Oui, je dis comme toi, hélas, ce qui prouve bien que le pauvre bachotage à outrance que certains parents font subir à leurs rejetons dans le secondaire trouve rapidement ses limites. Chose à méditer pour les partisans de la sélection à l'entrée en fac.
Un con bachoteur au lycée éliminé très vite en fac ? Espérons-le. Mais je n'en suis pas convaincu pour toutes les disciplines. C'est surtout autour de Bac + 4 que ça commence à flinguer réellement. Donc, là, notre pauvre bachoteur est mort : il ne se relèvera pas de 4 années perdues.
Tiens, j'avais pas mal de copains en économie (là, ça flinguait pas mal dès le début) et j'ai vu des glands en AES (là, c'était du genre coulant) qui duraient longtemps avant de se retrouver sur le carreau.
La cerise sur le gâteau en ce moment, c'est le bac + 4 qui est recruté avec à peu près n'importe quel DEUG (suffit qu'il fasse ça en alternance) ou une vague licence de n'importe quoi et qui entre dans une école semi- privée/publique. Là, il peut sortir avec un beau diplôme qui ne vaudra pas un clou dès que l'employeur aura vu les désastres au bout d'une semaine.
En ce moment, c'est très tendance. Et puis, c'est sympa : tu as de pseudo Bac + 3 que tu prépares à un Bac +4, mais il n'y en a aucun qui a la même formation ! Autant dire que c'est comme si tu faisais une première année. Mais ça rapporte...
costaclt
In article <dek6hj$kgc$2@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, Michel Talon wrote:
Oui, je dis comme toi, hélas, ce qui prouve bien que le pauvre bachotage à
outrance que certains parents font subir à leurs rejetons dans le secondaire
trouve rapidement ses limites.
Chose à méditer pour les partisans de la sélection à l'entrée en fac.
Un con bachoteur au lycée éliminé très vite en fac ? Espérons-le. Mais
je n'en suis pas convaincu pour toutes les disciplines. C'est surtout
autour de Bac + 4 que ça commence à flinguer réellement. Donc, là, notre
pauvre bachoteur est mort : il ne se relèvera pas de 4 années perdues.
Tiens, j'avais pas mal de copains en économie (là, ça flinguait pas mal
dès le début) et j'ai vu des glands en AES (là, c'était du genre coulant)
qui duraient longtemps avant de se retrouver sur le carreau.
La cerise sur le gâteau en ce moment, c'est le bac + 4 qui est recruté
avec à peu près n'importe quel DEUG (suffit qu'il fasse ça en alternance)
ou une vague licence de n'importe quoi et qui entre dans une école semi-
privée/publique. Là, il peut sortir avec un beau diplôme qui ne vaudra
pas un clou dès que l'employeur aura vu les désastres au bout d'une semaine.
En ce moment, c'est très tendance. Et puis, c'est sympa : tu as de pseudo
Bac + 3 que tu prépares à un Bac +4, mais il n'y en a aucun qui a la même
formation ! Autant dire que c'est comme si tu faisais une première année.
Mais ça rapporte...
Oui, je dis comme toi, hélas, ce qui prouve bien que le pauvre bachotage à outrance que certains parents font subir à leurs rejetons dans le secondaire trouve rapidement ses limites. Chose à méditer pour les partisans de la sélection à l'entrée en fac.
Un con bachoteur au lycée éliminé très vite en fac ? Espérons-le. Mais je n'en suis pas convaincu pour toutes les disciplines. C'est surtout autour de Bac + 4 que ça commence à flinguer réellement. Donc, là, notre pauvre bachoteur est mort : il ne se relèvera pas de 4 années perdues.
Tiens, j'avais pas mal de copains en économie (là, ça flinguait pas mal dès le début) et j'ai vu des glands en AES (là, c'était du genre coulant) qui duraient longtemps avant de se retrouver sur le carreau.
La cerise sur le gâteau en ce moment, c'est le bac + 4 qui est recruté avec à peu près n'importe quel DEUG (suffit qu'il fasse ça en alternance) ou une vague licence de n'importe quoi et qui entre dans une école semi- privée/publique. Là, il peut sortir avec un beau diplôme qui ne vaudra pas un clou dès que l'employeur aura vu les désastres au bout d'une semaine.
En ce moment, c'est très tendance. Et puis, c'est sympa : tu as de pseudo Bac + 3 que tu prépares à un Bac +4, mais il n'y en a aucun qui a la même formation ! Autant dire que c'est comme si tu faisais une première année. Mais ça rapporte...
costaclt
Michel Billaud
Le pire scénario, amha, c'est quand tu as 10 profs sur les bras, comme dans un LEP par exemple et que, tout en sachant que la filière que tu proposes est finie, tu fais comme si de rien pour remplir les cases, simplement pour assurer du travail aux profs (qui ont une relative protection tout de même). En plus, dans un LEP, tu n'as pas le prétexte du centre de recherches à faire vivre.
Les priorités sont souvent inverses dans le supérieur. La priorité fondamentale c'est de développer (ou maintenir) son équipe de recherche, le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la multiplication (ou la préservation) des filières.
MB
de préférence, filières de niveau DEA avec 15 inscrits dont 6 qui passent les exams à la fin. Parce que copies du DEUG par paquet de 50 euh merci.
Le pire scénario, amha, c'est quand tu as 10 profs sur les bras, comme
dans un LEP par exemple et que, tout en sachant que la filière que tu
proposes est finie, tu fais comme si de rien pour remplir les cases,
simplement pour assurer du travail aux profs (qui ont une relative
protection tout de même). En plus, dans un LEP, tu n'as pas le prétexte
du centre de recherches à faire vivre.
Les priorités sont souvent inverses dans le supérieur. La priorité
fondamentale c'est de développer (ou maintenir) son équipe de recherche,
le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la
multiplication (ou la préservation) des filières.
MB
de préférence, filières de niveau DEA avec 15 inscrits dont 6 qui
passent les exams à la fin. Parce que copies du DEUG par paquet de 50
euh merci.
Le pire scénario, amha, c'est quand tu as 10 profs sur les bras, comme dans un LEP par exemple et que, tout en sachant que la filière que tu proposes est finie, tu fais comme si de rien pour remplir les cases, simplement pour assurer du travail aux profs (qui ont une relative protection tout de même). En plus, dans un LEP, tu n'as pas le prétexte du centre de recherches à faire vivre.
Les priorités sont souvent inverses dans le supérieur. La priorité fondamentale c'est de développer (ou maintenir) son équipe de recherche, le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la multiplication (ou la préservation) des filières.
MB
de préférence, filières de niveau DEA avec 15 inscrits dont 6 qui passent les exams à la fin. Parce que copies du DEUG par paquet de 50 euh merci.
Nicolas Falcimaigne
Throckmorton P. Gildersleeve wrote:
exemple de truc utile que OS X permettrait et que je ne pourrais pas faire sur mon Linux x86. J'attend toujours.
facile : installer son système et l'utiliser sans s'emmerder, par exemple.
Ce qui m'agace sous OS X, c'est que ce que j'ai à faire se fait tellement vite et simplement que ça en devient lassant. Plus rien à bidouiller... obligé de travailler. La galère, quoi!
Le pire, c'est que je décide d'installer Linux au boulot pour remplacer OuinOuin (qui a le problème inverse mais tout aussi chiant) et, pas de chance, c'est la même chose! Ubuntu 5.04 sous Xfce qui tourne tout seul le plus intuitivement du monde après quelques heures d'installation-MàJ-personnalisation (j'ose pas dire config) pratiquement automatique.
Zut! C'est vrai, on peut même plus s'amuser, enfin!
Obligé de lire des fils infinis sur FCOLD pendant les temps morts. ;-)
Throckmorton P. Gildersleeve <tpg@wistful-vista.com> wrote:
exemple de truc utile que OS X permettrait et que je ne pourrais
pas faire sur mon Linux x86. J'attend toujours.
facile : installer son système et l'utiliser sans s'emmerder, par
exemple.
Ce qui m'agace sous OS X, c'est que ce que j'ai à faire se fait
tellement vite et simplement que ça en devient lassant. Plus rien à
bidouiller... obligé de travailler. La galère, quoi!
Le pire, c'est que je décide d'installer Linux au boulot pour remplacer
OuinOuin (qui a le problème inverse mais tout aussi chiant) et, pas de
chance, c'est la même chose! Ubuntu 5.04 sous Xfce qui tourne tout seul
le plus intuitivement du monde après quelques heures
d'installation-MàJ-personnalisation (j'ose pas dire config) pratiquement
automatique.
Zut! C'est vrai, on peut même plus s'amuser, enfin!
Obligé de lire des fils infinis sur FCOLD pendant les temps morts. ;-)
exemple de truc utile que OS X permettrait et que je ne pourrais pas faire sur mon Linux x86. J'attend toujours.
facile : installer son système et l'utiliser sans s'emmerder, par exemple.
Ce qui m'agace sous OS X, c'est que ce que j'ai à faire se fait tellement vite et simplement que ça en devient lassant. Plus rien à bidouiller... obligé de travailler. La galère, quoi!
Le pire, c'est que je décide d'installer Linux au boulot pour remplacer OuinOuin (qui a le problème inverse mais tout aussi chiant) et, pas de chance, c'est la même chose! Ubuntu 5.04 sous Xfce qui tourne tout seul le plus intuitivement du monde après quelques heures d'installation-MàJ-personnalisation (j'ose pas dire config) pratiquement automatique.
Zut! C'est vrai, on peut même plus s'amuser, enfin!
Obligé de lire des fils infinis sur FCOLD pendant les temps morts. ;-)
costaclt
In article <dekm53$mmk$, Michel Talon wrote:
Tu crois qu'il y a beaucoup d'étudiants dans les filières comme tu dis?
Ben regardes dans une fac lettres par exemple. C'est effrayant.
costaclt
In article <dekm53$mmk$4@asmodee.lpthe.jussieu.fr>, Michel Talon wrote:
Tu crois qu'il y a beaucoup d'étudiants dans les filières comme tu dis?
Ben regardes dans une fac lettres par exemple. C'est effrayant.
Tu crois qu'il y a beaucoup d'étudiants dans les filières comme tu dis?
Ben regardes dans une fac lettres par exemple. C'est effrayant.
costaclt
costaclt
In article <430df964$0$3814$, Michel Billaud wrote:
Le pire scénario, amha, c'est quand tu as 10 profs sur les bras, comme dans un LEP par exemple et que, tout en sachant que la filière que tu proposes est finie, tu fais comme si de rien pour remplir les cases, simplement pour assurer du travail aux profs (qui ont une relative protection tout de même). En plus, dans un LEP, tu n'as pas le prétexte du centre de recherches à faire vivre.
Les priorités sont souvent inverses dans le supérieur. La priorité fondamentale c'est de développer (ou maintenir) son équipe de recherche, le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la multiplication (ou la préservation) des filières.
D'où peut-être une petite surnotation, histoire de ne pas éliminer trop de monde, non ?
costaclt
In article <430df964$0$3814$636a15ce@news.free.fr>, Michel Billaud wrote:
Le pire scénario, amha, c'est quand tu as 10 profs sur les bras, comme
dans un LEP par exemple et que, tout en sachant que la filière que tu
proposes est finie, tu fais comme si de rien pour remplir les cases,
simplement pour assurer du travail aux profs (qui ont une relative
protection tout de même). En plus, dans un LEP, tu n'as pas le prétexte
du centre de recherches à faire vivre.
Les priorités sont souvent inverses dans le supérieur. La priorité
fondamentale c'est de développer (ou maintenir) son équipe de recherche,
le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la
multiplication (ou la préservation) des filières.
D'où peut-être une petite surnotation, histoire de ne pas éliminer trop
de monde, non ?
In article <430df964$0$3814$, Michel Billaud wrote:
Le pire scénario, amha, c'est quand tu as 10 profs sur les bras, comme dans un LEP par exemple et que, tout en sachant que la filière que tu proposes est finie, tu fais comme si de rien pour remplir les cases, simplement pour assurer du travail aux profs (qui ont une relative protection tout de même). En plus, dans un LEP, tu n'as pas le prétexte du centre de recherches à faire vivre.
Les priorités sont souvent inverses dans le supérieur. La priorité fondamentale c'est de développer (ou maintenir) son équipe de recherche, le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la multiplication (ou la préservation) des filières.
D'où peut-être une petite surnotation, histoire de ne pas éliminer trop de monde, non ?
costaclt
Michel Billaud
costaclt writes:
le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la multiplication (ou la préservation) des filières.
D'où peut-être une petite surnotation, histoire de ne pas éliminer trop de monde, non ?
La surnotation ça n'existe pas. La notation est un processus en deux parties : 1. fixer des critères de notation 2. S'en servir pour attribuer des notes. Le second peut être assez rigoureux, mais le premier.... donc on ne surnote pas, on reconsidère les critères de notation pour les adapter à la réalité.
Exemple sur la relativité de la notation: - question "en une ligne, quels sont les principaux éléments d'un ordinateur ?" - réponse proposée "l'unité centrale, l'écran et l'imprimante"
Vous mettez combien, sur 20 ?
Perso, ça irait de 0 à 15, selon les critères retenus. 15 ça serait pour des futures esclaves bureauticiennes, 0 pour un élève d'info 2ieme année.
remarquez : le micro-ordinateur centrisme, l'absence du clavier et des périphériques internes (disque p. ex), sans parler des processeurs, mémoire etc.
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
costaclt <fun@numericable.fr> writes:
le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la
multiplication (ou la préservation) des filières.
D'où peut-être une petite surnotation, histoire de ne pas éliminer trop
de monde, non ?
La surnotation ça n'existe pas. La notation est un processus en deux
parties : 1. fixer des critères de notation 2. S'en servir pour
attribuer des notes. Le second peut être assez rigoureux, mais le
premier.... donc on ne surnote pas, on reconsidère les critères de notation
pour les adapter à la réalité.
Exemple sur la relativité de la notation:
- question "en une ligne, quels sont les principaux éléments d'un ordinateur ?"
- réponse proposée "l'unité centrale, l'écran et l'imprimante"
Vous mettez combien, sur 20 ?
Perso, ça irait de 0 à 15, selon les critères retenus. 15 ça serait
pour des futures esclaves bureauticiennes, 0 pour un élève d'info
2ieme année.
remarquez : le micro-ordinateur centrisme, l'absence du clavier et des
périphériques internes (disque p. ex), sans parler des processeurs,
mémoire etc.
MB
--
Michel BILLAUD billaud@labri.fr
LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792
351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud
33405 Talence (FRANCE)
le prétexte c'est les heures de cours rendues nécessaires par la multiplication (ou la préservation) des filières.
D'où peut-être une petite surnotation, histoire de ne pas éliminer trop de monde, non ?
La surnotation ça n'existe pas. La notation est un processus en deux parties : 1. fixer des critères de notation 2. S'en servir pour attribuer des notes. Le second peut être assez rigoureux, mais le premier.... donc on ne surnote pas, on reconsidère les critères de notation pour les adapter à la réalité.
Exemple sur la relativité de la notation: - question "en une ligne, quels sont les principaux éléments d'un ordinateur ?" - réponse proposée "l'unité centrale, l'écran et l'imprimante"
Vous mettez combien, sur 20 ?
Perso, ça irait de 0 à 15, selon les critères retenus. 15 ça serait pour des futures esclaves bureauticiennes, 0 pour un élève d'info 2ieme année.
remarquez : le micro-ordinateur centrisme, l'absence du clavier et des périphériques internes (disque p. ex), sans parler des processeurs, mémoire etc.
MB -- Michel BILLAUD LABRI-Université Bordeaux I tel 05 4000 6922 / 05 5684 5792 351, cours de la Libération http://www.labri.fr/~billaud 33405 Talence (FRANCE)
costaclt
La surnotation ça n'existe pas. La notation est un processus en deux parties : 1. fixer des critères de notation 2. S'en servir pour attribuer des notes. Le second peut être assez rigoureux, mais le premier.... donc on ne surnote pas, on reconsidère les critères de notation pour les adapter à la réalité.
J'ai connu un prof d'éco, c'était simple : il faisait trois tas. Un petit, un moyen et un grand. Et il ne filait que 3 notes (5, 10 ou 15). 5, l'étudiant ne vient pas te faire chier, il est rétamé (8 ou 9 très dangereux ! Casses-couilles devant la porte du bureau). 10, l'étudiant sent que le boulet est passé près. Il essaie plutôt de se faire oublier. 15, il est content. La paix donc.
J'en ai vu un autre, il lisait très très vite (20-30 s) par copie. Il ne recherchait que les mots clés. "Ils finiront bien un jour par les mettre dans l'ordre" disait-il.
Ma méthode : filer les copies à ma femme. Ca l'amuse beaucoup (les femmes sont très vaches) et moi ça m'emmerde vraiment trop. Je ne revérifie que pour les filles jolies.
costaclt
La surnotation ça n'existe pas. La notation est un processus en deux
parties : 1. fixer des critères de notation 2. S'en servir pour
attribuer des notes. Le second peut être assez rigoureux, mais le
premier.... donc on ne surnote pas, on reconsidère les critères de notation
pour les adapter à la réalité.
J'ai connu un prof d'éco, c'était simple : il faisait trois tas. Un petit,
un moyen et un grand. Et il ne filait que 3 notes (5, 10 ou 15). 5,
l'étudiant ne vient pas te faire chier, il est rétamé (8 ou 9 très
dangereux ! Casses-couilles devant la porte du bureau). 10, l'étudiant
sent que le boulet est passé près. Il essaie plutôt de se faire oublier.
15, il est content. La paix donc.
J'en ai vu un autre, il lisait très très vite (20-30 s) par copie. Il ne
recherchait que les mots clés. "Ils finiront bien un jour par les mettre
dans l'ordre" disait-il.
Ma méthode : filer les copies à ma femme. Ca l'amuse beaucoup (les femmes
sont très vaches) et moi ça m'emmerde vraiment trop. Je ne revérifie que
pour les filles jolies.
La surnotation ça n'existe pas. La notation est un processus en deux parties : 1. fixer des critères de notation 2. S'en servir pour attribuer des notes. Le second peut être assez rigoureux, mais le premier.... donc on ne surnote pas, on reconsidère les critères de notation pour les adapter à la réalité.
J'ai connu un prof d'éco, c'était simple : il faisait trois tas. Un petit, un moyen et un grand. Et il ne filait que 3 notes (5, 10 ou 15). 5, l'étudiant ne vient pas te faire chier, il est rétamé (8 ou 9 très dangereux ! Casses-couilles devant la porte du bureau). 10, l'étudiant sent que le boulet est passé près. Il essaie plutôt de se faire oublier. 15, il est content. La paix donc.
J'en ai vu un autre, il lisait très très vite (20-30 s) par copie. Il ne recherchait que les mots clés. "Ils finiront bien un jour par les mettre dans l'ordre" disait-il.
Ma méthode : filer les copies à ma femme. Ca l'amuse beaucoup (les femmes sont très vaches) et moi ça m'emmerde vraiment trop. Je ne revérifie que pour les filles jolies.
costaclt
Franck Yvonnet
Ainsi Parlait costaclt
J'en ai vu un autre, il lisait très très vite (20-30 s) par copie. Il ne recherchait que les mots clés. "Ils finiront bien un jour par les mettre dans l'ordre" disait-il.
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
-- Franck Yvonnet I remember when trolls were fairy tale creatures who lived under bridges. Now homeless people live there and trolls live on Usenet.
Ainsi Parlait costaclt <fun@numericable.fr>
J'en ai vu un autre, il lisait très très vite (20-30 s) par copie. Il ne
recherchait que les mots clés. "Ils finiront bien un jour par les mettre
dans l'ordre" disait-il.
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une
feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque
chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
--
Franck Yvonnet <fyvonnet@gmail.com>
I remember when trolls were fairy tale creatures who lived under bridges.
Now homeless people live there and trolls live on Usenet.
J'en ai vu un autre, il lisait très très vite (20-30 s) par copie. Il ne recherchait que les mots clés. "Ils finiront bien un jour par les mettre dans l'ordre" disait-il.
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
-- Franck Yvonnet I remember when trolls were fairy tale creatures who lived under bridges. Now homeless people live there and trolls live on Usenet.
costaclt
In article , Franck Yvonnet wrote:
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
Tu rigoles, mais je viens de repenser que j'ai eu aussi un prof de musique qui faisait celà (enfin le coup des mots clés).
costaclt
In article <slrndh5c9f.t0j.fyvonnet@gwyneth.glou.net>, Franck Yvonnet wrote:
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une
feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque
chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
Tu rigoles, mais je viens de repenser que j'ai eu aussi un prof de musique
qui faisait celà (enfin le coup des mots clés).
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
Tu rigoles, mais je viens de repenser que j'ai eu aussi un prof de musique qui faisait celà (enfin le coup des mots clés).
costaclt
Jean-Francois BILLAUD
scripsit costaclt :
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
Tu rigoles, mais je viens de repenser que j'ai eu aussi un prof de musique qui faisait celà (enfin le coup des mots clés).
Consigne pour les correcteurs du baccalauréat : « S'il y a le moindre élément qui peut vous faire croire que le candidat a peut-être pensé à la bonne solution, mettez le maximum de points à la question. »
JFB
-- ("< 21e Festival international du film ornithologique >") / ) Ménigoute (79) - 27 octobre au 1er novembre 2005 ( ^ http://www.menigoute-festival.org ^
scripsit costaclt :
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une
feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque
chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
Tu rigoles, mais je viens de repenser que j'ai eu aussi un prof de musique
qui faisait celà (enfin le coup des mots clés).
Consigne pour les correcteurs du baccalauréat : « S'il y a le moindre élément
qui peut vous faire croire que le candidat a peut-être pensé à la bonne solution,
mettez le maximum de points à la question. »
JFB
--
("< 21e Festival international du film ornithologique >")
/ ) Ménigoute (79) - 27 octobre au 1er novembre 2005 (
^ http://www.menigoute-festival.org ^
À ce niveau-là il aurait aussi vite de rédiger un devoir-type sur une feuille de papier calque, et retirer 1 point à chaque fois que quelque chose dépasse sur la copie de l'élève :-)
Tu rigoles, mais je viens de repenser que j'ai eu aussi un prof de musique qui faisait celà (enfin le coup des mots clés).
Consigne pour les correcteurs du baccalauréat : « S'il y a le moindre élément qui peut vous faire croire que le candidat a peut-être pensé à la bonne solution, mettez le maximum de points à la question. »
JFB
-- ("< 21e Festival international du film ornithologique >") / ) Ménigoute (79) - 27 octobre au 1er novembre 2005 ( ^ http://www.menigoute-festival.org ^