Il semble que les pagesjaunes.fr et pagesblanches.fr soient injoignables
à partir d'une connexion free.fr (le traceroute est éloquent).
Alors c'est juste pour prévenir les abonnés free qui ne sont pas encore
au courant : free vient de communiquer son fichier de téléphonie complet
à France télécom. Y compris les abonnés sur "liste rouge". Donc pour
tous les abonnés free avec téléphonie, votre numéro de freebox et
probableent votre email sont maintenant dans les pages blanches.
patpro, qui prend son élan pour leur rentrer dans la tronche.
Penses-tu ! Ça justifie quelque chose, à tes yeux ? On peut par contre se demander si ce n'est pas la raison de les vendre : pas rentable, coûteux, mais peut encore rapporter le prix de la concession. Et hop !
Ça c'est une vision proche de l'idéal libéral... Celle qu'on nous sert pour nous convaincre d'adhérer...Mais l'idéal libéral ne se trouve que dans les comptes de fées....
Je ne voyais pas ça comme un idéal, moi. L'explication d'une décision difficile à prendre, et peu glorieuse, peut-être, mais un idéal ?
Les mécanismes que tu décris correspondent à l'idéal libéral : on agit au mieux, chacun ayant toutes les infos et sans personne pour en profiter illégalement.
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc ce genre de mensonge n'existe pas).
Dans le cas de l'angleterre il y a eu d'abord une volonté politique de liquider tout ça non pas par nécéssité mais par pure idéologie.
Après, ce que raconte Michelle sur les pbs de sécurité... Là encore dans l'idéal libéral le consommateur aurait le choix et devrait privilégier une compagnie où le risque est moindre. Mais cela ne se passse pas non plus comme ça (il n'a pas le choix - dans le modèle libéral le consommateur peut instantannément acheter une voiture pour changer de moyen de transport si ça s'averre mieux - et surtout n'a pas accès à toutes les infos sur les risques).
Etc...etc...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
FiLH <filh@filh.org> wrote:
C'est ce qu'on dit après pour justifier...
Penses-tu ! Ça justifie quelque chose, à tes yeux ? On peut par contre
se demander si ce n'est pas la raison de les vendre : pas rentable,
coûteux, mais peut encore rapporter le prix de la concession. Et hop !
Ça c'est une vision proche de l'idéal libéral... Celle qu'on nous sert
pour nous convaincre d'adhérer...Mais l'idéal libéral ne se trouve que
dans les comptes de fées....
Je ne voyais pas ça comme un idéal, moi. L'explication d'une décision
difficile à prendre, et peu glorieuse, peut-être, mais un idéal ?
Les mécanismes que tu décris correspondent à l'idéal libéral : on agit
au mieux, chacun ayant toutes les infos et sans personne pour en
profiter illégalement.
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente
artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or
dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc
ce genre de mensonge n'existe pas).
Dans le cas de l'angleterre il y a eu d'abord une volonté politique de
liquider tout ça non pas par nécéssité mais par pure idéologie.
Après, ce que raconte Michelle sur les pbs de sécurité...
Là encore dans l'idéal libéral le consommateur aurait le choix et
devrait privilégier une compagnie où le risque est moindre. Mais cela ne
se passse pas non plus comme ça (il n'a pas le choix - dans le modèle
libéral le consommateur peut instantannément acheter une voiture pour
changer de moyen de transport si ça s'averre mieux - et surtout n'a pas
accès à toutes les infos sur les risques).
Etc...etc...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Penses-tu ! Ça justifie quelque chose, à tes yeux ? On peut par contre se demander si ce n'est pas la raison de les vendre : pas rentable, coûteux, mais peut encore rapporter le prix de la concession. Et hop !
Ça c'est une vision proche de l'idéal libéral... Celle qu'on nous sert pour nous convaincre d'adhérer...Mais l'idéal libéral ne se trouve que dans les comptes de fées....
Je ne voyais pas ça comme un idéal, moi. L'explication d'une décision difficile à prendre, et peu glorieuse, peut-être, mais un idéal ?
Les mécanismes que tu décris correspondent à l'idéal libéral : on agit au mieux, chacun ayant toutes les infos et sans personne pour en profiter illégalement.
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc ce genre de mensonge n'existe pas).
Dans le cas de l'angleterre il y a eu d'abord une volonté politique de liquider tout ça non pas par nécéssité mais par pure idéologie.
Après, ce que raconte Michelle sur les pbs de sécurité... Là encore dans l'idéal libéral le consommateur aurait le choix et devrait privilégier une compagnie où le risque est moindre. Mais cela ne se passse pas non plus comme ça (il n'a pas le choix - dans le modèle libéral le consommateur peut instantannément acheter une voiture pour changer de moyen de transport si ça s'averre mieux - et surtout n'a pas accès à toutes les infos sur les risques).
Etc...etc...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
anneleguennec
FiLH wrote:
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc ce genre de mensonge n'existe pas).
Etat libéral ou état idéal ?
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente
artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or
dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc
ce genre de mensonge n'existe pas).
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc ce genre de mensonge n'existe pas).
Etat libéral ou état idéal ?
FiLH
(Anne) writes:
FiLH wrote:
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc ce genre de mensonge n'existe pas).
Etat libéral ou état idéal ?
Idéal de l'état libéral ? :)
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
anneleguennec@free.fr (Anne) writes:
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente
artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or
dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc
ce genre de mensonge n'existe pas).
Etat libéral ou état idéal ?
Idéal de l'état libéral ? :)
FiLH
--
FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world.
Web: http://www.filh.org e-mail filh@filh.org
FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/
Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
Là où la vraie vie diffère est que par exemple si on augmente artificiellement les charges, le grand public n'est pas au courrant (or dans le modèle libéral il y a une totale transparence de l'info, et donc ce genre de mensonge n'existe pas).
Etat libéral ou état idéal ?
Idéal de l'état libéral ? :)
FiLH
-- FiLH photography. A taste of freedom in a conventional world. Web: http://www.filh.org e-mail FAQ fr.rec.photo : http://frp.parisv.com/ Sitafoto la photo a Bordeaux : http://sitafoto.free.fr/
francois.jacquemin
Michèle wrote:
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires. C'est le CA qui décide de ce qu'on reverse aux actionnaires, et il y a des entreprises qui ne leur versent rien du tout. Les actionnaires peuvent parfaitement trouver leur profit à rester longtemps dans le capital en regardant grimper le prix à la revente de leur action. On paye d'autant plus cher les actionnaires que l'entreprise a du plomb dans l'aile, en fait pour les fidéliser.
On ne voit donc pas le lien direct entre les actionnaires et la nécessité de couler les règles. On peut même craindre qu'une entreprise déconsidérée ne voie partir son actionnariat, à terme... Par contre, on peut imaginer la tentation de faire de la rentabilité sur le dos de règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver des correctifs. -- F. Jacquemin
Michèle <michele@alussinan.org> wrote:
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut
rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires. C'est le CA qui
décide de ce qu'on reverse aux actionnaires, et il y a des entreprises
qui ne leur versent rien du tout. Les actionnaires peuvent parfaitement
trouver leur profit à rester longtemps dans le capital en regardant
grimper le prix à la revente de leur action. On paye d'autant plus cher
les actionnaires que l'entreprise a du plomb dans l'aile, en fait pour
les fidéliser.
On ne voit donc pas le lien direct entre les actionnaires et la
nécessité de couler les règles. On peut même craindre qu'une entreprise
déconsidérée ne voie partir son actionnariat, à terme... Par contre, on
peut imaginer la tentation de faire de la rentabilité sur le dos de
règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je
suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver
des correctifs.
--
F. Jacquemin
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires. C'est le CA qui décide de ce qu'on reverse aux actionnaires, et il y a des entreprises qui ne leur versent rien du tout. Les actionnaires peuvent parfaitement trouver leur profit à rester longtemps dans le capital en regardant grimper le prix à la revente de leur action. On paye d'autant plus cher les actionnaires que l'entreprise a du plomb dans l'aile, en fait pour les fidéliser.
On ne voit donc pas le lien direct entre les actionnaires et la nécessité de couler les règles. On peut même craindre qu'une entreprise déconsidérée ne voie partir son actionnariat, à terme... Par contre, on peut imaginer la tentation de faire de la rentabilité sur le dos de règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver des correctifs. -- F. Jacquemin
francois.jacquemin
Michèle wrote:
Et pourquoi un service public n'aurait-il pas une partie (limitée, faut pas non plus délirer) de son capital possédé par le privé. Ne serait-ce pas précisemment le moyen de réguler les excès du public.
Dans le cas de FT, il s'agit bel et bien d'une privatisation, primo. Les excès du public résultent de la situation de monopole. Je pense que la participation au capital d'entreprises gérées selon les règles publiques ne permet pas d'en infléchir la gestion et est insatisafaisante pour tout le monde, client, actionnaires, personnels.
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un cahier des charges précis, documenté, avec vérification et sanctions.
L'expérience déjà ancienne des sociétés d'économie mixte a assez montré les illusions de la participation au capital d'entreprises publiques. Par ailleurs, les privatisations sans souci du service public, on a aussi assez donné, je suis d'accord. -- F. Jacquemin
Michèle <michele@alussinan.org> wrote:
Et pourquoi un service public n'aurait-il pas une partie (limitée, faut
pas non plus délirer) de son capital possédé par le privé.
Ne serait-ce pas précisemment le moyen de réguler les excès du public.
Dans le cas de FT, il s'agit bel et bien d'une privatisation, primo. Les
excès du public résultent de la situation de monopole. Je pense que la
participation au capital d'entreprises gérées selon les règles publiques
ne permet pas d'en infléchir la gestion et est insatisafaisante pour
tout le monde, client, actionnaires, personnels.
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un
cahier des charges précis, documenté, avec vérification et sanctions.
L'expérience déjà ancienne des sociétés d'économie mixte a assez montré
les illusions de la participation au capital d'entreprises publiques.
Par ailleurs, les privatisations sans souci du service public, on a
aussi assez donné, je suis d'accord.
--
F. Jacquemin
Et pourquoi un service public n'aurait-il pas une partie (limitée, faut pas non plus délirer) de son capital possédé par le privé. Ne serait-ce pas précisemment le moyen de réguler les excès du public.
Dans le cas de FT, il s'agit bel et bien d'une privatisation, primo. Les excès du public résultent de la situation de monopole. Je pense que la participation au capital d'entreprises gérées selon les règles publiques ne permet pas d'en infléchir la gestion et est insatisafaisante pour tout le monde, client, actionnaires, personnels.
Il vaut mieux casser les monopoles, contraindre tout le monde à un cahier des charges précis, documenté, avec vérification et sanctions.
L'expérience déjà ancienne des sociétés d'économie mixte a assez montré les illusions de la participation au capital d'entreprises publiques. Par ailleurs, les privatisations sans souci du service public, on a aussi assez donné, je suis d'accord. -- F. Jacquemin
filh
François Jacquemin wrote:
Michèle wrote:
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Ah non là c'est toi qui ne colle pas à l'histoire. Actuellement il faut que ce soit très rentable vu que c'est les fonds de pensions qui font la pluie et le beau temps.
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il s'endorment le soir en confiance...
Dans la vraie vie... c'est pas pareil.
règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver des correctifs.
On constate que non et que cela continue dans le mauvais sens.
Un peu comme Bush : il suppose que les générations futures répareront ces conneries.
Il serait peut-être temps de faire MAINTENANT ce qu'il faut plutôt que de supposer que demain ça sera mieux...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
Michèle <michele@alussinan.org> wrote:
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut
rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Ah non là c'est toi qui ne colle pas à l'histoire. Actuellement il faut
que ce soit très rentable vu que c'est les fonds de pensions qui font la
pluie et le beau temps.
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende
dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il
s'endorment le soir en confiance...
Dans la vraie vie... c'est pas pareil.
règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je
suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver
des correctifs.
On constate que non et que cela continue dans le mauvais sens.
Un peu comme Bush : il suppose que les générations futures répareront
ces conneries.
Il serait peut-être temps de faire MAINTENANT ce qu'il faut plutôt que
de supposer que demain ça sera mieux...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Ah non là c'est toi qui ne colle pas à l'histoire. Actuellement il faut que ce soit très rentable vu que c'est les fonds de pensions qui font la pluie et le beau temps.
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il s'endorment le soir en confiance...
Dans la vraie vie... c'est pas pareil.
règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver des correctifs.
On constate que non et que cela continue dans le mauvais sens.
Un peu comme Bush : il suppose que les générations futures répareront ces conneries.
Il serait peut-être temps de faire MAINTENANT ce qu'il faut plutôt que de supposer que demain ça sera mieux...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
francois.jacquemin
FiLH wrote:
François Jacquemin wrote:
Michèle wrote:
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Ah non là c'est toi qui ne colle pas à l'histoire. Actuellement il faut que ce soit très rentable vu que c'est les fonds de pensions qui font la pluie et le beau temps.
La rentabilité se joue surtout à la revente, pas forcément à la valeur
du coupon.
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il s'endorment le soir en confiance...
La légende dorée, qui évoque les l'histoire des saints, n'a gère à voir là-dedans, mais je comprends en effet mieux qu'avec l'idéal ce que tu veux dire.
Dans la vraie vie... c'est pas pareil.
règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver des correctifs.
On constate que non et que cela continue dans le mauvais sens.
Un peu comme Bush : il suppose que les générations futures répareront ces conneries.
Il serait peut-être temps de faire MAINTENANT ce qu'il faut plutôt que de supposer que demain ça sera mieux...
Tu vois que j'ai bien raison de croire qu'il y aurait des correctifs. Il y a plein de gens comme toi qui vont faire en sorte de les exiger. Je n'ai pas dit qu'ils viendraient tout seul. Je n'inscris pas mon propos dans un a priori idéologique.
-- F. Jacquemin
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
Michèle <michele@alussinan.org> wrote:
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut
rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Ah non là c'est toi qui ne colle pas à l'histoire. Actuellement il faut
que ce soit très rentable vu que c'est les fonds de pensions qui font la
pluie et le beau temps.
La rentabilité se joue surtout à la revente, pas forcément à la valeur
du coupon.
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende
dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il
s'endorment le soir en confiance...
La légende dorée, qui évoque les l'histoire des saints, n'a gère à voir
là-dedans, mais je comprends en effet mieux qu'avec l'idéal ce que tu
veux dire.
Dans la vraie vie... c'est pas pareil.
règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je
suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver
des correctifs.
On constate que non et que cela continue dans le mauvais sens.
Un peu comme Bush : il suppose que les générations futures répareront
ces conneries.
Il serait peut-être temps de faire MAINTENANT ce qu'il faut plutôt que
de supposer que demain ça sera mieux...
Tu vois que j'ai bien raison de croire qu'il y aurait des correctifs. Il
y a plein de gens comme toi qui vont faire en sorte de les exiger. Je
n'ai pas dit qu'ils viendraient tout seul. Je n'inscris pas mon propos
dans un a priori idéologique.
Il fallait bien prendre quelque part les 15% à payer aux actionnaires...
Voilà le seul truc qui ne colle pas dans ta démonstration. Il ne faut rien prendre nulle part pour payer aux actionnaires.
Ah non là c'est toi qui ne colle pas à l'histoire. Actuellement il faut que ce soit très rentable vu que c'est les fonds de pensions qui font la pluie et le beau temps.
La rentabilité se joue surtout à la revente, pas forcément à la valeur
du coupon.
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il s'endorment le soir en confiance...
La légende dorée, qui évoque les l'histoire des saints, n'a gère à voir là-dedans, mais je comprends en effet mieux qu'avec l'idéal ce que tu veux dire.
Dans la vraie vie... c'est pas pareil.
règles perçues sans doute à tort comme rigides et entropiques. Je suppose que le résultat désastreux de ce type de gouvernance va trouver des correctifs.
On constate que non et que cela continue dans le mauvais sens.
Un peu comme Bush : il suppose que les générations futures répareront ces conneries.
Il serait peut-être temps de faire MAINTENANT ce qu'il faut plutôt que de supposer que demain ça sera mieux...
Tu vois que j'ai bien raison de croire qu'il y aurait des correctifs. Il y a plein de gens comme toi qui vont faire en sorte de les exiger. Je n'ai pas dit qu'ils viendraient tout seul. Je n'inscris pas mon propos dans un a priori idéologique.
-- F. Jacquemin
filh
François Jacquemin wrote:
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il s'endorment le soir en confiance...
La légende dorée, qui évoque les l'histoire des saints, n'a gère à voir là-dedans,
Si si elle servait à endormir les fidèles :)
n'ai pas dit qu'ils viendraient tout seul. Je n'inscris pas mon propos dans un a priori idéologique.
Hélas si... malgrès toi sûrement... mais c'est juste l'influence de 40 ans de propagande subie. C'est bien là le succès de l'affaire : faire disparaître l'origine idéologique du discours, le rendre « naturel ». Comme pendant des siècles on a trouvé « naturel » le féodalisme, l'esclavage, les femmes sans âmes...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende
dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il
s'endorment le soir en confiance...
La légende dorée, qui évoque les l'histoire des saints, n'a gère à voir
là-dedans,
Si si elle servait à endormir les fidèles :)
n'ai pas dit qu'ils viendraient tout seul. Je n'inscris pas mon propos
dans un a priori idéologique.
Hélas si... malgrès toi sûrement... mais c'est juste l'influence de 40
ans de propagande subie. C'est bien là le succès de l'affaire : faire
disparaître l'origine idéologique du discours, le rendre « naturel ».
Comme pendant des siècles on a trouvé « naturel » le féodalisme,
l'esclavage, les femmes sans âmes...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
Le modèle que tu décris, encore une fois, fait partie de la légende dorée du libéralisme, celle qu'on raconte aux pauvres pour qu'il s'endorment le soir en confiance...
La légende dorée, qui évoque les l'histoire des saints, n'a gère à voir là-dedans,
Si si elle servait à endormir les fidèles :)
n'ai pas dit qu'ils viendraient tout seul. Je n'inscris pas mon propos dans un a priori idéologique.
Hélas si... malgrès toi sûrement... mais c'est juste l'influence de 40 ans de propagande subie. C'est bien là le succès de l'affaire : faire disparaître l'origine idéologique du discours, le rendre « naturel ». Comme pendant des siècles on a trouvé « naturel » le féodalisme, l'esclavage, les femmes sans âmes...
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
cochardp
FiLH écrit:
faire croire que le privé va baisser les coûts (ce qui est faux car en plus des coûts il faut en plus payer les dividendes des actionnaires)
Dans les faits, pour la téléphonie ce fut le cas.
-- Patrick
FiLH <filh@filh.orgie> écrit:
faire croire que le privé va baisser les coûts (ce qui est faux car
en plus des coûts il faut en plus payer les dividendes des actionnaires)