Michel Billaud wrote:
La physique ? :-)
Les maths, la physique, la chimie, si on ne les apprend pas à la fac
ou similaire, on ne les sait pas, point final. Pour faire une centrale
nucléaire ou une bombe atomique, si on ne connaît pas la physique
nucléaire, on peut toujours courir. Par contre, l'informatique, tu vois,
il semble que ça ne serve pas beaucoup d'aller l'apprendre à la fac, et
même que des "college dropouts" comme Bill Gates, Steve Jobs ou Linux
Torvalds aient réussi pas trop mal en quittant le bateau au milieu du gué.
Ou encore dit autrement, par un grand mathematicien GH Hardy
http://www-history.mcs.st-andrews.ac.uk/~history/Quotations/Hardy.html
"Pure mathematics is on the whole distinctly more useful than applied".
MB
Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> wrote:
La physique ? :-)
Les maths, la physique, la chimie, si on ne les apprend pas à la fac
ou similaire, on ne les sait pas, point final. Pour faire une centrale
nucléaire ou une bombe atomique, si on ne connaît pas la physique
nucléaire, on peut toujours courir. Par contre, l'informatique, tu vois,
il semble que ça ne serve pas beaucoup d'aller l'apprendre à la fac, et
même que des "college dropouts" comme Bill Gates, Steve Jobs ou Linux
Torvalds aient réussi pas trop mal en quittant le bateau au milieu du gué.
Ou encore dit autrement, par un grand mathematicien GH Hardy
http://www-history.mcs.st-andrews.ac.uk/~history/Quotations/Hardy.html
"Pure mathematics is on the whole distinctly more useful than applied".
MB
Michel Billaud wrote:
La physique ? :-)
Les maths, la physique, la chimie, si on ne les apprend pas à la fac
ou similaire, on ne les sait pas, point final. Pour faire une centrale
nucléaire ou une bombe atomique, si on ne connaît pas la physique
nucléaire, on peut toujours courir. Par contre, l'informatique, tu vois,
il semble que ça ne serve pas beaucoup d'aller l'apprendre à la fac, et
même que des "college dropouts" comme Bill Gates, Steve Jobs ou Linux
Torvalds aient réussi pas trop mal en quittant le bateau au milieu du gué.
Ou encore dit autrement, par un grand mathematicien GH Hardy
http://www-history.mcs.st-andrews.ac.uk/~history/Quotations/Hardy.html
"Pure mathematics is on the whole distinctly more useful than applied".
MB
William Gates est né avec la 4° fortune des USA, il n'a jamais rien
programmé de sa vie,
William Gates est né avec la 4° fortune des USA, il n'a jamais rien
programmé de sa vie,
William Gates est né avec la 4° fortune des USA, il n'a jamais rien
programmé de sa vie,
Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés. Je
Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés. Je
Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés. Je
On Tue, 6 Jun 2006, remy wrote:Pas d'accord. Tout dépend du domaine où l'on se place. C'est sûr, les
informaticiens théoriques, ça fait marrer pas mal de monde (« qui a
besoin de théoriciens en informatique ? » est une phrase que je vois
formulée à demi-mots quand je parle de DEA/thèse en informatique).
N'empêche, je vois l'informatique théorique comme des mathématiques
pas comme mais c'est des mathematiques pas parce que les maths ça
fait serieux mais plutot parce que
allez plus simple
http://fr.wikipedia.org/wiki/Informatique_th%C3%A9orique#Th.C3.A9orie_des_langages
en gros c'est des maths qui ne font pas de bruit des maths discretes
Merci, je sais ce qu'est l'info théorique. Et non, du point de vue d'un
matheux, un vrai, il ne s'agit pas de maths. De même qu'utiliser des
outils mathématiques, aussi abstraits et difficiles à appréhender
soient-ils, en physique ne fait pas de la physique des « maths ».
J'ai eu l'occasion de lire quelques papiers de recherche dans des
domaines parfois très théoriques pour l'informatique cette année, et si
l'usage intensif des maths pouvait se lire à chaque page, il n'en reste
pas moins qu'à part certains cas particuliers (comme effectivement, la
théorique des langages), il s'agissait plus d'applications des maths
permettant de déduire certains résultats.
Cela dit je te l'accorde, j'ai eu l'occasion de vérifier que la
frontière est parfois floue entre mathématiques et informatique
théorique (je me souviens d'un cours de théorie des graphes cette année
où le prof s'arrête devant une assistance à moitié médusée, et dit que «
là je m'arrête, parce que si on va plus loin, ça devient de la théorie
des groupes »).
Que l'informatique théorique et les maths soient intimement liés est
pour moi une évidence. Maintenant ce qu'un infoteux appelle « maths »,
un matheux ne l'appelle pas. :-)
On Tue, 6 Jun 2006, remy wrote:
Pas d'accord. Tout dépend du domaine où l'on se place. C'est sûr, les
informaticiens théoriques, ça fait marrer pas mal de monde (« qui a
besoin de théoriciens en informatique ? » est une phrase que je vois
formulée à demi-mots quand je parle de DEA/thèse en informatique).
N'empêche, je vois l'informatique théorique comme des mathématiques
pas comme mais c'est des mathematiques pas parce que les maths ça
fait serieux mais plutot parce que
allez plus simple
http://fr.wikipedia.org/wiki/Informatique_th%C3%A9orique#Th.C3.A9orie_des_langages
en gros c'est des maths qui ne font pas de bruit des maths discretes
Merci, je sais ce qu'est l'info théorique. Et non, du point de vue d'un
matheux, un vrai, il ne s'agit pas de maths. De même qu'utiliser des
outils mathématiques, aussi abstraits et difficiles à appréhender
soient-ils, en physique ne fait pas de la physique des « maths ».
J'ai eu l'occasion de lire quelques papiers de recherche dans des
domaines parfois très théoriques pour l'informatique cette année, et si
l'usage intensif des maths pouvait se lire à chaque page, il n'en reste
pas moins qu'à part certains cas particuliers (comme effectivement, la
théorique des langages), il s'agissait plus d'applications des maths
permettant de déduire certains résultats.
Cela dit je te l'accorde, j'ai eu l'occasion de vérifier que la
frontière est parfois floue entre mathématiques et informatique
théorique (je me souviens d'un cours de théorie des graphes cette année
où le prof s'arrête devant une assistance à moitié médusée, et dit que «
là je m'arrête, parce que si on va plus loin, ça devient de la théorie
des groupes »).
Que l'informatique théorique et les maths soient intimement liés est
pour moi une évidence. Maintenant ce qu'un infoteux appelle « maths »,
un matheux ne l'appelle pas. :-)
On Tue, 6 Jun 2006, remy wrote:Pas d'accord. Tout dépend du domaine où l'on se place. C'est sûr, les
informaticiens théoriques, ça fait marrer pas mal de monde (« qui a
besoin de théoriciens en informatique ? » est une phrase que je vois
formulée à demi-mots quand je parle de DEA/thèse en informatique).
N'empêche, je vois l'informatique théorique comme des mathématiques
pas comme mais c'est des mathematiques pas parce que les maths ça
fait serieux mais plutot parce que
allez plus simple
http://fr.wikipedia.org/wiki/Informatique_th%C3%A9orique#Th.C3.A9orie_des_langages
en gros c'est des maths qui ne font pas de bruit des maths discretes
Merci, je sais ce qu'est l'info théorique. Et non, du point de vue d'un
matheux, un vrai, il ne s'agit pas de maths. De même qu'utiliser des
outils mathématiques, aussi abstraits et difficiles à appréhender
soient-ils, en physique ne fait pas de la physique des « maths ».
J'ai eu l'occasion de lire quelques papiers de recherche dans des
domaines parfois très théoriques pour l'informatique cette année, et si
l'usage intensif des maths pouvait se lire à chaque page, il n'en reste
pas moins qu'à part certains cas particuliers (comme effectivement, la
théorique des langages), il s'agissait plus d'applications des maths
permettant de déduire certains résultats.
Cela dit je te l'accorde, j'ai eu l'occasion de vérifier que la
frontière est parfois floue entre mathématiques et informatique
théorique (je me souviens d'un cours de théorie des graphes cette année
où le prof s'arrête devant une assistance à moitié médusée, et dit que «
là je m'arrête, parce que si on va plus loin, ça devient de la théorie
des groupes »).
Que l'informatique théorique et les maths soient intimement liés est
pour moi une évidence. Maintenant ce qu'un infoteux appelle « maths »,
un matheux ne l'appelle pas. :-)
SL wrote:
Désolé je ne demande qu'à m'intéresser au sujet mais à chaque fois que
j'entend parler d'effondrement du niveau c'est tellement bistrotier et
sans le moindre raisonnement ayant l'apparence du sérieux que ça me
démotive. Par exemple, il faudrait prendre en compte au moins qu'en
élargissant la part de la population qui accède au diplôme, on l'étend
socialement vers le bas (c'était les classes aisées qui passait le bac
quand seuls 30 % y avait accès ; fatalement, la proportion de classes
laborieuses dans les effectifs des candidats au bacalauréat a
augementé quand 80 % d'une classe d'âge est concerné).
On a beau jeu de goiser que les bacheliers n'ont plus la même
orthographe en 2006 qu'en 1930, alors que dans le second cas seuls les
fils de notables, qui vivait dans un univers lettré, passait le bac,
tandis que dans le premier cas, on ammène au bac des juens gens dont
l'univers culturel est absolument sinistré !
Donc, déjà, quand on parle de baisse du niveau du bac, il faudrait
pondérer avec la baisse de l'aide que représentait l'origine sociale
des candidats.
Il y a des milliers de choses de cette ordre qui font que les
considérations sur le "niveau" du bac à coup d'annecdotes édifiantes
sont oiseuses.n'est pas content il n'a qu'à s'adapter, et d'ailleurs le peu que j'en
Ben, tiens. T'iras dire ça aux patrons, ils vont rigoler 5 minutes. Tu
sais ça ne manque pas de gens dans les pays de l'est qui ont, eux, un bon
niveau scolaire, sans parler de l'Inde et de la Chine.
Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.sais sur ce sujet suffit à me convaincre que ce sont des conneries
monumentales de dire que ça pose un problème économique, alors que
toute notre économie repose sur une main d'oeuvre ayant cette
qualification.
Que tu crois. En fait c'est une immense escroquerie.
Et bien j'en crois rien.Il y a tout autant besoin de gens qui posent des parpaings ou des
poutres, qui ramassent les poubelles et tuti quanti.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
industrielle. A moins que vous ayez de solides arguments
naturellement. Il y a toujours besoin de gens pour construire les
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Une fois que tu as convaincu un gros lourdeaud qu'il devait avoir un
poste d'intellectuel parcequ'il a eu son bac à 23 ans, ça devient
trés difficile de lui faire porter des sacs de ciment.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés.
Je vois pas ce que peut faire contre ce "fait" (pour vous prendre par les
sentiments) cette édifiante parabole du copain qui veut pas porter des
sacs de ciment (d'ailleurs je le comprends).Ton copain Allègre, socialiste bon teint, et même pourfendeur de
Ségolène ne disait pas autre chose dans son article du Monde que
j'ai cité il y a quelque temps. "On a découvert que les bacheliers
ne voulaient pas devenir ouvriers". Et oui, il aurait pu y penser
avant, s'il avait consenti à réfléchir à des problèmes élémentaires
au lieu d'avoir un avis sur tout.
Vous en revenez à vos obsessions :-)
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Désolé je ne demande qu'à m'intéresser au sujet mais à chaque fois que
j'entend parler d'effondrement du niveau c'est tellement bistrotier et
sans le moindre raisonnement ayant l'apparence du sérieux que ça me
démotive. Par exemple, il faudrait prendre en compte au moins qu'en
élargissant la part de la population qui accède au diplôme, on l'étend
socialement vers le bas (c'était les classes aisées qui passait le bac
quand seuls 30 % y avait accès ; fatalement, la proportion de classes
laborieuses dans les effectifs des candidats au bacalauréat a
augementé quand 80 % d'une classe d'âge est concerné).
On a beau jeu de goiser que les bacheliers n'ont plus la même
orthographe en 2006 qu'en 1930, alors que dans le second cas seuls les
fils de notables, qui vivait dans un univers lettré, passait le bac,
tandis que dans le premier cas, on ammène au bac des juens gens dont
l'univers culturel est absolument sinistré !
Donc, déjà, quand on parle de baisse du niveau du bac, il faudrait
pondérer avec la baisse de l'aide que représentait l'origine sociale
des candidats.
Il y a des milliers de choses de cette ordre qui font que les
considérations sur le "niveau" du bac à coup d'annecdotes édifiantes
sont oiseuses.
n'est pas content il n'a qu'à s'adapter, et d'ailleurs le peu que j'en
Ben, tiens. T'iras dire ça aux patrons, ils vont rigoler 5 minutes. Tu
sais ça ne manque pas de gens dans les pays de l'est qui ont, eux, un bon
niveau scolaire, sans parler de l'Inde et de la Chine.
Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.
sais sur ce sujet suffit à me convaincre que ce sont des conneries
monumentales de dire que ça pose un problème économique, alors que
toute notre économie repose sur une main d'oeuvre ayant cette
qualification.
Que tu crois. En fait c'est une immense escroquerie.
Et bien j'en crois rien.
Il y a tout autant besoin de gens qui posent des parpaings ou des
poutres, qui ramassent les poubelles et tuti quanti.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
industrielle. A moins que vous ayez de solides arguments
naturellement. Il y a toujours besoin de gens pour construire les
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Une fois que tu as convaincu un gros lourdeaud qu'il devait avoir un
poste d'intellectuel parcequ'il a eu son bac à 23 ans, ça devient
trés difficile de lui faire porter des sacs de ciment.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés.
Je vois pas ce que peut faire contre ce "fait" (pour vous prendre par les
sentiments) cette édifiante parabole du copain qui veut pas porter des
sacs de ciment (d'ailleurs je le comprends).
Ton copain Allègre, socialiste bon teint, et même pourfendeur de
Ségolène ne disait pas autre chose dans son article du Monde que
j'ai cité il y a quelque temps. "On a découvert que les bacheliers
ne voulaient pas devenir ouvriers". Et oui, il aurait pu y penser
avant, s'il avait consenti à réfléchir à des problèmes élémentaires
au lieu d'avoir un avis sur tout.
Vous en revenez à vos obsessions :-)
SL wrote:
Désolé je ne demande qu'à m'intéresser au sujet mais à chaque fois que
j'entend parler d'effondrement du niveau c'est tellement bistrotier et
sans le moindre raisonnement ayant l'apparence du sérieux que ça me
démotive. Par exemple, il faudrait prendre en compte au moins qu'en
élargissant la part de la population qui accède au diplôme, on l'étend
socialement vers le bas (c'était les classes aisées qui passait le bac
quand seuls 30 % y avait accès ; fatalement, la proportion de classes
laborieuses dans les effectifs des candidats au bacalauréat a
augementé quand 80 % d'une classe d'âge est concerné).
On a beau jeu de goiser que les bacheliers n'ont plus la même
orthographe en 2006 qu'en 1930, alors que dans le second cas seuls les
fils de notables, qui vivait dans un univers lettré, passait le bac,
tandis que dans le premier cas, on ammène au bac des juens gens dont
l'univers culturel est absolument sinistré !
Donc, déjà, quand on parle de baisse du niveau du bac, il faudrait
pondérer avec la baisse de l'aide que représentait l'origine sociale
des candidats.
Il y a des milliers de choses de cette ordre qui font que les
considérations sur le "niveau" du bac à coup d'annecdotes édifiantes
sont oiseuses.n'est pas content il n'a qu'à s'adapter, et d'ailleurs le peu que j'en
Ben, tiens. T'iras dire ça aux patrons, ils vont rigoler 5 minutes. Tu
sais ça ne manque pas de gens dans les pays de l'est qui ont, eux, un bon
niveau scolaire, sans parler de l'Inde et de la Chine.
Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.sais sur ce sujet suffit à me convaincre que ce sont des conneries
monumentales de dire que ça pose un problème économique, alors que
toute notre économie repose sur une main d'oeuvre ayant cette
qualification.
Que tu crois. En fait c'est une immense escroquerie.
Et bien j'en crois rien.Il y a tout autant besoin de gens qui posent des parpaings ou des
poutres, qui ramassent les poubelles et tuti quanti.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
industrielle. A moins que vous ayez de solides arguments
naturellement. Il y a toujours besoin de gens pour construire les
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Une fois que tu as convaincu un gros lourdeaud qu'il devait avoir un
poste d'intellectuel parcequ'il a eu son bac à 23 ans, ça devient
trés difficile de lui faire porter des sacs de ciment.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés.
Je vois pas ce que peut faire contre ce "fait" (pour vous prendre par les
sentiments) cette édifiante parabole du copain qui veut pas porter des
sacs de ciment (d'ailleurs je le comprends).Ton copain Allègre, socialiste bon teint, et même pourfendeur de
Ségolène ne disait pas autre chose dans son article du Monde que
j'ai cité il y a quelque temps. "On a découvert que les bacheliers
ne voulaient pas devenir ouvriers". Et oui, il aurait pu y penser
avant, s'il avait consenti à réfléchir à des problèmes élémentaires
au lieu d'avoir un avis sur tout.
Vous en revenez à vos obsessions :-)
On 2006-06-06, SL wrote:Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.
Je vois pas la relation en A et B.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
La France "fait son beurre". Vu le nombre de mecs qui crevent de
froid en hiver et de faim le reste de l'annee,
vu le taux de chomage, le decallage complet entre les
infrastructures et les besoins reels ... vu tout ca et un grand
nombre de chose, j'ai plus l'impression que la France creuse son
trou plutot que fait son beurre.
Mais tu as peut etre des elements concrets (ca nous changerait).
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Ah d'accord, ils devaient etre la les mecs qui crevent de faim
aujourd'hui.
C'est meme plus de l'elitisme, c'est de l'eugenisme.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait
est que le chômage se concentre sur les personnes les moins
diplômés. Je
Tu as des sources a citer ?
On 2006-06-06, SL <nospam@nospam.com> wrote:
Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.
Je vois pas la relation en A et B.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
La France "fait son beurre". Vu le nombre de mecs qui crevent de
froid en hiver et de faim le reste de l'annee,
vu le taux de chomage, le decallage complet entre les
infrastructures et les besoins reels ... vu tout ca et un grand
nombre de chose, j'ai plus l'impression que la France creuse son
trou plutot que fait son beurre.
Mais tu as peut etre des elements concrets (ca nous changerait).
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Ah d'accord, ils devaient etre la les mecs qui crevent de faim
aujourd'hui.
C'est meme plus de l'elitisme, c'est de l'eugenisme.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait
est que le chômage se concentre sur les personnes les moins
diplômés. Je
Tu as des sources a citer ?
On 2006-06-06, SL wrote:Certes. Mais enfin l'éducation je trouve que c'est un objectif
politique en soi. Sinon, à quoi bon s'emmerder avec cette connerie de
démocratie.
Je vois pas la relation en A et B.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
La France "fait son beurre". Vu le nombre de mecs qui crevent de
froid en hiver et de faim le reste de l'annee,
vu le taux de chomage, le decallage complet entre les
infrastructures et les besoins reels ... vu tout ca et un grand
nombre de chose, j'ai plus l'impression que la France creuse son
trou plutot que fait son beurre.
Mais tu as peut etre des elements concrets (ca nous changerait).
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
Ah d'accord, ils devaient etre la les mecs qui crevent de faim
aujourd'hui.
C'est meme plus de l'elitisme, c'est de l'eugenisme.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait
est que le chômage se concentre sur les personnes les moins
diplômés. Je
Tu as des sources a citer ?
si l'univers culturel de "juens" est sinistré, c'est leur faute à eux en
premier ! de LEUR temps, les livres sont gratuits, il suffir d'aller à la
bibliothèque municipale ; personne ne leur a jamais interdit de lire !
je ne suis pas d'accord l'univers culturel de jeunes n'est pas
si l'univers culturel de "juens" est sinistré, c'est leur faute à eux en
premier ! de LEUR temps, les livres sont gratuits, il suffir d'aller à la
bibliothèque municipale ; personne ne leur a jamais interdit de lire !
je ne suis pas d'accord l'univers culturel de jeunes n'est pas
si l'univers culturel de "juens" est sinistré, c'est leur faute à eux en
premier ! de LEUR temps, les livres sont gratuits, il suffir d'aller à la
bibliothèque municipale ; personne ne leur a jamais interdit de lire !
je ne suis pas d'accord l'univers culturel de jeunes n'est pas
SL wrote:SL wrote:Désolé je ne demande qu'à m'intéresser au sujet mais à chaque fois que
j'entend parler d'effondrement du niveau c'est tellement bistrotier et
sans le moindre raisonnement ayant l'apparence du sérieux que ça me
démotive. Par exemple, il faudrait prendre en compte au moins qu'en
élargissant la part de la population qui accède au diplôme, on l'étend
socialement vers le bas (c'était les classes aisées qui passait le bac
quand seuls 30 % y avait accès ; fatalement, la proportion de classes
laborieuses dans les effectifs des candidats au bacalauréat a
augementé quand 80 % d'une classe d'âge est concerné).
Pétition de principe idéologique, et historiquement FAUSSE !
Contrairement aux légendes socio-psycho-politiques, il est
totalement démontré que cette affirmation "évidente et de bon sens"
est contredite par les faits.
Les analyses très détaillées des archives scolaires démontrent que si,
effectivement, ce que tu appelles "les classes laborieuses"
(les autres n'ont jamais travaillé, bien sûr) étaient
proportionnellement moins présentes au niveau du bac, la différence
avec les "classes aisées" était beaucoup plus faible que la
différence "démographique".
tu oublies vraiment trop vite la puissance et l'efficacité du
"moteur" qu'ont été l'instruction primaire et ses instituteurs, les
bourses, les écoles normales, etc
On a beau jeu de goiser que les bacheliers n'ont plus la même
orthographe en 2006 qu'en 1930, alors que dans le second cas seuls
les fils de notables, qui vivait dans un univers lettré, passait le
bac, tandis que dans le premier cas, on ammène au bac des juens
gens dont l'univers culturel est absolument sinistré !
c'est absolument faux !
tu prends vraiment nos ancêtres pour des pithécanthropes !
je conserve soigneusement les journaux d'heures, les lettres, les
adresses, etc, de mes "ancêtres", qui étaient de modestes paysans du
fin fond du Languedoc : pas un d'jeun sur cent n'est plus capable
aujourd'hui d'écrire comme eux un français (et un occitan) aussi
simple et élégant, sans faute ni de syntaxe ni d'orthographe ! et
mes "gran" n'étaient pas les seuls : les autres du village faisaient
de même.
si l'univers culturel de "juens" est sinistré, c'est leur faute à
eux en premier ! de LEUR temps, les livres sont gratuits, il suffir
d'aller à la bibliothèque municipale ; personne ne leur a jamais
interdit de lire !
Donc, déjà, quand on parle de baisse du niveau du bac, il faudrait
pondérer avec la baisse de l'aide que représentait l'origine
sociale des candidats.
En suivant ta chimère, plus on est pauvre, plus on est con !
Serais-tu toi-même capable de réussir, avec ta science
encyclopédique, le certificat d'études primaires de 1910 ? j'en
doute !
j'ai lu les copies du certif' de 1910 à Langogne (en Lozère, c'est
au nord du sahara), que des enfants de paysans et d'artisans
vraiment pauvres ; je connais peu de bacheliers qui dépasseraient
0,5 .... et pas seulement en orthographe ....
Il y a tout autant besoin de gens qui posent des parpaings ou des
poutres, qui ramassent les poubelles et tuti quanti.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
industrielle. A moins que vous ayez de solides arguments
naturellement. Il y a toujours besoin de gens pour construire les
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
que l'industrie n'aie plus besoin de milliers de manoeuvres, c'est
une évidence ! mais aujourd'hui, un ouvrier c'est un pilote de
machine numérique, et là, il faut des connaissances, et pas
seulement "appuyer sur le bouton vert". si tu avais mis les pieds
une seule fois dans un véritable atelier industriel, tu ne pourrais
plus dire ce genre de choses.
Une fois que tu as convaincu un gros lourdeaud qu'il devait avoir un
poste d'intellectuel parcequ'il a eu son bac à 23 ans, ça devient
trés difficile de lui faire porter des sacs de ciment.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés.
et les diplômés de psycho-socio-docto... c'est pas au chômage ?
SL wrote:
SL <nospam@nospam.com> wrote:
Désolé je ne demande qu'à m'intéresser au sujet mais à chaque fois que
j'entend parler d'effondrement du niveau c'est tellement bistrotier et
sans le moindre raisonnement ayant l'apparence du sérieux que ça me
démotive. Par exemple, il faudrait prendre en compte au moins qu'en
élargissant la part de la population qui accède au diplôme, on l'étend
socialement vers le bas (c'était les classes aisées qui passait le bac
quand seuls 30 % y avait accès ; fatalement, la proportion de classes
laborieuses dans les effectifs des candidats au bacalauréat a
augementé quand 80 % d'une classe d'âge est concerné).
Pétition de principe idéologique, et historiquement FAUSSE !
Contrairement aux légendes socio-psycho-politiques, il est
totalement démontré que cette affirmation "évidente et de bon sens"
est contredite par les faits.
Les analyses très détaillées des archives scolaires démontrent que si,
effectivement, ce que tu appelles "les classes laborieuses"
(les autres n'ont jamais travaillé, bien sûr) étaient
proportionnellement moins présentes au niveau du bac, la différence
avec les "classes aisées" était beaucoup plus faible que la
différence "démographique".
tu oublies vraiment trop vite la puissance et l'efficacité du
"moteur" qu'ont été l'instruction primaire et ses instituteurs, les
bourses, les écoles normales, etc
On a beau jeu de goiser que les bacheliers n'ont plus la même
orthographe en 2006 qu'en 1930, alors que dans le second cas seuls
les fils de notables, qui vivait dans un univers lettré, passait le
bac, tandis que dans le premier cas, on ammène au bac des juens
gens dont l'univers culturel est absolument sinistré !
c'est absolument faux !
tu prends vraiment nos ancêtres pour des pithécanthropes !
je conserve soigneusement les journaux d'heures, les lettres, les
adresses, etc, de mes "ancêtres", qui étaient de modestes paysans du
fin fond du Languedoc : pas un d'jeun sur cent n'est plus capable
aujourd'hui d'écrire comme eux un français (et un occitan) aussi
simple et élégant, sans faute ni de syntaxe ni d'orthographe ! et
mes "gran" n'étaient pas les seuls : les autres du village faisaient
de même.
si l'univers culturel de "juens" est sinistré, c'est leur faute à
eux en premier ! de LEUR temps, les livres sont gratuits, il suffir
d'aller à la bibliothèque municipale ; personne ne leur a jamais
interdit de lire !
Donc, déjà, quand on parle de baisse du niveau du bac, il faudrait
pondérer avec la baisse de l'aide que représentait l'origine
sociale des candidats.
En suivant ta chimère, plus on est pauvre, plus on est con !
Serais-tu toi-même capable de réussir, avec ta science
encyclopédique, le certificat d'études primaires de 1910 ? j'en
doute !
j'ai lu les copies du certif' de 1910 à Langogne (en Lozère, c'est
au nord du sahara), que des enfants de paysans et d'artisans
vraiment pauvres ; je connais peu de bacheliers qui dépasseraient
0,5 .... et pas seulement en orthographe ....
Il y a tout autant besoin de gens qui posent des parpaings ou des
poutres, qui ramassent les poubelles et tuti quanti.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
industrielle. A moins que vous ayez de solides arguments
naturellement. Il y a toujours besoin de gens pour construire les
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
que l'industrie n'aie plus besoin de milliers de manoeuvres, c'est
une évidence ! mais aujourd'hui, un ouvrier c'est un pilote de
machine numérique, et là, il faut des connaissances, et pas
seulement "appuyer sur le bouton vert". si tu avais mis les pieds
une seule fois dans un véritable atelier industriel, tu ne pourrais
plus dire ce genre de choses.
Une fois que tu as convaincu un gros lourdeaud qu'il devait avoir un
poste d'intellectuel parcequ'il a eu son bac à 23 ans, ça devient
trés difficile de lui faire porter des sacs de ciment.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés.
et les diplômés de psycho-socio-docto... c'est pas au chômage ?
SL wrote:SL wrote:Désolé je ne demande qu'à m'intéresser au sujet mais à chaque fois que
j'entend parler d'effondrement du niveau c'est tellement bistrotier et
sans le moindre raisonnement ayant l'apparence du sérieux que ça me
démotive. Par exemple, il faudrait prendre en compte au moins qu'en
élargissant la part de la population qui accède au diplôme, on l'étend
socialement vers le bas (c'était les classes aisées qui passait le bac
quand seuls 30 % y avait accès ; fatalement, la proportion de classes
laborieuses dans les effectifs des candidats au bacalauréat a
augementé quand 80 % d'une classe d'âge est concerné).
Pétition de principe idéologique, et historiquement FAUSSE !
Contrairement aux légendes socio-psycho-politiques, il est
totalement démontré que cette affirmation "évidente et de bon sens"
est contredite par les faits.
Les analyses très détaillées des archives scolaires démontrent que si,
effectivement, ce que tu appelles "les classes laborieuses"
(les autres n'ont jamais travaillé, bien sûr) étaient
proportionnellement moins présentes au niveau du bac, la différence
avec les "classes aisées" était beaucoup plus faible que la
différence "démographique".
tu oublies vraiment trop vite la puissance et l'efficacité du
"moteur" qu'ont été l'instruction primaire et ses instituteurs, les
bourses, les écoles normales, etc
On a beau jeu de goiser que les bacheliers n'ont plus la même
orthographe en 2006 qu'en 1930, alors que dans le second cas seuls
les fils de notables, qui vivait dans un univers lettré, passait le
bac, tandis que dans le premier cas, on ammène au bac des juens
gens dont l'univers culturel est absolument sinistré !
c'est absolument faux !
tu prends vraiment nos ancêtres pour des pithécanthropes !
je conserve soigneusement les journaux d'heures, les lettres, les
adresses, etc, de mes "ancêtres", qui étaient de modestes paysans du
fin fond du Languedoc : pas un d'jeun sur cent n'est plus capable
aujourd'hui d'écrire comme eux un français (et un occitan) aussi
simple et élégant, sans faute ni de syntaxe ni d'orthographe ! et
mes "gran" n'étaient pas les seuls : les autres du village faisaient
de même.
si l'univers culturel de "juens" est sinistré, c'est leur faute à
eux en premier ! de LEUR temps, les livres sont gratuits, il suffir
d'aller à la bibliothèque municipale ; personne ne leur a jamais
interdit de lire !
Donc, déjà, quand on parle de baisse du niveau du bac, il faudrait
pondérer avec la baisse de l'aide que représentait l'origine
sociale des candidats.
En suivant ta chimère, plus on est pauvre, plus on est con !
Serais-tu toi-même capable de réussir, avec ta science
encyclopédique, le certificat d'études primaires de 1910 ? j'en
doute !
j'ai lu les copies du certif' de 1910 à Langogne (en Lozère, c'est
au nord du sahara), que des enfants de paysans et d'artisans
vraiment pauvres ; je connais peu de bacheliers qui dépasseraient
0,5 .... et pas seulement en orthographe ....
Il y a tout autant besoin de gens qui posent des parpaings ou des
poutres, qui ramassent les poubelles et tuti quanti.
Non, il y en a moins besoin maintenant que la France fait son beurre
avec une industrie de services, que avant où elle avait une économie
industrielle. A moins que vous ayez de solides arguments
naturellement. Il y a toujours besoin de gens pour construire les
maisons, bien entendu. Mais il n'y a plus besoin de millier de
manoeuvres à l'usine Citroën de Clichy ou à l'usine Renault de
Boulogne, ou de mineurs dans le Nord, etc.
que l'industrie n'aie plus besoin de milliers de manoeuvres, c'est
une évidence ! mais aujourd'hui, un ouvrier c'est un pilote de
machine numérique, et là, il faut des connaissances, et pas
seulement "appuyer sur le bouton vert". si tu avais mis les pieds
une seule fois dans un véritable atelier industriel, tu ne pourrais
plus dire ce genre de choses.
Une fois que tu as convaincu un gros lourdeaud qu'il devait avoir un
poste d'intellectuel parcequ'il a eu son bac à 23 ans, ça devient
trés difficile de lui faire porter des sacs de ciment.
Je crois que c'est pas vraiment comme ça que ça se pose. Le fait est
que le chômage se concentre sur les personnes les moins diplômés.
et les diplômés de psycho-socio-docto... c'est pas au chômage ?
Michel, tu as raison (stop, rectif : je partage ton avis ...),
mais tu as mal choisi les exemples :
William Gates est né avec la 4° fortune des USA, il n'a jamais rien
programmé de sa vie, mais il a eu le savoir-faire financier de renifler les
bons coups et de les acheter pas cher et avant les autres (exemples ,
MS-Basic, DOS, etc)
Steve Jobs et Wozniak étaient universitaires quand ils ont bricolé leur
premier apple,
et linux, c'est la thèse de doctorat de Linus à Darmstatt, qu'il a obtenue
avec la mention "maximus honoris" ...
Michel, tu as raison (stop, rectif : je partage ton avis ...),
mais tu as mal choisi les exemples :
William Gates est né avec la 4° fortune des USA, il n'a jamais rien
programmé de sa vie, mais il a eu le savoir-faire financier de renifler les
bons coups et de les acheter pas cher et avant les autres (exemples ,
MS-Basic, DOS, etc)
Steve Jobs et Wozniak étaient universitaires quand ils ont bricolé leur
premier apple,
et linux, c'est la thèse de doctorat de Linus à Darmstatt, qu'il a obtenue
avec la mention "maximus honoris" ...
Michel, tu as raison (stop, rectif : je partage ton avis ...),
mais tu as mal choisi les exemples :
William Gates est né avec la 4° fortune des USA, il n'a jamais rien
programmé de sa vie, mais il a eu le savoir-faire financier de renifler les
bons coups et de les acheter pas cher et avant les autres (exemples ,
MS-Basic, DOS, etc)
Steve Jobs et Wozniak étaient universitaires quand ils ont bricolé leur
premier apple,
et linux, c'est la thèse de doctorat de Linus à Darmstatt, qu'il a obtenue
avec la mention "maximus honoris" ...
et linux, c'est la thèse de doctorat de Linus à Darmstatt, qu'il a obtenue
avec la mention "maximus honoris" ...
et linux, c'est la thèse de doctorat de Linus à Darmstatt, qu'il a obtenue
avec la mention "maximus honoris" ...
et linux, c'est la thèse de doctorat de Linus à Darmstatt, qu'il a obtenue
avec la mention "maximus honoris" ...