HiFi

Ce cher mammifère du nom de Bebert nous susurrait, le mardi 12/08/2014,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message <53ea2bf2$0$2234$426a34cc@news.free.fr>, les doux
mélismes suivants :

Je préfère écouter Otello sur ma chaîne Hifi, en "class A", que sur mon Tepaz
des années 50....
Et quoique vous disiez ce sera ainsi...

J'ai pris autant de plaisir, entre 1957 et 1965, à écouter et découvrir
LES Musiques sur Mon Électrophone Claude Paz & Visseaux (la "Rolls" des
électrophones...Le Teppaz peut aller se rhabiller, ohouialors©)
qu'ensuite sur les multiples chaînes "haute fidélité" qui ont peuplé
Mes Samons d'Écoute !...J'en changeais le saphir toutes les deux ou
trois semaines, si bien que mes premiers vinyles sont, 50 ans plus
tard, toujours farpaitement lisibles par Ma Thorens 226...

Mais c'est comme tout, n'est-ce pas : TOUT s' *ÉDUQUE*, dans la
Vie...Du vers de terre à Homo Sapiens sapiens...Et l'éducation exige et
implique des *EFFORTS* et du *TEMPS*...Notion apparemment en voie de
délitement accéléré...

Mais tout ceci n'est pas bien grave...Il existera TOUJOURS une
clientèle éprise du "beau son"...De toutes façons, même à l'apogée de
la hifi, dans les années 60 à 80, les "véritables" AUDIOPHILES (sinon
idiophiles, bien sûr) n'étaient qu"uène minusculissime niche dans le
fouilles de la "hifi" de masse...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant

"MELMOTH" <theo@free.fr> a écrit dans le message de news:
mn.64ad7de8a573e88b.135555@free.fr...

Ce cher mammifère du nom de Bebert nous susurrait, le mardi 12/08/2014,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et dans
le message <53ea2bf2$0$2234$426a34cc@news.free.fr>, les doux mélismes
suivants :

Je préfère écouter Otello sur ma chaîne Hifi, en "class A", que sur mon
Tepaz des années 50....
Et quoique vous disiez ce sera ainsi...

J'ai pris autant de plaisir, entre 1957 et 1965, à écouter et découvrir
LES Musiques sur Mon Électrophone Claude Paz & Visseaux (la "Rolls" des
électrophones...Le Teppaz peut aller se rhabiller, ohouialors©) qu'ensuite
sur les multiples chaînes "haute fidélité" qui ont peuplé Mes Samons
d'Écoute !...J'en changeais le saphir toutes les deux ou trois semaines,
si bien que mes premiers vinyles sont, 50 ans plus tard, toujours
farpaitement lisibles par Ma Thorens 226...

Mais c'est comme tout, n'est-ce pas : TOUT s' *ÉDUQUE*, dans la Vie...Du
vers de terre à Homo Sapiens sapiens...Et l'éducation exige et implique
des *EFFORTS* et du *TEMPS*...Notion apparemment en voie de délitement
accéléré...

Mais tout ceci n'est pas bien grave...Il existera TOUJOURS une clientèle
éprise du "beau son"...De toutes façons, même à l'apogée de la hifi, dans
les années 60 à 80, les "véritables" AUDIOPHILES (sinon idiophiles, bien
sûr) n'étaient qu"uène minusculissime niche dans le fouilles de la "hifi"
de masse...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant

Et maintenant tu reprendrais ton Paz & Visseaux pour écouter MAF? Tu
délaisserais ta chaine à 25 patates?
"Mon" Teppaz, mes parents l'avaient acheté pour la famille, je n'ai pas eu
le choix, je n'avais pas l'argent, même pour les disques (et je ne
connaissais pas les différences de qualité sonores entre appareils).
Mais j'avais pour copain, le fils du plus grand magasin de musique, avec des
cabines d'écoute, où nous passions une grande partie de nos mercredi...A
cette époque, il vendait des disques, mais pas vraiment les appareils pour
les écouter. Il vendait des instruments surtout.
Et c'est en fréquentant le conservatoire régional que j'ai "découvert"
l'opéra et le théâtre. Avec les examens de fin d'années à l'opéra
municipal...
Avant c'était en conserve que j'écoutais la musique savante...
Maintenant encore mais pas seulement....
B.

Bebert <vb.63spam@free.fr> wrote:

Pour répondre à Gérald, je dirais que ses arguments (proches des attaques
personnelles)

Où ça attaques personnelles ? Faut pas déconner ! Justement j'ai bien
fait attention de m'en garder !

On a parfaitement le droit de s'en passer, mais on peut se passer de
Bentley.
Oui même les pauvres ont droit au beau, mais est-ce que c'est ce qui se
passe en vérité?

C'est une "attaque personnelle" que de faire remarquer que ces deux
phrases s'ajoutent aux précédentes dans une ambiguïté qui l'est de moins
en moins ? (morale, sociale...). Assume !

Je préfère écouter Otello sur ma chaîne Hifi, en "class A", que sur mon
Tepaz des années 50....
Et quoique vous disiez ce sera ainsi...

On a bien compris. Nous différons. Je l'ai dit et je le répète, ce qu'il
m'intéresse d'écouter c'est la musique, moins le son (même si je ne
dédaigne pas un certain confort moderne pour des enregistrements
récents). L'ensemble de l'½uvre de Charlie Parker a été enregistrée dans
des conditions où un électrophone mono des années 60 suffit amplement,
voire ajouterait même une cohérence et une couleur d'époque à cette
écoute !

Pour pousser à peine plus loin, je suis tombé par hasard il y a quelques
jours à la télé pile au début d'un concert tardif : il s'agissait d'une
oeuvre que j'adore entre toutes : La Matthäus-Passion de J.S. Bach. Je
suis donc resté "pour le plaisir" qui a vite cessé de l'être : une
interprétation mièvre, molle, des choristes féminines chevrotantes,
...aux antipodes de la clarté des choeurs de garçons et de la nervosité
de l'interprétation de référence d'un Harnoncourt (!).

Mais au bout de quelques minutes d'inconfort, je me suis laissé aller à
me concentrer sur les notes, cette incroyable architecture baroque
flamboyante, ce contrepoint irréprochable et tellement inventif... Le
Choral "Erkenne mich, mein Hüter" (et son double final) qui arrive comme
un oasis de paix... jusqu'à en oublier la médiocrité de
l'interprétation et même de l'écoute... (je n'étais pas chez moi, et je
n'avais droit qu'aux HP d'un écran plat médiocre à volume réduit !).

J'ai atteint la fin de la diffusion dans un état curieux où je me suis
aperçu qu'en me "blindant" contre cette médiocrité ambiante je n'en
avais été que plus attentif à la musique... Savoir s'il faudrait en
tirer des conséquences masochistes est une autre affaire :-) Mais j'ai
déjà dit que (et je n'oblige personne à me suivre), la hifi pourrait
bien, in fine, agir comme un écran entre l'auditeur et la musique, en
focalisant l'attention sur le "son". Elle pourrait être considérée, à ce
titre, comme presque contre-productive !

--
Gérald

Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le mercredi
13/08/2014, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<1lqasax.1467asrio1rxiN%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com>,
les doux mélismes suivants :

La *Matthäus-Passion* de J.S. Bach

Évidemment, écrire "la Passion selon Saint-Matthieu", tout
simplement,ça fait trop peuple, n'est-ce pas..À ta place, j'aurais même
écrit la BWV 244, pour /vraiment/ me faire mousser...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant

C'est une "attaque personnelle" que de faire remarquer que ces deux
phrases s'ajoutent aux précédentes dans une ambiguïté qui l'est de moins
en moins ? (morale, sociale...). Assume !

Quelle ambigüité?
Explique!
Le fait d'être dans une société qui se la joue "liberté, égalité,
fraternité" et qui n'est ni fraternelle, en tout cas de moins en moins, de
plus en plus individualiste, ni égalitaire, il n'y a qu'à voir les
différences de train de vie affichées, ni libertaire, voir les réflexions
que tu me fais, et les interdits de plus en plus nombreux, (les humoristes
s'auto-censurent)...
Donc mes remarquent s'inscrivent dans ce contexte et ne sont en rien
tendancieuses...
Pas comme celles inavouées de ceux qui s'expriment en nommant l'½uvre de
"JSB", "La Matthäus-Passion de J.S. Bach" pour faire mode....branché de
.....

MELMOTH <theo@free.fr> wrote:

> La *Matthäus-Passion* de J.S. Bach

Évidemment, écrire "la Passion selon Saint-Matthieu", tout
simplement,ça fait trop peuple, n'est-ce pas..

Non, c'est juste une traduction, en plus très approximative (et bien peu
luthérienne !). À la différence de Mozart, je n'ai lu nulle part que
Bach eût parlé le français... J'ai donc simplement utilisé le nom qu'il
avait donné à son ½uvre.

Tu as du « peuple » une conception discriminante qui n'est pas la
mienne. L'acculturation (incluant linguistique) a terriblement progressé
depuis les années soixante, mais il n'est pas acquis que cela ait plus
concerné le « peuple » que... le non-peuple ? (je ne sais pas comment le
définir, quoi mettre dedans, ni où placer la limite : après tout c'est
toi qui a choisi ce mot, à toi de voir).

La partie du « peuple » qui écoute J.S. Bach est sans doute un peu
minoritaire, mais surtout invisible. Presque honteuse, elle se le garde
pour elle.

Mais dans des villages de moins de quatre cents habitants, le petit
« peuple » compagnard qui m'entoure fait salle comble depuis vingt-cinq
ans aux concerts classiques organisés dans le cadre du festival
local « De bouche à oreille ».

Cette année 2014, on donnait les chants polyphoniques de Gènes à
Orgelet, et des « Pièces de clavecin en concert » de Rameau dans
l'Abbatiale de Gigny-sur-Suran, interprétées par Chiara Banchini
(violon), Marianne Muller (viole de gambe) et Françoise Lengellé
(clavecin). En 2013 on avait eu le Quatuor Debussy et le Madrigal de
Paris de Pierre Calmelet, et les années précédentes : le Concert de
l'Hostel Dieu, L'Ensemble vocal et instrumental de l'Ain, L'Orchestre
des Pays de Savoie (la « Johannes-Passion » dans l'église d'Arinthod,
très réussie !), l'Ensemble 415, le Trio Wanderer, Jordi Savall, Pierre
et Jérôme Hantai à Saint-Hymetière,

...et Erik Berchot, tiens, que tu peux voir/entendre ici jouer Chopin
dans la (trop) petite église de Saint-Julien-sur-Suran. Juste parce que
ça illustre *très bien* comment on peut passer au-delà d'une qualité
sonore médiocre pour accéder à une émotion musicale.
<http://cgtcpa.org/resources/ErikBerchot-StJulien-2000.m4v>
La page de notre petit Festival :
<http://festival-jura.com/presentation/>

Et occasion aussi (distanciée), de rappeler le sketch « Les routiers »
de Jean Yanne et Paul Mercey : <http://youtu.be/l3B9MIW8Az4> In
memoriam. C'est vrai quoi : confondre Gabriel Flambard et François
Chombier, c'est vraiment n'importe quoi ! :-) ...et sur l'autoradio du
camion : total hors-charte ! :-))

--
Gérald

Bebert <vb.63spam@free.fr> wrote:

Quelle ambigüité?
Explique!

Bon. Ça tournait essentiellement autour de ta phrase « ceux qui peuvent
choisissent ». Je pense qu'on peut l'entendre de différentes manières,
et que celle que j'ai choisie n'est pas forcément la tienne, mais que ça
reste globalement un peu cynique. Je me trompe ?

Et pas forcément exact : pauvreté n'est pas vice et surtout n'oblige à
rien. Certains font des *choix* très au-dessus de leurs moyens (pauvres
ou pas pauvres) par goût ou par passion. Incluant sur ce forum. Et je
n'y perçois pas la fracture que tu décris à travers des références
"class A", "Bentley", "Rolls" vs. 4L... etc. L'impression que ça me
donne à ton égard (à tort ?) serait alors d'une appartenance à une
classe de privilégiés qui "peuvent". J'ai faux ?

À quoi j'oppose, depuis longtemps, sans agressivité mais opiniâtrement,
qu'il n'est pas évident que la différence soit autre que strictement
financière. À titre de comparaison, à l'heure des montres "à quartz",
une Rolex ne donne pas *mieux* l'heure qu'une Swatch ! Même pas plus
"confortablement" ! :-)

Et j'ajoute en général une couche : je tiens même pour possible que
l'audiophilie puisse faire *écran* entre l'auditeur et la musique (via
la notion de "son").

...puis je retourne dans ma coquille ;-)

--
Gérald

Ce cher mammifère du nom de Bebert nous susurrait, le mardi 12/08/2014,
dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout de même, et
dans le message <53ea7351$0$2934$426a34cc@news.free.fr>, les doux
mélismes suivants :

Et maintenant tu reprendrais ton Paz & Visseaux pour écouter MAF?

Pourquoi pas !...Sur une île déserte, Je M'en contenterais !...
Et puis là n'est pas le blème...Je parle de *PLAISIR*, n'est ce
pas...Qui est toujours aussi vif en 2014 qu'Il était en 1957, âge où
J'achetais avec Mes Faibles Deniers Mon Premier LP 30 cm/33t de Musique
dite "classique", des adaptations de morceaux classiques par le Trio
Raisner !...Le disque trône toujours dans MMDv, fidèle au poste...

Tu délaisserais ta chaine à 25 patates?

Ts ts ts...Beaucoup plus que 25 patates, Mon bon...Et, surtout, près de
350 kg, n'est-ce pas...Foi d'idiophile...

"Mon" Teppaz, mes parents l'avaient acheté pour la famille, je n'ai pas eu le
choix, je n'avais pas l'argent, même pour les disques (et je ne connaissais
pas les différences de qualité sonores entre appareils).

Déjà, à la fin des années 50, la "vraie" hifi
existait...Filson...Thorens...EMT...B&O...Cabasse...Garrard...SME...Etoutescesortesdematos©...Mais
rien ne valait alors Mon Claude Paz & Visseaux, bien entendu...

Mais j'avais pour copain, le fils du plus grand magasin de musique, avec des
cabines d'écoute, où nous passions une grande partie de nos mercredi...A
cette époque, il vendait des disques, mais pas vraiment les appareils pour
les écouter. Il vendait des instruments surtout.

[NOSTALGIE ON]
J'ai Moi-Même, entre 1957 et 1964, passé des journées entières chez les
disquaires de Rennes..Pas dans les cabines d'écoute, mais dans leurs
salles "privées" où on avait la chance d'écouter la Musique sur une
installation digne de ce nom...Et le disquaire (à condition qu'il n'y
aiat pas de monde) Me laissait comparer pendant des heures les
différentes versions des concertos de MAF ou de la 1ère symphonie de
Mahler !...
[NOSTALGIE OFF]

Et c'est en fréquentant le conservatoire régional que j'ai "découvert"
l'opéra et le théâtre. Avec les examens de fin d'années à l'opéra
municipal...

Fort hélas, la vie musicale de Rennes à cette époque était d'une
indigence crasse...(apparemment, ça continue, d'ailleurs)...

Avant c'était en conserve que j'écoutais la musique savante...
Maintenant encore mais pas seulement...

Vive la musique en conserve...
Et vive le concert en "direct live"...
Et avant tout vive Moi...

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant

Ce cher mammifère du nom de Gerald nous susurrait, le mercredi
13/08/2014, dans nos oreilles grandes ouvertes mais un peu sales tout
de même, et dans le message
<1lqb8kx.1m5s6a71wh3532N%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com>,
les doux mélismes suivants :

Non, c'est juste une traduction, en plus très approximative (et bien peu
luthérienne !). À la différence de Mozart, je n'ai lu nulle part que
Bach eût parlé le français... J'ai donc simplement utilisé le nom qu'il
avait donné à son ½uvre.

*MMMOOOUUUAAARRRFFF* !!!...©

--
Car avec beaucoup de science, il y a beaucoup de chagrin ; et celui qui
accroît sa science accroît sa douleur.
[Ecclésiaste, 1-18]
MELMOTH - souffrant

"Gerald" <voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com> a écrit dans
le message de news:
1lqbcsh.mglxgf1utzef4N%voir_le_reply-to@car_cette_adresse_est_invalide.com...

Bebert <vb.63spam@free.fr> wrote:

Quelle ambigüité?
Explique!

Bon. Ça tournait essentiellement autour de ta phrase « ceux qui peuvent
choisissent ». Je pense qu'on peut l'entendre de différentes manières,
et que celle que j'ai choisie n'est pas forcément la tienne, mais que ça
reste globalement un peu cynique. Je me trompe ?

Et pas forcément exact : pauvreté n'est pas vice et surtout n'oblige à
rien. Certains font des *choix* très au-dessus de leurs moyens (pauvres
ou pas pauvres) par goût ou par passion. Incluant sur ce forum. Et je
n'y perçois pas la fracture que tu décris à travers des références
"class A", "Bentley", "Rolls" vs. 4L... etc. L'impression que ça me
donne à ton égard (à tort ?) serait alors d'une appartenance à une
classe de privilégiés qui "peuvent". J'ai faux ?

À quoi j'oppose, depuis longtemps, sans agressivité mais opiniâtrement,
qu'il n'est pas évident que la différence soit autre que strictement
financière. À titre de comparaison, à l'heure des montres "à quartz",
une Rolex ne donne pas *mieux* l'heure qu'une Swatch ! Même pas plus
"confortablement" ! :-)

Et j'ajoute en général une couche : je tiens même pour possible que
l'audiophilie puisse faire *écran* entre l'auditeur et la musique (via
la notion de "son").
...puis je retourne dans ma coquille ;-)

--
Gérald

T'as faux sur tout, c'est peu dire, même sur tes idées, pleines de
préjugés...
Dans la vie , n'existe pas seulement son expérience personnelle, et il faut
prendre du recul pour interpréter les dires d'autrui.
Quand je dis que les pauvres ont droit au beau eux aussi, il y a
sous-entendu que la majorité n'y accède pas, quelque soit le choix (ou le
non-choix)de ceux qui la compose. Je ne parle pas des exceptions, sinon je
parlerais de gens très proches de moi.....voir....
L'audiophile est quelqu'un qui écoute de la musique, je ne le rejette pas,
ne serait-il pas mélomane?Un peu quand même, non?
L'audiophile mélomane existe, j'en connais!!!
Grace à son exigence le monde du matériel d'écoute a évolué vers le mieux,
même en gamme populaire.Alors!!!
B.