cependant la consigne peut être donnée par voie hiérarchique
aux employés de ne pas divulguer les dites sources, quoi
qu'en dise la licence qui les accompagne, il me semble.
cependant la consigne peut être donnée par voie hiérarchique
aux employés de ne pas divulguer les dites sources, quoi
qu'en dise la licence qui les accompagne, il me semble.
cependant la consigne peut être donnée par voie hiérarchique
aux employés de ne pas divulguer les dites sources, quoi
qu'en dise la licence qui les accompagne, il me semble.
Il en va de même pour toutes les licences de logiciels ceci dit.
C'est le problème inverse: le risque est qu'une traduction puisse être
acceptée légalement par un tribunal, et qu'elle aie une faille qui
permette uen troisième voie que soit l'acceptation de la licence ou la loi
générale.
Il en va de même pour toutes les licences de logiciels ceci dit.
C'est le problème inverse: le risque est qu'une traduction puisse être
acceptée légalement par un tribunal, et qu'elle aie une faille qui
permette uen troisième voie que soit l'acceptation de la licence ou la loi
générale.
Il en va de même pour toutes les licences de logiciels ceci dit.
C'est le problème inverse: le risque est qu'une traduction puisse être
acceptée légalement par un tribunal, et qu'elle aie une faille qui
permette uen troisième voie que soit l'acceptation de la licence ou la loi
générale.
Quelqu'un aurait-il une solution pour réinitialiser un MBR
Si tu veux qu'il soit complètement blanc (pas souhaitable, à mon avis) :
Quelqu'un aurait-il une solution pour réinitialiser un MBR
Si tu veux qu'il soit complètement blanc (pas souhaitable, à mon avis) :
Quelqu'un aurait-il une solution pour réinitialiser un MBR
Si tu veux qu'il soit complètement blanc (pas souhaitable, à mon avis) :
Bonsoir,
Heu.. c'est quoi la GPL ? (Gaz de Petrole Liquéfié ?)
Bonsoir,
Heu.. c'est quoi la GPL ? (Gaz de Petrole Liquéfié ?)
Bonsoir,
Heu.. c'est quoi la GPL ? (Gaz de Petrole Liquéfié ?)
Je trouve que la remarque de Sam est tout à fait à propos. Une licence
n'est là que pour autoriser, pas pour interdire étant donné que, par
défaut, on ne peut presque rien faire.
Je trouve que la remarque de Sam est tout à fait à propos. Une licence
n'est là que pour autoriser, pas pour interdire étant donné que, par
défaut, on ne peut presque rien faire.
Je trouve que la remarque de Sam est tout à fait à propos. Une licence
n'est là que pour autoriser, pas pour interdire étant donné que, par
défaut, on ne peut presque rien faire.
Kaixo!
Li Mon, 18 Aug 2003 16:16:21 +0200,
Richard Delorme scrijheut:Il en va de même pour toutes les licences de logiciels ceci dit.
RD> En général, si on ne l'accepte pas, on ne peut pas utiliser le
produit.
Tout à fait.
Donc quelqu'un qui conteste la GPL ne peut pas utiliser un logiciel sous
GPL.
RD> On peut constester la GPL pour, par exemple, inclure du code GPL dans
RD> un programme propriétaire fermé (ce qu'interdit la GPL).
Mais non justemment.
Si on conteste la GPL, on ne peut pas utiliser le code *du tout* (en toute
independence de la licence du programme dans lequel on aurait voulu
inclure le code).
RD> Le problème est que, faute de traduction officielle, la GPL n'est pas
RD> valide. Donc seul le droit français s'applique : pas de droit de
RD> redistribution, pas de limitation de garanties, etc.
ok. Donc, on n'a le droit de rien faire.
Mais on fait quand même; la question est, est-ce que dans le cas où un
auteur d'un logiciel sous GPL decidait d'attaquer un utilisateur français
qui respecte à 100% la GPL, un tribunal français deciderait de donner
raison à l'auteur et dire à l'utilisateur "vous n'aviez pas le droit
d'utiliser le programme", ou est-ce que le tribunal dirait plutôt à
l'auteur "vous avez quand même livré votre programme avec une licence qui
quoiqu'en anglais, dit très clairemment que l'utilisateur a le droit de
faire ce que vous lui reprochez".
Je pense qu'un tribunal français pencherait plutôt pour la deuxième voie,
c'est à dire privilegier la bonne foi.
Kaixo!
Li Mon, 18 Aug 2003 16:16:21 +0200,
Richard Delorme <abulmo@nospam.fr> scrijheut:
Il en va de même pour toutes les licences de logiciels ceci dit.
RD> En général, si on ne l'accepte pas, on ne peut pas utiliser le
produit.
Tout à fait.
Donc quelqu'un qui conteste la GPL ne peut pas utiliser un logiciel sous
GPL.
RD> On peut constester la GPL pour, par exemple, inclure du code GPL dans
RD> un programme propriétaire fermé (ce qu'interdit la GPL).
Mais non justemment.
Si on conteste la GPL, on ne peut pas utiliser le code *du tout* (en toute
independence de la licence du programme dans lequel on aurait voulu
inclure le code).
RD> Le problème est que, faute de traduction officielle, la GPL n'est pas
RD> valide. Donc seul le droit français s'applique : pas de droit de
RD> redistribution, pas de limitation de garanties, etc.
ok. Donc, on n'a le droit de rien faire.
Mais on fait quand même; la question est, est-ce que dans le cas où un
auteur d'un logiciel sous GPL decidait d'attaquer un utilisateur français
qui respecte à 100% la GPL, un tribunal français deciderait de donner
raison à l'auteur et dire à l'utilisateur "vous n'aviez pas le droit
d'utiliser le programme", ou est-ce que le tribunal dirait plutôt à
l'auteur "vous avez quand même livré votre programme avec une licence qui
quoiqu'en anglais, dit très clairemment que l'utilisateur a le droit de
faire ce que vous lui reprochez".
Je pense qu'un tribunal français pencherait plutôt pour la deuxième voie,
c'est à dire privilegier la bonne foi.
Kaixo!
Li Mon, 18 Aug 2003 16:16:21 +0200,
Richard Delorme scrijheut:Il en va de même pour toutes les licences de logiciels ceci dit.
RD> En général, si on ne l'accepte pas, on ne peut pas utiliser le
produit.
Tout à fait.
Donc quelqu'un qui conteste la GPL ne peut pas utiliser un logiciel sous
GPL.
RD> On peut constester la GPL pour, par exemple, inclure du code GPL dans
RD> un programme propriétaire fermé (ce qu'interdit la GPL).
Mais non justemment.
Si on conteste la GPL, on ne peut pas utiliser le code *du tout* (en toute
independence de la licence du programme dans lequel on aurait voulu
inclure le code).
RD> Le problème est que, faute de traduction officielle, la GPL n'est pas
RD> valide. Donc seul le droit français s'applique : pas de droit de
RD> redistribution, pas de limitation de garanties, etc.
ok. Donc, on n'a le droit de rien faire.
Mais on fait quand même; la question est, est-ce que dans le cas où un
auteur d'un logiciel sous GPL decidait d'attaquer un utilisateur français
qui respecte à 100% la GPL, un tribunal français deciderait de donner
raison à l'auteur et dire à l'utilisateur "vous n'aviez pas le droit
d'utiliser le programme", ou est-ce que le tribunal dirait plutôt à
l'auteur "vous avez quand même livré votre programme avec une licence qui
quoiqu'en anglais, dit très clairemment que l'utilisateur a le droit de
faire ce que vous lui reprochez".
Je pense qu'un tribunal français pencherait plutôt pour la deuxième voie,
c'est à dire privilegier la bonne foi.
Je trouve que la remarque de Sam est tout à fait à propos. Une licence
n'est là que pour autoriser, pas pour interdire étant donné que, par
défaut, on ne peut presque rien faire.
Par défaut on ne peut rien faire?
Comment ça? Par défaut j'ai un code, je peux en faiore ce qu'il me
chante du moment que c'est mon usage privé, et ensuite?
Je trouve que la remarque de Sam est tout à fait à propos. Une licence
n'est là que pour autoriser, pas pour interdire étant donné que, par
défaut, on ne peut presque rien faire.
Par défaut on ne peut rien faire?
Comment ça? Par défaut j'ai un code, je peux en faiore ce qu'il me
chante du moment que c'est mon usage privé, et ensuite?
Je trouve que la remarque de Sam est tout à fait à propos. Une licence
n'est là que pour autoriser, pas pour interdire étant donné que, par
défaut, on ne peut presque rien faire.
Par défaut on ne peut rien faire?
Comment ça? Par défaut j'ai un code, je peux en faiore ce qu'il me
chante du moment que c'est mon usage privé, et ensuite?
Si on n'accepte pas la GPL, on se place en effet sous la loi du droit
d'auteur. Mais contester ne veut pas dire ne pas l'accepter. Par exemple
une entreprise française coupable d'une telle contrefaçon pourrait disputer
que, la GPL étant en anglais, elle n'en a pas compris tous les termes et
l'a mal interprété. Et je ne serais pas surpris qu'un tribunal juge la
plainte d'un auteur bafoué irrecevable à cause de cela, donnant alors
raison au contrevenant.
Si on n'accepte pas la GPL, on se place en effet sous la loi du droit
d'auteur. Mais contester ne veut pas dire ne pas l'accepter. Par exemple
une entreprise française coupable d'une telle contrefaçon pourrait disputer
que, la GPL étant en anglais, elle n'en a pas compris tous les termes et
l'a mal interprété. Et je ne serais pas surpris qu'un tribunal juge la
plainte d'un auteur bafoué irrecevable à cause de cela, donnant alors
raison au contrevenant.
Si on n'accepte pas la GPL, on se place en effet sous la loi du droit
d'auteur. Mais contester ne veut pas dire ne pas l'accepter. Par exemple
une entreprise française coupable d'une telle contrefaçon pourrait disputer
que, la GPL étant en anglais, elle n'en a pas compris tous les termes et
l'a mal interprété. Et je ne serais pas surpris qu'un tribunal juge la
plainte d'un auteur bafoué irrecevable à cause de cela, donnant alors
raison au contrevenant.
Manuel Leclerc scrijheut:cependant la consigne peut être donnée par voie hiérarchique
aux employés de ne pas divulguer les dites sources, quoi
qu'en dise la licence qui les accompagne, il me semble.
Je ne pense pas. Ca me paraît incompatible avec la GPL.
C'est des choses differentes."You may not impose any further restrictions on the
recipients' exercise of the rights granted herein."
Ah mais effectivemment, l'employé peut tout à fait diffuser
le programme selon la GPL; et il ne pourra pas être poursuivi
pour violation de la GPL. C'est évident.
Mais il peut être sanctionné par sa hierarchie pour violation
du reglement interne et ou des directives.
S'il estime que c'est injustifié, il peut aller devant les
tribunaux pour contester; mais ça n'a rien à voir avec la GPL
en fait.
Manuel Leclerc scrijheut:
cependant la consigne peut être donnée par voie hiérarchique
aux employés de ne pas divulguer les dites sources, quoi
qu'en dise la licence qui les accompagne, il me semble.
Je ne pense pas. Ca me paraît incompatible avec la GPL.
C'est des choses differentes.
"You may not impose any further restrictions on the
recipients' exercise of the rights granted herein."
Ah mais effectivemment, l'employé peut tout à fait diffuser
le programme selon la GPL; et il ne pourra pas être poursuivi
pour violation de la GPL. C'est évident.
Mais il peut être sanctionné par sa hierarchie pour violation
du reglement interne et ou des directives.
S'il estime que c'est injustifié, il peut aller devant les
tribunaux pour contester; mais ça n'a rien à voir avec la GPL
en fait.
Manuel Leclerc scrijheut:cependant la consigne peut être donnée par voie hiérarchique
aux employés de ne pas divulguer les dites sources, quoi
qu'en dise la licence qui les accompagne, il me semble.
Je ne pense pas. Ca me paraît incompatible avec la GPL.
C'est des choses differentes."You may not impose any further restrictions on the
recipients' exercise of the rights granted herein."
Ah mais effectivemment, l'employé peut tout à fait diffuser
le programme selon la GPL; et il ne pourra pas être poursuivi
pour violation de la GPL. C'est évident.
Mais il peut être sanctionné par sa hierarchie pour violation
du reglement interne et ou des directives.
S'il estime que c'est injustifié, il peut aller devant les
tribunaux pour contester; mais ça n'a rien à voir avec la GPL
en fait.
Comme le précisait très bien Pablo dans le thread, la GPL
est là uniquement pour donner des droits, pas pour en
retirer ; dire que la GPL interdit quelque chose est donc
forcément faux.
Comme le précisait très bien Pablo dans le thread, la GPL
est là uniquement pour donner des droits, pas pour en
retirer ; dire que la GPL interdit quelque chose est donc
forcément faux.
Comme le précisait très bien Pablo dans le thread, la GPL
est là uniquement pour donner des droits, pas pour en
retirer ; dire que la GPL interdit quelque chose est donc
forcément faux.