Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Ptilou
Helena
On 2011-09-05, ptilou wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:
On 2011-09-03, ptilou wrote:
> Bonsoir,
> Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
On 2011-09-05, ptilou <ptilou@gmail.com> wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena <lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-09-03, ptilou <pti...@gmail.com> wrote:
> Bonsoir,
> Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
yves
Le 09/05/11 12:30, Helena a écrit :
On 2011-09-05, ptilou wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:
On 2011-09-03, ptilou wrote:
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte: <http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Le 09/05/11 12:30, Helena a écrit :
On 2011-09-05, ptilou<ptilou@gmail.com> wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena<lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-09-03, ptilou<pti...@gmail.com> wrote:
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte:
<http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte: <http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
yves
Le 09/05/11 12:39, yves a écrit :
Le 09/05/11 12:30, Helena a écrit :
On 2011-09-05, ptilou wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:
On 2011-09-03, ptilou wrote:
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte: <http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
Je voulais dire Debian bien sur
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Le 09/05/11 12:39, yves a écrit :
Le 09/05/11 12:30, Helena a écrit :
On 2011-09-05, ptilou<ptilou@gmail.com> wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena<lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-09-03, ptilou<pti...@gmail.com> wrote:
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte:
<http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
Je voulais dire Debian bien sur
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Ici les architectures que Debien supporte: <http://www.debian.org/doc/FAQ/ch-compat.fr.html>
Je voulais dire Debian bien sur
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Emmanuel Florac
Le Mon, 05 Sep 2011 10:30:09 +0000, Helena a écrit:
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
Je suis à la fois tout à fait d'accord et en même temps pas vraiment d'accord, comme c'est amusant...
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le sont en kernel-land.
Vrai. Mais... c'est aussi le côté pragmatique de Linux (voir la discussion Tannenbaum/Torvalds sur les mérites des micronoyaux...)
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
C'est vrai. Indéniablement. D'un autre côté ça signifie aussi que des drivers qui auraient été orphelins depuis belle lurette fonctionnent toujours et ça c'est quand même bien.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Mouais.... Tu as oublié ARM. D'un autre côté, hors x86 et ARM, je crois qu'on peut dire que les autres plateformes meurent à petit feu alors...
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
Ça c'est vrai, rien à dire.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
C'est vrai. C'est GNU/Linux, quoi, merde.
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Des limites quand même assez larges. Puis c'est quand même bien d'avoir un front uni, ça participe de la force de frappe relative de Linux.
-- Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes doivent avoir aussi leurs règles. Kaid Ahmed.
Le Mon, 05 Sep 2011 10:30:09 +0000, Helena a écrit:
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
Je suis à la fois tout à fait d'accord et en même temps pas vraiment
d'accord, comme c'est amusant...
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le
sont en kernel-land.
Vrai. Mais... c'est aussi le côté pragmatique de Linux (voir la
discussion Tannenbaum/Torvalds sur les mérites des micronoyaux...)
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
C'est vrai. Indéniablement. D'un autre côté ça signifie aussi que des
drivers qui auraient été orphelins depuis belle lurette fonctionnent
toujours et ça c'est quand même bien.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Mouais.... Tu as oublié ARM. D'un autre côté, hors x86 et ARM, je crois
qu'on peut dire que les autres plateformes meurent à petit feu alors...
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
Ça c'est vrai, rien à dire.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe
pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée
(pourtant Debian y arrive très bien).
C'est vrai. C'est GNU/Linux, quoi, merde.
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Des limites quand même assez larges. Puis c'est quand même bien d'avoir
un front uni, ça participe de la force de frappe relative de Linux.
--
Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes
doivent avoir aussi leurs règles.
Kaid Ahmed.
Le Mon, 05 Sep 2011 10:30:09 +0000, Helena a écrit:
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
Je suis à la fois tout à fait d'accord et en même temps pas vraiment d'accord, comme c'est amusant...
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en userland le sont en kernel-land.
Vrai. Mais... c'est aussi le côté pragmatique de Linux (voir la discussion Tannenbaum/Torvalds sur les mérites des micronoyaux...)
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les devs d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
C'est vrai. Indéniablement. D'un autre côté ça signifie aussi que des drivers qui auraient été orphelins depuis belle lurette fonctionnent toujours et ça c'est quand même bien.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et/ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
Mouais.... Tu as oublié ARM. D'un autre côté, hors x86 et ARM, je crois qu'on peut dire que les autres plateformes meurent à petit feu alors...
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéologie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
Ça c'est vrai, rien à dire.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramène tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
C'est vrai. C'est GNU/Linux, quoi, merde.
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'autant d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
Des limites quand même assez larges. Puis c'est quand même bien d'avoir un front uni, ça participe de la force de frappe relative de Linux.
-- Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes doivent avoir aussi leurs règles. Kaid Ahmed.
remy
Helena a écrit :
On 2011-09-05, ptilou wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena wrote:
On 2011-09-03, ptilou wrote:
Bonsoir, Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en user land le sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les dev s d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et /ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéo logie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramèn e tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'auta nt d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
7. introduire un peut de programmation objet au niveaux des drivers pour ne pas a subir les changements d'api
ben merde quoi c'est deja assez chiant a apprendre si en plus il change les apis tout les quatre matin hein ...
remy
-- http://remyaumeunier.chez-alice.fr/
Helena a écrit :
On 2011-09-05, ptilou <ptilou@gmail.com> wrote:
Bonjour,
On 5 sep, 11:46, Helena <lna57...@gmail.com> wrote:
On 2011-09-03, ptilou <pti...@gmail.com> wrote:
Bonsoir,
Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du
comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un
noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en user land le
sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux
phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les dev s
d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne
aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs
qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et
Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et /ou
le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin,
sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéo logie
même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non
audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramèn e tout
le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème
opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il
n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution
Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au
grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'auta nt
d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
7. introduire un peut de programmation objet au niveaux des drivers
pour ne pas a subir les changements d'api
ben merde quoi c'est deja assez chiant a apprendre si en plus il change
les apis tout les quatre matin hein ...
Bonsoir, Merci d'exprimer votre accord ou désaccord !
Pas d'accord.
Peut tu nous faire l'honneur d'une ptit diserte, sur le pourquoi du comment ?
Linux est un gros machin qui dépasse largement ce que devrait être un noyau, ce qui est problématique à plusieurs points de vue :
1. Beaucoup trop de choses qui devraient être implémentée en user land le sont en kernel-land.
2. L'intégration systématique des drivers dans le "projet" Linux phagocyte le développement libre desdits drivers en forçant les dev s d'autres OS à retrofiter constamment toutes les modifs. Ca concerne aussi des choses de plus haut niveau comme les mixers et plein d'APIs qui n'ont rien à foutre dans un noyau.
3. Le schéma de développement est complètement orienté features et Intel/AMD. Si tu veux un truc feature-stable et/ou de la stabilité et /ou le faire tourner sur un proc plus exotique, sois tu passes ton chemin, sois tu te tappes des montagnes de patchs à gérer.
4. Les firmwares qui vont complètement à contre courant de l'idéo logie même de Linux et qui permet aux constructeurs de fourrer du code non audité directement dans un projet libre.
5. La pub éhontée faite autour du noyau et du nom Linux qui ramèn e tout le crédit normalement du aux distributions et à l'écosystème opensource/libre/gnu au seul noyau. Et qui laisse croire qu'il n'existe pas autre chose que Linux pour faire tourner une distribution Gnu-basée (pourtant Debian y arrive très bien).
6. Enfin l'unicité du noyau dans les distributions qui laisse croire au grand public que tout est Linux alors qu'ils s'agit réellement d'auta nt d'OS différents et inter-compatibles (dans certaines limites).
7. introduire un peut de programmation objet au niveaux des drivers pour ne pas a subir les changements d'api
ben merde quoi c'est deja assez chiant a apprendre si en plus il change les apis tout les quatre matin hein ...