Par contre l'original n'est pas unique, amha aucun photographe numérique
sensé, web artiste ou autre ne néglige les copies de sauvegarde.
Je crois vraiment que l'on y voit plus clair si on distingue original( =
source et auteur ) de "unique".
Les média elelctroniques font voler en éclat certaines notions, et je trouve
déjà absurde de brûler un négatif ( faut que je vérifie combien d'images par
secondes je peux faire avec ma bestiole...), mais à la limite, l'auteur peut
ne pas souhaiter laisser à autrui l'interprétation
qu'st le tirage. Mouais. Mais détruire une copie de fichier pour en faire un
monotype artificiel, je ne voit pas du tout ce que ça apporte.
Par contre l'original n'est pas unique, amha aucun photographe numérique
sensé, web artiste ou autre ne néglige les copies de sauvegarde.
Je crois vraiment que l'on y voit plus clair si on distingue original( =
source et auteur ) de "unique".
Les média elelctroniques font voler en éclat certaines notions, et je trouve
déjà absurde de brûler un négatif ( faut que je vérifie combien d'images par
secondes je peux faire avec ma bestiole...), mais à la limite, l'auteur peut
ne pas souhaiter laisser à autrui l'interprétation
qu'st le tirage. Mouais. Mais détruire une copie de fichier pour en faire un
monotype artificiel, je ne voit pas du tout ce que ça apporte.
Par contre l'original n'est pas unique, amha aucun photographe numérique
sensé, web artiste ou autre ne néglige les copies de sauvegarde.
Je crois vraiment que l'on y voit plus clair si on distingue original( =
source et auteur ) de "unique".
Les média elelctroniques font voler en éclat certaines notions, et je trouve
déjà absurde de brûler un négatif ( faut que je vérifie combien d'images par
secondes je peux faire avec ma bestiole...), mais à la limite, l'auteur peut
ne pas souhaiter laisser à autrui l'interprétation
qu'st le tirage. Mouais. Mais détruire une copie de fichier pour en faire un
monotype artificiel, je ne voit pas du tout ce que ça apporte.
En photographie argentique, il n'y a qu'un seul original, c'est le
négatif (ou la diapo) qui a été impressionné(e) lors de la prise de vue.
En photographie argentique, il n'y a qu'un seul original, c'est le
négatif (ou la diapo) qui a été impressionné(e) lors de la prise de vue.
En photographie argentique, il n'y a qu'un seul original, c'est le
négatif (ou la diapo) qui a été impressionné(e) lors de la prise de vue.
l'original est plus intéressant, d'autant plus que la photographie est un
art relativement sous-évalué.
l'original est plus intéressant, d'autant plus que la photographie est un
art relativement sous-évalué.
l'original est plus intéressant, d'autant plus que la photographie est un
art relativement sous-évalué.
Malgré le soin apporté à l'album génial d'Arbus
et aux bouquins de grand luxe édités par Avedon en collaboration avec Capote
ou Baldwin, leurs images imprimées/multipliées n'ont pas la valeur artistique
des "tirages originaux".
Malgré le soin apporté à l'album génial d'Arbus
et aux bouquins de grand luxe édités par Avedon en collaboration avec Capote
ou Baldwin, leurs images imprimées/multipliées n'ont pas la valeur artistique
des "tirages originaux".
Malgré le soin apporté à l'album génial d'Arbus
et aux bouquins de grand luxe édités par Avedon en collaboration avec Capote
ou Baldwin, leurs images imprimées/multipliées n'ont pas la valeur artistique
des "tirages originaux".
(...)
Mais... compliquons les choses. Je prétend personnellement qu'il faut
travailler sur copie. Donc je prend mon fichier et j'en fais une
copie. J'ai donc un original... et une copie. Facile. Ben non, car ma
copie est strictement indiscenable de l'original. Merde.
Qu'est-ce qui distingue ici mon original de ma copie ? Le futur !
Ben oui, la copie est le fichier que je m'autorise à modifier. Donc un
fichier potentiellement modifiable, l'original est un truc que je
m'interdit de toucher.
(...)
Donc. En gros, on a deux idées : l'original est ce qui est au début
d'un processus. Mais aussi ce qu'on désigne comme étant un original.
Et tout dépendra précisément du contexte dans lequel on va discuter.
Dans le cas qui nous intéressait, quand je dis que je ne rote pas les
originaux, je dis que pour moi l'original est le fichier issus de ma
carte, et que je tiens comme version absolue de référence, ce fichier
et non une quelconque transformation. Et ce pour des raisons bête de
simplification : il existe une façon simple de dire ce qu'est
l'original, de sécurité : je ne réécris jamais sur mon original (oui
je pourrais faire des copie, puis réécraser l'original mais tout
opération supplémentaire d'écriture est le risque d'une fausse mannip,
et j'ai trop vu de fausses manips dans ma vie).
P.S. On peut aussi dans le cas de fichiers textes avoir des originaux
compressés qui ne sont plus binairement identique aux originaux, mais
qui restent des originaux. Mais dans ce cas on a une certaine
validation du processus de compression décompression, notament en cas
de plantage pendant le processus.
(...)
Mais... compliquons les choses. Je prétend personnellement qu'il faut
travailler sur copie. Donc je prend mon fichier et j'en fais une
copie. J'ai donc un original... et une copie. Facile. Ben non, car ma
copie est strictement indiscenable de l'original. Merde.
Qu'est-ce qui distingue ici mon original de ma copie ? Le futur !
Ben oui, la copie est le fichier que je m'autorise à modifier. Donc un
fichier potentiellement modifiable, l'original est un truc que je
m'interdit de toucher.
(...)
Donc. En gros, on a deux idées : l'original est ce qui est au début
d'un processus. Mais aussi ce qu'on désigne comme étant un original.
Et tout dépendra précisément du contexte dans lequel on va discuter.
Dans le cas qui nous intéressait, quand je dis que je ne rote pas les
originaux, je dis que pour moi l'original est le fichier issus de ma
carte, et que je tiens comme version absolue de référence, ce fichier
et non une quelconque transformation. Et ce pour des raisons bête de
simplification : il existe une façon simple de dire ce qu'est
l'original, de sécurité : je ne réécris jamais sur mon original (oui
je pourrais faire des copie, puis réécraser l'original mais tout
opération supplémentaire d'écriture est le risque d'une fausse mannip,
et j'ai trop vu de fausses manips dans ma vie).
P.S. On peut aussi dans le cas de fichiers textes avoir des originaux
compressés qui ne sont plus binairement identique aux originaux, mais
qui restent des originaux. Mais dans ce cas on a une certaine
validation du processus de compression décompression, notament en cas
de plantage pendant le processus.
(...)
Mais... compliquons les choses. Je prétend personnellement qu'il faut
travailler sur copie. Donc je prend mon fichier et j'en fais une
copie. J'ai donc un original... et une copie. Facile. Ben non, car ma
copie est strictement indiscenable de l'original. Merde.
Qu'est-ce qui distingue ici mon original de ma copie ? Le futur !
Ben oui, la copie est le fichier que je m'autorise à modifier. Donc un
fichier potentiellement modifiable, l'original est un truc que je
m'interdit de toucher.
(...)
Donc. En gros, on a deux idées : l'original est ce qui est au début
d'un processus. Mais aussi ce qu'on désigne comme étant un original.
Et tout dépendra précisément du contexte dans lequel on va discuter.
Dans le cas qui nous intéressait, quand je dis que je ne rote pas les
originaux, je dis que pour moi l'original est le fichier issus de ma
carte, et que je tiens comme version absolue de référence, ce fichier
et non une quelconque transformation. Et ce pour des raisons bête de
simplification : il existe une façon simple de dire ce qu'est
l'original, de sécurité : je ne réécris jamais sur mon original (oui
je pourrais faire des copie, puis réécraser l'original mais tout
opération supplémentaire d'écriture est le risque d'une fausse mannip,
et j'ai trop vu de fausses manips dans ma vie).
P.S. On peut aussi dans le cas de fichiers textes avoir des originaux
compressés qui ne sont plus binairement identique aux originaux, mais
qui restent des originaux. Mais dans ce cas on a une certaine
validation du processus de compression décompression, notament en cas
de plantage pendant le processus.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
l'original, de sécurité : je ne réécris jamais sur mon original (oui
je pourrais faire des copie, puis réécraser l'original mais tout
opération supplémentaire d'écriture est le risque d'une fausse mannip,
et j'ai trop vu de fausses manips dans ma vie).
dans l'absolu, il faudrait donc que tu achètes une nouvelle carte à chaque
fois que tu as fini de remplir la précédente.
ma feuille de papier peut-elle devenir l'original de ma photo numérique ?
pour moi la réponse est oui.
l'original, de sécurité : je ne réécris jamais sur mon original (oui
je pourrais faire des copie, puis réécraser l'original mais tout
opération supplémentaire d'écriture est le risque d'une fausse mannip,
et j'ai trop vu de fausses manips dans ma vie).
dans l'absolu, il faudrait donc que tu achètes une nouvelle carte à chaque
fois que tu as fini de remplir la précédente.
ma feuille de papier peut-elle devenir l'original de ma photo numérique ?
pour moi la réponse est oui.
l'original, de sécurité : je ne réécris jamais sur mon original (oui
je pourrais faire des copie, puis réécraser l'original mais tout
opération supplémentaire d'écriture est le risque d'une fausse mannip,
et j'ai trop vu de fausses manips dans ma vie).
dans l'absolu, il faudrait donc que tu achètes une nouvelle carte à chaque
fois que tu as fini de remplir la précédente.
ma feuille de papier peut-elle devenir l'original de ma photo numérique ?
pour moi la réponse est oui.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Pour la notion d'original en art et en photo en particulier, je te
conseillerais un texte de Jean-Claude Lemagny sur le sujet, mais je
n'ai pas le titre ici.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Tu confonds le contenant avec le contenu.
Tu dupliques le contenant (la représentation informatique d'une image) mais
en conservant le contenu. Si on prend l'exemple d'un texte, le fait de
pouvoir copier ce texte sur un autre support n'en change pas le caractère
original (dans ce cas les lettres de l'alphabet sont les octets) : le texte
reste le texte original, certes sur un support différent de celui sur
lequel l'auteur l'a écrit, mais l'information qu'il véhicule restera
strictement identique. Le fait de pouvoir copier ne change rien au
caractère original d'une information.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Tu confonds le contenant avec le contenu.
Tu dupliques le contenant (la représentation informatique d'une image) mais
en conservant le contenu. Si on prend l'exemple d'un texte, le fait de
pouvoir copier ce texte sur un autre support n'en change pas le caractère
original (dans ce cas les lettres de l'alphabet sont les octets) : le texte
reste le texte original, certes sur un support différent de celui sur
lequel l'auteur l'a écrit, mais l'information qu'il véhicule restera
strictement identique. Le fait de pouvoir copier ne change rien au
caractère original d'une information.
Suite à un post rescent, il a été évoque à plusieurs reprises la notion
"d'original".
Il me semble que cette notion perd tout son sens en matière d'image
numérique.
Tu confonds le contenant avec le contenu.
Tu dupliques le contenant (la représentation informatique d'une image) mais
en conservant le contenu. Si on prend l'exemple d'un texte, le fait de
pouvoir copier ce texte sur un autre support n'en change pas le caractère
original (dans ce cas les lettres de l'alphabet sont les octets) : le texte
reste le texte original, certes sur un support différent de celui sur
lequel l'auteur l'a écrit, mais l'information qu'il véhicule restera
strictement identique. Le fait de pouvoir copier ne change rien au
caractère original d'une information.
(Christian Fauchier) writes:
En photographie argentique, il n'y a qu'un seul original, c'est le
négatif (ou la diapo) qui a été impressionné(e) lors de la prise de vue.
C'est vite dit... prenons la pratique de Molinier : quel est l'oginal?
Prenons un mec qui prend des négatis les copies les colle, les
scratches, pour finir par en faire un tirage manipulé chimiquement au
développement et on peut ajouter un chti coup de solarisation.
C'est de la photo argentique mais ta définition ne correspond pas.
nospam@nowhere.com (Christian Fauchier) writes:
En photographie argentique, il n'y a qu'un seul original, c'est le
négatif (ou la diapo) qui a été impressionné(e) lors de la prise de vue.
C'est vite dit... prenons la pratique de Molinier : quel est l'oginal?
Prenons un mec qui prend des négatis les copies les colle, les
scratches, pour finir par en faire un tirage manipulé chimiquement au
développement et on peut ajouter un chti coup de solarisation.
C'est de la photo argentique mais ta définition ne correspond pas.
(Christian Fauchier) writes:
En photographie argentique, il n'y a qu'un seul original, c'est le
négatif (ou la diapo) qui a été impressionné(e) lors de la prise de vue.
C'est vite dit... prenons la pratique de Molinier : quel est l'oginal?
Prenons un mec qui prend des négatis les copies les colle, les
scratches, pour finir par en faire un tirage manipulé chimiquement au
développement et on peut ajouter un chti coup de solarisation.
C'est de la photo argentique mais ta définition ne correspond pas.