Le 2/04/07 18:51, dans <1hvyf6v.enqqiou7osxnN%, « Pierre-Alain Dorange » a écrit :
Nicolas MICHEL wrote:
Tu sais, je passe pour un vieux con et un chiant parce que je réponds dans mes mails en alternant citations et réponses...
Ce qui me semble est une erreur ... Vu que c'est la "norme" sur usenet mais pas en corespondance mail. Non ?
Non c'est pareil, c'est une règle d'usage (ce n'est pas une norme, même avec les guillemets ;-)
C'est quand même à la limite. La netiquette est la RFC 1855 et fait partie des mêmes documents décrivant le protocole TCP/IP par exemple. Alors, ce n'est pas une norme ISO, mais c'est quand même une "norme".
-- Éric Lévénez -- <http://www.levenez.com/> Unix is not only an OS, it's a way of life.
Le 2/04/07 18:51, dans
<1hvyf6v.enqqiou7osxnN%pdorange@pas-de-pub-merci.mac.com>, « Pierre-Alain
Dorange » <pdorange@pas-de-pub-merci.mac.com> a écrit :
Nicolas MICHEL <Nicolas.MICHEL@BonBon.net> wrote:
Tu sais, je passe pour un vieux con et un chiant parce que je réponds
dans mes mails en alternant citations et réponses...
Ce qui me semble est une erreur ...
Vu que c'est la "norme" sur usenet mais pas en corespondance mail.
Non ?
Non c'est pareil, c'est une règle d'usage (ce n'est pas une norme, même
avec les guillemets ;-)
C'est quand même à la limite. La netiquette est la RFC 1855 et fait partie
des mêmes documents décrivant le protocole TCP/IP par exemple. Alors, ce
n'est pas une norme ISO, mais c'est quand même une "norme".
--
Éric Lévénez -- <http://www.levenez.com/>
Unix is not only an OS, it's a way of life.
Le 2/04/07 18:51, dans <1hvyf6v.enqqiou7osxnN%, « Pierre-Alain Dorange » a écrit :
Nicolas MICHEL wrote:
Tu sais, je passe pour un vieux con et un chiant parce que je réponds dans mes mails en alternant citations et réponses...
Ce qui me semble est une erreur ... Vu que c'est la "norme" sur usenet mais pas en corespondance mail. Non ?
Non c'est pareil, c'est une règle d'usage (ce n'est pas une norme, même avec les guillemets ;-)
C'est quand même à la limite. La netiquette est la RFC 1855 et fait partie des mêmes documents décrivant le protocole TCP/IP par exemple. Alors, ce n'est pas une norme ISO, mais c'est quand même une "norme".
-- Éric Lévénez -- <http://www.levenez.com/> Unix is not only an OS, it's a way of life.
laurent.pertois
Nicolas MICHEL wrote:
Cher Monsieur Pertois
Cher ami,
Dans votre courier électronique de ce jour, vous vous demandiez la raison d'une distinction entre un message à caractère privé et un courrier de type professionnel.
Je vous ai effectivement fait cette demande suite à un long échange de messages électroniques.
Permettez moi de vous faire remarquer que venant d'un employé d'une entreprise telle que la vôtre, il appartient à votre employeur de définir la manière correcte de citer votre corespondant, afin qu'il y ait une homogénéité dans les corespondances de l'entreprise et que l'image globale de celle ci soit cohérente.
Je ne vois pas en quoi mon employeur pourrait définir le style de mes réponses, surtout quand je reçois un long mail abordant plusieurs sujets, il me paraît bien plus aisé de ne citer que ce qui est nécessaire en répondant point par point, les caractères de citation, qui n'existent pas dans le cadre des échanges épistolaires, vous n'aurez pas manqué de le remarquer, permettant de bien différencier les éléments.
De même, le courrier électronique étant une nouvelle forme de communication pourquoi vouloir y appliquer les mêmes règles de présentation que le courrier papier ? avez-vous déjà vu deux personnes se téléphonant pour ne pas dialoguer mais chacune appelant l'autre pour faire la réponse en reprenant les éléments donnés par la première précédemment ?
De plus, bla bla, exc, ... ce style me gonfle mais je penses que tu as très bien compris où je voulais en venir : c'est pas la même langue.
Ah ?
Fais-tu souvent des mails de réponse, professionnels, qui aient le même formalisme qu'un courrier comme celui que tu viens de citer.
Dans les rares cas où je suis amené à en faire un je vais faire un nouveau mail et pas une réponse en citant, comme je le ferais sur papier. Fais-tu souvent des réponses papier dans laquelle tu envoies une photocopie de la lettre d'origine ? non, tu vas la citer voire ne citer qu'une référence.
En l'attente d'une réponse de votre part, veuillez, monsieur, agréer l'expression de mes salutations distinguées
Pas mieux.
Annexe : aucune.
Si, si, plein d'en-têtes.
-- Politically Correct Unix - UTILITIES The "touch" command has been removed from the standard distribution due to its inappropriate use by high-level managers.
Nicolas MICHEL <Nicolas.MICHEL@BonBon.net> wrote:
Cher Monsieur Pertois
Cher ami,
Dans votre courier électronique de ce jour, vous vous demandiez la
raison d'une distinction entre un message à caractère privé et un
courrier de type professionnel.
Je vous ai effectivement fait cette demande suite à un long échange de
messages électroniques.
Permettez moi de vous faire remarquer que venant d'un employé d'une
entreprise telle que la vôtre, il appartient à votre employeur de
définir la manière correcte de citer votre corespondant, afin qu'il y
ait une homogénéité dans les corespondances de l'entreprise et que
l'image globale de celle ci soit cohérente.
Je ne vois pas en quoi mon employeur pourrait définir le style de mes
réponses, surtout quand je reçois un long mail abordant plusieurs
sujets, il me paraît bien plus aisé de ne citer que ce qui est
nécessaire en répondant point par point, les caractères de citation, qui
n'existent pas dans le cadre des échanges épistolaires, vous n'aurez pas
manqué de le remarquer, permettant de bien différencier les éléments.
De même, le courrier électronique étant une nouvelle forme de
communication pourquoi vouloir y appliquer les mêmes règles de
présentation que le courrier papier ? avez-vous déjà vu deux personnes
se téléphonant pour ne pas dialoguer mais chacune appelant l'autre pour
faire la réponse en reprenant les éléments donnés par la première
précédemment ?
De plus, bla bla, exc, ... ce style me gonfle mais je penses que tu as
très bien compris où je voulais en venir : c'est pas la même langue.
Ah ?
Fais-tu souvent des mails de réponse, professionnels, qui aient le même
formalisme qu'un courrier comme celui que tu viens de citer.
Dans les rares cas où je suis amené à en faire un je vais faire un
nouveau mail et pas une réponse en citant, comme je le ferais sur
papier. Fais-tu souvent des réponses papier dans laquelle tu envoies une
photocopie de la lettre d'origine ? non, tu vas la citer voire ne citer
qu'une référence.
En l'attente d'une réponse de votre part, veuillez, monsieur, agréer
l'expression de mes salutations distinguées
Pas mieux.
Annexe : aucune.
Si, si, plein d'en-têtes.
--
Politically Correct Unix - UTILITIES
The "touch" command has been removed from the standard distribution due
to its inappropriate use by high-level managers.
Dans votre courier électronique de ce jour, vous vous demandiez la raison d'une distinction entre un message à caractère privé et un courrier de type professionnel.
Je vous ai effectivement fait cette demande suite à un long échange de messages électroniques.
Permettez moi de vous faire remarquer que venant d'un employé d'une entreprise telle que la vôtre, il appartient à votre employeur de définir la manière correcte de citer votre corespondant, afin qu'il y ait une homogénéité dans les corespondances de l'entreprise et que l'image globale de celle ci soit cohérente.
Je ne vois pas en quoi mon employeur pourrait définir le style de mes réponses, surtout quand je reçois un long mail abordant plusieurs sujets, il me paraît bien plus aisé de ne citer que ce qui est nécessaire en répondant point par point, les caractères de citation, qui n'existent pas dans le cadre des échanges épistolaires, vous n'aurez pas manqué de le remarquer, permettant de bien différencier les éléments.
De même, le courrier électronique étant une nouvelle forme de communication pourquoi vouloir y appliquer les mêmes règles de présentation que le courrier papier ? avez-vous déjà vu deux personnes se téléphonant pour ne pas dialoguer mais chacune appelant l'autre pour faire la réponse en reprenant les éléments donnés par la première précédemment ?
De plus, bla bla, exc, ... ce style me gonfle mais je penses que tu as très bien compris où je voulais en venir : c'est pas la même langue.
Ah ?
Fais-tu souvent des mails de réponse, professionnels, qui aient le même formalisme qu'un courrier comme celui que tu viens de citer.
Dans les rares cas où je suis amené à en faire un je vais faire un nouveau mail et pas une réponse en citant, comme je le ferais sur papier. Fais-tu souvent des réponses papier dans laquelle tu envoies une photocopie de la lettre d'origine ? non, tu vas la citer voire ne citer qu'une référence.
En l'attente d'une réponse de votre part, veuillez, monsieur, agréer l'expression de mes salutations distinguées
Pas mieux.
Annexe : aucune.
Si, si, plein d'en-têtes.
-- Politically Correct Unix - UTILITIES The "touch" command has been removed from the standard distribution due to its inappropriate use by high-level managers.
pmanet
Ludovic Cynomys wrote:
j'ai lu une histoire comme ça, de propal à un client, lequel client n'avait qu'à plonger le nez dans les annexes successives pour voir le détail de la transaction ;-)))
c'est une histoire très classique d'un gros contrat en millions de dollars qui a foiré parce que le client a pu lire les limites de la négociations au bout du mail..
Et un truc comme ça vient d'arriver à un de mes chefs : il a révélé à tout le monde l'adresse test de notre prochain site internet, qui était censée rester secrete, mais qui trainait au tout début d'un échange de mail avec le concepteur. -- Philippe Manet
j'ai lu une histoire comme ça, de propal à un client, lequel client
n'avait qu'à plonger le nez dans les annexes successives pour voir le
détail de la transaction ;-)))
c'est une histoire très classique d'un gros contrat en millions de
dollars qui a foiré parce que le client a pu lire les limites de la
négociations au bout du mail..
Et un truc comme ça vient d'arriver à un de mes chefs : il a révélé à
tout le monde l'adresse test de notre prochain site internet, qui était
censée rester secrete, mais qui trainait au tout début d'un échange de
mail avec le concepteur.
--
Philippe Manet
j'ai lu une histoire comme ça, de propal à un client, lequel client n'avait qu'à plonger le nez dans les annexes successives pour voir le détail de la transaction ;-)))
c'est une histoire très classique d'un gros contrat en millions de dollars qui a foiré parce que le client a pu lire les limites de la négociations au bout du mail..
Et un truc comme ça vient d'arriver à un de mes chefs : il a révélé à tout le monde l'adresse test de notre prochain site internet, qui était censée rester secrete, mais qui trainait au tout début d'un échange de mail avec le concepteur. -- Philippe Manet
pmanet
Laurent Pertois wrote:
Oui, mais tu sais, il fait avec les outils qui par défaut placent la réponse en haut, même Mail le fait en libérant de la place au-dessus de la citation...
y'a pas des gens qui on des accès chez les dev d'Apple qui pourraient leur dire ? parce que c'est vraiment suant.
ça risque de s'améliorer avec Mail 3 ?
parce que c'est quand meme pas très compliqué à programmer, j'imagine...
Oui, mais tu sais, il fait avec les outils qui par défaut placent la
réponse en haut, même Mail le fait en libérant de la place au-dessus de
la citation...
y'a pas des gens qui on des accès chez les dev d'Apple qui pourraient
leur dire ?
parce que c'est vraiment suant.
ça risque de s'améliorer avec Mail 3 ?
parce que c'est quand meme pas très compliqué à programmer, j'imagine...
Oui, mais tu sais, il fait avec les outils qui par défaut placent la réponse en haut, même Mail le fait en libérant de la place au-dessus de la citation...
y'a pas des gens qui on des accès chez les dev d'Apple qui pourraient leur dire ? parce que c'est vraiment suant.
ça risque de s'améliorer avec Mail 3 ?
parce que c'est quand meme pas très compliqué à programmer, j'imagine...
-- Philippe Manet
patpro ~ patrick proniewski
In article <20070402235931213398@[10.0.0.1]>, (manet) wrote:
y'a pas des gens qui on des accès chez les dev d'Apple qui pourraient leur dire ? parce que c'est vraiment suant.
ça risque de s'améliorer avec Mail 3 ?
je pense pas
parce que c'est quand meme pas très compliqué à programmer, j'imagine...
ben le truc c'est que je mets en général un "bonjour" ou un "salut" en début de réponse à un mail, tout en haut avant le début de la citation (presque jamais sur usenet par contre). Donc finalement ça m'arrange qu'il commence par le haut, même si presque immédiatement après je passe dans le corps du texte pour élaguer et répondre.
patpro
-- http://www.patpro.net/
In article <20070402235931213398@[10.0.0.1]>, pmanet@invivo.edu (manet)
wrote:
y'a pas des gens qui on des accès chez les dev d'Apple qui pourraient
leur dire ?
parce que c'est vraiment suant.
ça risque de s'améliorer avec Mail 3 ?
je pense pas
parce que c'est quand meme pas très compliqué à programmer, j'imagine...
ben le truc c'est que je mets en général un "bonjour" ou un "salut" en
début de réponse à un mail, tout en haut avant le début de la citation
(presque jamais sur usenet par contre).
Donc finalement ça m'arrange qu'il commence par le haut, même si presque
immédiatement après je passe dans le corps du texte pour élaguer et
répondre.
In article <20070402235931213398@[10.0.0.1]>, (manet) wrote:
y'a pas des gens qui on des accès chez les dev d'Apple qui pourraient leur dire ? parce que c'est vraiment suant.
ça risque de s'améliorer avec Mail 3 ?
je pense pas
parce que c'est quand meme pas très compliqué à programmer, j'imagine...
ben le truc c'est que je mets en général un "bonjour" ou un "salut" en début de réponse à un mail, tout en haut avant le début de la citation (presque jamais sur usenet par contre). Donc finalement ça m'arrange qu'il commence par le haut, même si presque immédiatement après je passe dans le corps du texte pour élaguer et répondre.
patpro
-- http://www.patpro.net/
pmanet
patpro ~ patrick proniewski wrote:
ben le truc c'est que je mets en général un "bonjour" ou un "salut" en début de réponse à un mail, tout en haut avant le début de la citation
tiens, c'est une idée, ça...
-- Philippe Manet
patpro ~ patrick proniewski <patpro@boleskine.patpro.net> wrote:
ben le truc c'est que je mets en général un "bonjour" ou un "salut" en
début de réponse à un mail, tout en haut avant le début de la citation
Je l'ai utilisé une fois il y a longtemps, ça s'est fait en 2 ou 3 clics, sans problème.
quand j'ai essayé, il fallait ensuite faire sa déclaration de Passport, et j'ai laissé tomber. -- Philippe Manet
Gerald
Pierre-Alain Dorange wrote:
Non c'est pareil, c'est une règle d'usage (ce n'est pas une norme, même avec les guillemets ;-) Avec la démocratisation de ces outils (surtout les mails) ces règles de bon sens et fort pratique ont tendance a disparaitre, c'est comme tout.
À un certain niveau, ici comme ailleurs, cela n'a qu'une importance relative : chacun finissant par choisir avec qui et comment il souhaite échanger et les limites (les filtres ?) qu'il souhaite y mettre si certaines manières de faire lui semblent non respectueuses : - soit d'une certaine logique - soit d'une certaine élégance - soit d'un certain formalisme (dans un sens ou dans l'autre d'ailleurs) - soit de lui-même tout simplement.
C'est comme l'histoire des C.V. à l'endroit ou à l'envers : pour moi une énumération chronologique doit rester chronologique, c'est ma forme de « logique » temporelle ...de chrono-logique.
« On » me dit souvent que ce n'est pas la « bonne » manière, que les DRH attendent un ordre inverse pour savoir dès le début d'où on vient etc.
« Personne » ne dit jamais pour autant qui a édicté cette règle (et d'autres qui vont avec), à quoi on pourrait lier l'absence d'accents sur les majuscules et une bonne moitié des légendes urbaines.
Je persiste donc en me disant que s'il n'existe qu'un seul DRH qui partage ce sentiment avec moi, cela fera sortir mon CV du lot et nous donnera une bonne chance de nous entendre.
Pour en revenir aux citations, les limites de mon plonkage de malpolis sont d'ailleurs à géométrie fortement variable (et je soupçonne que les vôtres aussi quelque définitives que soient vos opinions affichées ci-dessus !) : je supporte, par exemple, sans la *moindre* objection les délires de quotes et de multipostages incongrus d'une de mes principales donneuses d'ordre nippone, Mrs Sukoshi Dekima... ;-) Ça me permet d'avoir ainsi, de temps en temps, une bonne idée de ses rapports avec mes concurrents et/ou estimés collègues :-)
Non c'est pareil, c'est une règle d'usage (ce n'est pas une norme, même
avec les guillemets ;-)
Avec la démocratisation de ces outils (surtout les mails) ces règles de
bon sens et fort pratique ont tendance a disparaitre, c'est comme tout.
À un certain niveau, ici comme ailleurs, cela n'a qu'une importance
relative : chacun finissant par choisir avec qui et comment il souhaite
échanger et les limites (les filtres ?) qu'il souhaite y mettre si
certaines manières de faire lui semblent non respectueuses :
- soit d'une certaine logique
- soit d'une certaine élégance
- soit d'un certain formalisme (dans un sens ou dans l'autre d'ailleurs)
- soit de lui-même tout simplement.
C'est comme l'histoire des C.V. à l'endroit ou à l'envers : pour moi une
énumération chronologique doit rester chronologique, c'est ma forme de
« logique » temporelle ...de chrono-logique.
« On » me dit souvent que ce n'est pas la « bonne » manière, que les DRH
attendent un ordre inverse pour savoir dès le début d'où on vient etc.
« Personne » ne dit jamais pour autant qui a édicté cette règle (et
d'autres qui vont avec), à quoi on pourrait lier l'absence d'accents sur
les majuscules et une bonne moitié des légendes urbaines.
Je persiste donc en me disant que s'il n'existe qu'un seul DRH qui
partage ce sentiment avec moi, cela fera sortir mon CV du lot et nous
donnera une bonne chance de nous entendre.
Pour en revenir aux citations, les limites de mon plonkage de malpolis
sont d'ailleurs à géométrie fortement variable (et je soupçonne que les
vôtres aussi quelque définitives que soient vos opinions affichées
ci-dessus !) : je supporte, par exemple, sans la *moindre* objection les
délires de quotes et de multipostages incongrus d'une de mes principales
donneuses d'ordre nippone, Mrs Sukoshi Dekima... ;-)
Ça me permet d'avoir ainsi, de temps en temps, une bonne idée de ses
rapports avec mes concurrents et/ou estimés collègues :-)
Non c'est pareil, c'est une règle d'usage (ce n'est pas une norme, même avec les guillemets ;-) Avec la démocratisation de ces outils (surtout les mails) ces règles de bon sens et fort pratique ont tendance a disparaitre, c'est comme tout.
À un certain niveau, ici comme ailleurs, cela n'a qu'une importance relative : chacun finissant par choisir avec qui et comment il souhaite échanger et les limites (les filtres ?) qu'il souhaite y mettre si certaines manières de faire lui semblent non respectueuses : - soit d'une certaine logique - soit d'une certaine élégance - soit d'un certain formalisme (dans un sens ou dans l'autre d'ailleurs) - soit de lui-même tout simplement.
C'est comme l'histoire des C.V. à l'endroit ou à l'envers : pour moi une énumération chronologique doit rester chronologique, c'est ma forme de « logique » temporelle ...de chrono-logique.
« On » me dit souvent que ce n'est pas la « bonne » manière, que les DRH attendent un ordre inverse pour savoir dès le début d'où on vient etc.
« Personne » ne dit jamais pour autant qui a édicté cette règle (et d'autres qui vont avec), à quoi on pourrait lier l'absence d'accents sur les majuscules et une bonne moitié des légendes urbaines.
Je persiste donc en me disant que s'il n'existe qu'un seul DRH qui partage ce sentiment avec moi, cela fera sortir mon CV du lot et nous donnera une bonne chance de nous entendre.
Pour en revenir aux citations, les limites de mon plonkage de malpolis sont d'ailleurs à géométrie fortement variable (et je soupçonne que les vôtres aussi quelque définitives que soient vos opinions affichées ci-dessus !) : je supporte, par exemple, sans la *moindre* objection les délires de quotes et de multipostages incongrus d'une de mes principales donneuses d'ordre nippone, Mrs Sukoshi Dekima... ;-) Ça me permet d'avoir ainsi, de temps en temps, une bonne idée de ses rapports avec mes concurrents et/ou estimés collègues :-)
-- Gérald
filh
manet wrote:
Ludovic Cynomys wrote:
j'ai lu une histoire comme ça, de propal à un client, lequel client n'avait qu'à plonger le nez dans les annexes successives pour voir le détail de la transaction ;-)))
c'est une histoire très classique d'un gros contrat en millions de dollars qui a foiré parce que le client a pu lire les limites de la négociations au bout du mail..
Et un truc comme ça vient d'arriver à un de mes chefs : il a révélé à tout le monde l'adresse test de notre prochain site internet, qui était censée rester secrete, mais qui trainait au tout début d'un échange de mail avec le concepteur.
Enfin le plus marrant ça a été pour les négociations sur les brevet logiciel où dans le document proposé par les politiques on a retrouvé que c'était un gars de microsoft (je crois) qui avait rédigé le truc :
Ben oui Word garde des traces de révisions...
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
j'ai lu une histoire comme ça, de propal à un client, lequel client
n'avait qu'à plonger le nez dans les annexes successives pour voir le
détail de la transaction ;-)))
c'est une histoire très classique d'un gros contrat en millions de
dollars qui a foiré parce que le client a pu lire les limites de la
négociations au bout du mail..
Et un truc comme ça vient d'arriver à un de mes chefs : il a révélé à
tout le monde l'adresse test de notre prochain site internet, qui était
censée rester secrete, mais qui trainait au tout début d'un échange de
mail avec le concepteur.
Enfin le plus marrant ça a été pour les négociations sur les brevet
logiciel où dans le document proposé par les politiques on a retrouvé
que c'était un gars de microsoft (je crois) qui avait rédigé le truc :
Ben oui Word garde des traces de révisions...
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
j'ai lu une histoire comme ça, de propal à un client, lequel client n'avait qu'à plonger le nez dans les annexes successives pour voir le détail de la transaction ;-)))
c'est une histoire très classique d'un gros contrat en millions de dollars qui a foiré parce que le client a pu lire les limites de la négociations au bout du mail..
Et un truc comme ça vient d'arriver à un de mes chefs : il a révélé à tout le monde l'adresse test de notre prochain site internet, qui était censée rester secrete, mais qui trainait au tout début d'un échange de mail avec le concepteur.
Enfin le plus marrant ça a été pour les négociations sur les brevet logiciel où dans le document proposé par les politiques on a retrouvé que c'était un gars de microsoft (je crois) qui avait rédigé le truc :
Ben oui Word garde des traces de révisions...
FiLH -- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org