ça me fait penser à ces artistes qui vont visiter diverses tribus
lui est allé en Inde, facile parce que les gens ne sont pas hostiles
s'il faut nous montrer une fois de plus la misère qui y règne, c'est
fait, et de plus quand on sait qu'une partie importante des récoltes
pourrit sur place faute de logistique...
près il nous dit qu'il retourne faire des bises dans les salons
parisiens, en plus de " grand reporter " il fait de la mode, divers
shooting et ne se remet pas de ce qu'il est allé photogrpahier ?
j'i vraiment du mal à supporter ce discours.
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité. Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa. Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes qu'affronte ce pays. Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras. N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100 roupies. J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus volontiers de l'argent ainsi.
Et le marché des histoires éculées sordides à présenter comme ayant été vécues, il est où ?
Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle se lave avant. Bienvenue en Inde.
Pauvre con...
-- Pierre Maurette
Henri de Lagardère :
Ghost-Raider a écrit :
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité.
Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique
dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa.
Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes
qu'affronte ce pays.
Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal
d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour
susciter la charité.
Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a
abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras.
N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100
roupies.
J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en
location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus
volontiers de l'argent ainsi.
Et le marché des histoires éculées sordides à présenter comme ayant été
vécues, il est où ?
Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de
mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle
se lave avant.
Bienvenue en Inde.
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité. Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa. Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes qu'affronte ce pays. Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras. N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100 roupies. J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus volontiers de l'argent ainsi.
Et le marché des histoires éculées sordides à présenter comme ayant été vécues, il est où ?
Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle se lave avant. Bienvenue en Inde.
Pauvre con...
-- Pierre Maurette
Ricco
Henri de Lagardère avait prétendu :
Ghost-Raider a écrit :
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité. Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa. Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes qu'affronte ce pays. Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras. N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100 roupies. J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus volontiers de l'argent ainsi. Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle se lave avant. Bienvenue en Inde.
le pire c'est qu'il est possible que ce soit vrai
Henri de Lagardère avait prétendu :
Ghost-Raider a écrit :
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité.
Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique
dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa.
Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes
qu'affronte ce pays.
Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal
d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour
susciter la charité.
Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a
abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras.
N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100
roupies.
J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en
location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus
volontiers de l'argent ainsi.
Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de
mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle
se lave avant.
Bienvenue en Inde.
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité. Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa. Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes qu'affronte ce pays. Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras. N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100 roupies. J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus volontiers de l'argent ainsi. Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle se lave avant. Bienvenue en Inde.
le pire c'est qu'il est possible que ce soit vrai
Henri de Lagardère
Pierre Maurette a écrit :
Henri de Lagardère :
Ghost-Raider a écrit :
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité. Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa. Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes qu'affronte ce pays. Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras. N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100 roupies. J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus volontiers de l'argent ainsi.
Et le marché des histoires éculées sordides à présenter comme ayant été vécues, il est où ?
DTC
Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle se lave avant. Bienvenue en Inde.
Pauvre con...
Le sien, oui.
-- Si tu ne viens pas à Lagardère ...
Pierre Maurette a écrit :
Henri de Lagardère :
Ghost-Raider a écrit :
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité.
Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique
dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa.
Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des
problèmes qu'affronte ce pays.
Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal
d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour
susciter la charité.
Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a
abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras.
N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de
100 roupies.
J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en
location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus
volontiers de l'argent ainsi.
Et le marché des histoires éculées sordides à présenter comme ayant été
vécues, il est où ?
DTC
Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de
mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500,
elle se lave avant.
Bienvenue en Inde.
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité. Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa. Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes qu'affronte ce pays. Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras. N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100 roupies. J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus volontiers de l'argent ainsi.
Et le marché des histoires éculées sordides à présenter comme ayant été vécues, il est où ?
DTC
Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle se lave avant. Bienvenue en Inde.
Pauvre con...
Le sien, oui.
-- Si tu ne viens pas à Lagardère ...
Henri de Lagardère
Ricco a écrit :
Henri de Lagardère avait prétendu :
Ghost-Raider a écrit :
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité. Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa. Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes qu'affronte ce pays. Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras. N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100 roupies. J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus volontiers de l'argent ainsi. Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle se lave avant. Bienvenue en Inde.
le pire c'est qu'il est possible que ce soit vrai
C'est vrai et même édulcoré, hélas. On peut aussi aller en Inde pour voir les couleurs, sentir les odeurs des marchés, admirer des paysages uniques et discuter avec des gens particulièrement sympas, même s'ils ont une haine féroce des musulmans et que nombreux sont encore ceux qui restent bloqués dans leur système de castes. Les mendiants sont tous sans exception des intouchables.
-- Si tu ne viens pas à Lagardère ...
Ricco a écrit :
Henri de Lagardère avait prétendu :
Ghost-Raider a écrit :
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité.
Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique
dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa.
Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des
problèmes qu'affronte ce pays.
Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal
d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour
susciter la charité.
Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a
abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras.
N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de
100 roupies.
J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en
location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus
volontiers de l'argent ainsi.
Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de
mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500,
elle se lave avant.
Bienvenue en Inde.
le pire c'est qu'il est possible que ce soit vrai
C'est vrai et même édulcoré, hélas. On peut aussi aller en Inde pour
voir les couleurs, sentir les odeurs des marchés, admirer des paysages
uniques et discuter avec des gens particulièrement sympas, même s'ils
ont une haine féroce des musulmans et que nombreux sont encore ceux qui
restent bloqués dans leur système de castes.
Les mendiants sont tous sans exception des intouchables.
Le discours est quand même empreint d'une certaine sincérité. Il y a deux périodes distinctes dans les photos : la pauvreté endémique dans Calcutta d'abord qui introduit ensuite le mouroir de soeur Teresa. Bien sûr, ce n'est pas toute l'Inde mais on a une petite idée des problèmes qu'affronte ce pays. Et ce n'est pas que la pauvreté. On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
La première fois que j'ai atterri à Calcutta, une gamine de 13-14 ans m'a abordé devant l'aéroport en faisant la manche, un bébé mort dans les bras. N'ayant pas encore changé, je lui ai filé 1 euro. Ça fait un peu moins de 100 roupies. J'ai appris 2 jours après qu'il y avait un marché des bébés morts (en location à la 1/2 journée) parce que les braves gens donnaient plus volontiers de l'argent ainsi. Pour 200 roupies, tu peux aussi la photographier avec "son" bébé plein de mouches. Pour 300 roupies, elle suce, pour 400 tu la baises et pour 500, elle se lave avant. Bienvenue en Inde.
le pire c'est qu'il est possible que ce soit vrai
C'est vrai et même édulcoré, hélas. On peut aussi aller en Inde pour voir les couleurs, sentir les odeurs des marchés, admirer des paysages uniques et discuter avec des gens particulièrement sympas, même s'ils ont une haine féroce des musulmans et que nombreux sont encore ceux qui restent bloqués dans leur système de castes. Les mendiants sont tous sans exception des intouchables.
-- Si tu ne viens pas à Lagardère ...
Ghost-Raider
Le 31/03/2014 13:03, Elohan a écrit :
Il se trouve que Ghost-Raider a formulé :
On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
Une fiction ne montre rien du tout de probant. C'est même le meilleur moyen de colporter des légendes.
Ta réaction est rhétorique, il faut voir le réel. Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché des procès en mensonges. On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un tour sur le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des ragots.
Le 31/03/2014 13:03, Elohan a écrit :
Il se trouve que Ghost-Raider a formulé :
On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap
leur a été infligé volontairement pour susciter la charité.
Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
Une fiction ne montre rien du tout de probant. C'est même le meilleur
moyen de colporter des légendes.
Ta réaction est rhétorique, il faut voir le réel.
Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des
criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché des
procès en mensonges.
On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un tour
sur le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des ragots.
On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
Une fiction ne montre rien du tout de probant. C'est même le meilleur moyen de colporter des légendes.
Ta réaction est rhétorique, il faut voir le réel. Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché des procès en mensonges. On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un tour sur le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des ragots.
Elohan
Ghost-Raider avait soumis l'idée :
Le 31/03/2014 13:03, Elohan a écrit :
Il se trouve que Ghost-Raider a formulé :
On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
Une fiction ne montre rien du tout de probant. C'est même le meilleur moyen de colporter des légendes.
Ta réaction est rhétorique, il faut voir le réel. Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché des procès en mensonges.
Si aucun personne réelle n'est attaquée nominativement, il ne peut évidemment pas y avoir diffamation. Donc pas de risque de procès.
On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un tour sur le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des ragots.
Justement, où est-ce ? En espérant que que de telles horreurs n'existent pas.
Ghost-Raider avait soumis l'idée :
Le 31/03/2014 13:03, Elohan a écrit :
Il se trouve que Ghost-Raider a formulé :
On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap
leur a été infligé volontairement pour susciter la charité.
Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
Une fiction ne montre rien du tout de probant. C'est même le meilleur
moyen de colporter des légendes.
Ta réaction est rhétorique, il faut voir le réel.
Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des
criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché des
procès en mensonges.
Si aucun personne réelle n'est attaquée nominativement, il ne peut
évidemment pas y avoir diffamation. Donc pas de risque de procès.
On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un tour sur
le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des ragots.
Justement, où est-ce ?
En espérant que que de telles horreurs n'existent pas.
On voit ainsi dans ces photos pas mal d'estropiés dont le handicap leur a été infligé volontairement pour susciter la charité. Le film "Slumdog millionaire" en donne une idée.
Une fiction ne montre rien du tout de probant. C'est même le meilleur moyen de colporter des légendes.
Ta réaction est rhétorique, il faut voir le réel. Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché des procès en mensonges.
Si aucun personne réelle n'est attaquée nominativement, il ne peut évidemment pas y avoir diffamation. Donc pas de risque de procès.
On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un tour sur le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des ragots.
Justement, où est-ce ? En espérant que que de telles horreurs n'existent pas.
Elohan
Ricco a couché sur son écran :
Pierre Maurette avait prétendu :
Ricco :
on m'a transmis ça :
http://www.photo-mege.com/mother_teresa.html
ça me fait penser à ces artistes qui vont visiter diverses tribus lui est allé en Inde,
Il est revenu d'Inde, où il y était arrivé à pied, par la Chine.
on peut se tailler des " exploits " comme on veut, en Inde, tu fais des photos comme ça partout, hélas,
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde pour des raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens nettement plus sympas. Mais il appréhende d'y aller car il tombe à chaque fois malade. Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans les coins encore plus insalubres que la moyenne.
Ricco a couché sur son écran :
Pierre Maurette avait prétendu :
Ricco :
on m'a transmis ça :
http://www.photo-mege.com/mother_teresa.html
ça me fait penser à ces artistes qui vont visiter diverses tribus
lui est allé en Inde,
Il est revenu d'Inde, où il y était arrivé à pied, par la Chine.
on peut se tailler des " exploits " comme on veut, en Inde, tu fais des
photos comme ça partout, hélas,
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde
pour des raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens
nettement plus sympas. Mais il appréhende d'y aller car il tombe à
chaque fois malade.
Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans
les coins encore plus insalubres que la moyenne.
ça me fait penser à ces artistes qui vont visiter diverses tribus lui est allé en Inde,
Il est revenu d'Inde, où il y était arrivé à pied, par la Chine.
on peut se tailler des " exploits " comme on veut, en Inde, tu fais des photos comme ça partout, hélas,
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde pour des raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens nettement plus sympas. Mais il appréhende d'y aller car il tombe à chaque fois malade. Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans les coins encore plus insalubres que la moyenne.
Ricco
Elohan a pensé très fort :
Ricco a couché sur son écran :
Pierre Maurette avait prétendu :
Ricco :
on m'a transmis ça :
http://www.photo-mege.com/mother_teresa.html
ça me fait penser à ces artistes qui vont visiter diverses tribus lui est allé en Inde,
Il est revenu d'Inde, où il y était arrivé à pied, par la Chine.
on peut se tailler des " exploits " comme on veut, en Inde, tu fais des photos comme ça partout, hélas,
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde pour des raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens nettement plus sympas. Mais il appréhende d'y aller car il tombe à chaque fois malade. Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans les coins encore plus insalubres que la moyenne.
oui, mais on ne va pas décorer un photographe parce qu'il fait des photos, visiblement il ne s'est pas fait trucider.
Elohan a pensé très fort :
Ricco a couché sur son écran :
Pierre Maurette avait prétendu :
Ricco :
on m'a transmis ça :
http://www.photo-mege.com/mother_teresa.html
ça me fait penser à ces artistes qui vont visiter diverses tribus
lui est allé en Inde,
Il est revenu d'Inde, où il y était arrivé à pied, par la Chine.
on peut se tailler des " exploits " comme on veut, en Inde, tu fais des
photos comme ça partout, hélas,
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde pour des
raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens nettement plus sympas.
Mais il appréhende d'y aller car il tombe à chaque fois malade.
Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans les
coins encore plus insalubres que la moyenne.
oui, mais on ne va pas décorer un photographe parce qu'il fait des
photos, visiblement il ne s'est pas fait trucider.
ça me fait penser à ces artistes qui vont visiter diverses tribus lui est allé en Inde,
Il est revenu d'Inde, où il y était arrivé à pied, par la Chine.
on peut se tailler des " exploits " comme on veut, en Inde, tu fais des photos comme ça partout, hélas,
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde pour des raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens nettement plus sympas. Mais il appréhende d'y aller car il tombe à chaque fois malade. Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans les coins encore plus insalubres que la moyenne.
oui, mais on ne va pas décorer un photographe parce qu'il fait des photos, visiblement il ne s'est pas fait trucider.
Ghost-Raider
Le 31/03/2014 20:06, Elohan a écrit :
Ghost-Raider avait soumis l'idée :
Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché des procès en mensonges.
Si aucun personne réelle n'est attaquée nominativement, il ne peut évidemment pas y avoir diffamation. Donc pas de risque de procès.
Je voulais dire : la réaction des Indiens n'a pas été de dire : ces comportements sont faux ; ils n'ont pas été contestés. Ce qui est en revanche ressorti des réactions, c'est une certaine colère des habitants des bidonvilles d'être associés au chien, terme particulièrement injurieux pour eux, ce qui par contre-coup donne du crédit aux crimes dénoncés par le film.
On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un tour sur le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des ragots.
Justement, où est-ce ? En espérant que que de telles horreurs n'existent pas.
Ce qu'on connait effectivement bien plus largement que les estropiations d'enfants, ce sont les crimes d'honneur, les mariages forcés, la prostitution enfantine, l'esclavage d'enfants, les mutilations sexuelles, thèmes récurrents dans les rapports de l'UNICEF. Un lien parmi d'autres : http://www.dalitfreedom.org.au/trafficking/child-beggars.html
Le 31/03/2014 20:06, Elohan a écrit :
Ghost-Raider avait soumis l'idée :
Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des
criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché
des procès en mensonges.
Si aucun personne réelle n'est attaquée nominativement, il ne peut
évidemment pas y avoir diffamation. Donc pas de risque de procès.
Je voulais dire : la réaction des Indiens n'a pas été de dire : ces
comportements sont faux ; ils n'ont pas été contestés.
Ce qui est en revanche ressorti des réactions, c'est une certaine colère
des habitants des bidonvilles d'être associés au chien, terme
particulièrement injurieux pour eux, ce qui par contre-coup donne du
crédit aux crimes dénoncés par le film.
On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un
tour sur le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des
ragots.
Justement, où est-ce ?
En espérant que que de telles horreurs n'existent pas.
Ce qu'on connait effectivement bien plus largement que les estropiations
d'enfants, ce sont les crimes d'honneur, les mariages forcés, la
prostitution enfantine, l'esclavage d'enfants, les mutilations
sexuelles, thèmes récurrents dans les rapports de l'UNICEF.
Un lien parmi d'autres :
http://www.dalitfreedom.org.au/trafficking/child-beggars.html
Les passages précis du film où les amis de Jamal sont aveuglés par des criminels pour être des mendiants plus rentables n'ont pas déclenché des procès en mensonges.
Si aucun personne réelle n'est attaquée nominativement, il ne peut évidemment pas y avoir diffamation. Donc pas de risque de procès.
Je voulais dire : la réaction des Indiens n'a pas été de dire : ces comportements sont faux ; ils n'ont pas été contestés. Ce qui est en revanche ressorti des réactions, c'est une certaine colère des habitants des bidonvilles d'être associés au chien, terme particulièrement injurieux pour eux, ce qui par contre-coup donne du crédit aux crimes dénoncés par le film.
On peut avoir une idée de la réalité de leur vie en allant faire un tour sur le site de l'UNICEF, qui n'est pas réputé pour colporter des ragots.
Justement, où est-ce ? En espérant que que de telles horreurs n'existent pas.
Ce qu'on connait effectivement bien plus largement que les estropiations d'enfants, ce sont les crimes d'honneur, les mariages forcés, la prostitution enfantine, l'esclavage d'enfants, les mutilations sexuelles, thèmes récurrents dans les rapports de l'UNICEF. Un lien parmi d'autres : http://www.dalitfreedom.org.au/trafficking/child-beggars.html
Ghost-Raider
Le 31/03/2014 20:09, Elohan a écrit :
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde pour des raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens nettement plus sympas. Mais il appréhende d'y aller car il tombe à chaque fois malade. Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans les coins encore plus insalubres que la moyenne.
Mais les habitants sont quelque peu mithridatisés. Amibes, bactéries et autres virus les affectent moins que nous.
Le 31/03/2014 20:09, Elohan a écrit :
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde
pour des raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens nettement
plus sympas. Mais il appréhende d'y aller car il tombe à chaque fois
malade.
Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans
les coins encore plus insalubres que la moyenne.
Mais les habitants sont quelque peu mithridatisés. Amibes, bactéries et
autres virus les affectent moins que nous.
Un collègue technico-commercial va régulièrement en Chine et en Inde pour des raisons professionnelles. En Inde, il trouve les gens nettement plus sympas. Mais il appréhende d'y aller car il tombe à chaque fois malade. Ce n'est donc pas si facile d'aller y faire des photos. A fortiori dans les coins encore plus insalubres que la moyenne.
Mais les habitants sont quelque peu mithridatisés. Amibes, bactéries et autres virus les affectent moins que nous.
