sous développés, puis en voie de développement). Et maintenant, on a le
contrecoup, c'est eux qui veulent nous racheter ...
sous développés, puis en voie de développement). Et maintenant, on a le
contrecoup, c'est eux qui veulent nous racheter ...
sous développés, puis en voie de développement). Et maintenant, on a le
contrecoup, c'est eux qui veulent nous racheter ...
François Jacquemin wrote:
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un
cahier des charges précis, documenté, avec vérifs et sanctions.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas. C'est systématiquement
détourné. Voir les déclarations bidon de bénéfices des grandes
entreprises, et les supposés appels d'offres qui aboutissent quand
même à des choix pré-décidés (pour ça, j'y ai assisté).
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un
cahier des charges précis, documenté, avec vérifs et sanctions.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas. C'est systématiquement
détourné. Voir les déclarations bidon de bénéfices des grandes
entreprises, et les supposés appels d'offres qui aboutissent quand
même à des choix pré-décidés (pour ça, j'y ai assisté).
François Jacquemin wrote:
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un
cahier des charges précis, documenté, avec vérifs et sanctions.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas. C'est systématiquement
détourné. Voir les déclarations bidon de bénéfices des grandes
entreprises, et les supposés appels d'offres qui aboutissent quand
même à des choix pré-décidés (pour ça, j'y ai assisté).
François Jacquemin wrote:Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Les actionnai... C'est ce qui s'est
passé au Chili et qui leur a permi d'éviter de vivre la même mésaventure
que l'Argentine. Lors de la privatisation des services publiques, elle a
interdit les achats de courte durée (de type 6 mois maximum, comme
on trouve partout ailleurs). Celui qui achetait était obligé de rester
au moins 1 an. Et bien ce simple principe qui a fait s'enfuir d'office
les spéculateurs et a évité la "titanication" du pays. Même politique de
privatisation que l'Argentine, résultat inverse. Simplement en
interdidant les reventes en dessous d'1 an !!!
Tu oublies de raconter comment les argentins ont pris de mauvaises
On ne voit donc pas le lien direct entre les actionnaires et la
nécessité de couler les règles. On peut même craindre qu'une
entreprise déconsidérée ne voie partir son actionnariat, à terme...
Mouarf. Vraiment, je ne te demande pas d'avoir une idéologie.
Simplement, regarde ce qui se passe sur le terrain sur la longueur,
rien d'autre.Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance
va trouver des correctifs.
Le système existe depuis au moins 25 ans. Mais c'est depuis 15 ans qu'il
a tourné au goinffrage sans limite. Et absolument aucun correctif n'est
apparu. Pourquoi ? Parce les possédants se foutent des entreprises, ce
sont les profits qui les intéressent.
Normalement, le dernier rempart
qui devrait être là pour protéger les populations, c'est le politique.
Mais les lobbies des investisseurs sont là pour les noyauter et leur
bourrer le mou. Les politiques ne sont plus là que pour protéger leur
propres intérêts, péréniser leur propre emploi, gérer plus ou moins le
chaos, surtout continuer à avoir l'illusion d'être décisionnaires. Quant
à la protection de la nation pensée comme un ensemble et non comme
un réservoir à blé au service d'une minorité de caste, aucun n'en a les
couilles.
Pourtant, si on paupérise une population, qui achètera les biens de
consommation ? Quand un riche a bouffé un super repas à 1000 euros
sans le vin, il ne peut plus rien enfourner. Ce n'est pas la minorité de
super friqué qui va bouffer 30 millions de biftecks à tous les repas et
faire vivre toute la fillière viande. Pour qu'un pays vive, il vaut
mieux vendre une majorité de biftecks à la majorité de la population
plutôt que quelques repas vendus à 1000 euros à une minorité.
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Les actionnai... C'est ce qui s'est
passé au Chili et qui leur a permi d'éviter de vivre la même mésaventure
que l'Argentine. Lors de la privatisation des services publiques, elle a
interdit les achats de courte durée (de type 6 mois maximum, comme
on trouve partout ailleurs). Celui qui achetait était obligé de rester
au moins 1 an. Et bien ce simple principe qui a fait s'enfuir d'office
les spéculateurs et a évité la "titanication" du pays. Même politique de
privatisation que l'Argentine, résultat inverse. Simplement en
interdidant les reventes en dessous d'1 an !!!
Tu oublies de raconter comment les argentins ont pris de mauvaises
On ne voit donc pas le lien direct entre les actionnaires et la
nécessité de couler les règles. On peut même craindre qu'une
entreprise déconsidérée ne voie partir son actionnariat, à terme...
Mouarf. Vraiment, je ne te demande pas d'avoir une idéologie.
Simplement, regarde ce qui se passe sur le terrain sur la longueur,
rien d'autre.
Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance
va trouver des correctifs.
Le système existe depuis au moins 25 ans. Mais c'est depuis 15 ans qu'il
a tourné au goinffrage sans limite. Et absolument aucun correctif n'est
apparu. Pourquoi ? Parce les possédants se foutent des entreprises, ce
sont les profits qui les intéressent.
Normalement, le dernier rempart
qui devrait être là pour protéger les populations, c'est le politique.
Mais les lobbies des investisseurs sont là pour les noyauter et leur
bourrer le mou. Les politiques ne sont plus là que pour protéger leur
propres intérêts, péréniser leur propre emploi, gérer plus ou moins le
chaos, surtout continuer à avoir l'illusion d'être décisionnaires. Quant
à la protection de la nation pensée comme un ensemble et non comme
un réservoir à blé au service d'une minorité de caste, aucun n'en a les
couilles.
Pourtant, si on paupérise une population, qui achètera les biens de
consommation ? Quand un riche a bouffé un super repas à 1000 euros
sans le vin, il ne peut plus rien enfourner. Ce n'est pas la minorité de
super friqué qui va bouffer 30 millions de biftecks à tous les repas et
faire vivre toute la fillière viande. Pour qu'un pays vive, il vaut
mieux vendre une majorité de biftecks à la majorité de la population
plutôt que quelques repas vendus à 1000 euros à une minorité.
François Jacquemin wrote:Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Les actionnai... C'est ce qui s'est
passé au Chili et qui leur a permi d'éviter de vivre la même mésaventure
que l'Argentine. Lors de la privatisation des services publiques, elle a
interdit les achats de courte durée (de type 6 mois maximum, comme
on trouve partout ailleurs). Celui qui achetait était obligé de rester
au moins 1 an. Et bien ce simple principe qui a fait s'enfuir d'office
les spéculateurs et a évité la "titanication" du pays. Même politique de
privatisation que l'Argentine, résultat inverse. Simplement en
interdidant les reventes en dessous d'1 an !!!
Tu oublies de raconter comment les argentins ont pris de mauvaises
On ne voit donc pas le lien direct entre les actionnaires et la
nécessité de couler les règles. On peut même craindre qu'une
entreprise déconsidérée ne voie partir son actionnariat, à terme...
Mouarf. Vraiment, je ne te demande pas d'avoir une idéologie.
Simplement, regarde ce qui se passe sur le terrain sur la longueur,
rien d'autre.Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance
va trouver des correctifs.
Le système existe depuis au moins 25 ans. Mais c'est depuis 15 ans qu'il
a tourné au goinffrage sans limite. Et absolument aucun correctif n'est
apparu. Pourquoi ? Parce les possédants se foutent des entreprises, ce
sont les profits qui les intéressent.
Normalement, le dernier rempart
qui devrait être là pour protéger les populations, c'est le politique.
Mais les lobbies des investisseurs sont là pour les noyauter et leur
bourrer le mou. Les politiques ne sont plus là que pour protéger leur
propres intérêts, péréniser leur propre emploi, gérer plus ou moins le
chaos, surtout continuer à avoir l'illusion d'être décisionnaires. Quant
à la protection de la nation pensée comme un ensemble et non comme
un réservoir à blé au service d'une minorité de caste, aucun n'en a les
couilles.
Pourtant, si on paupérise une population, qui achètera les biens de
consommation ? Quand un riche a bouffé un super repas à 1000 euros
sans le vin, il ne peut plus rien enfourner. Ce n'est pas la minorité de
super friqué qui va bouffer 30 millions de biftecks à tous les repas et
faire vivre toute la fillière viande. Pour qu'un pays vive, il vaut
mieux vendre une majorité de biftecks à la majorité de la population
plutôt que quelques repas vendus à 1000 euros à une minorité.
Michèle wrote:François Jacquemin wrote:
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un
cahier des charges précis, documenté, avec vérifs et sanctions.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas. C'est systématiquement
détourné. Voir les déclarations bidon de bénéfices des grandes
entreprises, et les supposés appels d'offres qui aboutissent quand
même à des choix pré-décidés (pour ça, j'y ai assisté).
Le problème est qu'il n'y a pas d'autre monde.
Michèle <michele@alussinan.org> wrote:
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un
cahier des charges précis, documenté, avec vérifs et sanctions.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas. C'est systématiquement
détourné. Voir les déclarations bidon de bénéfices des grandes
entreprises, et les supposés appels d'offres qui aboutissent quand
même à des choix pré-décidés (pour ça, j'y ai assisté).
Le problème est qu'il n'y a pas d'autre monde.
Michèle wrote:François Jacquemin wrote:
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un
cahier des charges précis, documenté, avec vérifs et sanctions.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas. C'est systématiquement
détourné. Voir les déclarations bidon de bénéfices des grandes
entreprises, et les supposés appels d'offres qui aboutissent quand
même à des choix pré-décidés (pour ça, j'y ai assisté).
Le problème est qu'il n'y a pas d'autre monde.
employés. Et quand on fait disparaître les employés, on fait disparaître
quoi ? Les consommateurs. Car quand on fabrique des pauvres, on détruit
des consommateurs.
Et alors là, d'un seul coup, le joli shéma se casse complètement la
gueule.
employés. Et quand on fait disparaître les employés, on fait disparaître
quoi ? Les consommateurs. Car quand on fabrique des pauvres, on détruit
des consommateurs.
Et alors là, d'un seul coup, le joli shéma se casse complètement la
gueule.
employés. Et quand on fait disparaître les employés, on fait disparaître
quoi ? Les consommateurs. Car quand on fabrique des pauvres, on détruit
des consommateurs.
Et alors là, d'un seul coup, le joli shéma se casse complètement la
gueule.
Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
Et on y est arrivé : le libéralisme est la seule chose possible. Voilà
l'essence de la doctrine qui nous est inculquée depuis 40 ans afin que
SURTOUT on ne cherche pas d'autre solution.
Je n'ai pas dit ça. Tu crois, toi, que le monde est libéral en
Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
Et on y est arrivé : le libéralisme est la seule chose possible. Voilà
l'essence de la doctrine qui nous est inculquée depuis 40 ans afin que
SURTOUT on ne cherche pas d'autre solution.
Je n'ai pas dit ça. Tu crois, toi, que le monde est libéral en
Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
Et on y est arrivé : le libéralisme est la seule chose possible. Voilà
l'essence de la doctrine qui nous est inculquée depuis 40 ans afin que
SURTOUT on ne cherche pas d'autre solution.
Je n'ai pas dit ça. Tu crois, toi, que le monde est libéral en
Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
FiLH wrote:Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
Je pense que le même raisonnement s'est trouvé appliquable lorsque des
tentatives d'autres modèles ont tenté de prendre forme, dans des
Je pense
qu'il n'y a qu'un monde quel que soit le modèle de ton choix, qu'il
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
Je pense que le même raisonnement s'est trouvé appliquable lorsque des
tentatives d'autres modèles ont tenté de prendre forme, dans des
Je pense
qu'il n'y a qu'un monde quel que soit le modèle de ton choix, qu'il
FiLH wrote:Le glissement subtil qui consiste à passer de la réalité d'un monde
imparfait à la réalité du modème libéral parfait est une arnaque
intellectuelle de permier ordre. La preuve même des gens sensés comme
toi se laissent avoir.
Je pense que le même raisonnement s'est trouvé appliquable lorsque des
tentatives d'autres modèles ont tenté de prendre forme, dans des
Je pense
qu'il n'y a qu'un monde quel que soit le modèle de ton choix, qu'il
FiLH wrote:
Et on y est arrivé : le libéralisme est la seule chose possible. Voilà
l'essence de la doctrine qui nous est inculquée depuis 40 ans afin que
SURTOUT on ne cherche pas d'autre solution.
Je n'ai pas dit ça.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas.... (je coupe ici
l'explication).
Le problème est qu'il n'y a pas d'autre monde.
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
Et on y est arrivé : le libéralisme est la seule chose possible. Voilà
l'essence de la doctrine qui nous est inculquée depuis 40 ans afin que
SURTOUT on ne cherche pas d'autre solution.
Je n'ai pas dit ça.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas.... (je coupe ici
l'explication).
Le problème est qu'il n'y a pas d'autre monde.
FiLH wrote:
Et on y est arrivé : le libéralisme est la seule chose possible. Voilà
l'essence de la doctrine qui nous est inculquée depuis 40 ans afin que
SURTOUT on ne cherche pas d'autre solution.
Je n'ai pas dit ça.
Ça dans le monde libéral, ça n'existe pas.... (je coupe ici
l'explication).
Le problème est qu'il n'y a pas d'autre monde.
Patrick C. wrote:faire croire que le privé va baisser les coûts (ce qui est faux car
en plus des coûts il faut en plus payer les dividendes des actionnaires)
Dans les faits, pour la téléphonie ce fut le cas.
Si tu es dégroupé peut être... Autrement non.
Aucune privatisation n'a a ce jour permis de réellement faire baisser
les prix ; ce qui se passe avec la téléphonie c'est surtout le report
vers le mobile, le fixe devenant simplement un produit d'appel et/ou un
service autour de la fourniture d'un tuyau multimédia (ADSL).
Patrick C. <cochardp@alussinan.org> wrote:
faire croire que le privé va baisser les coûts (ce qui est faux car
en plus des coûts il faut en plus payer les dividendes des actionnaires)
Dans les faits, pour la téléphonie ce fut le cas.
Si tu es dégroupé peut être... Autrement non.
Aucune privatisation n'a a ce jour permis de réellement faire baisser
les prix ; ce qui se passe avec la téléphonie c'est surtout le report
vers le mobile, le fixe devenant simplement un produit d'appel et/ou un
service autour de la fourniture d'un tuyau multimédia (ADSL).
Patrick C. wrote:faire croire que le privé va baisser les coûts (ce qui est faux car
en plus des coûts il faut en plus payer les dividendes des actionnaires)
Dans les faits, pour la téléphonie ce fut le cas.
Si tu es dégroupé peut être... Autrement non.
Aucune privatisation n'a a ce jour permis de réellement faire baisser
les prix ; ce qui se passe avec la téléphonie c'est surtout le report
vers le mobile, le fixe devenant simplement un produit d'appel et/ou un
service autour de la fourniture d'un tuyau multimédia (ADSL).