Ah oui, joli monstre! Série limitée Papy Boyington?:-D
Plus inspirée par le B24 Liberator que le Curtiss P40, sinon je lui aurais fait une gueule de requin sur l'aile avant... :-) Et puis, vu le poids et la faible puissance, c'est plus proche du bombardier lourd que du chasseur. Bon, je me suis quand même bien amusé à la décorer et lui coller 740 rivets... ;-)
-- /) -:oo= Guillaume ) Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Le 07/12/2013 23:19, Pascal FRIQUET a écrit :
Ah oui, joli monstre! Série limitée Papy Boyington?:-D
Plus inspirée par le B24 Liberator que le Curtiss P40, sinon je lui
aurais fait une gueule de requin sur l'aile avant... :-)
Et puis, vu le poids et la faible puissance, c'est plus proche du
bombardier lourd que du chasseur.
Bon, je me suis quand même bien amusé à la décorer et lui coller 740
rivets... ;-)
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-:oo= Guillaume
)
Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Ah oui, joli monstre! Série limitée Papy Boyington?:-D
Plus inspirée par le B24 Liberator que le Curtiss P40, sinon je lui aurais fait une gueule de requin sur l'aile avant... :-) Et puis, vu le poids et la faible puissance, c'est plus proche du bombardier lourd que du chasseur. Bon, je me suis quand même bien amusé à la décorer et lui coller 740 rivets... ;-)
-- /) -:oo= Guillaume ) Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Le Moustique
Le 08/12/2013 08:36, J.P a écrit :
Mon constat avec des garçons de 16 et 18 ans est que trop souvent la première réponse est la bonne, surtout si elle se lit vite.
C'est aussi ce que j'ai constaté...
Je vais envoyer ton cas à l'un de mes ex-collègues spécialiste des évolutions génétiques:-)
Ah non, je ne tiens pas à finir dans un bocal de formol! ;-)
-- /) -:oo= Guillaume ) Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Le 08/12/2013 08:36, J.P a écrit :
Mon constat avec des garçons de 16 et 18 ans est que trop souvent la
première réponse est la bonne, surtout si elle se lit vite.
C'est aussi ce que j'ai constaté...
Je vais envoyer ton cas à l'un de mes ex-collègues spécialiste des
évolutions génétiques:-)
Ah non, je ne tiens pas à finir dans un bocal de formol! ;-)
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-:oo= Guillaume
)
Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
Mon constat avec des garçons de 16 et 18 ans est que trop souvent la première réponse est la bonne, surtout si elle se lit vite.
C'est aussi ce que j'ai constaté...
Je vais envoyer ton cas à l'un de mes ex-collègues spécialiste des évolutions génétiques:-)
Ah non, je ne tiens pas à finir dans un bocal de formol! ;-)
-- /) -:oo= Guillaume ) Je nettoyais mon clavier, et le coup est parti tout seul.
sebastienmarty
J.P wrote:
In article <l7ul4l$mbm$, Le Moustique wrote:
> Le 07/12/2013 02:38, J.P a écrit : > > Sauf peut-être qu'avec le bordel ambiant sur le net, il est peut-être > > plus difficle aujourd'hui de formuler une requête "utile" sur Google, > > Wikipedia ou autre que de chercher dans un bon vieux dictionnaire. > > Pas faux, mais par contre on peut facilement constater qu'un > dictionnaire est moins complet, offre moins de définitions.... Les mots > anciens disparaissent, les variantes régionales sont souvent absentes. > Enfin il y a bien moins d'illustrations, qui permettent parfois > d'affiner le sens d'un mot. D'accord. Néanmoins "trop d'info tue l'info" et bien souvent il faut passer pas mal de temps à confronter des réponses pour arriver à un résultat correct.
Il y a des erreurs aussi dans les ouvrages papier.
-- [SbM] "If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
In article <l7ul4l$mbm$1@shakotay.alphanet.ch>,
Le Moustique <ze.mosquito@free.fr> wrote:
> Le 07/12/2013 02:38, J.P a écrit :
> > Sauf peut-être qu'avec le bordel ambiant sur le net, il est peut-être
> > plus difficle aujourd'hui de formuler une requête "utile" sur Google,
> > Wikipedia ou autre que de chercher dans un bon vieux dictionnaire.
>
> Pas faux, mais par contre on peut facilement constater qu'un
> dictionnaire est moins complet, offre moins de définitions.... Les mots
> anciens disparaissent, les variantes régionales sont souvent absentes.
> Enfin il y a bien moins d'illustrations, qui permettent parfois
> d'affiner le sens d'un mot.
D'accord. Néanmoins "trop d'info tue l'info" et bien souvent il faut
passer pas mal de temps à confronter des réponses pour arriver à un
résultat correct.
Il y a des erreurs aussi dans les ouvrages papier.
--
[SbM]
"If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
> Le 07/12/2013 02:38, J.P a écrit : > > Sauf peut-être qu'avec le bordel ambiant sur le net, il est peut-être > > plus difficle aujourd'hui de formuler une requête "utile" sur Google, > > Wikipedia ou autre que de chercher dans un bon vieux dictionnaire. > > Pas faux, mais par contre on peut facilement constater qu'un > dictionnaire est moins complet, offre moins de définitions.... Les mots > anciens disparaissent, les variantes régionales sont souvent absentes. > Enfin il y a bien moins d'illustrations, qui permettent parfois > d'affiner le sens d'un mot. D'accord. Néanmoins "trop d'info tue l'info" et bien souvent il faut passer pas mal de temps à confronter des réponses pour arriver à un résultat correct.
Il y a des erreurs aussi dans les ouvrages papier.
-- [SbM] "If the French were really intelligent, they'd speak English" (W. Sheed)
voir_le_reply-to
J.P wrote:
Là aussi, le sens critique et la confrontation des sources ne sont pas inutiles.
Naturellement : ce n'est *jamais* inutile nulle part. Et j'ajouterais même que c'est la *réfutabilité* des affirmations qui fait la qualité d'un exposé.
Mais justement, bourdes pour bourdes (car il y en a aussi dans bien d'autres sources !) j'aime bien la possibilité ouverte à tous de les corriger en ligne (modulo quelques précautions bien naturelles sinon on n'en finirait pas !). On trouve aussi pas mal d'article présentant des points de vue contradictoires, ce qui est plus rare dans les encyclopédies classiques.
-- Gérald
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
Là aussi, le sens critique et la confrontation des sources ne sont pas
inutiles.
Naturellement : ce n'est *jamais* inutile nulle part. Et j'ajouterais
même que c'est la *réfutabilité* des affirmations qui fait la qualité
d'un exposé.
Mais justement, bourdes pour bourdes (car il y en a aussi dans bien
d'autres sources !) j'aime bien la possibilité ouverte à tous de les
corriger en ligne (modulo quelques précautions bien naturelles sinon on
n'en finirait pas !). On trouve aussi pas mal d'article présentant des
points de vue contradictoires, ce qui est plus rare dans les
encyclopédies classiques.
Là aussi, le sens critique et la confrontation des sources ne sont pas inutiles.
Naturellement : ce n'est *jamais* inutile nulle part. Et j'ajouterais même que c'est la *réfutabilité* des affirmations qui fait la qualité d'un exposé.
Mais justement, bourdes pour bourdes (car il y en a aussi dans bien d'autres sources !) j'aime bien la possibilité ouverte à tous de les corriger en ligne (modulo quelques précautions bien naturelles sinon on n'en finirait pas !). On trouve aussi pas mal d'article présentant des points de vue contradictoires, ce qui est plus rare dans les encyclopédies classiques.
-- Gérald
lists
Gerald wrote:
On s'achemine (dans quelque temps ?) vers une situation où on laissera libre accès aux sources aux élèves pour les examens (sources sur internet et s'il y a encore des examens !) - renvoyant à la préhistoire la notion d'antisèche - en fournissant en parallèle aux professeurs/correcteurs des outils automatisés permettant d'évaluer *l'originalité* de la démarche de pensée de l'élève, sa capacité à exploiter et confronter des sources, et à prouver une véritable compréhension du sujet.
Ça existe déjà un peu, j'ai eu des partiels, il y a quelques années, où le cours était autorisé. C'était en M2 et dans des disciplines scientifiques.
Mais ce n'est pas forcément toujours possible. En particulier, le but est parfois d'évaluer si les étudiants ont assimilé des notions et savent s'en servir à bon escient (cas d'un examen), mais il peut être aussi parfois de classer des étudiants pour choisir parmi un nombre restreint de places disponibles (cas d'un concours).
Bien sûr, on peut discuter des critères pertinents pour un concours, mais à la fin, s'il y a plus de candidats que de postes, il faut bien choisir un critère pour décider lesquels on prend.
Or, dans ce contexte, une épreuve où on regarde l'originalité de la démarche de l'élève, est très difficile à mettre en place. On risque d'avoir une grande partie qui n'arrivera qu'à peu de résultats, et quelques uns, très bons, qui réussiront de façon excellente. Pour un concours, on peut avoir besoin de pouvoir classer de façon plus lisse, et moins arbitraire... c'est vrai même pour les concours les plus élitistes où il y a une progression avec des questions faciles jusqu'à des questions très difficiles pour pouvoir étaler les notes le plus possible.
On
s'achemine (dans quelque temps ?) vers une situation où on laissera
libre accès aux sources aux élèves pour les examens (sources sur
internet et s'il y a encore des examens !) - renvoyant à la préhistoire
la notion d'antisèche - en fournissant en parallèle aux
professeurs/correcteurs des outils automatisés permettant d'évaluer
*l'originalité* de la démarche de pensée de l'élève, sa capacité à
exploiter et confronter des sources, et à prouver une véritable
compréhension du sujet.
Ça existe déjà un peu, j'ai eu des partiels, il y a quelques années, où
le cours était autorisé. C'était en M2 et dans des disciplines
scientifiques.
Mais ce n'est pas forcément toujours possible. En particulier, le but
est parfois d'évaluer si les étudiants ont assimilé des notions et
savent s'en servir à bon escient (cas d'un examen), mais il peut être
aussi parfois de classer des étudiants pour choisir parmi un nombre
restreint de places disponibles (cas d'un concours).
Bien sûr, on peut discuter des critères pertinents pour un concours,
mais à la fin, s'il y a plus de candidats que de postes, il faut bien
choisir un critère pour décider lesquels on prend.
Or, dans ce contexte, une épreuve où on regarde l'originalité de la
démarche de l'élève, est très difficile à mettre en place. On risque
d'avoir une grande partie qui n'arrivera qu'à peu de résultats, et
quelques uns, très bons, qui réussiront de façon excellente. Pour un
concours, on peut avoir besoin de pouvoir classer de façon plus lisse,
et moins arbitraire... c'est vrai même pour les concours les plus
élitistes où il y a une progression avec des questions faciles jusqu'à
des questions très difficiles pour pouvoir étaler les notes le plus
possible.
On s'achemine (dans quelque temps ?) vers une situation où on laissera libre accès aux sources aux élèves pour les examens (sources sur internet et s'il y a encore des examens !) - renvoyant à la préhistoire la notion d'antisèche - en fournissant en parallèle aux professeurs/correcteurs des outils automatisés permettant d'évaluer *l'originalité* de la démarche de pensée de l'élève, sa capacité à exploiter et confronter des sources, et à prouver une véritable compréhension du sujet.
Ça existe déjà un peu, j'ai eu des partiels, il y a quelques années, où le cours était autorisé. C'était en M2 et dans des disciplines scientifiques.
Mais ce n'est pas forcément toujours possible. En particulier, le but est parfois d'évaluer si les étudiants ont assimilé des notions et savent s'en servir à bon escient (cas d'un examen), mais il peut être aussi parfois de classer des étudiants pour choisir parmi un nombre restreint de places disponibles (cas d'un concours).
Bien sûr, on peut discuter des critères pertinents pour un concours, mais à la fin, s'il y a plus de candidats que de postes, il faut bien choisir un critère pour décider lesquels on prend.
Or, dans ce contexte, une épreuve où on regarde l'originalité de la démarche de l'élève, est très difficile à mettre en place. On risque d'avoir une grande partie qui n'arrivera qu'à peu de résultats, et quelques uns, très bons, qui réussiront de façon excellente. Pour un concours, on peut avoir besoin de pouvoir classer de façon plus lisse, et moins arbitraire... c'est vrai même pour les concours les plus élitistes où il y a une progression avec des questions faciles jusqu'à des questions très difficiles pour pouvoir étaler les notes le plus possible.
-- Julien Salort http://www.juliensalort.org
Matt
On Dim 08 décembre 2013 (08:19), J.P wrote:
Les temps ont changé et il s'agit plus de rééducation, bien trop souvent.
Ou éducation le plus souvent car le problème vient des parents qui ne font qu'élever (une partie de plaisir c'est super mais faut penser à l'après aussi).
-- Unfortunate user: Find Daft Punk songs. Siri: I found a punk. YOU. (_+_) Siri, part twenty-one (_+_)
On Dim 08 décembre 2013 (08:19),
J.P <jpp@gmail.com> wrote:
Les temps ont changé et il s'agit plus de rééducation, bien trop souvent.
Ou éducation le plus souvent car le problème vient des parents qui ne
font qu'élever (une partie de plaisir c'est super mais faut penser à
l'après aussi).
--
Unfortunate user: Find Daft Punk songs.
Siri: I found a punk. YOU.
(_+_) Siri, part twenty-one (_+_)
Les temps ont changé et il s'agit plus de rééducation, bien trop souvent.
Ou éducation le plus souvent car le problème vient des parents qui ne font qu'élever (une partie de plaisir c'est super mais faut penser à l'après aussi).
-- Unfortunate user: Find Daft Punk songs. Siri: I found a punk. YOU. (_+_) Siri, part twenty-one (_+_)
voir_le_reply-to
Julien Salort wrote:
Mais ce n'est pas forcément toujours possible. En particulier, le but est parfois d'évaluer si les étudiants ont assimilé des notions et savent s'en servir à bon escient (cas d'un examen)
Cette description me rappelle un histoire ancienne que j'ai vécue d'un examen d'anatomie dont la question était : "une personne arrive aux urgence présentant une plaie de la face antérieure du poignet : quels éléments anatomiques ont-ils pu être lésés ?" et où on s'était tous rétammés en tentant de n'oublier aucun nerf, tendon, vaisseau...
La seule bonne réponse étant : "je ne sais pas, seule une exploration chirurgicale permettrait de le savoir".
In memoriam Pr. Jean Gosset, qui effectuait encore des opérations très fines de la main en 1976 affligé d'un Parkinson sévère (!), mort tragiquement un an plus tard. De ces personnalités dont l'enseignement était inoubliable et les connaissances encyclopédiques, renvoyant celles du Dr House au cours préparatoire.
-- Gérald
Julien Salort <lists@juliensalort.org> wrote:
Mais ce n'est pas forcément toujours possible. En particulier, le but
est parfois d'évaluer si les étudiants ont assimilé des notions et
savent s'en servir à bon escient (cas d'un examen)
Cette description me rappelle un histoire ancienne que j'ai vécue d'un
examen d'anatomie dont la question était : "une personne arrive aux
urgence présentant une plaie de la face antérieure du poignet : quels
éléments anatomiques ont-ils pu être lésés ?" et où on s'était tous
rétammés en tentant de n'oublier aucun nerf, tendon, vaisseau...
La seule bonne réponse étant : "je ne sais pas, seule une exploration
chirurgicale permettrait de le savoir".
In memoriam Pr. Jean Gosset, qui effectuait encore des opérations très
fines de la main en 1976 affligé d'un Parkinson sévère (!), mort
tragiquement un an plus tard. De ces personnalités dont l'enseignement
était inoubliable et les connaissances encyclopédiques, renvoyant celles
du Dr House au cours préparatoire.
Mais ce n'est pas forcément toujours possible. En particulier, le but est parfois d'évaluer si les étudiants ont assimilé des notions et savent s'en servir à bon escient (cas d'un examen)
Cette description me rappelle un histoire ancienne que j'ai vécue d'un examen d'anatomie dont la question était : "une personne arrive aux urgence présentant une plaie de la face antérieure du poignet : quels éléments anatomiques ont-ils pu être lésés ?" et où on s'était tous rétammés en tentant de n'oublier aucun nerf, tendon, vaisseau...
La seule bonne réponse étant : "je ne sais pas, seule une exploration chirurgicale permettrait de le savoir".
In memoriam Pr. Jean Gosset, qui effectuait encore des opérations très fines de la main en 1976 affligé d'un Parkinson sévère (!), mort tragiquement un an plus tard. De ces personnalités dont l'enseignement était inoubliable et les connaissances encyclopédiques, renvoyant celles du Dr House au cours préparatoire.
-- Gérald
Laszlo Lebrun
On 07.12.2013 20:49, Le Moustique wrote:
Le 07/12/2013 19:07, Laszlo Lebrun a écrit :
Mets de l'eau chaude...
J'veux bien, mais du coup, comment savoir d'ou vient le vent?
S'il y a du vent dans la salle de bains, c'est que tu as oublié de fermer la porte. S'il n'y a pas de vent, t n'as pas besoin de savoir d'ou il vient.
-- One computer and three operating systems, not the other way round. One wife and many hotels, not the other way round ! ;-)
On 07.12.2013 20:49, Le Moustique wrote:
Le 07/12/2013 19:07, Laszlo Lebrun a écrit :
Mets de l'eau chaude...
J'veux bien, mais du coup, comment savoir d'ou vient le vent?
S'il y a du vent dans la salle de bains, c'est que tu as oublié de
fermer la porte.
S'il n'y a pas de vent, t n'as pas besoin de savoir d'ou il vient.
--
One computer and three operating systems, not the other way round.
One wife and many hotels, not the other way round ! ;-)