J'ai essayé de faire une recopie d'écran avec les touches
Commande-majuscule-3. Cela donne un document au format pdf de 544 ko
environ. Là où c'est drôle c'est que j'ai un écran de 1280 x 1024
pixels, or à l'ouverture dans GraphicCinverter je trouve une image de,
tenez-vous bien, 5 333 x 4 226 points qui occupe en mémoire 86 Mo et qui
est à 300 ppi. Les singes ont encore frappé !
In article <1hlcnqm.plkvig1ppc46sN%, (ric zito) wrote:
François Jacquemin wrote:
Je considère l'ordinateur comme un outil. Je travaille à l'aide d'un outil ou je joue avec un jouet. Si je suis *sur* Mac, je n'ai pas la même sensation que sur la selle de mon vélo. Quoi que... j'ai les fesses sur un fauteuil et que mes yeux sont au niveau du haut de l'écran.
Voilà qui est parler ! À la vérité, tous ces "sous" et "sur" résultent d'une infiltration insidieuse de l'anglais dans notre langue. En français, on ne travaille pas sur un rabot, ou sous cuisine. On n'est pas sous saignée ou sous sulfamides. La langue familière d'alors disait : « il m'a mis à la saignée », « le docteur m'a donné des sulfamides ». Mais l'anglais, qui s'infiltre sans résistance par la langue médicale et sa vulgarisation consécutive, nous a mis sous antibiotiques, sous cortisone, et la novlangue informatique a pu continuer sans rencontrer d'obstacle.
Hmm. Je crois que tu te trompes.
"I work ON a Mac" (sur) "I have Photoshop CS2 running ON OS X" (sur) "I'm ON antibiotics" (sur) "The doctor put me ON a course of vitamins" (sur)
In article <1hlcnqm.plkvig1ppc46sN%address@in.sig>,
address@in.sig (ric zito) wrote:
François Jacquemin <francois.jacquemin@free.fr> wrote:
Je considère l'ordinateur comme un outil.
Je travaille à l'aide d'un outil ou je joue avec un jouet.
Si je suis *sur* Mac, je n'ai pas la même sensation que sur la selle de
mon vélo. Quoi que... j'ai les fesses sur un fauteuil et que mes yeux
sont au niveau du haut de l'écran.
Voilà qui est parler ! À la vérité, tous ces "sous" et "sur" résultent
d'une infiltration insidieuse de l'anglais dans notre langue. En
français, on ne travaille pas sur un rabot, ou sous cuisine. On n'est
pas sous saignée ou sous sulfamides. La langue familière d'alors
disait : « il m'a mis à la saignée », « le docteur m'a donné des
sulfamides ». Mais l'anglais, qui s'infiltre sans résistance par la
langue médicale et sa vulgarisation consécutive, nous a mis sous
antibiotiques, sous cortisone, et la novlangue informatique a pu
continuer sans rencontrer d'obstacle.
Hmm. Je crois que tu te trompes.
"I work ON a Mac" (sur)
"I have Photoshop CS2 running ON OS X" (sur)
"I'm ON antibiotics" (sur)
"The doctor put me ON a course of vitamins" (sur)
In article <1hlcnqm.plkvig1ppc46sN%, (ric zito) wrote:
François Jacquemin wrote:
Je considère l'ordinateur comme un outil. Je travaille à l'aide d'un outil ou je joue avec un jouet. Si je suis *sur* Mac, je n'ai pas la même sensation que sur la selle de mon vélo. Quoi que... j'ai les fesses sur un fauteuil et que mes yeux sont au niveau du haut de l'écran.
Voilà qui est parler ! À la vérité, tous ces "sous" et "sur" résultent d'une infiltration insidieuse de l'anglais dans notre langue. En français, on ne travaille pas sur un rabot, ou sous cuisine. On n'est pas sous saignée ou sous sulfamides. La langue familière d'alors disait : « il m'a mis à la saignée », « le docteur m'a donné des sulfamides ». Mais l'anglais, qui s'infiltre sans résistance par la langue médicale et sa vulgarisation consécutive, nous a mis sous antibiotiques, sous cortisone, et la novlangue informatique a pu continuer sans rencontrer d'obstacle.
Hmm. Je crois que tu te trompes.
"I work ON a Mac" (sur) "I have Photoshop CS2 running ON OS X" (sur) "I'm ON antibiotics" (sur) "The doctor put me ON a course of vitamins" (sur)