Est-ce que quelqu'un comprend comment Ubuntu désigne ses
différentes versions? Aujourd'hui, Distrowatch annonce:
Ubuntu 7.04 Alpha 5
http://distrowatch.com/
Déjà, pourquoi la nouvelle version s'appellera-t-elle 7.04 plutôt
que 7 alors que la précédente, Edgy Eft, était 6.10 ? Y a-t-il
vraiement eu 10 versions différentes de la version 6?
Cinq versions Alpha, est-ce que ça ne fait pas un peu beaucoup?
Est-ce qu'ils ont commencé à 0, ou ils ont fait comme pour la
désignation de la version finale Ubuntu 7.04, ils ont passé le 0
et quelques autres chiffres au hasard.
Avec le lien vers l'annonce sur le site d'Ubuntu, on lit:
"Welcome to Feisty Fawn Herd 5, which will in time become Ubuntu
7.04."
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions qui est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
<<< Le système d'exploitation GECOS-II a été développé par General Electric pour le GE-635, une machine 36 bits, de 1962 à 1964. [...]
Après le rachat de la division des ordinateurs de General Electric par Honeywell, GECOS-III a été rebaptisé GCOS-3, et la ligne de machines renommée H-6000. Plus tard, le marketing d'Honeywell a créé une "Série 60", et renommé le H-6000 en Level-66. Honeywell, avec son associé européen CII-Honeywell Bull, a aussi décidé de lancer une nouvelle ligne de produits "Level 64", qui est devenue ensuite le DPS-7.
Le nom "GCOS" s'est ensuite étendu à toutes les lignes de produits commercialisées par Honeywell et à GCOS-64, un système d'exploitation 32 bits complètement différent, largement inspiré par Multics développe parallèlement par Honeywell et Honeywell-Bull en France et à Boston. GCOS-62, un autre système 32 bits bas de gamme a été conçu en Italie. GCOS 61 était une nouvelle version d'un petit système réalisé en France, et le nouvelle ligne DPS-6 de mini-ordinateurs 16 bits du Massachusetts a pris le nom GCOS-6.
Un autre changement de nom dans les lignes de produits a eu lieu en 1979, le Level-6 devenant le DPS-6 le Level-61 renommé DPS-4, Le Level-64 rebaptisé en DPS-7, et le Level-66 désormais appelé DPS-8. Les systèmes d'exploitation gardèrent le nom commercial GCOS, avec l'introduction de GCOS 6, GCOS 4, GCOS 6 et GCOS 8. Tous ces changements causèrent une certaine confusion chez les clients, parce que la ligne GCOS d'origine, qui s'appelait GCOS-III (ou GCOS-3) était soudainement devenue GCOS 8.
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
MB
ton historique m'intéresse : j'ai fait mes tout premiers débuts en 1970 sur un General Electric - Honeywell Bull appelé GE-53 (cartes perforées, dérouleur de bandes, pas de console) auquel a succédé en 1971 un GE-58 (toujours les cartes perforées, mais une console élémentaire pour le contrôle de processus, et des disque durs de 8"), programmés en GESAL (assembleur General-Electric). Tu situes ces machins là comment, dans la généalogie General-Electric Honeywell ? merci de tes lumières
Michel Billaud a commis :
Michel Campfort <cft1@free.fr> writes:
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions
qui est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique
de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
<<< Le système d'exploitation GECOS-II a été développé par General
Electric pour le GE-635, une machine 36 bits, de 1962 à 1964. [...]
Après le rachat de la division des ordinateurs de General Electric par
Honeywell, GECOS-III a été rebaptisé GCOS-3, et la ligne de machines
renommée H-6000. Plus tard, le marketing d'Honeywell a créé une "Série
60", et renommé le H-6000 en Level-66. Honeywell, avec son associé
européen CII-Honeywell Bull, a aussi décidé de lancer une nouvelle
ligne de produits "Level 64", qui est devenue ensuite le DPS-7.
Le nom "GCOS" s'est ensuite étendu à toutes les lignes de produits
commercialisées par Honeywell et à GCOS-64, un système d'exploitation
32 bits complètement différent, largement inspiré par Multics
développe parallèlement par Honeywell et Honeywell-Bull en France et à
Boston. GCOS-62, un autre système 32 bits bas de gamme a été conçu en
Italie. GCOS 61 était une nouvelle version d'un petit système réalisé
en France, et le nouvelle ligne DPS-6 de mini-ordinateurs 16 bits du
Massachusetts a pris le nom GCOS-6.
Un autre changement de nom dans les lignes de produits a eu lieu en
1979, le Level-6 devenant le DPS-6 le Level-61 renommé DPS-4, Le
Level-64 rebaptisé en DPS-7, et le Level-66 désormais appelé
DPS-8. Les systèmes d'exploitation gardèrent le nom commercial GCOS,
avec l'introduction de GCOS 6, GCOS 4, GCOS 6 et GCOS 8. Tous ces
changements causèrent une certaine confusion chez les clients, parce
que la ligne GCOS d'origine, qui s'appelait GCOS-III (ou GCOS-3) était
soudainement devenue GCOS 8.
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
MB
ton historique m'intéresse :
j'ai fait mes tout premiers débuts en 1970 sur un General Electric -
Honeywell Bull appelé GE-53 (cartes perforées, dérouleur de bandes, pas
de console) auquel a succédé en 1971 un GE-58 (toujours les cartes
perforées, mais une console élémentaire pour le contrôle de processus,
et des disque durs de 8"), programmés en GESAL (assembleur
General-Electric).
Tu situes ces machins là comment, dans la généalogie General-Electric
Honeywell ?
merci de tes lumières
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions qui est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
<<< Le système d'exploitation GECOS-II a été développé par General Electric pour le GE-635, une machine 36 bits, de 1962 à 1964. [...]
Après le rachat de la division des ordinateurs de General Electric par Honeywell, GECOS-III a été rebaptisé GCOS-3, et la ligne de machines renommée H-6000. Plus tard, le marketing d'Honeywell a créé une "Série 60", et renommé le H-6000 en Level-66. Honeywell, avec son associé européen CII-Honeywell Bull, a aussi décidé de lancer une nouvelle ligne de produits "Level 64", qui est devenue ensuite le DPS-7.
Le nom "GCOS" s'est ensuite étendu à toutes les lignes de produits commercialisées par Honeywell et à GCOS-64, un système d'exploitation 32 bits complètement différent, largement inspiré par Multics développe parallèlement par Honeywell et Honeywell-Bull en France et à Boston. GCOS-62, un autre système 32 bits bas de gamme a été conçu en Italie. GCOS 61 était une nouvelle version d'un petit système réalisé en France, et le nouvelle ligne DPS-6 de mini-ordinateurs 16 bits du Massachusetts a pris le nom GCOS-6.
Un autre changement de nom dans les lignes de produits a eu lieu en 1979, le Level-6 devenant le DPS-6 le Level-61 renommé DPS-4, Le Level-64 rebaptisé en DPS-7, et le Level-66 désormais appelé DPS-8. Les systèmes d'exploitation gardèrent le nom commercial GCOS, avec l'introduction de GCOS 6, GCOS 4, GCOS 6 et GCOS 8. Tous ces changements causèrent une certaine confusion chez les clients, parce que la ligne GCOS d'origine, qui s'appelait GCOS-III (ou GCOS-3) était soudainement devenue GCOS 8.
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
MB
ton historique m'intéresse : j'ai fait mes tout premiers débuts en 1970 sur un General Electric - Honeywell Bull appelé GE-53 (cartes perforées, dérouleur de bandes, pas de console) auquel a succédé en 1971 un GE-58 (toujours les cartes perforées, mais une console élémentaire pour le contrôle de processus, et des disque durs de 8"), programmés en GESAL (assembleur General-Electric). Tu situes ces machins là comment, dans la généalogie General-Electric Honeywell ? merci de tes lumières
Patrice Karatchentzeff
Michel Billaud a écrit :
[...]
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
Le Mon, 05 Mar 2007 17:36:29 +0100, Patrice Karatchentzeff a écrit:
Michel Billaud a écrit :
[...]
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
Dans mon souvenir il n'y a pas eu de 6.0, PV a sorti la 7.0 direct...
-- On a droit au retour de Youpla et de SpaceWalker en un seul Meta-Blaireau. Attention les gars, lancez les kill-files, celui-la, c'est un dangeureux. -+- ST -+- Hugo (né il y a 1 352 029 744 secondes)
Le Mon, 05 Mar 2007 17:36:29 +0100, Patrice Karatchentzeff a écrit:
Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
[...]
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont
ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
Dans mon souvenir il n'y a pas eu de 6.0, PV a sorti la 7.0 direct...
--
On a droit au retour de Youpla et de SpaceWalker en un seul
Meta-Blaireau. Attention les gars, lancez les kill-files, celui-la,
c'est un dangeureux. -+- ST -+-
Hugo (né il y a 1 352 029 744 secondes)
Le Mon, 05 Mar 2007 17:36:29 +0100, Patrice Karatchentzeff a écrit:
Michel Billaud a écrit :
[...]
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
Dans mon souvenir il n'y a pas eu de 6.0, PV a sorti la 7.0 direct...
-- On a droit au retour de Youpla et de SpaceWalker en un seul Meta-Blaireau. Attention les gars, lancez les kill-files, celui-la, c'est un dangeureux. -+- ST -+- Hugo (né il y a 1 352 029 744 secondes)
Laurent C.
Le 05-03-2007, Michel Billaud à clamé haut et fort:
Michel Campfort writes:
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions qui est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
[snip l'histoire méconnue mais fort intéressante]
Ca me rappelle dans une moindre mesure les pratiques de Sun avec Solaris/SunOS.
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
Enfin bon le pire à ce petit jeu, c'est encore Microsoft.
-- Laurent C.
Le 05-03-2007, Michel Billaud à clamé haut et fort:
Michel Campfort <cft1@free.fr> writes:
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions qui
est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique
de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
[snip l'histoire méconnue mais fort intéressante]
Ca me rappelle dans une moindre mesure les pratiques de Sun avec
Solaris/SunOS.
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
Enfin bon le pire à ce petit jeu, c'est encore Microsoft.
Le 05-03-2007, Michel Billaud à clamé haut et fort:
Michel Campfort writes:
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions qui est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
[snip l'histoire méconnue mais fort intéressante]
Ca me rappelle dans une moindre mesure les pratiques de Sun avec Solaris/SunOS.
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
Enfin bon le pire à ce petit jeu, c'est encore Microsoft.
-- Laurent C.
Denis Beauregard
Le Mon, 05 Mar 2007 17:36:29 +0100, Patrice Karatchentzeff écrivait dans fr.comp.os.linux.debats:
Michel Billaud a écrit :
[...]
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
Word avait fait des sauts de version. Si je me rappelle bien, on avait word pour windows passant de 2 à 6, mais c'était pour se synchroniser avec d'autres versions (word pour DOS et word pour Macintosh).
Netscape est passé de 4 à 6 parce que la 5 était pourrie. Et on est passé assez vite de 6 à 7.
Firefox est passé de 1 à 1.5, puis 2.
Chaque équipe de développement a sa façon de numéroter les versions et ce qui semble une anomalie de l'extérieur peut parfois s'expliquer.
Denis
Le Mon, 05 Mar 2007 17:36:29 +0100, Patrice Karatchentzeff
<p.karatchentzeff@free.fr> écrivait dans fr.comp.os.linux.debats:
Michel Billaud <billaud@serveur5.labri.fr> a écrit :
[...]
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont
ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
Word avait fait des sauts de version. Si je me rappelle bien,
on avait word pour windows passant de 2 à 6, mais c'était pour
se synchroniser avec d'autres versions (word pour DOS et word
pour Macintosh).
Netscape est passé de 4 à 6 parce que la 5 était pourrie. Et
on est passé assez vite de 6 à 7.
Firefox est passé de 1 à 1.5, puis 2.
Chaque équipe de développement a sa façon de numéroter les versions
et ce qui semble une anomalie de l'extérieur peut parfois s'expliquer.
Le Mon, 05 Mar 2007 17:36:29 +0100, Patrice Karatchentzeff écrivait dans fr.comp.os.linux.debats:
Michel Billaud a écrit :
[...]
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
Word avait fait des sauts de version. Si je me rappelle bien, on avait word pour windows passant de 2 à 6, mais c'était pour se synchroniser avec d'autres versions (word pour DOS et word pour Macintosh).
Netscape est passé de 4 à 6 parce que la 5 était pourrie. Et on est passé assez vite de 6 à 7.
Firefox est passé de 1 à 1.5, puis 2.
Chaque équipe de développement a sa façon de numéroter les versions et ce qui semble une anomalie de l'extérieur peut parfois s'expliquer.
Denis
Michel Campfort
Michel Campfort writes:
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions qui est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
<<< Le système d'exploitation GECOS-II a été développé par General Electric pour le GE-635, une machine 36 bits, de 1962 à 1964. [...]
Il y a longtemps que je ne pissais plus dans mes couches en ces années là :)))
Michel ( vieux déjà )
-- Tuxophiles, bien sûr que nous sommes tuxophiles, et winophobes en plus. Mais il ne faut pas confondre tuxophilie et tuxo-intégrisme, l'amalgame est fait beaucoup trop rapidement par les winophiles-tuxophobes .
Michel Campfort <cft1@free.fr> writes:
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions qui
est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique
de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
<<< Le système d'exploitation GECOS-II a été développé par General
Electric pour le GE-635, une machine 36 bits, de 1962 à 1964. [...]
Il y a longtemps que je ne pissais plus dans mes couches en ces
années là :)))
Michel ( vieux déjà )
--
Tuxophiles, bien sûr que nous sommes tuxophiles, et winophobes en plus.
Mais il ne faut pas confondre tuxophilie et tuxo-intégrisme, l'amalgame
est fait beaucoup trop rapidement par les winophiles-tuxophobes .
Là , je crois que tu as raison , c'est la numérotation des versions qui est le principal problème des débutants . . . Faut qu'ça change !
Il y a eu des précédents saignants dans l'histoire de l'informatique de quand vous étiez pas nés (comme les poissons)
http://fr.wikipedia.org/wiki/GCOS
<<< Le système d'exploitation GECOS-II a été développé par General Electric pour le GE-635, une machine 36 bits, de 1962 à 1964. [...]
Il y a longtemps que je ne pissais plus dans mes couches en ces années là :)))
Michel ( vieux déjà )
-- Tuxophiles, bien sûr que nous sommes tuxophiles, et winophobes en plus. Mais il ne faut pas confondre tuxophilie et tuxo-intégrisme, l'amalgame est fait beaucoup trop rapidement par les winophiles-tuxophobes .
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
A la 7. Mais sinon, oui. Et ca pourrait recommencer:
So, here's to all of you, and thanks for a great ten years! (hey, maybe that's a good excuse to inflate the version number again! No, just kidding. :-)
Il n'y a bien que solaris qui ai saute une plus grosse marche pour passer de la 2.6 a la 7. -- Kevin
Le 05-03-2007, Patrice Karatchentzeff <p.karatchentzeff@free.fr> a écrit :
Voir aussi Slackware versions 5.0 et 6.0.
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont
ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
A la 7. Mais sinon, oui. Et ca pourrait recommencer:
So, here's to all of you, and thanks for a great ten years! (hey,
maybe that's a good excuse to inflate the version number again! No,
just kidding. :-)
Il n'y a bien que solaris qui ai saute une plus grosse marche pour passer
de la 2.6 a la 7.
--
Kevin
La version 5.x n'a jamais existé : chez Slackware, ils sont ridiculement passé de la 4.x à la 6.0 pour jouer à la plus grosse.
A la 7. Mais sinon, oui. Et ca pourrait recommencer:
So, here's to all of you, and thanks for a great ten years! (hey, maybe that's a good excuse to inflate the version number again! No, just kidding. :-)
Il n'y a bien que solaris qui ai saute une plus grosse marche pour passer de la 2.6 a la 7. -- Kevin
izatis
Denis Beauregard wrote:
Chaque équipe de développement a sa façon de numéroter les versions et ce qui semble une anomalie de l'extérieur peut parfois s'expliquer.
Latex doit etre a la version 3.141592 . Le jour ou la 4.0 sortira, c'est que ca ne tournera plus rond ;)
A quand une notation exponentielle pour les numeros de version ?
-- Izatis
Denis Beauregard wrote:
Chaque équipe de développement a sa façon de numéroter les versions
et ce qui semble une anomalie de l'extérieur peut parfois s'expliquer.
Latex doit etre a la version 3.141592 . Le jour ou la 4.0 sortira, c'est
que ca ne tournera plus rond ;)
A quand une notation exponentielle pour les numeros de version ?