> les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
> résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
> impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
> largement perfectibles...).
Ah ? et qui veut couler la Sécu ?
Et surtout pourquoi ?
> les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
> résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
> impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
> largement perfectibles...).
Ah ? et qui veut couler la Sécu ?
Et surtout pourquoi ?
> les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
> résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
> impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
> largement perfectibles...).
Ah ? et qui veut couler la Sécu ?
Et surtout pourquoi ?
Je pense que la société est complexe parce que les états se mêlent de
trop de chose, et ne fait pas suffisamment confiance à l'homme.
Je pense que la société est complexe parce que les états se mêlent de
trop de chose, et ne fait pas suffisamment confiance à l'homme.
Je pense que la société est complexe parce que les états se mêlent de
trop de chose, et ne fait pas suffisamment confiance à l'homme.
Pierre P wrote:La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
Pierre P wrote:La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
Pierre P wrote:Je suis désolé mais les vieux d'aujourd'hui n'ont jamais payé autant que
nous payons aujourd'hui pour leurs soins d'aujourd'hui.
c'est une vision très étriquée du fonctionnement de l'économie. Le bilan
strictement comptable des cotisations est une vision totalement
articifielle, dans un monde où tout se tient.
Ils ont construit, avec les moyens et les structures de l'époque, la
société qui permet de faire fonctionner le système de soin actuel.
Ce sont les gains de productivités accumulés, notamment par eux, depuis
l'age de pierre, qui font qu'on dégage des marges et qu'on ne passe plus
notre temps à lutter contre le froid et les mammouths.
Il nous reste donc des ressources pour nous soigner, un peu mieux
qu'avant et sans doute moins bien que demain. Et j'ose esprérer que nos
descendants n'auront pas le meme genre de raisonnement que vous !!!
Il faut bien comprendre que l'ensemble de la société fonctionne sur un
consensus et un contrat social : les gens (en dehors des inévitables 10%
de crétins ou de profiteurs sans vergogne qui parasitent de toutes façon
n'importe quel système) travaillent comme ils le font pas seulement
parce qu'ils sont payés, mais aussi parce qu'ils savent qu'ils seront
protégés s'ils sont malade, s'il leur arrive des problèmes (ce qui peut
arriver à n'importe qui), et quand ils seront vieux et impotents.
De nombreuses études économiques ou sociologiques montrent qu'une
modification de cet environnement a de graves répercussions sur le
fonctionnement ou l'organisation du travail.
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
Je suis désolé mais les vieux d'aujourd'hui n'ont jamais payé autant que
nous payons aujourd'hui pour leurs soins d'aujourd'hui.
c'est une vision très étriquée du fonctionnement de l'économie. Le bilan
strictement comptable des cotisations est une vision totalement
articifielle, dans un monde où tout se tient.
Ils ont construit, avec les moyens et les structures de l'époque, la
société qui permet de faire fonctionner le système de soin actuel.
Ce sont les gains de productivités accumulés, notamment par eux, depuis
l'age de pierre, qui font qu'on dégage des marges et qu'on ne passe plus
notre temps à lutter contre le froid et les mammouths.
Il nous reste donc des ressources pour nous soigner, un peu mieux
qu'avant et sans doute moins bien que demain. Et j'ose esprérer que nos
descendants n'auront pas le meme genre de raisonnement que vous !!!
Il faut bien comprendre que l'ensemble de la société fonctionne sur un
consensus et un contrat social : les gens (en dehors des inévitables 10%
de crétins ou de profiteurs sans vergogne qui parasitent de toutes façon
n'importe quel système) travaillent comme ils le font pas seulement
parce qu'ils sont payés, mais aussi parce qu'ils savent qu'ils seront
protégés s'ils sont malade, s'il leur arrive des problèmes (ce qui peut
arriver à n'importe qui), et quand ils seront vieux et impotents.
De nombreuses études économiques ou sociologiques montrent qu'une
modification de cet environnement a de graves répercussions sur le
fonctionnement ou l'organisation du travail.
Pierre P wrote:Je suis désolé mais les vieux d'aujourd'hui n'ont jamais payé autant que
nous payons aujourd'hui pour leurs soins d'aujourd'hui.
c'est une vision très étriquée du fonctionnement de l'économie. Le bilan
strictement comptable des cotisations est une vision totalement
articifielle, dans un monde où tout se tient.
Ils ont construit, avec les moyens et les structures de l'époque, la
société qui permet de faire fonctionner le système de soin actuel.
Ce sont les gains de productivités accumulés, notamment par eux, depuis
l'age de pierre, qui font qu'on dégage des marges et qu'on ne passe plus
notre temps à lutter contre le froid et les mammouths.
Il nous reste donc des ressources pour nous soigner, un peu mieux
qu'avant et sans doute moins bien que demain. Et j'ose esprérer que nos
descendants n'auront pas le meme genre de raisonnement que vous !!!
Il faut bien comprendre que l'ensemble de la société fonctionne sur un
consensus et un contrat social : les gens (en dehors des inévitables 10%
de crétins ou de profiteurs sans vergogne qui parasitent de toutes façon
n'importe quel système) travaillent comme ils le font pas seulement
parce qu'ils sont payés, mais aussi parce qu'ils savent qu'ils seront
protégés s'ils sont malade, s'il leur arrive des problèmes (ce qui peut
arriver à n'importe qui), et quand ils seront vieux et impotents.
De nombreuses études économiques ou sociologiques montrent qu'une
modification de cet environnement a de graves répercussions sur le
fonctionnement ou l'organisation du travail.
Pierre P wrote:les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
largement perfectibles...).
Ah ? et qui veut couler la Sécu ?
ceux qui en limitent les ressources et par là meme transfèrent
progressivement la prise en charge sur les mutuelles et les assurances
privées.
L'exemple le plus flagrant est la baisse de remboursement de médicaments
inutile à 15%. S'ils sont inutiles, on ne les rembourse pas du tout. Si
on les rembourse à 15%, c'est qu'on ne veut pas faire de la peine aux
laboratoires qui les fabriquent, en transférant le remboursement sur les
assurances privées. Sachant que celles-ci ont un taux de perte de
25-30%, alors que pour la sécu c'est 5%, et que donc le cout global pour
les français sera plus important.
Et surtout pourquoi ?
parce que les cotisations de sécu sont fortement proportionnelles au
revenu, alors que les dépenses le sont moins (on dit que l'élasticité
entre la dépense de soin et le revenu est faible).
En revanche, mutuelles et assurances calculent leur cotisations en
fonction du risque.
Avec la sécu, schématiquement, les jeunes célibataires riches en bonne
santé paient donc pour les vieux malades pauvres avec enfants (jusqu'au
jour où les choses changent...). On voit donc qui favorise qui...
C'est globalement un mauvais calcul, car comme dit plus haut, à
couverture égale, les assurances et mutuelles coutent beaucoup plus cher
qu'un système unique obligatoire. mais c'est électoralement payant.
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
largement perfectibles...).
Ah ? et qui veut couler la Sécu ?
ceux qui en limitent les ressources et par là meme transfèrent
progressivement la prise en charge sur les mutuelles et les assurances
privées.
L'exemple le plus flagrant est la baisse de remboursement de médicaments
inutile à 15%. S'ils sont inutiles, on ne les rembourse pas du tout. Si
on les rembourse à 15%, c'est qu'on ne veut pas faire de la peine aux
laboratoires qui les fabriquent, en transférant le remboursement sur les
assurances privées. Sachant que celles-ci ont un taux de perte de
25-30%, alors que pour la sécu c'est 5%, et que donc le cout global pour
les français sera plus important.
Et surtout pourquoi ?
parce que les cotisations de sécu sont fortement proportionnelles au
revenu, alors que les dépenses le sont moins (on dit que l'élasticité
entre la dépense de soin et le revenu est faible).
En revanche, mutuelles et assurances calculent leur cotisations en
fonction du risque.
Avec la sécu, schématiquement, les jeunes célibataires riches en bonne
santé paient donc pour les vieux malades pauvres avec enfants (jusqu'au
jour où les choses changent...). On voit donc qui favorise qui...
C'est globalement un mauvais calcul, car comme dit plus haut, à
couverture égale, les assurances et mutuelles coutent beaucoup plus cher
qu'un système unique obligatoire. mais c'est électoralement payant.
Pierre P wrote:les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
largement perfectibles...).
Ah ? et qui veut couler la Sécu ?
ceux qui en limitent les ressources et par là meme transfèrent
progressivement la prise en charge sur les mutuelles et les assurances
privées.
L'exemple le plus flagrant est la baisse de remboursement de médicaments
inutile à 15%. S'ils sont inutiles, on ne les rembourse pas du tout. Si
on les rembourse à 15%, c'est qu'on ne veut pas faire de la peine aux
laboratoires qui les fabriquent, en transférant le remboursement sur les
assurances privées. Sachant que celles-ci ont un taux de perte de
25-30%, alors que pour la sécu c'est 5%, et que donc le cout global pour
les français sera plus important.
Et surtout pourquoi ?
parce que les cotisations de sécu sont fortement proportionnelles au
revenu, alors que les dépenses le sont moins (on dit que l'élasticité
entre la dépense de soin et le revenu est faible).
En revanche, mutuelles et assurances calculent leur cotisations en
fonction du risque.
Avec la sécu, schématiquement, les jeunes célibataires riches en bonne
santé paient donc pour les vieux malades pauvres avec enfants (jusqu'au
jour où les choses changent...). On voit donc qui favorise qui...
C'est globalement un mauvais calcul, car comme dit plus haut, à
couverture égale, les assurances et mutuelles coutent beaucoup plus cher
qu'un système unique obligatoire. mais c'est électoralement payant.
Pierre P wrote:Si le budget de l'état permettait de retrouver l'intégtralité de la
dépense en richesse, alors on tendrait vers une baisse des impôts vers
0. Si la dépense d'état était "rentable", l'état serait alors autonome.
???
là il faut m'expliquer.
les entreprises n'arretent pas d'emprunter et d'augmenter leur capital
pour pouvoir fonctionner. Pourquoi la collectivité des citoyens ne
ferait-elle pas pareil ?
dette d'un pays = dette de l'état + dette des particuliers + dette des
entreprises. Et la dette de l'état n'est pas la plus importante, loin de
là !!!
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
Si le budget de l'état permettait de retrouver l'intégtralité de la
dépense en richesse, alors on tendrait vers une baisse des impôts vers
0. Si la dépense d'état était "rentable", l'état serait alors autonome.
???
là il faut m'expliquer.
les entreprises n'arretent pas d'emprunter et d'augmenter leur capital
pour pouvoir fonctionner. Pourquoi la collectivité des citoyens ne
ferait-elle pas pareil ?
dette d'un pays = dette de l'état + dette des particuliers + dette des
entreprises. Et la dette de l'état n'est pas la plus importante, loin de
là !!!
Pierre P wrote:Si le budget de l'état permettait de retrouver l'intégtralité de la
dépense en richesse, alors on tendrait vers une baisse des impôts vers
0. Si la dépense d'état était "rentable", l'état serait alors autonome.
???
là il faut m'expliquer.
les entreprises n'arretent pas d'emprunter et d'augmenter leur capital
pour pouvoir fonctionner. Pourquoi la collectivité des citoyens ne
ferait-elle pas pareil ?
dette d'un pays = dette de l'état + dette des particuliers + dette des
entreprises. Et la dette de l'état n'est pas la plus importante, loin de
là !!!
Pierre P wrote:Je pense que la société est complexe parce que les états se mêlent de
trop de chose, et ne fait pas suffisamment confiance à l'homme.
c'est bien l'histoire de l'évolution des sociétés qui nous a montré que
l'homme était incapabmle de gérer individuellement de façon
satisfaisante toute une série de problèmes, par exemple fonctions
régaliennes (justice-police-défense) infrastructures lourdes, gestion
prévisionnelle des effectifs (maternité-maladie-vieillesse), sécurité
sanitaire, protection de l'environnement, etc... que ces fonctions ont
été prises en charge collectivement.
Et c''est justement la meilleure efficacité de cette prise encharge
collective qui a permis les progrès que nous constatons. Et seule cette
prise en charge collective nous permettra d'échapper aux nouveaux
dangers qui se pointent à l'horizon, comme ceux qui seront prochainement
traités à Copenhague. On est un peu limite hors charte, là, non ?
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
Je pense que la société est complexe parce que les états se mêlent de
trop de chose, et ne fait pas suffisamment confiance à l'homme.
c'est bien l'histoire de l'évolution des sociétés qui nous a montré que
l'homme était incapabmle de gérer individuellement de façon
satisfaisante toute une série de problèmes, par exemple fonctions
régaliennes (justice-police-défense) infrastructures lourdes, gestion
prévisionnelle des effectifs (maternité-maladie-vieillesse), sécurité
sanitaire, protection de l'environnement, etc... que ces fonctions ont
été prises en charge collectivement.
Et c''est justement la meilleure efficacité de cette prise encharge
collective qui a permis les progrès que nous constatons. Et seule cette
prise en charge collective nous permettra d'échapper aux nouveaux
dangers qui se pointent à l'horizon, comme ceux qui seront prochainement
traités à Copenhague. On est un peu limite hors charte, là, non ?
Pierre P wrote:Je pense que la société est complexe parce que les états se mêlent de
trop de chose, et ne fait pas suffisamment confiance à l'homme.
c'est bien l'histoire de l'évolution des sociétés qui nous a montré que
l'homme était incapabmle de gérer individuellement de façon
satisfaisante toute une série de problèmes, par exemple fonctions
régaliennes (justice-police-défense) infrastructures lourdes, gestion
prévisionnelle des effectifs (maternité-maladie-vieillesse), sécurité
sanitaire, protection de l'environnement, etc... que ces fonctions ont
été prises en charge collectivement.
Et c''est justement la meilleure efficacité de cette prise encharge
collective qui a permis les progrès que nous constatons. Et seule cette
prise en charge collective nous permettra d'échapper aux nouveaux
dangers qui se pointent à l'horizon, comme ceux qui seront prochainement
traités à Copenhague. On est un peu limite hors charte, là, non ?
Il se trouve que Philippe Manet a formulé :Pierre P wrote:La France ne crée plus aucune richesse depuis des années
malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
du café du commerce des incompétents en économie comme le démontre avec
brio ton interlocuteur ... faudra retourner sur les bancs de l'école
pour une bonne partie de la population française!!
Mais il est sans doute excusable car il fut un temps où la FRANCE
n'enseignait cette demie science que dans certaines branches du
supérieur .... d'où la somme de contre vérités que tu essaie avec
beaucoup de compétence à rectifier!
Bon dimanche.
Il se trouve que Philippe Manet a formulé :
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
La France ne crée plus aucune richesse depuis des années
malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
du café du commerce des incompétents en économie comme le démontre avec
brio ton interlocuteur ... faudra retourner sur les bancs de l'école
pour une bonne partie de la population française!!
Mais il est sans doute excusable car il fut un temps où la FRANCE
n'enseignait cette demie science que dans certaines branches du
supérieur .... d'où la somme de contre vérités que tu essaie avec
beaucoup de compétence à rectifier!
Bon dimanche.
Il se trouve que Philippe Manet a formulé :Pierre P wrote:La France ne crée plus aucune richesse depuis des années
malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
du café du commerce des incompétents en économie comme le démontre avec
brio ton interlocuteur ... faudra retourner sur les bancs de l'école
pour une bonne partie de la population française!!
Mais il est sans doute excusable car il fut un temps où la FRANCE
n'enseignait cette demie science que dans certaines branches du
supérieur .... d'où la somme de contre vérités que tu essaie avec
beaucoup de compétence à rectifier!
Bon dimanche.
Pierre P wrote:La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
le PIB par habitant, en France,augmente sans arret hors inflation !
La France, et en moyenne chaque français, a augmenté considérablement sa
richesse ces 20, et meme ces 10 dernières années (bon, sauf depuis 18
mois, mais c'est un accident...). Mais la répartition a fortement
changé.
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
le PIB par habitant, en France,augmente sans arret hors inflation !
La France, et en moyenne chaque français, a augmenté considérablement sa
richesse ces 20, et meme ces 10 dernières années (bon, sauf depuis 18
mois, mais c'est un accident...). Mais la répartition a fortement
changé.
Pierre P wrote:La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.
d'où ça sort, ça ?
le PIB par habitant, en France,augmente sans arret hors inflation !
La France, et en moyenne chaque français, a augmenté considérablement sa
richesse ces 20, et meme ces 10 dernières années (bon, sauf depuis 18
mois, mais c'est un accident...). Mais la répartition a fortement
changé.
les tech itinérants et/ou de proximité : certaines régions ne sont pas
couvertes allez moins de 100
les tech itinérants et/ou de proximité : certaines régions ne sont pas
couvertes allez moins de 100
les tech itinérants et/ou de proximité : certaines régions ne sont pas
couvertes allez moins de 100