quel mot tu ne
comprends pas dans ma phrase ?
quel mot tu ne
comprends pas dans ma phrase ?
quel mot tu ne
comprends pas dans ma phrase ?
Le Sun, 04 Sep 2011 05:06:46 +0000, Frederic Bezies a écrit :quel mot tu ne
comprends pas dans ma phrase ?
Gl4nd4 ? Aucun mot.
Le Sun, 04 Sep 2011 05:06:46 +0000, Frederic Bezies a écrit :
quel mot tu ne
comprends pas dans ma phrase ?
Gl4nd4 ? Aucun mot.
Le Sun, 04 Sep 2011 05:06:46 +0000, Frederic Bezies a écrit :quel mot tu ne
comprends pas dans ma phrase ?
Gl4nd4 ? Aucun mot.
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
On 2011-09-03, ptilou wrote:
> Bonsoir,
> Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
On 2011-09-03, ptilou <pti...@gmail.com> wrote:
> Bonsoir,
> Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
On 2011-09-03, ptilou wrote:
> Bonsoir,
> Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:On 2011-09-03, ptilou wrote:
> Bonsoir,
> Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena <lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-09-03, ptilou <pti...@gmail.com> wrote:
> Bonsoir,
> Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:On 2011-09-03, ptilou wrote:
> Bonsoir,
> Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
On 2011-09-05, ptilou wrote:Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:On 2011-09-03, ptilou wrote:Bonsoir,Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
On 2011-09-05, ptilou<ptilou@gmail.com> wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena<lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-09-03, ptilou<pti...@gmail.com> wrote:
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
On 2011-09-05, ptilou wrote:Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:On 2011-09-03, ptilou wrote:Bonsoir,Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Le 09/05/11 12:30, Helena a écrit :On 2011-09-05, ptilou wrote:Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:On 2011-09-03, ptilou wrote:Bonsoir,Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte:
<http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Le 09/05/11 12:30, Helena a écrit :
On 2011-09-05, ptilou<ptilou@gmail.com> wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena<lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-09-03, ptilou<pti...@gmail.com> wrote:
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte:
<http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Le 09/05/11 12:30, Helena a écrit :On 2011-09-05, ptilou wrote:Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:On 2011-09-03, ptilou wrote:Bonsoir,Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte:
<http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe
pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée
(pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe
pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée
(pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe
pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée
(pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
On 2011-09-05, ptilou wrote:Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:On 2011-09-03, ptilou wrote:Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en user land le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les dev s
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et /ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéo logie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramèn e tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'auta nt
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
On 2011-09-05, ptilou <ptilou@gmail.com> wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena <lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-09-03, ptilou <pti...@gmail.com> wrote:
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en user land le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les dev s
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et /ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéo logie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramèn e tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'auta nt
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
On 2011-09-05, ptilou wrote:Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:On 2011-09-03, ptilou wrote:Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en user land le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les dev s
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et /ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéo logie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramèn e tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'auta nt
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).