notion de recherche et de
publication de faille (cf. supra).
En gros, une partie a largement
débordé le théâtre des opérations et bien failli (à mon sens) faire
des dommages collatéraux sérieux.
Pour ma part certainement pas. Il y aura toujours des publications de
failles quoiqu'il advienne.
Bien sûr, mais il y a pas de mal de gens qui se poseront des questions,
et qui ne publieront rien pour ne pas prendre le risque de se retrouver
dans la même situation que Guillermito,
en toute connaissance de cause ou
parce qu'ils auront été abusé par de mauvaises interprétations de
l'affaire.
Je ne pense pas que le monde de la sécurité en sorte indemne
et qu'on reparlera de cette histoire régulièrement.
Le Sat, 12 Mar 2005 18:20:37 +0000, LaDDL a écrit :Ce procès, qui devait être le procès du full-disclosure (et que
certains continuent à traiter comme tel) ne l'a pas été.
Pourquoi cette affaire devrait-elle se transformer en procès du
full-disclosure ?!
Dis, fais moi plaisir, avant de me répondre, lis ce que j'écris. En
particulier DEVRAIT <> DEVAIT.Cette affaire me semble extrêmement complexe à apprécier et par
là-même à juger.
Clairement pas si compliquée que cela.
C'est tout ce qu'on raconte comme
conneries autour qui la rend compliquée à comprendre.
Pourquoi devrait-il y avoir évolution ou transformation dans le mode de
publication des failles ?
Est-ce que j'ai parlé de cela ?
Et de toute manière, il n'y a pas à
proprement parler de mode de publication des failles qui soit reconnu par
la loi comme valable...
La bonne foi reste à l'appréciation du juge.
Cette affaire revêt un caractère délicat et particulier et n'a amha
rien à voir avec le full disclosure.
Aujourd'hui non vu les développements de l'affaire qui est partie sur le
problème de la possession de licence (argument largement discutable
d'ailleurs),
mais ça n'a pas toujours été le cas.
Il suffit de
reprendre la chronologie de l'histoire,
en particulier les motifs de
plainte successifs, ou encore le réquisitoire du ministère public pour
s'en convaincre. Ce dernier nous disait en substance que les p'tits
particuliers n'avaient pas à chercher et divulguer des failles, devant
laisser le marché faire son oeuvre (risible).
J'ai l'impression d'assister depuis le début des hostilités à un
règlement de compte entre deux parties : amies hier et ennemies
aujourd'hui. Où l'une des parties cherche coûte que coûte à abattre
l'autre par tous les moyens.
C'est exactement le cas.
Le problème est le prétexte qui a été pris
qui a bien failli entrer en collision avec la notion de recherche et de
publication de faille (cf. supra).
En gros, une partie a largement
débordé le théâtre des opérations et bien failli (à mon sens) faire
des dommages collatéraux sérieux.
Pour ma part certainement pas. Il y aura toujours des publications de
failles quoiqu'il advienne.
Bien sûr, mais il y a pas de mal de gens qui se poseront des questions,
et qui ne publieront rien pour ne pas prendre le risque de se retrouver
dans la même situation que Guillermito,
en toute connaissance de cause ou
parce qu'ils auront été abusé par de mauvaises interprétations de
l'affaire.
Je ne pense pas que le monde de la sécurité en sorte indemne
et qu'on reparlera de cette histoire régulièrement.
Je suppose que leurs services
juridiques leur disent que c'est mieux de l'avoir, au cas où...
Je suppose que leurs services
juridiques leur disent que c'est mieux de l'avoir, au cas où...
Je suppose que leurs services
juridiques leur disent que c'est mieux de l'avoir, au cas où...
Yep, au cas où on ait besoin d'un prétexte pour attaquer quelqu'un,
comme c'était le cas dans l'affaire qui nous occupe...
Yep, au cas où on ait besoin d'un prétexte pour attaquer quelqu'un,
comme c'était le cas dans l'affaire qui nous occupe...
Yep, au cas où on ait besoin d'un prétexte pour attaquer quelqu'un,
comme c'était le cas dans l'affaire qui nous occupe...
C'est idiot mais je
suis convaincu que Guillermito est l'homme à abattre pour Tegam. Mais
pourquoi ? Et à cause de quoi ?
C'est idiot mais je
suis convaincu que Guillermito est l'homme à abattre pour Tegam. Mais
pourquoi ? Et à cause de quoi ?
C'est idiot mais je
suis convaincu que Guillermito est l'homme à abattre pour Tegam. Mais
pourquoi ? Et à cause de quoi ?
les gens allechés par la pub: melissa,100% ,pas de maj ;, ayant acheté
ce produit ne l'ont pas apprecié( contraignant); puis le bouche à
oreille ont provoqué la chute des ventes.
l'editeur plutot que de faire son mea culpa , d'ameliorer son produit
(ou il n'a pas pu),de comprendre que Guillermito travaillait pour eux
gratos
les gens allechés par la pub: melissa,100% ,pas de maj ;, ayant acheté
ce produit ne l'ont pas apprecié( contraignant); puis le bouche à
oreille ont provoqué la chute des ventes.
l'editeur plutot que de faire son mea culpa , d'ameliorer son produit
(ou il n'a pas pu),de comprendre que Guillermito travaillait pour eux
gratos
les gens allechés par la pub: melissa,100% ,pas de maj ;, ayant acheté
ce produit ne l'ont pas apprecié( contraignant); puis le bouche à
oreille ont provoqué la chute des ventes.
l'editeur plutot que de faire son mea culpa , d'ameliorer son produit
(ou il n'a pas pu),de comprendre que Guillermito travaillait pour eux
gratos
Mais ce qui me semble pour le moins compliqué/confus/étrange/obscure c'est
le cheminement de cette affaire de son origine à maintenant.
Corriges-moi si je me trompe mais au moment de la publication des travaux
de Guillermito, Tegam n'a pas réagit. Donc pourquoi avoir attendu ?
Pourquoi la situation s'est dégradée ? En bref comment en sont-ils
arrivés là ? Enfin quels sont les enjeux, objectifs ?
Bah tu le sous-entends puisque tu indiques que le procès n'a pas retenu
la publication des failles des logiciels. Je te cite : "Du coup, on n'a
pas avancé d'un pouce sur ce terrain là, voire même régressé au
regard des confusions que cela entraîne". Donc tu aurais souhaité
qu'il y ait eu une prise de position officielle.
Parfaitement mais c'est légitimé par les autorités quand ça va dans
le sens de l'assurance de la sécurité des systèmes d'information. La
nuance réside dans l'intention de nuire ou pas.
Alors pour revenir à Tegam vs Guillermito il y a pour moi bien autre
chose que cet argument (ridicule) de la licence. C'est idiot mais je
suis convaincu que Guillermito est l'homme à abattre pour Tegam. Mais
pourquoi ? Et à cause de quoi ? Certainement pas suite au
téléchargement en warez d'une version de Viguard et de la publication
de ses résultats.
Quelle histoire ? Les faits pris en compte dans les différentes
procédures et le procès ou bien tout ce qui se dit autour ?
Il faudrait leur rappeler ce qu'est le hacking !
Mais pourquoi ? Car c'est amha la clef de ce procès.
et qui ne publieront rien pour ne pas prendre le risque de se retrouver
dans la même situation que Guillermito,
Cette affaire ne peut pas selon moi faire jurisprudence car elle
contient trop de zones d'ombres.
Oui elle concerne la communauté des chercheurs de failles parce que
l'un d'eux est mis au pilory mais pour de mauvaises raisons (à la
lumière des éléments du procès).
N'est-ce pas là aussi l'un des objectifs de ce procès ?
Malheureusement. J'espère simplement que l'issue de cette affaire fera
la lumière sur tout.
Et puis qu'est-ce-que tu viens faire sur fufe ?
Tenter de discuter avec des gens un peu iontelligents. Mais ils sont
Mais ce qui me semble pour le moins compliqué/confus/étrange/obscure c'est
le cheminement de cette affaire de son origine à maintenant.
Corriges-moi si je me trompe mais au moment de la publication des travaux
de Guillermito, Tegam n'a pas réagit. Donc pourquoi avoir attendu ?
Pourquoi la situation s'est dégradée ? En bref comment en sont-ils
arrivés là ? Enfin quels sont les enjeux, objectifs ?
Bah tu le sous-entends puisque tu indiques que le procès n'a pas retenu
la publication des failles des logiciels. Je te cite : "Du coup, on n'a
pas avancé d'un pouce sur ce terrain là, voire même régressé au
regard des confusions que cela entraîne". Donc tu aurais souhaité
qu'il y ait eu une prise de position officielle.
Parfaitement mais c'est légitimé par les autorités quand ça va dans
le sens de l'assurance de la sécurité des systèmes d'information. La
nuance réside dans l'intention de nuire ou pas.
Alors pour revenir à Tegam vs Guillermito il y a pour moi bien autre
chose que cet argument (ridicule) de la licence. C'est idiot mais je
suis convaincu que Guillermito est l'homme à abattre pour Tegam. Mais
pourquoi ? Et à cause de quoi ? Certainement pas suite au
téléchargement en warez d'une version de Viguard et de la publication
de ses résultats.
Quelle histoire ? Les faits pris en compte dans les différentes
procédures et le procès ou bien tout ce qui se dit autour ?
Il faudrait leur rappeler ce qu'est le hacking !
Mais pourquoi ? Car c'est amha la clef de ce procès.
et qui ne publieront rien pour ne pas prendre le risque de se retrouver
dans la même situation que Guillermito,
Cette affaire ne peut pas selon moi faire jurisprudence car elle
contient trop de zones d'ombres.
Oui elle concerne la communauté des chercheurs de failles parce que
l'un d'eux est mis au pilory mais pour de mauvaises raisons (à la
lumière des éléments du procès).
N'est-ce pas là aussi l'un des objectifs de ce procès ?
Malheureusement. J'espère simplement que l'issue de cette affaire fera
la lumière sur tout.
Et puis qu'est-ce-que tu viens faire sur fufe ?
Tenter de discuter avec des gens un peu iontelligents. Mais ils sont
Mais ce qui me semble pour le moins compliqué/confus/étrange/obscure c'est
le cheminement de cette affaire de son origine à maintenant.
Corriges-moi si je me trompe mais au moment de la publication des travaux
de Guillermito, Tegam n'a pas réagit. Donc pourquoi avoir attendu ?
Pourquoi la situation s'est dégradée ? En bref comment en sont-ils
arrivés là ? Enfin quels sont les enjeux, objectifs ?
Bah tu le sous-entends puisque tu indiques que le procès n'a pas retenu
la publication des failles des logiciels. Je te cite : "Du coup, on n'a
pas avancé d'un pouce sur ce terrain là, voire même régressé au
regard des confusions que cela entraîne". Donc tu aurais souhaité
qu'il y ait eu une prise de position officielle.
Parfaitement mais c'est légitimé par les autorités quand ça va dans
le sens de l'assurance de la sécurité des systèmes d'information. La
nuance réside dans l'intention de nuire ou pas.
Alors pour revenir à Tegam vs Guillermito il y a pour moi bien autre
chose que cet argument (ridicule) de la licence. C'est idiot mais je
suis convaincu que Guillermito est l'homme à abattre pour Tegam. Mais
pourquoi ? Et à cause de quoi ? Certainement pas suite au
téléchargement en warez d'une version de Viguard et de la publication
de ses résultats.
Quelle histoire ? Les faits pris en compte dans les différentes
procédures et le procès ou bien tout ce qui se dit autour ?
Il faudrait leur rappeler ce qu'est le hacking !
Mais pourquoi ? Car c'est amha la clef de ce procès.
et qui ne publieront rien pour ne pas prendre le risque de se retrouver
dans la même situation que Guillermito,
Cette affaire ne peut pas selon moi faire jurisprudence car elle
contient trop de zones d'ombres.
Oui elle concerne la communauté des chercheurs de failles parce que
l'un d'eux est mis au pilory mais pour de mauvaises raisons (à la
lumière des éléments du procès).
N'est-ce pas là aussi l'un des objectifs de ce procès ?
Malheureusement. J'espère simplement que l'issue de cette affaire fera
la lumière sur tout.
Et puis qu'est-ce-que tu viens faire sur fufe ?
Tenter de discuter avec des gens un peu iontelligents. Mais ils sont