Pierre P wrote:On ne peut pas affirmer que parce que mes économies peut-être
fournissent l'argent de la dette, mais le remboursement se fait par mon
coté contribuable !
le problème est de savoir si les deux cotés sont équilibrés pour tout le
monde, ou si à cette occasion certains sont avantagés...
Les impôts augmentent donc on s'appauvrit.
??? d'où ça sort, ça ?
ce ne serait vrai que si les impôts étaient un trou noir dans lequel les
ressources disparaissaient, ce qui n'est évidemment pas le cas.
Une part est utilisée, d'une façon ou d'une autre, à faire de la
redistribution, améliorant à la fois la fraternité de la société et la
stabilité sociale.
Une autre part est utilisée pour des investissements matériels
(infrastructures diverses, ponts, routes, etc..) ou immatériels
(éducation, recherche, protection maternelle et infantile...) dont nous
profitons tous et qui profiteront à nos enfants (d'où la malhonnêteté
des analyses consistant à diviser la dette de l'état par le nombre
d'habitants et de prétendre qu'il s'agit de la dette que nous laisserons
à nos enfant... il y a aussi un actif en face !!!)
En pratique, nos sociétés sont de plus en plus complexes, ce qui
nécessite mécaniquement une prise en charge de plus en plus collective
de toute une série de domaines.
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
On ne peut pas affirmer que parce que mes économies peut-être
fournissent l'argent de la dette, mais le remboursement se fait par mon
coté contribuable !
le problème est de savoir si les deux cotés sont équilibrés pour tout le
monde, ou si à cette occasion certains sont avantagés...
Les impôts augmentent donc on s'appauvrit.
??? d'où ça sort, ça ?
ce ne serait vrai que si les impôts étaient un trou noir dans lequel les
ressources disparaissaient, ce qui n'est évidemment pas le cas.
Une part est utilisée, d'une façon ou d'une autre, à faire de la
redistribution, améliorant à la fois la fraternité de la société et la
stabilité sociale.
Une autre part est utilisée pour des investissements matériels
(infrastructures diverses, ponts, routes, etc..) ou immatériels
(éducation, recherche, protection maternelle et infantile...) dont nous
profitons tous et qui profiteront à nos enfants (d'où la malhonnêteté
des analyses consistant à diviser la dette de l'état par le nombre
d'habitants et de prétendre qu'il s'agit de la dette que nous laisserons
à nos enfant... il y a aussi un actif en face !!!)
En pratique, nos sociétés sont de plus en plus complexes, ce qui
nécessite mécaniquement une prise en charge de plus en plus collective
de toute une série de domaines.
Pierre P wrote:On ne peut pas affirmer que parce que mes économies peut-être
fournissent l'argent de la dette, mais le remboursement se fait par mon
coté contribuable !
le problème est de savoir si les deux cotés sont équilibrés pour tout le
monde, ou si à cette occasion certains sont avantagés...
Les impôts augmentent donc on s'appauvrit.
??? d'où ça sort, ça ?
ce ne serait vrai que si les impôts étaient un trou noir dans lequel les
ressources disparaissaient, ce qui n'est évidemment pas le cas.
Une part est utilisée, d'une façon ou d'une autre, à faire de la
redistribution, améliorant à la fois la fraternité de la société et la
stabilité sociale.
Une autre part est utilisée pour des investissements matériels
(infrastructures diverses, ponts, routes, etc..) ou immatériels
(éducation, recherche, protection maternelle et infantile...) dont nous
profitons tous et qui profiteront à nos enfants (d'où la malhonnêteté
des analyses consistant à diviser la dette de l'état par le nombre
d'habitants et de prétendre qu'il s'agit de la dette que nous laisserons
à nos enfant... il y a aussi un actif en face !!!)
En pratique, nos sociétés sont de plus en plus complexes, ce qui
nécessite mécaniquement une prise en charge de plus en plus collective
de toute une série de domaines.
fredo wrote:Ah bon et qui touchera alors?
c'est nous actuellement. Tu as vraiment du mal à comprendre le mécanisme
de l'endettement
je crois effectivement que fredo n'a pas bien compris.
le trou de la sécu est financé par un emprunt.
Il y a donc des gens qui pretent (c'est des obligations ou genre, qui se
retrouvent dans tous les bons FCP bancaires ou autres). Ils ont d'autant
plus les moyens de préter qu'on a baissé (ou pas augmenté au niveau
nécessaire) leurs cotisations.
Donc, ces gens seront remboursés. Donc l'argent ne sera pas perdu pour
tout le monde... Si tu te trouve dans le camp de ceux qui ont les moyens
de faire des économies et de les placer, tu es gagnant avec cette
histoire de trou de la sécu.
Si tu es dans le camp de ceux qui ont tout juste les moyens de manger et
dépensent tout ce qu'ils gagnent, toi ou tes enfants devront au final en
plus payer ces interets aux autres.
fredo <fredo875z@hotmail.fr> wrote:
Ah bon et qui touchera alors?
c'est nous actuellement. Tu as vraiment du mal à comprendre le mécanisme
de l'endettement
je crois effectivement que fredo n'a pas bien compris.
le trou de la sécu est financé par un emprunt.
Il y a donc des gens qui pretent (c'est des obligations ou genre, qui se
retrouvent dans tous les bons FCP bancaires ou autres). Ils ont d'autant
plus les moyens de préter qu'on a baissé (ou pas augmenté au niveau
nécessaire) leurs cotisations.
Donc, ces gens seront remboursés. Donc l'argent ne sera pas perdu pour
tout le monde... Si tu te trouve dans le camp de ceux qui ont les moyens
de faire des économies et de les placer, tu es gagnant avec cette
histoire de trou de la sécu.
Si tu es dans le camp de ceux qui ont tout juste les moyens de manger et
dépensent tout ce qu'ils gagnent, toi ou tes enfants devront au final en
plus payer ces interets aux autres.
fredo wrote:Ah bon et qui touchera alors?
c'est nous actuellement. Tu as vraiment du mal à comprendre le mécanisme
de l'endettement
je crois effectivement que fredo n'a pas bien compris.
le trou de la sécu est financé par un emprunt.
Il y a donc des gens qui pretent (c'est des obligations ou genre, qui se
retrouvent dans tous les bons FCP bancaires ou autres). Ils ont d'autant
plus les moyens de préter qu'on a baissé (ou pas augmenté au niveau
nécessaire) leurs cotisations.
Donc, ces gens seront remboursés. Donc l'argent ne sera pas perdu pour
tout le monde... Si tu te trouve dans le camp de ceux qui ont les moyens
de faire des économies et de les placer, tu es gagnant avec cette
histoire de trou de la sécu.
Si tu es dans le camp de ceux qui ont tout juste les moyens de manger et
dépensent tout ce qu'ils gagnent, toi ou tes enfants devront au final en
plus payer ces interets aux autres.
Pierre P wrote:C'est bien pourquoi, une des solutions passe par la baisse du coût du
travail. 1- cela permet d'augmenter le rendement sans toucher à la main
d'oeuvre, 2- cela permet de moins handicaper la création d'entreprise et
donc de l'emploi.
non, quand la baisse du cout de la main d'oeuvre est liée :
1) à un différentiel de cout des monnaies
2) à un différentiel en prestations sociales rattaché à celui de la main
d'oeuvre
Le seul gain sur le cout de la main d'oeuvre moralement et
économiquement acceptable consiste en une amélioration des process de
production, sinon, il n'y a pas gain de productivité, mais escroquerie
et/ou surexploitation.
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
C'est bien pourquoi, une des solutions passe par la baisse du coût du
travail. 1- cela permet d'augmenter le rendement sans toucher à la main
d'oeuvre, 2- cela permet de moins handicaper la création d'entreprise et
donc de l'emploi.
non, quand la baisse du cout de la main d'oeuvre est liée :
1) à un différentiel de cout des monnaies
2) à un différentiel en prestations sociales rattaché à celui de la main
d'oeuvre
Le seul gain sur le cout de la main d'oeuvre moralement et
économiquement acceptable consiste en une amélioration des process de
production, sinon, il n'y a pas gain de productivité, mais escroquerie
et/ou surexploitation.
Pierre P wrote:C'est bien pourquoi, une des solutions passe par la baisse du coût du
travail. 1- cela permet d'augmenter le rendement sans toucher à la main
d'oeuvre, 2- cela permet de moins handicaper la création d'entreprise et
donc de l'emploi.
non, quand la baisse du cout de la main d'oeuvre est liée :
1) à un différentiel de cout des monnaies
2) à un différentiel en prestations sociales rattaché à celui de la main
d'oeuvre
Le seul gain sur le cout de la main d'oeuvre moralement et
économiquement acceptable consiste en une amélioration des process de
production, sinon, il n'y a pas gain de productivité, mais escroquerie
et/ou surexploitation.
d'ailleurs, ce chiffe représente mal la réalité, car :
1) c'est mouvant, car c'est lié au boulot qui change pas mal ; on estime
que sur une période de 5 ans, c'est 100 millions d'américains qui se
sont retrouvés à un moment ou un autre sans couverture santé.
2) meme ceux qui sont "couverts" découvrent tout à coup, s'ils tombent
malade, que leur contrat ne les couvre pas pour les soins dont ils ont
besoin, ou se retrouvent largués à la fin de l'année par leur assurance
qui ne renouvelle pas le contrat.
Ce n'est pas forcément une histoire de moyen.
ben tiens... c'est simplement lié au fait que de plus en plus
d'entreprises n'offrent plus l'assurance santé, ou seulement une au
rabais (cf ce que j'ai dit au dessus : genre qui ne prends pas en charge
les dépenses de médicament qui dépassent 2000$ / an ; c'est vite fait si
vous vous retrouvez avec un cancer...). Les contrats sont écrit en tout
petit et font des dizaines de pages, les gens et les entreprises
prennent au moins cher sans comprendre ce qu'il y a comme limitation ;
ça s'appellent la liberté du renard libre dans le poulailler libre.
les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
largement perfectibles...).
En France on se soigne aujourd'hui avec l'argent de nos enfants.
n'importe quoi.
le bilan de la CRDS (qui gère sur le long terme le
"trou" de la sécu) est impressionant en valeur absolue, mais pas du tout
en valeur relative. Ceci dit, il est patent que ce "trou" resulte d'un
refus délibéré d'ajuster les recettes aux besoins. Les principaux
bénéficiaires de ce refus étant évidemment ceux qui ont les moyens
(notamment grace à la persistance de prélevements artificiellement
abaissés..) d'acheter des obligations de la CRDS sur lesquels ils feront
une bonne petite marge.
Sur le plan théorique, sous pretexte que le maintien de prélévements au
juste niveau limiterait la consommation et les investissements dans
l'économie, on fait de la dette. Dette qu'on finance par un emprunt, qui
est évidement prélevé sur les capacités d'investissement dans le reste
de l'économie ; faudra m'expliquer... En pratique, le trou de la sécu
financé par la CRDS, c'est l'organisation d'un vrai transfert de fonds
de la masse des assujettis vers les rentiers. Merci Mr Juppé.
d'ailleurs, ce chiffe représente mal la réalité, car :
1) c'est mouvant, car c'est lié au boulot qui change pas mal ; on estime
que sur une période de 5 ans, c'est 100 millions d'américains qui se
sont retrouvés à un moment ou un autre sans couverture santé.
2) meme ceux qui sont "couverts" découvrent tout à coup, s'ils tombent
malade, que leur contrat ne les couvre pas pour les soins dont ils ont
besoin, ou se retrouvent largués à la fin de l'année par leur assurance
qui ne renouvelle pas le contrat.
Ce n'est pas forcément une histoire de moyen.
ben tiens... c'est simplement lié au fait que de plus en plus
d'entreprises n'offrent plus l'assurance santé, ou seulement une au
rabais (cf ce que j'ai dit au dessus : genre qui ne prends pas en charge
les dépenses de médicament qui dépassent 2000$ / an ; c'est vite fait si
vous vous retrouvez avec un cancer...). Les contrats sont écrit en tout
petit et font des dizaines de pages, les gens et les entreprises
prennent au moins cher sans comprendre ce qu'il y a comme limitation ;
ça s'appellent la liberté du renard libre dans le poulailler libre.
les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
largement perfectibles...).
En France on se soigne aujourd'hui avec l'argent de nos enfants.
n'importe quoi.
le bilan de la CRDS (qui gère sur le long terme le
"trou" de la sécu) est impressionant en valeur absolue, mais pas du tout
en valeur relative. Ceci dit, il est patent que ce "trou" resulte d'un
refus délibéré d'ajuster les recettes aux besoins. Les principaux
bénéficiaires de ce refus étant évidemment ceux qui ont les moyens
(notamment grace à la persistance de prélevements artificiellement
abaissés..) d'acheter des obligations de la CRDS sur lesquels ils feront
une bonne petite marge.
Sur le plan théorique, sous pretexte que le maintien de prélévements au
juste niveau limiterait la consommation et les investissements dans
l'économie, on fait de la dette. Dette qu'on finance par un emprunt, qui
est évidement prélevé sur les capacités d'investissement dans le reste
de l'économie ; faudra m'expliquer... En pratique, le trou de la sécu
financé par la CRDS, c'est l'organisation d'un vrai transfert de fonds
de la masse des assujettis vers les rentiers. Merci Mr Juppé.
d'ailleurs, ce chiffe représente mal la réalité, car :
1) c'est mouvant, car c'est lié au boulot qui change pas mal ; on estime
que sur une période de 5 ans, c'est 100 millions d'américains qui se
sont retrouvés à un moment ou un autre sans couverture santé.
2) meme ceux qui sont "couverts" découvrent tout à coup, s'ils tombent
malade, que leur contrat ne les couvre pas pour les soins dont ils ont
besoin, ou se retrouvent largués à la fin de l'année par leur assurance
qui ne renouvelle pas le contrat.
Ce n'est pas forcément une histoire de moyen.
ben tiens... c'est simplement lié au fait que de plus en plus
d'entreprises n'offrent plus l'assurance santé, ou seulement une au
rabais (cf ce que j'ai dit au dessus : genre qui ne prends pas en charge
les dépenses de médicament qui dépassent 2000$ / an ; c'est vite fait si
vous vous retrouvez avec un cancer...). Les contrats sont écrit en tout
petit et font des dizaines de pages, les gens et les entreprises
prennent au moins cher sans comprendre ce qu'il y a comme limitation ;
ça s'appellent la liberté du renard libre dans le poulailler libre.
les "difficultés" de la sécu ne sont en rien inéluctables, elles
résultent d'une volonté délibérée de la couler (y compris la prétendue
impossibilité d'en améliorer certains aspects du fonctionnement,
largement perfectibles...).
En France on se soigne aujourd'hui avec l'argent de nos enfants.
n'importe quoi.
le bilan de la CRDS (qui gère sur le long terme le
"trou" de la sécu) est impressionant en valeur absolue, mais pas du tout
en valeur relative. Ceci dit, il est patent que ce "trou" resulte d'un
refus délibéré d'ajuster les recettes aux besoins. Les principaux
bénéficiaires de ce refus étant évidemment ceux qui ont les moyens
(notamment grace à la persistance de prélevements artificiellement
abaissés..) d'acheter des obligations de la CRDS sur lesquels ils feront
une bonne petite marge.
Sur le plan théorique, sous pretexte que le maintien de prélévements au
juste niveau limiterait la consommation et les investissements dans
l'économie, on fait de la dette. Dette qu'on finance par un emprunt, qui
est évidement prélevé sur les capacités d'investissement dans le reste
de l'économie ; faudra m'expliquer... En pratique, le trou de la sécu
financé par la CRDS, c'est l'organisation d'un vrai transfert de fonds
de la masse des assujettis vers les rentiers. Merci Mr Juppé.
Philippe Manet a écrit :Pierre P wrote:C'est bien pourquoi, une des solutions passe par la baisse du coût du
travail. 1- cela permet d'augmenter le rendement sans toucher à la main
d'oeuvre, 2- cela permet de moins handicaper la création d'entreprise et
donc de l'emploi.
non, quand la baisse du cout de la main d'oeuvre est liée :
1) à un différentiel de cout des monnaies
2) à un différentiel en prestations sociales rattaché à celui de la main
d'oeuvre
Le seul gain sur le cout de la main d'oeuvre moralement et
économiquement acceptable consiste en une amélioration des process de
production, sinon, il n'y a pas gain de productivité, mais escroquerie
et/ou surexploitation.
escroquerie et/ou surexploitation à notre niveau de vie dans nos pays.
Mais là-bas, le mode de vie n'est pas le même, le coût de la vie non plus.
Tout cela tend à converger, et leur niveau de vie progresse très vite,
et les besoins aussi.
La richesse ne se décrète pas ni ne s'impose. La richesse se gagne en
travaillant. C'est ce qu'ils font. Lorsque la Chine était à 1 vélo par
habitant en 1980, aujourd'hui, des millions de Chinois on un niveau de
vie identique aux pays développés. Ce n'est pas tout la Chine, certes,
mais la croissance est de 10% par an. On double la richesse tous les 7
ans. . Et ne vous inquiétez pas trop pour eux, parce qu'eux ne
s'inquiètent pas trop pour nous !
Philippe Manet a écrit :
Pierre P <000pipantal@free.fr000> wrote:
C'est bien pourquoi, une des solutions passe par la baisse du coût du
travail. 1- cela permet d'augmenter le rendement sans toucher à la main
d'oeuvre, 2- cela permet de moins handicaper la création d'entreprise et
donc de l'emploi.
non, quand la baisse du cout de la main d'oeuvre est liée :
1) à un différentiel de cout des monnaies
2) à un différentiel en prestations sociales rattaché à celui de la main
d'oeuvre
Le seul gain sur le cout de la main d'oeuvre moralement et
économiquement acceptable consiste en une amélioration des process de
production, sinon, il n'y a pas gain de productivité, mais escroquerie
et/ou surexploitation.
escroquerie et/ou surexploitation à notre niveau de vie dans nos pays.
Mais là-bas, le mode de vie n'est pas le même, le coût de la vie non plus.
Tout cela tend à converger, et leur niveau de vie progresse très vite,
et les besoins aussi.
La richesse ne se décrète pas ni ne s'impose. La richesse se gagne en
travaillant. C'est ce qu'ils font. Lorsque la Chine était à 1 vélo par
habitant en 1980, aujourd'hui, des millions de Chinois on un niveau de
vie identique aux pays développés. Ce n'est pas tout la Chine, certes,
mais la croissance est de 10% par an. On double la richesse tous les 7
ans. . Et ne vous inquiétez pas trop pour eux, parce qu'eux ne
s'inquiètent pas trop pour nous !
Philippe Manet a écrit :Pierre P wrote:C'est bien pourquoi, une des solutions passe par la baisse du coût du
travail. 1- cela permet d'augmenter le rendement sans toucher à la main
d'oeuvre, 2- cela permet de moins handicaper la création d'entreprise et
donc de l'emploi.
non, quand la baisse du cout de la main d'oeuvre est liée :
1) à un différentiel de cout des monnaies
2) à un différentiel en prestations sociales rattaché à celui de la main
d'oeuvre
Le seul gain sur le cout de la main d'oeuvre moralement et
économiquement acceptable consiste en une amélioration des process de
production, sinon, il n'y a pas gain de productivité, mais escroquerie
et/ou surexploitation.
escroquerie et/ou surexploitation à notre niveau de vie dans nos pays.
Mais là-bas, le mode de vie n'est pas le même, le coût de la vie non plus.
Tout cela tend à converger, et leur niveau de vie progresse très vite,
et les besoins aussi.
La richesse ne se décrète pas ni ne s'impose. La richesse se gagne en
travaillant. C'est ce qu'ils font. Lorsque la Chine était à 1 vélo par
habitant en 1980, aujourd'hui, des millions de Chinois on un niveau de
vie identique aux pays développés. Ce n'est pas tout la Chine, certes,
mais la croissance est de 10% par an. On double la richesse tous les 7
ans. . Et ne vous inquiétez pas trop pour eux, parce qu'eux ne
s'inquiètent pas trop pour nous !
Là bas, c'est loin... et la misère est moins pénible au soleil, a dit le
poète, tout le monde sait ça .
Dites... faudrait sortir un peu pour vous faire une opinion sur
l'humanité qui ne soit pas formatée par le journal de TF1 .
Pour vous citer, "Dans 20 ans, la Chine sera 8 fois plus riche, et les
pauvres moins pauvres" .
Descendez dans votre rue : depuis 20 ans la France a augmenté
globalement sa richesse (ses actifs, bien que le passif ait lourdement
progressé également), et les pauvres sont de plus en plus nombreux et
miséreux . Et ce n'est pas fini !
La multiplication des richesses ne se répartit pas équitablement de
manière naturelle et mécanique comme vous semblez le croire .
Vous avez bien des illusions à perdre !
Là bas, c'est loin... et la misère est moins pénible au soleil, a dit le
poète, tout le monde sait ça .
Dites... faudrait sortir un peu pour vous faire une opinion sur
l'humanité qui ne soit pas formatée par le journal de TF1 .
Pour vous citer, "Dans 20 ans, la Chine sera 8 fois plus riche, et les
pauvres moins pauvres" .
Descendez dans votre rue : depuis 20 ans la France a augmenté
globalement sa richesse (ses actifs, bien que le passif ait lourdement
progressé également), et les pauvres sont de plus en plus nombreux et
miséreux . Et ce n'est pas fini !
La multiplication des richesses ne se répartit pas équitablement de
manière naturelle et mécanique comme vous semblez le croire .
Vous avez bien des illusions à perdre !
Là bas, c'est loin... et la misère est moins pénible au soleil, a dit le
poète, tout le monde sait ça .
Dites... faudrait sortir un peu pour vous faire une opinion sur
l'humanité qui ne soit pas formatée par le journal de TF1 .
Pour vous citer, "Dans 20 ans, la Chine sera 8 fois plus riche, et les
pauvres moins pauvres" .
Descendez dans votre rue : depuis 20 ans la France a augmenté
globalement sa richesse (ses actifs, bien que le passif ait lourdement
progressé également), et les pauvres sont de plus en plus nombreux et
miséreux . Et ce n'est pas fini !
La multiplication des richesses ne se répartit pas équitablement de
manière naturelle et mécanique comme vous semblez le croire .
Vous avez bien des illusions à perdre !
D'ailleurs depuis qu'il y a une partie de la hotline au Maroc, la hotline de
Free est ouverte 24h/24 et 7j/7,
Donc oui effectivement cela a permis de remplir les poches de la direction et en
aucun cas de permettre d'améliorer les services destinés aux abonnés..
D'ailleurs depuis qu'il y a une partie de la hotline au Maroc, la hotline de
Free est ouverte 24h/24 et 7j/7,
Donc oui effectivement cela a permis de remplir les poches de la direction et en
aucun cas de permettre d'améliorer les services destinés aux abonnés..
D'ailleurs depuis qu'il y a une partie de la hotline au Maroc, la hotline de
Free est ouverte 24h/24 et 7j/7,
Donc oui effectivement cela a permis de remplir les poches de la direction et en
aucun cas de permettre d'améliorer les services destinés aux abonnés..
Si le budget de l'état permettait de retrouver l'intégtralité de la
dépense en richesse, alors on tendrait vers une baisse des impôts vers
0. Si la dépense d'état était "rentable", l'état serait alors autonome.
Si le budget de l'état permettait de retrouver l'intégtralité de la
dépense en richesse, alors on tendrait vers une baisse des impôts vers
0. Si la dépense d'état était "rentable", l'état serait alors autonome.
Si le budget de l'état permettait de retrouver l'intégtralité de la
dépense en richesse, alors on tendrait vers une baisse des impôts vers
0. Si la dépense d'état était "rentable", l'état serait alors autonome.
Je suis désolé mais les vieux d'aujourd'hui n'ont jamais payé autant que
nous payons aujourd'hui pour leurs soins d'aujourd'hui.
Je suis désolé mais les vieux d'aujourd'hui n'ont jamais payé autant que
nous payons aujourd'hui pour leurs soins d'aujourd'hui.
Je suis désolé mais les vieux d'aujourd'hui n'ont jamais payé autant que
nous payons aujourd'hui pour leurs soins d'aujourd'hui.
La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.
La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.
La France ne crée plus aucune richesse depuis des années malheureusement.