Mais c'est qui ce "goudal". Il est souvent cité dans vos fâcheries.
C'est un fromagel de hollandel qu'est pas bon.
filh
jasc wrote:
vala espérant avoir répondu à vos interrogations.
jpw
merci... un peu géné de votre réponse tout de même.
En fait il a oublié deux trois choses : - trois femmes ont fait des fausses couches en lisant mes interventions, - 12765 lecteurs on quittés frpn par ma faute, - trois adolescentes se sont suicidées en voyant mes photos - Cartier Bresson en est mort.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
jasc <fabricefradet@wanadoo.fr> wrote:
vala espérant avoir répondu à vos interrogations.
jpw
merci... un peu géné de votre réponse tout de même.
En fait il a oublié deux trois choses :
- trois femmes ont fait des fausses couches en lisant mes interventions,
- 12765 lecteurs on quittés frpn par ma faute,
- trois adolescentes se sont suicidées en voyant mes photos
- Cartier Bresson en est mort.
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
merci... un peu géné de votre réponse tout de même.
En fait il a oublié deux trois choses : - trois femmes ont fait des fausses couches en lisant mes interventions, - 12765 lecteurs on quittés frpn par ma faute, - trois adolescentes se sont suicidées en voyant mes photos - Cartier Bresson en est mort.
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Noelle Adam
FiLH wrote:
En fait il a oublié deux trois choses : - trois femmes ont fait des fausses couches en lisant mes interventions, - 12765 lecteurs on quittés frpn par ma faute, - trois adolescentes se sont suicidées en voyant mes photos
Seulement 3 ? Il y avait pénurie de confiture de fraises ?
- Cartier Bresson en est mort.
T'oublie un truc : j'ai encore du rebooter ma bécane. Marabout, bout de ficelle...
Noëlle
FiLH wrote:
En fait il a oublié deux trois choses :
- trois femmes ont fait des fausses couches en lisant mes interventions,
- 12765 lecteurs on quittés frpn par ma faute,
- trois adolescentes se sont suicidées en voyant mes photos
Seulement 3 ? Il y avait pénurie de confiture de fraises ?
- Cartier Bresson en est mort.
T'oublie un truc : j'ai encore du rebooter ma bécane.
Marabout, bout de ficelle...
En fait il a oublié deux trois choses : - trois femmes ont fait des fausses couches en lisant mes interventions, - 12765 lecteurs on quittés frpn par ma faute, - trois adolescentes se sont suicidées en voyant mes photos
Seulement 3 ? Il y avait pénurie de confiture de fraises ?
- Cartier Bresson en est mort.
T'oublie un truc : j'ai encore du rebooter ma bécane. Marabout, bout de ficelle...
Noëlle
albert
Bonsoir,
La plupart des personnes avec lesquelles j'ai eu une relation épistolaire sur FRP(N), j'ai eu envie de les rencontrer. A chaque fois que je le pouvais, et c'est rare, c'était surprenant. Il y avait comme une sorte de familiarité, d'immédiateté dans le regard, et ensuite une métamorphose complète de l'idée que je me faisais du personnage virtuel, vers sa réalité vraie. C'est très étonnant et enrichissant.
Tant que nous ne sommes pas confronté avec la vraie personne, on peut s'épancher sur son personnage sans aucune limite, mais je trouve cela assez vain, dans la mesure où seul le regard de l'autre peut nous permettre d'établir une vraie relation.
Dans la relation virtuelle, la souffrance que l'on est capable de provoquer n'a pas de limite non plus. Car nous sommes nous-mêmes des êtres virtuels, sans regard, sans contours et doués de la force terrible de celui qui ne peut pas mourir.
C'est pourquoi, dans les simulacres d'assassinats que sont ces polémiques imaginaires, il y a un aspect Grand Guignol qui nous attire tous, acteurs ou spectateurs.
Je suis désolé de faire le moine moralisateur (mon nom, vous en déplaise, est né ici, mais ne vous formalisez pas, je suis toujours nu sous ma bure) ; je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure de cette souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps subir. Elle est à la fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y adonne.
Amitiés, albert
Bonsoir,
La plupart des personnes avec lesquelles j'ai eu une relation
épistolaire sur FRP(N), j'ai eu envie de les rencontrer. A chaque fois que
je le pouvais, et c'est rare, c'était surprenant. Il y avait comme une sorte
de familiarité, d'immédiateté dans le regard, et ensuite une métamorphose
complète de l'idée que je me faisais du personnage virtuel, vers sa réalité
vraie. C'est très étonnant et enrichissant.
Tant que nous ne sommes pas confronté avec la vraie personne, on peut
s'épancher sur son personnage sans aucune limite, mais je trouve cela assez
vain, dans la mesure où seul le regard de l'autre peut nous permettre
d'établir une vraie relation.
Dans la relation virtuelle, la souffrance que l'on est capable de
provoquer n'a pas de limite non plus. Car nous sommes nous-mêmes des êtres
virtuels, sans regard, sans contours et doués de la force terrible de celui
qui ne peut pas mourir.
C'est pourquoi, dans les simulacres d'assassinats que sont ces
polémiques imaginaires, il y a un aspect Grand Guignol qui nous attire tous,
acteurs ou spectateurs.
Je suis désolé de faire le moine moralisateur (mon nom, vous en
déplaise, est né ici, mais ne vous formalisez pas, je suis toujours nu sous
ma bure) ; je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure de cette
souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps subir. Elle est à la
fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y adonne.
La plupart des personnes avec lesquelles j'ai eu une relation épistolaire sur FRP(N), j'ai eu envie de les rencontrer. A chaque fois que je le pouvais, et c'est rare, c'était surprenant. Il y avait comme une sorte de familiarité, d'immédiateté dans le regard, et ensuite une métamorphose complète de l'idée que je me faisais du personnage virtuel, vers sa réalité vraie. C'est très étonnant et enrichissant.
Tant que nous ne sommes pas confronté avec la vraie personne, on peut s'épancher sur son personnage sans aucune limite, mais je trouve cela assez vain, dans la mesure où seul le regard de l'autre peut nous permettre d'établir une vraie relation.
Dans la relation virtuelle, la souffrance que l'on est capable de provoquer n'a pas de limite non plus. Car nous sommes nous-mêmes des êtres virtuels, sans regard, sans contours et doués de la force terrible de celui qui ne peut pas mourir.
C'est pourquoi, dans les simulacres d'assassinats que sont ces polémiques imaginaires, il y a un aspect Grand Guignol qui nous attire tous, acteurs ou spectateurs.
Je suis désolé de faire le moine moralisateur (mon nom, vous en déplaise, est né ici, mais ne vous formalisez pas, je suis toujours nu sous ma bure) ; je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure de cette souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps subir. Elle est à la fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y adonne.
Amitiés, albert
Alf92
albert a dit ça :
(...) je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure de cette souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps subir. Elle est à la fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y adonne.
ç'est ma foi vrai. essaye de faire comprendre tout ça aux agresseurs perpetuels... c'est peine perdue. :( -- Cordialement, Alf92 http://frpn.free.fr
albert a dit ça :
(...) je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure
de cette souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps
subir. Elle est à la fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y
adonne.
ç'est ma foi vrai.
essaye de faire comprendre tout ça aux agresseurs perpetuels...
c'est peine perdue. :(
--
Cordialement,
Alf92
http://frpn.free.fr
(...) je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure de cette souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps subir. Elle est à la fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y adonne.
ç'est ma foi vrai. essaye de faire comprendre tout ça aux agresseurs perpetuels... c'est peine perdue. :( -- Cordialement, Alf92 http://frpn.free.fr
Noelle Adam
Alf92 wrote:
albert a dit ça :
(...) je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure de cette souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps subir. Elle est à la fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y adonne.
ç'est ma foi vrai. essaye de faire comprendre tout ça aux agresseurs perpetuels... c'est peine perdue. :(
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra. Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
Noëlle
Alf92 wrote:
albert a dit ça :
(...) je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure
de cette souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps
subir. Elle est à la fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y
adonne.
ç'est ma foi vrai.
essaye de faire comprendre tout ça aux agresseurs perpetuels...
c'est peine perdue. :(
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est
être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les
personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra.
Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
(...) je pense qu'il est nécessaire de donner la mesure de cette souffrance que l'on peut occasionner, et en même temps subir. Elle est à la fois virtuelle, et très réelle, selon qu'on s'y adonne.
ç'est ma foi vrai. essaye de faire comprendre tout ça aux agresseurs perpetuels... c'est peine perdue. :(
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra. Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
Noëlle
pehache
Noelle Adam wrote:
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra. Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
C'est plus compliqué que ça. J'ai personnellement horreur du kill-file. Je n'y ai jamais mis personne, et je ne pense pas y mettre quelqu'un un jour. Même les emmerdeurs les plus patentés.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Noelle Adam wrote:
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est
être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les
personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra.
Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
C'est plus compliqué que ça. J'ai personnellement horreur du kill-file. Je
n'y ai jamais mis personne, et je ne pense pas y mettre quelqu'un un jour.
Même les emmerdeurs les plus patentés.
--
pehache
enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply
http://pehache.free.fr/public.html
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra. Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
C'est plus compliqué que ça. J'ai personnellement horreur du kill-file. Je n'y ai jamais mis personne, et je ne pense pas y mettre quelqu'un un jour. Même les emmerdeurs les plus patentés.
-- pehache enlever NOSPAM. etc... pour répondre / remove NOSPAM... to reply http://pehache.free.fr/public.html
Noelle Adam
pehache wrote:
Noelle Adam wrote:
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra. Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
C'est plus compliqué que ça. J'ai personnellement horreur du kill-file. Je n'y ai jamais mis personne, et je ne pense pas y mettre quelqu'un un jour. Même les emmerdeurs les plus patentés.
En l'occurence, et c'est vrai que c'est une réponse publique, c'est à alf92 que je répondais, puisqu'il se sent agréssé. Mais sans doute n'a t-il pas lu ma réponse, quisqu'en tant qu'amie de Frédéric, je dois avoir place dans son kill-file :) . Tu fais comme tu sens.
Noëlle
pehache wrote:
Noelle Adam wrote:
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est
être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les
personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra.
Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
C'est plus compliqué que ça. J'ai personnellement horreur du kill-file. Je
n'y ai jamais mis personne, et je ne pense pas y mettre quelqu'un un jour.
Même les emmerdeurs les plus patentés.
En l'occurence, et c'est vrai que c'est une réponse publique, c'est à
alf92 que je répondais, puisqu'il se sent agréssé. Mais sans doute n'a
t-il pas lu ma réponse, quisqu'en tant qu'amie de Frédéric, je dois
avoir place dans son kill-file :) . Tu fais comme tu sens.
Je ne suis pas sûre que tu aie saisi totalement : s'y adonner, c'est être actif, au moins consentir. Que ne mets tu dans ton kill-file les personnes dont tu penses qu'elles t'agressent ? Rien ne t'atteindra. Tu es déja anomyne, tu seras intouchable.
C'est plus compliqué que ça. J'ai personnellement horreur du kill-file. Je n'y ai jamais mis personne, et je ne pense pas y mettre quelqu'un un jour. Même les emmerdeurs les plus patentés.
En l'occurence, et c'est vrai que c'est une réponse publique, c'est à alf92 que je répondais, puisqu'il se sent agréssé. Mais sans doute n'a t-il pas lu ma réponse, quisqu'en tant qu'amie de Frédéric, je dois avoir place dans son kill-file :) . Tu fais comme tu sens.