HS Ibook

anneleguennec

02/04/2009 à 19:17

jpw wrote:

> Pas si simple, si j'en crois le principe de Peter.

ah tu veux dire que ton seuil d'incompétence est particulièrement bas ??

j'ai bon ??

Je suis au bas de l'échelle; selon toi. On a donc des chances de me
trouver des compétences.

> IL savait au moins pour quels clients ils travaillaient ?

ben pour son employeur : essilor

Ils travaillent sous Windows, chez Essilor ? dessin des modèles et
contrôles des machines de fabrication ?

anneleguennec

02/04/2009 à 19:17

YouDontNeedToKnowButItsNoëlle <"YoudontNeedThatNeither"@sol.earth>
wrote:

>
Tout à fait. Ce qui est valable quand on a un contrat avec dell, 500
utilisateurs au moins et 1,5 machine par utilisateur à la louche (il y a
des portables et des salles équipées en rab ) sans compter les serveurs
( machines unix, pour la plupart ) ne l'est pas du tout pour un
particulier ou une petite boîte : là, l'impact de la non-diponibilité
d'une machine est hors de proportion.

donc, s'ils achètent des bécanes à 500 euros, ça fait en réalité 750
euros de budget par utilisateur réel ? J'espère qu'ils n'ont pas besoin
du top de chez Dell. A 3000 euros la bécane (je pense bien qu'une grosse
struture négocie les prix...) ça fait une bonne somme à amortir, dis
donc.

sont si peu sûr de la qualité de leurs bécanes, chez Dell et les
acheteurs ? Ou ils ont des commerciaux au top ?

anneleguennec

02/04/2009 à 19:17

Kojak wrote:

Joli retour en charte ! :-) Sinon, dommage que les deux photos
ne soient pas issues de la même source...

Pourtant, les chaises m'ont bien l'air de venir de la même pièce, malgré
la différence d'angle et d'éclairage.

Ghost-Rider

02/04/2009 à 19:23

jpw a écrit :

tu le demanderais 100 fois que j'en n'ai rien à foutre ma pauvre nouille,
relis ghost rider, je pense que ses fonctions étaient peu différentes des
miennes
lui à un niveau sensiblement plus élevé que moi, ce qu'il explique
est ce que tous les responsables d'un budget info font :
les économies d'échelle, c'est évaluer le parc en termes de besoins
applicatifs
de puissance machine, et la quincaillerie qu'il y a derrière importe peu
s'il y a si peu de mac en entreprise, ce n'est pas parce que que les
gestionaires sont manipulés, c'est parce que les macs ne sont pas
compétitifs à ce niveau.

Lorsque j'ai vu le Lisa d'Apple acheté par une de nos sociétés, j'ai été
littéralement fasciné. Nous n'avions alors que des HP tournant sous CPM
en mode texte !
Nous avons alors acheté petit à petit des Mac, pour la bureautique,
l'informatique centrale étant IBM (34, 36, D2K, AS 400...) avec des
terminaux passifs type 5250, pour faire des centaines de milliers de
lignes par an.
J'avais et j'ai toujours un faible pour Apple, c'est sûr, car à
l'époque, les PC n'étaient pas à leur niveau : la RAM limitée à 640 kO,
les programmes Wysiwyg étaient inconnus, il fallait apprendre des tas de
raccourcis claviers pour taper une lettre ou créer un tableau, les
applications ne communiquaient pas entre elles etc...
Pour un poste bureautique personnel, un Mac était bien plus agréable et
performant.
Ça a commencé à se gâter sérieusement quand on a souhaité mettre les MAC
en réseau, partager les imprimantes, unifier les fichiers bureautiques
entre les secrétaires ou les comptables, rapatrier des fichiers plats de
l'AS400 pour alimenter le contrôle de gestion ou la compta, envoyer des
fax ou des fichiers bureautiques à l'extérieur (fournisseurs, clients,
représentants etc...).
Là on a bien vu que le Mac n'était pas vraiment adapté à ce genre
d'activité. C'est dommage peut-être, mais c'est comme ça.
Et quand on a voulu remplacer tous les terminaux passifs du type 5250
par des terminaux actifs, la question a été vite résolue, seuls des PC
Wintel pouvaient devenir des terminaux actifs AS400 sans y mettre des
compétences du temps et de l'argent que nous n'avions pas.

Des études de coût, j'en ai fait, et comme dit JPW, peu importe la
quincaillerie, on raisonne sur des coûts totaux : amortissement du
matériel, valeur résiduelle, coût d'entretien, coût des licences, coût
de déploiement, coût des salaires du service informatique, coût
d'adaptation perpétuelle des programmes, coût d'électricité, coût des
consommables etc... et bien sûr, productivité de l'utilisateur.
Il est vrai que les Mac gardaient une ou deux supériorités : quasiment
pas de virus, pas de bidouillages possibles par l'utilisateur, mais au
final, on n'a jamais beaucoup hésité.

Il reste que les salles de Mac en réseau sont certainement
intéressantes, pour la formation par exemple, les étudiants, les
services qui ne font pas de la saisie à longueur de temps, mais quand on
demande à une employée de saisir 200 chèques en une demi-heure parce que
le coursier attend, ou saisir au téléphone 50 commandes de 10 lignes à
l'heure parce qu'elles doivent partir par le camion de 15 heures, le Mac
n'est pas adapté, ne serait-ce que pour une raison très simple: un écran
5250 peut être facilement transposé et recompilé pour un PC Wintel, mais
pas pour un Mac. Alors, quand on en a des dizaines et des dizaines...

--
Ghost Rider

"Aimez-vous les uns les autres".
Jésus-Christ

jpw a écrit :

tu le demanderais 100 fois que j'en n'ai rien à foutre ma pauvre nouille,
relis ghost rider, je pense que ses fonctions étaient peu différentes des
miennes
lui à un niveau sensiblement plus élevé que moi, ce qu'il explique
est ce que tous les responsables d'un budget info font :
les économies d'échelle, c'est évaluer le parc en termes de besoins
applicatifs
de puissance machine, et la quincaillerie qu'il y a derrière importe peu
s'il y a si peu de mac en entreprise, ce n'est pas parce que que les
gestionaires sont manipulés, c'est parce que les macs ne sont pas
compétitifs à ce niveau.

Lorsque j'ai vu le Lisa d'Apple acheté par une de nos sociétés, j'ai été
littéralement fasciné. Nous n'avions alors que des HP tournant sous CPM
en mode texte !
Nous avons alors acheté petit à petit des Mac, pour la bureautique,
l'informatique centrale étant IBM (34, 36, D2K, AS 400...) avec des
terminaux passifs type 5250, pour faire des centaines de milliers de
lignes par an.
J'avais et j'ai toujours un faible pour Apple, c'est sûr, car à
l'époque, les PC n'étaient pas à leur niveau : la RAM limitée à 640 kO,
les programmes Wysiwyg étaient inconnus, il fallait apprendre des tas de
raccourcis claviers pour taper une lettre ou créer un tableau, les
applications ne communiquaient pas entre elles etc...
Pour un poste bureautique personnel, un Mac était bien plus agréable et
performant.
Ça a commencé à se gâter sérieusement quand on a souhaité mettre les MAC
en réseau, partager les imprimantes, unifier les fichiers bureautiques
entre les secrétaires ou les comptables, rapatrier des fichiers plats de
l'AS400 pour alimenter le contrôle de gestion ou la compta, envoyer des
fax ou des fichiers bureautiques à l'extérieur (fournisseurs, clients,
représentants etc...).
Là on a bien vu que le Mac n'était pas vraiment adapté à ce genre
d'activité. C'est dommage peut-être, mais c'est comme ça.
Et quand on a voulu remplacer tous les terminaux passifs du type 5250
par des terminaux actifs, la question a été vite résolue, seuls des PC
Wintel pouvaient devenir des terminaux actifs AS400 sans y mettre des
compétences du temps et de l'argent que nous n'avions pas.

Des études de coût, j'en ai fait, et comme dit JPW, peu importe la
quincaillerie, on raisonne sur des coûts totaux : amortissement du
matériel, valeur résiduelle, coût d'entretien, coût des licences, coût
de déploiement, coût des salaires du service informatique, coût
d'adaptation perpétuelle des programmes, coût d'électricité, coût des
consommables etc... et bien sûr, productivité de l'utilisateur.
Il est vrai que les Mac gardaient une ou deux supériorités : quasiment
pas de virus, pas de bidouillages possibles par l'utilisateur, mais au
final, on n'a jamais beaucoup hésité.

Il reste que les salles de Mac en réseau sont certainement
intéressantes, pour la formation par exemple, les étudiants, les
services qui ne font pas de la saisie à longueur de temps, mais quand on
demande à une employée de saisir 200 chèques en une demi-heure parce que
le coursier attend, ou saisir au téléphone 50 commandes de 10 lignes à
l'heure parce qu'elles doivent partir par le camion de 15 heures, le Mac
n'est pas adapté, ne serait-ce que pour une raison très simple: un écran
5250 peut être facilement transposé et recompilé pour un PC Wintel, mais
pas pour un Mac. Alors, quand on en a des dizaines et des dizaines...

--
Ghost Rider

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jpw a écrit :

tu le demanderais 100 fois que j'en n'ai rien à foutre ma pauvre nouille,
relis ghost rider, je pense que ses fonctions étaient peu différentes des
miennes
lui à un niveau sensiblement plus élevé que moi, ce qu'il explique
est ce que tous les responsables d'un budget info font :
les économies d'échelle, c'est évaluer le parc en termes de besoins
applicatifs
de puissance machine, et la quincaillerie qu'il y a derrière importe peu
s'il y a si peu de mac en entreprise, ce n'est pas parce que que les
gestionaires sont manipulés, c'est parce que les macs ne sont pas
compétitifs à ce niveau.

Lorsque j'ai vu le Lisa d'Apple acheté par une de nos sociétés, j'ai été
littéralement fasciné. Nous n'avions alors que des HP tournant sous CPM
en mode texte !
Nous avons alors acheté petit à petit des Mac, pour la bureautique,
l'informatique centrale étant IBM (34, 36, D2K, AS 400...) avec des
terminaux passifs type 5250, pour faire des centaines de milliers de
lignes par an.
J'avais et j'ai toujours un faible pour Apple, c'est sûr, car à
l'époque, les PC n'étaient pas à leur niveau : la RAM limitée à 640 kO,
les programmes Wysiwyg étaient inconnus, il fallait apprendre des tas de
raccourcis claviers pour taper une lettre ou créer un tableau, les
applications ne communiquaient pas entre elles etc...
Pour un poste bureautique personnel, un Mac était bien plus agréable et
performant.
Ça a commencé à se gâter sérieusement quand on a souhaité mettre les MAC
en réseau, partager les imprimantes, unifier les fichiers bureautiques
entre les secrétaires ou les comptables, rapatrier des fichiers plats de
l'AS400 pour alimenter le contrôle de gestion ou la compta, envoyer des
fax ou des fichiers bureautiques à l'extérieur (fournisseurs, clients,
représentants etc...).
Là on a bien vu que le Mac n'était pas vraiment adapté à ce genre
d'activité. C'est dommage peut-être, mais c'est comme ça.
Et quand on a voulu remplacer tous les terminaux passifs du type 5250
par des terminaux actifs, la question a été vite résolue, seuls des PC
Wintel pouvaient devenir des terminaux actifs AS400 sans y mettre des
compétences du temps et de l'argent que nous n'avions pas.

Des études de coût, j'en ai fait, et comme dit JPW, peu importe la
quincaillerie, on raisonne sur des coûts totaux : amortissement du
matériel, valeur résiduelle, coût d'entretien, coût des licences, coût
de déploiement, coût des salaires du service informatique, coût
d'adaptation perpétuelle des programmes, coût d'électricité, coût des
consommables etc... et bien sûr, productivité de l'utilisateur.
Il est vrai que les Mac gardaient une ou deux supériorités : quasiment
pas de virus, pas de bidouillages possibles par l'utilisateur, mais au
final, on n'a jamais beaucoup hésité.

Il reste que les salles de Mac en réseau sont certainement
intéressantes, pour la formation par exemple, les étudiants, les
services qui ne font pas de la saisie à longueur de temps, mais quand on
demande à une employée de saisir 200 chèques en une demi-heure parce que
le coursier attend, ou saisir au téléphone 50 commandes de 10 lignes à
l'heure parce qu'elles doivent partir par le camion de 15 heures, le Mac
n'est pas adapté, ne serait-ce que pour une raison très simple: un écran
5250 peut être facilement transposé et recompilé pour un PC Wintel, mais
pas pour un Mac. Alors, quand on en a des dizaines et des dizaines...

--
Ghost Rider

"Aimez-vous les uns les autres".
Jésus-Christ

laurent B

02/04/2009 à 19:39

"Anne" a écrit dans le message de news:
1ixk7l0.6ti86916qc6muN%

YouDontNeedToKnowButItsNoëlle <"YoudontNeedThatNeither"@sol.earth>
wrote:

>
Tout à fait. Ce qui est valable quand on a un contrat avec dell, 500
utilisateurs au moins et 1,5 machine par utilisateur à la louche (il y a
des portables et des salles équipées en rab ) sans compter les serveurs
( machines unix, pour la plupart ) ne l'est pas du tout pour un
particulier ou une petite boîte : là, l'impact de la non-diponibilité
d'une machine est hors de proportion.

donc, s'ils achètent des bécanes à 500 euros, ça fait en réalité 750
euros de budget par utilisateur réel ? J'espère qu'ils n'ont pas besoin
du top de chez Dell. A 3000 euros la bécane (je pense bien qu'une grosse
struture négocie les prix...) ça fait une bonne somme à amortir, dis
donc.

sont si peu sûr de la qualité de leurs bécanes, chez Dell et les
acheteurs ? Ou ils ont des commerciaux au top ?

le rapport de 1.5 est surement un peu fort. dans ma boite ( 250 Pc ), il y a
2 portable et 3 tours de secours. et un contrat de maintenance delai 24h

l'avantage du monde Pc, c'est qu'on peux changer de marque de materiel, sans
aucuin probleme ( ce qui n'est pas le cas des MAC )

--

laurent B

Erwan David

02/04/2009 à 19:44

"laurent B" écrivait :

"Erwan David" a écrit dans le message de news:

"laurent B" écrivait :

quand on compare une difference de prix d'install de 30 euros par rapport
a
la difference de prix des machines qui est superieur a 500 euros, je
comprends qu'on prenne des PC/WIN

Je ne sais pas d'où tu tire tes 500 euros. Dans le segment "petit
portable facile à transporter" (12, 13") que je viens de regarder pour
le boulot, un macbook 13" est tout à fait compétitif...

c'est a dire ?

PC de base portable ( 15" ): 400 euros TTC

PC de base : mauvais en entreprise... Faut qu'il tienne sans qu'on soit
emmerdé avec la maintenance. Il faut une batterie conséquente (3h
d'attente d'avion en retard, le PC doit tenir) ce qui impose souvent de
prendre une batterie plus grosse.

En plus je parlais à gamme
équivalente (quand je fais une étude de marché pourdes commerciaux qui
se baladent je ne demade pas au RH de ne recruter que des
haltéropiles).
Donc macboook 1000 ¤, lenovo 1200 à 1600, HP 900 pour un modèle après ça
saute à 1200....

--
Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était,
les riches l'auraient accaparé

Ghost-Rider

02/04/2009 à 19:45

YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

Ghost-Rider a écrit :
On change la machine et le gars continue de travailler.
Un broker est généralement intéressé par 50 bécanes, pas par une
demi-douzaine, on peut arriver à sortir un prix.

En l'occurence -je ne me suis pas tenue au courant des détails- je crois
que le contrat prévoit la reprise par Dell, au fur à mesure. Ce qu'il en
font après, ça les regarde ! Pour vendre quelque chose aux domaines,
c'est la croix et la bannière, le temps que ça se fasse ça n'interesse
plus personne tellement c'est obsolète. Et avant que ça interesse les
antiquaires...Doit y avoir encore des ternimaux à écran vert avec login
multics gravé dans le phosphore quelque part dans une cave profonde.

Je ne saisis pas bien. Ce que je veux dire, c'est que si j'achète 50
bécanes absolument identiques à un fournisseur, je peux tirer les prix à
l'achat comme à l'install parce que le déploiement ne nécessitera la
fabrication que d'un CD et pas plusieurs et que mon service informatique
mettra le minimum de temps à installer chaque poste.
Alors je peux acheter des machines plus performantes que nécessaire au
départ, pour pouvoir suivre les évolutions des besoins en puissance et
en capacité.
Au terme de la garantie totale de 3 ans, je revends à un broker 50
machines identiques, propres et à jour, encore suffisamment récentes et
performantes pour intéresser un second marché d'occasion.
Et à la revente, je peux donc encore tirer un prix.
J'ai aussi utilisé la méthode du remplacement au fil de l'eau. Ce
n'était pas valable car on passe trop de temps à essayer de revendre au
compte-goutte des machines qui n'intéressent que des particuliers.
C'est le même problème pour les parcs auto.

D'un autre coté, 3% de pannes avec des machines d'avance, l'utilisateur
n'est pas emmerdé.
3% de panne pour un particulier sur trente, il ne fait rien avec sa
bécane en rade !
C'est pour ça qu'on doit calculer différement l'impact de la
non-diposniblité.

Une machine en panne qui empêche le comptable de sortir les résultats
pour le comité de direction du 5 du mois, c'est un drame. Il faut
pouvoir remplacer une bécane en panne dans la demi-heure.
Une machine en panne chez soi qui empêche d'aller sur usenet, c'est
évidemment moins dramatique.
Mon expérience, c'est 2 machines de rechange pour 50 qui tournent. C'est
trop, mais en cas de malchance, et s'il y a trois machines en rideau en
même temps, on prend celle du président pour lui montrer pourquoi on
doit en avoir d'avance. :-)

--
Ghost Rider

"Aimez-vous les uns les autres".
Jésus-Christ

YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

Ghost-Rider a écrit :
On change la machine et le gars continue de travailler.

Un broker est généralement intéressé par 50 bécanes, pas par une
demi-douzaine, on peut arriver à sortir un prix.

En l'occurence -je ne me suis pas tenue au courant des détails- je crois
que le contrat prévoit la reprise par Dell, au fur à mesure. Ce qu'il en
font après, ça les regarde ! Pour vendre quelque chose aux domaines,
c'est la croix et la bannière, le temps que ça se fasse ça n'interesse
plus personne tellement c'est obsolète. Et avant que ça interesse les
antiquaires...Doit y avoir encore des ternimaux à écran vert avec login
multics gravé dans le phosphore quelque part dans une cave profonde.

Je ne saisis pas bien. Ce que je veux dire, c'est que si j'achète 50
bécanes absolument identiques à un fournisseur, je peux tirer les prix à
l'achat comme à l'install parce que le déploiement ne nécessitera la
fabrication que d'un CD et pas plusieurs et que mon service informatique
mettra le minimum de temps à installer chaque poste.
Alors je peux acheter des machines plus performantes que nécessaire au
départ, pour pouvoir suivre les évolutions des besoins en puissance et
en capacité.
Au terme de la garantie totale de 3 ans, je revends à un broker 50
machines identiques, propres et à jour, encore suffisamment récentes et
performantes pour intéresser un second marché d'occasion.
Et à la revente, je peux donc encore tirer un prix.
J'ai aussi utilisé la méthode du remplacement au fil de l'eau. Ce
n'était pas valable car on passe trop de temps à essayer de revendre au
compte-goutte des machines qui n'intéressent que des particuliers.
C'est le même problème pour les parcs auto.

D'un autre coté, 3% de pannes avec des machines d'avance, l'utilisateur
n'est pas emmerdé.
3% de panne pour un particulier sur trente, il ne fait rien avec sa
bécane en rade !
C'est pour ça qu'on doit calculer différement l'impact de la
non-diposniblité.

Une machine en panne qui empêche le comptable de sortir les résultats
pour le comité de direction du 5 du mois, c'est un drame. Il faut
pouvoir remplacer une bécane en panne dans la demi-heure.
Une machine en panne chez soi qui empêche d'aller sur usenet, c'est
évidemment moins dramatique.
Mon expérience, c'est 2 machines de rechange pour 50 qui tournent. C'est
trop, mais en cas de malchance, et s'il y a trois machines en rideau en
même temps, on prend celle du président pour lui montrer pourquoi on
doit en avoir d'avance. :-)

--
Ghost Rider

"Aimez-vous les uns les autres".
Jésus-Christ

Vous avez filtré cet utilisateur ! Consultez son message

YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :

Ghost-Rider a écrit :
On change la machine et le gars continue de travailler.
Un broker est généralement intéressé par 50 bécanes, pas par une
demi-douzaine, on peut arriver à sortir un prix.

En l'occurence -je ne me suis pas tenue au courant des détails- je crois
que le contrat prévoit la reprise par Dell, au fur à mesure. Ce qu'il en
font après, ça les regarde ! Pour vendre quelque chose aux domaines,
c'est la croix et la bannière, le temps que ça se fasse ça n'interesse
plus personne tellement c'est obsolète. Et avant que ça interesse les
antiquaires...Doit y avoir encore des ternimaux à écran vert avec login
multics gravé dans le phosphore quelque part dans une cave profonde.

Je ne saisis pas bien. Ce que je veux dire, c'est que si j'achète 50
bécanes absolument identiques à un fournisseur, je peux tirer les prix à
l'achat comme à l'install parce que le déploiement ne nécessitera la
fabrication que d'un CD et pas plusieurs et que mon service informatique
mettra le minimum de temps à installer chaque poste.
Alors je peux acheter des machines plus performantes que nécessaire au
départ, pour pouvoir suivre les évolutions des besoins en puissance et
en capacité.
Au terme de la garantie totale de 3 ans, je revends à un broker 50
machines identiques, propres et à jour, encore suffisamment récentes et
performantes pour intéresser un second marché d'occasion.
Et à la revente, je peux donc encore tirer un prix.
J'ai aussi utilisé la méthode du remplacement au fil de l'eau. Ce
n'était pas valable car on passe trop de temps à essayer de revendre au
compte-goutte des machines qui n'intéressent que des particuliers.
C'est le même problème pour les parcs auto.

D'un autre coté, 3% de pannes avec des machines d'avance, l'utilisateur
n'est pas emmerdé.
3% de panne pour un particulier sur trente, il ne fait rien avec sa
bécane en rade !
C'est pour ça qu'on doit calculer différement l'impact de la
non-diposniblité.

Une machine en panne qui empêche le comptable de sortir les résultats
pour le comité de direction du 5 du mois, c'est un drame. Il faut
pouvoir remplacer une bécane en panne dans la demi-heure.
Une machine en panne chez soi qui empêche d'aller sur usenet, c'est
évidemment moins dramatique.
Mon expérience, c'est 2 machines de rechange pour 50 qui tournent. C'est
trop, mais en cas de malchance, et s'il y a trois machines en rideau en
même temps, on prend celle du président pour lui montrer pourquoi on
doit en avoir d'avance. :-)

--
Ghost Rider

"Aimez-vous les uns les autres".
Jésus-Christ

filh

02/04/2009 à 19:46

Anne wrote:

FiLH wrote:

>
> Je ne sais pas mais on sait d'où JPW tient ses infos en provenances
> d'éminents DSI : trois potes dont un qu'il connait à peine..
>
> Quant à son expérience, ce charlot n'a jamais fait que la gestion de ses
> deux pc à la maison... et à réussi à couler toutes les boites qu'il a
> créé. Quelle compétence de gestionaire...

enfin quand même, ces mêmes dsi doivent bien s'appuyer sur des études
indiscutables et peut être contradictoires.

Bof... quand on voit que le coût de formation sous work Mac serait
supérieur au coût sous windows...

Les études sont faites par des cabinets qui sont payés pour dire aux DSI
ce que les DSI ont envie d'entendre.

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org

Erwan David

02/04/2009 à 19:47

(FiLH) écrivait :

Jean-Claude Ghislain wrote:

"jpw" a écrit :

> les formations sont plus rares, les compétences en SAV également
> les machines plus chères, l'infogérance plus chère,
> etc...

Elargissons le débat des coûts à Windows contre Linux :
http://pro.01net.com/editorial/391832/rectificatif-2-079-euros-sur-cinq-an
s-pour-un-pc-linux/

Je cite :
L'étude comparative commandée par Microsoft révèle un coût sur cinq ans
de 2 079 euros pour un PC Linux et de 2 065 euros pour un PC sous
Windows. Le tableau a été mis à jour avec les bons chiffres.

Ah commandée par microsoft :) :)

Bon... je regarde :

Coûts initiaux (matériel, logiciel, installation, &) 748,26 718,72

30 euros de plus pour windows ? Comment y arrivent-t-ils ? Parce que bon

- la machine c'est la même

- l'install c'est... plus rapide sous linux (ben oui y a pas 3 reboots)
donc le cout d'install est moindre,

- windows xp coute plus de 100 euros, linux est gratut.

Là... je vois pas où sont cachés les 70 euros qui manquent.

Et encore, selon mes configs il faudra compter du temps d'administration
des licences (et avec les licences au MS il faut parfois *beaucoup*
fouiller pour savoir quelle licence on a le droit de mettre sur telle ou
telle configuration).

--
Le travail n'est pas une bonne chose. Si ça l'était,
les riches l'auraient accaparé

filh

02/04/2009 à 20:21

Ghost-Rider wrote:

le déploiement ne nécessitera la
fabrication que d'un CD

Hum... le cd c'est has been pour le déploiement hein... enfin je veux
pas dire mais bon...

FiLH

--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org

HS Ibook

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