dans ce post, je vais vous dire pourquoi linux est mauvais, bien que
tout le monde le sache deja. or, si les defauts de linux sont si
evidents, pourquoi personne ne s'en rend compte ? c'est ce que je
developperai dans une seconde partie. ensuite, dans une troisieme
partie, je listerai les excuses les plus courantes pour ne pas
reconnaitre que linux est mauvais. enfin, dans une derniere partie, je
vous raconterai quelques anecdotes a propos de linux.
########################
# 1. linux est mauvais #
########################
a) mauvaise IHM
===============
pourquoi est-ce mauvais ? meme un cretin de windowsien est capable d'y
repondre : "parce que c'est trop dur a utiliser".
citons quelques exemples :
- les boites de dialogues qui ne se rafraichissent pas
- les boutons qui ne marchent pas
- les controles qui n'ont aucun effet
- l'installation de logiciel ne cree pas d'icone, ni de groupe, ni
d'entree de desinstallation visible
- c'est tellement laborieux qu'il faut toujours lire la doc
- ca ne marche pas bien que l'on ait fait exactement ce que dit la doc
- correction de code source, recompilation de noyau, ...
etc.
voila. je ne developpe pas trop ce point, car vous ne le connaissez
que trop bien.
b) mauvaise IHM = mauvais ?
===========================
la mauvaise IHM est-elle suffisante pour dire que linux est mauvais ?
reponse : oui. il faut garder en tete qu'un ordinateur est fait pour
etre UTILISE. le fait d'avoir du mal ou de ne pas arriver a l'utiliser
est donc un GRAVE DEFAUT.
de nos jours, la technologie est capable de permettre a n'importe qui
d'utiliser un ordinateur LES DOIGTS DANS LE NEZ ! linux en est encore
loin.
##############################################
# 2. pourquoi tout le monde est-il aveugle ? #
##############################################
a) fierte personnelle
=====================
linux est plus difficile a utiliser. il y a donc plus de fierte a
arriver a le faire fonctionner. c'est d'ailleurs pourquoi on a vite
fait de traiter les windowsiens de "cretins". on les sent tellement
inferieurs a nous...
bien evidemment, cette fierte est inconsciente. si on en etait
conscient, elle ne pourrait pas nous aveugler.
b) la joie
==========
outre le fait que cet OS laborieux satisfasse notre orgueil, il nous
procure aussi de la joie : en effet, lorsque l'on trouve la solution
pour installer sa carte son apres avoir galere pendant un mois, on est
CONTENT.
cette joie nous encourage et nous aveugle. apres une telle reussite,
peu sont encore capables de voir qu'ils ont perdu 1 mois. on va plutot
aller voir le copain et tout heureux, on lui dit :
"J'AI REUSSI A FAIRE MARCHER MA CARTE SON SOUS LINUX !!!!!!!!!!"
bref, aucun esprit critique sur le mois perdu.
c) le plaisir
=============
l'informatique, c'est INTERESSANT comme domaine. c'est INTERESSANT de
savoir comment ca marche, meme si on n'a pas besoin de savoir. cette
passion pour l'informatique nous fait elle-aussi prendre les galeres
linuxiennes pour des qualites. en effet, ces galeres nous font
explorer les bas fonds de l'informatique, ce qui est un plaisir.
d) la convoitise
================
avoir linux, c'est moins courant que d'avoir windows. ca fait
"nouveau" dans les yeux. en somme, ca rend jaloux le voisin, et ca
permet de faire le blaireau devant les copains. voila encore quelque
chose qui seduit inconsciemment les gens.
remarque : les points que je viens d'enumerer sont DEBILES, dans le
sens ou il faudrait etre DEBILE pour tomber dans des pieges pareils !
pourtant, c'est bien dans ceux-la que nous tombons.
e) aucun borgne au pays des aveugles
====================================
PERSONNE n'est la pour ouvrir les yeux aux linuxiens. plus d'un
windowsien est venu critiquer linux. ils se sont vite fait calmer : ne
connaissant pas suffisamment linux pour le critiquer, et ont vite ete
vaincus.
passons a la seconde categorie de windowsiens, ceux qui se sont
SERIEUSEMENT mis a linux. la difference de convivialite devrait leur
sauter aux yeux, et leurs critiques devraient permettre d'ouvrir les
yeux aux linuxiens... QUE NENNI ! les voila eux-aussi tombes amoureux
de linux. les windowsiens ne sont pas plus intelligents que les
linuxiens : ils sont eux-aussi tombes dans les memes pieges.
resultat : aucun borgne au pays des aveugles.
########################
# 3. defendons linux ! #
########################
maintenant que l'on est tombes sous le charme de linux, on perd
totalement notre objectivite. on n'est plus capable de reconnaitre la
verite. on defendra linux envers et contre tout ! cela nous amene a
dire beaucoup de betises...
a) attaque : "c'est trop laborieux a utiliser linux !"
======================================================
ce que l'on repond souvent dans ce cas-la, c'est :
"c'est parce que t'es pas assez intelligent pour l'utiliser !".
ainsi, on s'attaque aux sentiments personnels du windowsien. il va
repondre : "moi ? pas intelligent ?". il va commencer a nous sortir
les ecoles par lesquels il est passe, ses notes scolaires, sa position
dans le classement, ses resultats aux tests de QI qui circulent sur le
NET... etc.
c'est lamentable de voir des discussions derailler ainsi.
l'affirmation initiale etait pourtant vraie : c'est trop laborieux a
utiliser. si on a besoin d'etre INTELLIGENT pour pouvoir utiliser
linux, c'est mauvais. un bon OS devrait etre utilisable par n'importe
qui.
b) intelligence
===============
avant de passer a la prochaine replique, je vais dire un mot sur
l'intelligence. est-il vrai qu'il faille etre INTELLIGENT pour
utiliser linux ? reponse : oui sur un certain plan, et non sur un
autre.
un mot qui conviendrait peut-etre mieux, c'est le mot PERSEVERANT.
comme linux est plus difficile a utiliser, il faut etre plus
PERSEVERANT. l'intelligence a egalement a voir, puisque l'on doit
COMPRENDRE le fonctionnement pour pouvoir s'en sortir sous linux.
par contre, sur le plan du bon sens, il faut etre BETE pour ne pas se
rendre compte que c'est un defaut d'avoir besoin d'intelligence, ou de
perseverance pour utiliser un OS. l'homme a cree la machine pour que
la machine lui rende service. la machine est POTENTIELLEMENT capable
de nous eviter de galerer dans toutes ces configurations linuxiennes.
si on a besoin d'etre INTELLIGENT, c'est que la machine n'a pas fait
une partie de son travail, et qu'on doit le faire a sa place. si on
doit s'adapter a la machine, c'est que la machine est mauvaise. c'est
la machine qui doit s'adapter a l'homme.
c) un OS de developpeur
=======================
un linuxien plus calme repond autrement a cette attaque en a). il
n'essaye pas de mettre le feu. il dit :
"chacun ses gouts, chacun son avis, chacun ses besoins. cet OS ne te
satisfait pas, il n'est pas fait pour toi. c'est un OS de
developpeurs, et pour un developpeur, c'est de la rigolade de resoudre
toutes ces peripeties."
meme si le ton est plus calme, ce linuxien pense tout de meme : "1 OS
pour chacun, 1 pour les gens intelligents, 1 pour les cretins !".
c'est donc toujours le meme probleme d'intelligence !
comme j'ai deja suffisamment parle de l'intelligence, je ne recommence
pas, mais je vais parler du fait d'etre developpeur : meme pour un
developpeur (ou d'un expert linux), une galere reste une galere;
eux-aussi passent par des moyens classiques pour installer leur OS.
exemple : telechargement des drivers, compilation des drivers,
chargement des drivers. quand les drivers distribues ne marchent pas,
ils perdent egalement du temps.
donc, meme si on est developpeur, on a besoin d'un bon OS. je dirais
meme que pour pouvoir developper en paix, on a besoin que l'OS nous
fiche la paix avec ses problemes de fonctionnement.
je laisse de cote les autres erreurs de l'affirmation.
d) la reponse du paresseux
==========================
voici la reponse du linuxien paresseux. il n'a pas envie de discuter,
ni de defendre linux. il repond :
"retourne sous windows !"
en effet, si on prefere windows, pourquoi venir sous linux ?
je ne repondrai pas a cette derniere question afin de ne pas perdre le
sujet de vue : lors de cette replique, un defaut de linux a ete cite,
et n'a pas ete contredit. c'est ce qu'aucun linuxien ne voit jamais
lorsqu'il repond "retourne sous windows". apres le passage de ce
windowsien, ce linuxien n'aura toujours pas pris conscience du defaut
cite.
e) la reponse du developpeur
============================
"quelque chose ne te convient pas sous linux ? eh bien ameliore-le !
prend le code source, et modifie ce que tu veux dedans !"
la encore, c'est la meme erreur : le developpeur n'a pas contredit le
defaut. il suggere une "solution" en se gardant de reconnaitre que
defaut il y a. apres le passage de ce windowsien, ce developpeur
n'aura pas pris conscience d'un quelconque defaut, lui non plus. le
cerveau d'un humain n'est decidement qu'une PASSOIRE !
voila encore une reponse linuxienne typique. lire le manuel est
pourtant quelque chose de naturel a faire. seulement, ils sont souvent
tres mals ecrits. par exemple, lorsque le manuel donne une liste par
ordre alphabetique des directives possibles a mettre dans les fichiers
de configuration. d'autres donnent la grammaire (au sens de la theorie
des langages) du fichier de configuration... INUTILISABLE !
bien sur, le fait d'etre oblige de lire le manuel est deja un defaut
par rapport aux logiciels intuitifs que l'on peut prendre en main sans
avoir a apprendre le lexique et la syntaxe du fichier de
configuration par coeur...
cet etat de conscience par rapport a linux, je vis en permanence
la-dedans. si ces choses sont des revelations pour vous, ce sont de
grosses evidences pour moi. ca me fatigue quand je vais voir des
linuxiens, et qu'ils sont a l'image que je me fais d'eux : ils sont en
plein dans les defauts que je critique, et ne voient absolument pas ou
est leur erreur.
a) utiliser sans rien comprendre
================================
voici la premiere anecdote. c'est la plus recente qui m'est arrivee :
je suis alle sur un canal de linuxiens, et j'ai demande une IHM pour
me faciliter l'utilisation d'un logiciel trop laborieux a mon gout.
apres quelques etincelles "windows vs linux", l'un d'eux m'a dit qu'il
avait l'impression que je voulais faire des tas de trucs sans rien
comprendre a la technique.
je saisissais bien sur tout ce qu'il sous-entendait par cette
remarque. c'etait desolant de voir un linuxien autant dans l'erreur...
dans une erreur qui est tellement evidente pour moi, et completement
invisible aux yeux de l'individu... il m'a encore fait plus de peine
en insistant pour que je lui dise de quelle erreur il s'agissait... il
ne voyait vraiment pas.
pour lui, il faut absolument COMPRENDRE la technique pour pouvoir
utiliser, c'est-a-dire, comprendre comment ca marche. or, d'apres ce
que j'ai dit precedemment, on sait bien que ce n'est pas necessaire.
c'est meme un defaut d'etre oblige de comprendre. de plus, c'est tout
a fait naturel de vouloir utiliser sans comprendre. c'est le but des
machines, de l'informatique : on utilise une voiture sans comprendre
comment elle fonctionne, on utilise un logiciel sans savoir sous
quelle forme sont stockees les donnees, on utilise des fonctions de
librairies dont on n'a jamais regarde le code source, etc.
pour ce linuxien, le fait de se croire plus intelligent (parce que
l'on comprend tout) lui a completement fait perdre de vue l'objectif
de base de la creation de logiciels. voyez comme ces problemes
psychologiques peuvent mener loin.
b) le genie linuxien
====================
j'ai recemment entendu parler d'un genie linuxien-philosophe qui a
obtenu son doctorat a 20 ans. 4 ans plus tard, il sort un article ou
il parle du monde libre. je me suis dit : "on va enfin avoir l'avis
d'un etre superieur..."
resultat : c'etait LAMENTABLE ! il a sorti toutes les betises qu'un
linuxien ordinaire aurait dites ! il etait lui-aussi completement
tombe dans les pieges linuxiens ! et dire que c'est un genie,
c'est-a-dire, le meilleur d'entre vous !
l'une des expressions que j'ai retenues, c'etait : "un monde plus
humain" (les mots pour faire la grosse pub a linux...). ce qu'il
voulait dire par ces mots, c'est qu'il y avait un meilleur contact
entre humains : l'utilisateur peut plus facilement contacter le
developpeur, soumettre une modification au code, ameliorer le
logiciel, etc. je ne le contredirai pas la-dessus.
seulement, l'expression "un monde plus humain" ne me convient pas, car
cet environnement n'est pas adapte a un humain, puisqu'il n'est pas
intuitif. d'un autre point de vue, cette expression convient bien, si
on veut la comprendre dans le sens "un monde COMPOSE d'humains". en
effet, comme la machine ne fait pas son travail, ce sont les humains
qui doivent le faire a sa place.
c) discussion entre linuxiens
=============================
j'ai surpris une discussion entre linuxiens un jour. j'ai bien sur ete
navre : ils etaient toujours a l'image que je me faisais d'eux,
toujours dans la meme erreur, et tres loin d'en sortir. ils parlaient
du deploiement de linux, de faire connaitre linux aux gens, de les
former a cet OS... completement a cote de la plaque... ce n'est pas
les gens qu'il faut former ! c'est l'OS qui doit nous obeir, et pas le
contraire !
s'ils parlent de "former les gens a linux", c'est qu'ils savent
pourtant que linux est dur a prendre en main. pourquoi ne parlent-ils
pas plutot d'AMELIORER linux ?
ainsi, c'est a nous de nous adapter a la machine. nous devenons petit
a petit l'esclave de la machine. on pensait que la machine aurait
besoin d'IA pour pouvoir nous dominer, mais en fait, c'est inutile,
elle y arrive deja.
si on reconnaissait enfin les defauts de linux afin de pouvoir les
corriger, alors peut-etre qu'un jour, linux deviendrait reellement un
bon OS, et ne se contenterait plus de satisfaire les gens qui ont des
problemes affectifs.
---
remarque : en fait, ce n'est pas vraiment linux que j'ai critique,
mais tout le monde libre.
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait, le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
---
Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en dansant autour du totem. Affligeant.
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de l'époque.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font peur aux entreprises. Vous croyez défendre une cause mais vous vous tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une Église.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage, susucre." de E. Florac.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en moins de 24 heures. C'est automatique.
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Bonne contemplation de nombril.
-- Patrick Philippot - Microsoft MVP MainSoft Consulting Services www.mainsoft.fr
Thierry wrote:
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions
Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne
vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des
entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est
indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une
concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment
structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales
aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des
entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas
parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font
rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait,
le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité
que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que
cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des
coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le
prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente
que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de
journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que
pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS
est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
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Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui
travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non
grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté
informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en
dansant autour du totem. Affligeant.
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre
dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et
modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur
de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la
figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier
pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas
quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas
de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de
l'époque.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font
peur aux entreprises. Vous croyez défendre une cause mais vous vous
tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables
d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée
de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu
tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des
entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une
Église.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste
à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en
vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se
passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à
longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement
infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est
ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit
systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par
des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage,
susucre." de E. Florac.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est
une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce
n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un
troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en
moins de 24 heures. C'est automatique.
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes
largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous
sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et
de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez
l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Bonne contemplation de nombril.
--
Patrick Philippot - Microsoft MVP
MainSoft Consulting Services
www.mainsoft.fr
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait, le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
---
Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en dansant autour du totem. Affligeant.
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de l'époque.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font peur aux entreprises. Vous croyez défendre une cause mais vous vous tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une Église.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage, susucre." de E. Florac.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en moins de 24 heures. C'est automatique.
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Bonne contemplation de nombril.
-- Patrick Philippot - Microsoft MVP MainSoft Consulting Services www.mainsoft.fr
JKB
Le 26-09-2004, à propos de Re: linux = mauvais, Patrick Philippot écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Thierry wrote:
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait, le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
Alors là, je me marre ! Je bosse dans la recherche depuis quelques années, avec des universités et des entreprises, et j'écris des algorithmes assez pointus pour couper les cheveux du traitement du signal en quatre.
1/ Je n'ai _jamais_ vu une machine windows bien administrée ; 2/ Les softs qui tournent sur une version de l'inénarrable windows tournent mal ou pas du tout sous une autre version (problème des révisions successives et subtilement incompatibles entre elles des Visual C++ et consort) ; 3/ Il est impossible de lancer des calculs de plusieurs semaines sur une machine sans poser un cierge à Saint Jude, patron des causes perdues (pour les reboots intempestifs ou obligatoires).
J'ai passé des semaines à réécrire des bouts de code qui fonctionnaient sous tous les Unices des universités pour que cela fonctionne chez un partenaire industriel. Windows n'est qu'une solution d'apparente facilité qui ne reste dans les entreprises que parce que la majorité des décideurs sont incompétents dans le domaine informatique et que l'interface graphique est censée être moderne.
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Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en dansant autour du totem. Affligeant.
Je sui prêts à acheter des licences OS/2 (ou ECs) une fortune plutôt qu'une seule licence Windows. Si le produit était à la _hauteur_ de son prix (toutes charges incluses, update matériel, réécriture des softs internes, upgrade office et j'en passe) et à peu près administrable correctement (vrai shell, vrai accès à distance et sécurité correcte), je pourrai réviser ma position. Pour l'instant, Windows ressemble assez à l'accessoire philosophique des shadoks (la passoire).
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de l'époque.
Non, ça ne mérite pas de coups de pied au cul. D'autant qu'IBM a souvent fait progresser l'informatique, ce qui n'est pas le cas de Microsoft.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font peur aux entreprises.
Non, ce qui fait peur aux décideurs, c'est de ne pas avoir une personne bien identifiée à engueuler lorsqu'un soft libre plante. Avec un support commercial, vous avez l'illusion d'avoir quelqu'un à engueuler, cela change tout. Personnellement, j'ai trouvé un certain nombre de bugs scabreux dans Visual C++ (au niveau des passages des paramètres lors de l'appel de fonctions, avec une pile qui se marchait sans vergogne sur les pieds). Cela n'a pas été corrigé depuis, malgré un bug report datant de 2000.
Vous croyez défendre une cause mais vous vous tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une Église.
La communauté ne demande rien à personne.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est
Oh ! Vous voulez que l'on discute des sources de NT4 ? J'ai eu une licence source pour l'installation du bouzin sur un octopro PPro et j'ai jeté un oeil. Si un étudiant m'écrivait un jour un code pareil, il passerait directement à la porte ! Et on s'étonne que cela fonctionne moyennement !
ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage, susucre." de E. Florac.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en moins de 24 heures. C'est automatique.
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Juste une remarque... Les nombreuses attaques de Linux (et des autres OS alternatifs) prouvent que Microsoft en a une peur bleue.
Bonne contemplation de nombril.
Je vous retourne le compliment.
JKB
Le 26-09-2004, à propos de
Re: linux = mauvais,
Patrick Philippot écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Thierry wrote:
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions
Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne
vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des
entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est
indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une
concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment
structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales
aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des
entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas
parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font
rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait,
le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité
que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que
cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des
coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le
prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente
que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de
journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que
pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS
est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
Alors là, je me marre ! Je bosse dans la recherche depuis quelques
années, avec des universités et des entreprises, et j'écris des
algorithmes assez pointus pour couper les cheveux du traitement du
signal en quatre.
1/ Je n'ai _jamais_ vu une machine windows bien administrée ;
2/ Les softs qui tournent sur une version de l'inénarrable windows
tournent mal ou pas du tout sous une autre version (problème des
révisions successives et subtilement incompatibles entre elles des
Visual C++ et consort) ;
3/ Il est impossible de lancer des calculs de plusieurs semaines sur
une machine sans poser un cierge à Saint Jude, patron des causes
perdues (pour les reboots intempestifs ou obligatoires).
J'ai passé des semaines à réécrire des bouts de code qui
fonctionnaient sous tous les Unices des universités pour que cela
fonctionne chez un partenaire industriel. Windows n'est qu'une
solution d'apparente facilité qui ne reste dans les entreprises que
parce que la majorité des décideurs sont incompétents dans le
domaine informatique et que l'interface graphique est censée être
moderne.
---
Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui
travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non
grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté
informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en
dansant autour du totem. Affligeant.
Je sui prêts à acheter des licences OS/2 (ou ECs) une fortune plutôt
qu'une seule licence Windows. Si le produit était à la _hauteur_ de
son prix (toutes charges incluses, update matériel, réécriture des
softs internes, upgrade office et j'en passe) et à peu près
administrable correctement (vrai shell, vrai accès à distance et
sécurité correcte), je pourrai réviser ma position. Pour l'instant,
Windows ressemble assez à l'accessoire philosophique des shadoks (la
passoire).
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre
dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et
modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur
de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la
figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier
pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas
quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas
de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de
l'époque.
Non, ça ne mérite pas de coups de pied au cul. D'autant qu'IBM a
souvent fait progresser l'informatique, ce qui n'est pas le cas de
Microsoft.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font
peur aux entreprises.
Non, ce qui fait peur aux décideurs, c'est de ne pas avoir une
personne bien identifiée à engueuler lorsqu'un soft libre plante.
Avec un support commercial, vous avez l'illusion d'avoir quelqu'un à
engueuler, cela change tout. Personnellement, j'ai trouvé un certain
nombre de bugs scabreux dans Visual C++ (au niveau des passages des
paramètres lors de l'appel de fonctions, avec une pile qui se
marchait sans vergogne sur les pieds). Cela n'a pas été corrigé
depuis, malgré un bug report datant de 2000.
Vous croyez défendre une cause mais vous vous
tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables
d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée
de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu
tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des
entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une
Église.
La communauté ne demande rien à personne.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste
à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en
vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se
passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à
longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement
infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est
Oh ! Vous voulez que l'on discute des sources de NT4 ? J'ai eu une
licence source pour l'installation du bouzin sur un octopro PPro et
j'ai jeté un oeil. Si un étudiant m'écrivait un jour un code pareil,
il passerait directement à la porte ! Et on s'étonne que cela
fonctionne moyennement !
ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit
systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par
des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage,
susucre." de E. Florac.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est
une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce
n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un
troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en
moins de 24 heures. C'est automatique.
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes
largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous
sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et
de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez
l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Juste une remarque... Les nombreuses attaques de Linux (et des
autres OS alternatifs) prouvent que Microsoft en a une peur bleue.
Le 26-09-2004, à propos de Re: linux = mauvais, Patrick Philippot écrivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Thierry wrote:
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait, le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
Alors là, je me marre ! Je bosse dans la recherche depuis quelques années, avec des universités et des entreprises, et j'écris des algorithmes assez pointus pour couper les cheveux du traitement du signal en quatre.
1/ Je n'ai _jamais_ vu une machine windows bien administrée ; 2/ Les softs qui tournent sur une version de l'inénarrable windows tournent mal ou pas du tout sous une autre version (problème des révisions successives et subtilement incompatibles entre elles des Visual C++ et consort) ; 3/ Il est impossible de lancer des calculs de plusieurs semaines sur une machine sans poser un cierge à Saint Jude, patron des causes perdues (pour les reboots intempestifs ou obligatoires).
J'ai passé des semaines à réécrire des bouts de code qui fonctionnaient sous tous les Unices des universités pour que cela fonctionne chez un partenaire industriel. Windows n'est qu'une solution d'apparente facilité qui ne reste dans les entreprises que parce que la majorité des décideurs sont incompétents dans le domaine informatique et que l'interface graphique est censée être moderne.
---
Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en dansant autour du totem. Affligeant.
Je sui prêts à acheter des licences OS/2 (ou ECs) une fortune plutôt qu'une seule licence Windows. Si le produit était à la _hauteur_ de son prix (toutes charges incluses, update matériel, réécriture des softs internes, upgrade office et j'en passe) et à peu près administrable correctement (vrai shell, vrai accès à distance et sécurité correcte), je pourrai réviser ma position. Pour l'instant, Windows ressemble assez à l'accessoire philosophique des shadoks (la passoire).
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de l'époque.
Non, ça ne mérite pas de coups de pied au cul. D'autant qu'IBM a souvent fait progresser l'informatique, ce qui n'est pas le cas de Microsoft.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font peur aux entreprises.
Non, ce qui fait peur aux décideurs, c'est de ne pas avoir une personne bien identifiée à engueuler lorsqu'un soft libre plante. Avec un support commercial, vous avez l'illusion d'avoir quelqu'un à engueuler, cela change tout. Personnellement, j'ai trouvé un certain nombre de bugs scabreux dans Visual C++ (au niveau des passages des paramètres lors de l'appel de fonctions, avec une pile qui se marchait sans vergogne sur les pieds). Cela n'a pas été corrigé depuis, malgré un bug report datant de 2000.
Vous croyez défendre une cause mais vous vous tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une Église.
La communauté ne demande rien à personne.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est
Oh ! Vous voulez que l'on discute des sources de NT4 ? J'ai eu une licence source pour l'installation du bouzin sur un octopro PPro et j'ai jeté un oeil. Si un étudiant m'écrivait un jour un code pareil, il passerait directement à la porte ! Et on s'étonne que cela fonctionne moyennement !
ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage, susucre." de E. Florac.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en moins de 24 heures. C'est automatique.
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Juste une remarque... Les nombreuses attaques de Linux (et des autres OS alternatifs) prouvent que Microsoft en a une peur bleue.
Bonne contemplation de nombril.
Je vous retourne le compliment.
JKB
Patrick Philippot
JKB wrote:
Alors là, je me marre !
Pas moi. Une bonne partie de votre réponse montre que vous n'avez pas bien compris ce sur quoi je proteste.
Je ne conteste à personne le droit de dire que Windows présente des problèmes ou des bugs, ce qui est par ailleurs parfaitement vrai. Sauf que moi, ça ne m'arrache pas la bouche de dire "il y a un bug dans Windows". En tant que MVP, j'ai aussi la possibilité de le documenter et de le faire traiter par Microsoft. La balance entre les bugs et le problèmes de Windows et ceux de Linux s'établissant à l'aune de l'expérience de chacun. Il y a dans Windows des choses parfaitement inadmissibles aussi bien pour un utilisateur, un administrateur qu'un développeur. Et c'est également vrai pour Linux. Ce qu'on observe dépend de la tâche que l'on a à réaliser. A chacun de trouver la meilleure solution dans son propre cas (Linux, Windows. SO/2, AIX,...).
Ce que je conteste, c'est:
1. Le discours qui tend à affirmer que Linux est parfait dans tous cas et que Windows est une catastrophe technique, ce qui est bien évidemment faux et relève d'un discours totalitaire. Sur bien des points ce système est plus avancé que Linux. Sur d'autres, il a des faiblesses évidentes. Ce qui n'empêche que Linux peut être la solution dans certains cas. Le vôtre en particulier. Par contre, prétendre que c'est une solution universelle est un contre-sens technique et relève du fanatisme.
2. L'agression verbale permanente subie par ceux qui se présentent sur un groupe Linux en tant qu'acteurs dans le monde Windows. C'est ridicule, injuste, inconvenant, intolérant et inadmissible.
En outre, j'ai déjà expliqué ici et là que bien souvent, les erreurs que l'on attribue au système (Windows ou Linux) sont bien souvent causées par une mauvaise compréhension de son fonctionnement. Windows ne se gère pas comme Linux, sa philosophie est différente (notamment en matière de sécurité) et heureusement, il existe nombre de systèmes Windows bien gérés. Si vous n'en trouvez pas, je suis sûr qu'en vous adressant à quelques grandes entreprises vous pourrez voir des réseaux énormes entièrement sous Windows et dont le taux de panne est négligeable.
-- Patrick Philippot - Microsoft MVP MainSoft Consulting Services www.mainsoft.fr
JKB wrote:
Alors là, je me marre !
Pas moi. Une bonne partie de votre réponse montre que vous n'avez pas
bien compris ce sur quoi je proteste.
Je ne conteste à personne le droit de dire que Windows présente des
problèmes ou des bugs, ce qui est par ailleurs parfaitement vrai. Sauf
que moi, ça ne m'arrache pas la bouche de dire "il y a un bug dans
Windows". En tant que MVP, j'ai aussi la possibilité de le documenter et
de le faire traiter par Microsoft. La balance entre les bugs et le
problèmes de Windows et ceux de Linux s'établissant à l'aune de
l'expérience de chacun. Il y a dans Windows des choses parfaitement
inadmissibles aussi bien pour un utilisateur, un administrateur qu'un
développeur. Et c'est également vrai pour Linux. Ce qu'on observe dépend
de la tâche que l'on a à réaliser. A chacun de trouver la meilleure
solution dans son propre cas (Linux, Windows. SO/2, AIX,...).
Ce que je conteste, c'est:
1. Le discours qui tend à affirmer que Linux est parfait dans tous cas
et que Windows est une catastrophe technique, ce qui est bien évidemment
faux et relève d'un discours totalitaire. Sur bien des points ce système
est plus avancé que Linux. Sur d'autres, il a des faiblesses évidentes.
Ce qui n'empêche que Linux peut être la solution dans certains cas. Le
vôtre en particulier. Par contre, prétendre que c'est une solution
universelle est un contre-sens technique et relève du fanatisme.
2. L'agression verbale permanente subie par ceux qui se présentent sur
un groupe Linux en tant qu'acteurs dans le monde Windows. C'est
ridicule, injuste, inconvenant, intolérant et inadmissible.
En outre, j'ai déjà expliqué ici et là que bien souvent, les erreurs que
l'on attribue au système (Windows ou Linux) sont bien souvent causées
par une mauvaise compréhension de son fonctionnement. Windows ne se gère
pas comme Linux, sa philosophie est différente (notamment en matière de
sécurité) et heureusement, il existe nombre de systèmes Windows bien
gérés. Si vous n'en trouvez pas, je suis sûr qu'en vous adressant à
quelques grandes entreprises vous pourrez voir des réseaux énormes
entièrement sous Windows et dont le taux de panne est négligeable.
--
Patrick Philippot - Microsoft MVP
MainSoft Consulting Services
www.mainsoft.fr
Pas moi. Une bonne partie de votre réponse montre que vous n'avez pas bien compris ce sur quoi je proteste.
Je ne conteste à personne le droit de dire que Windows présente des problèmes ou des bugs, ce qui est par ailleurs parfaitement vrai. Sauf que moi, ça ne m'arrache pas la bouche de dire "il y a un bug dans Windows". En tant que MVP, j'ai aussi la possibilité de le documenter et de le faire traiter par Microsoft. La balance entre les bugs et le problèmes de Windows et ceux de Linux s'établissant à l'aune de l'expérience de chacun. Il y a dans Windows des choses parfaitement inadmissibles aussi bien pour un utilisateur, un administrateur qu'un développeur. Et c'est également vrai pour Linux. Ce qu'on observe dépend de la tâche que l'on a à réaliser. A chacun de trouver la meilleure solution dans son propre cas (Linux, Windows. SO/2, AIX,...).
Ce que je conteste, c'est:
1. Le discours qui tend à affirmer que Linux est parfait dans tous cas et que Windows est une catastrophe technique, ce qui est bien évidemment faux et relève d'un discours totalitaire. Sur bien des points ce système est plus avancé que Linux. Sur d'autres, il a des faiblesses évidentes. Ce qui n'empêche que Linux peut être la solution dans certains cas. Le vôtre en particulier. Par contre, prétendre que c'est une solution universelle est un contre-sens technique et relève du fanatisme.
2. L'agression verbale permanente subie par ceux qui se présentent sur un groupe Linux en tant qu'acteurs dans le monde Windows. C'est ridicule, injuste, inconvenant, intolérant et inadmissible.
En outre, j'ai déjà expliqué ici et là que bien souvent, les erreurs que l'on attribue au système (Windows ou Linux) sont bien souvent causées par une mauvaise compréhension de son fonctionnement. Windows ne se gère pas comme Linux, sa philosophie est différente (notamment en matière de sécurité) et heureusement, il existe nombre de systèmes Windows bien gérés. Si vous n'en trouvez pas, je suis sûr qu'en vous adressant à quelques grandes entreprises vous pourrez voir des réseaux énormes entièrement sous Windows et dont le taux de panne est négligeable.
-- Patrick Philippot - Microsoft MVP MainSoft Consulting Services www.mainsoft.fr
Jerome Lambert
Le Sun, 26 Sep 2004 11:07:05 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Jerome Lambert wrote:
=> visite à www.mainsoft.fr
OK, on comprend mieux, là...
On comprend mieux quoi?
Pourquoi vous dénigrez un modèle tellement irréaliste qu'il permet à des gens (dont moi-même) de gagner leur vie...
(...)
Le Sun, 26 Sep 2004 11:07:05 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Jerome Lambert wrote:
=> visite à www.mainsoft.fr
OK, on comprend mieux, là...
On comprend mieux quoi?
Pourquoi vous dénigrez un modèle tellement irréaliste qu'il permet à
des gens (dont moi-même) de gagner leur vie...
Le Sun, 26 Sep 2004 11:07:05 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Jerome Lambert wrote:
=> visite à www.mainsoft.fr
OK, on comprend mieux, là...
On comprend mieux quoi?
Pourquoi vous dénigrez un modèle tellement irréaliste qu'il permet à des gens (dont moi-même) de gagner leur vie...
(...)
k
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e) "Patrick Philippot" écrivait la plume légère :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure (si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui rend les utilisateurs maboules, etc.
Ça tombe bien, il existe une explication simple, qui correspond au conflit en entreprise d'une hiérarchie de statut contre une hiérarchie de compétence. Pour être codeur il est nécessaire de faire du code qui marche, et pour être manager il est suffisant de naître fils de chef. Et ce sont les chefs qui décident des solutions informatique alors qu'ils ne les utilisent pas et qu'ils sont incompétents. http://insee.est-unique.net/ES339G.pdf
Pour rentrer dans le détails Les inégalités sociales sont en train de revenir au niveau de 1950 http://insee.est-unique.net/ES361B.pdf là je prend l'exemple des grandes écoles parce que je l'ai sous la main, mais il est assez représentatif. => le diplome est affaire de reproduction sociale
Le statut est déterminant dans la carrière.
La compétence en programmation est indépendante 1) de l'expérience 2) du diplome au de delà de deux ans d'expérience (Erick Sackmann et Grant),
Bref, l'entreprise n'a pas pour but de gagner de l'argent mais de permettre la reproduction sociale. Si il voulait des gens compétents les salaires et les position seraient indépendants de l'expérience et des diplômes.
Le libre c'est ce qui arrive quand on laisse les gens compétents coder et entreprendre librement.
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e)
"Patrick Philippot" <patrick.philippot@mainsoft.xx> écrivait la plume
légère :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est
le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est
pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à
leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles
continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure
(si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui
rend les utilisateurs maboules, etc.
Ça tombe bien, il existe une explication simple, qui correspond au
conflit en entreprise d'une hiérarchie de statut contre une hiérarchie
de compétence.
Pour être codeur il est nécessaire de faire du code qui marche, et pour
être manager il est suffisant de naître fils de chef. Et ce
sont les chefs qui décident des solutions informatique alors qu'ils ne
les utilisent pas et qu'ils sont incompétents.
http://insee.est-unique.net/ES339G.pdf
Pour rentrer dans le détails
Les inégalités sociales sont en train de revenir au niveau de 1950
http://insee.est-unique.net/ES361B.pdf
là je prend l'exemple des grandes écoles parce que je l'ai sous la main,
mais il est assez représentatif. => le diplome est affaire de
reproduction sociale
Le statut est déterminant dans la carrière.
La compétence en programmation est indépendante
1) de l'expérience
2) du diplome au de delà de deux ans d'expérience
(Erick Sackmann et Grant),
Bref, l'entreprise n'a pas pour but de gagner de l'argent mais de
permettre la reproduction sociale. Si il voulait des gens compétents les
salaires et les position seraient indépendants de l'expérience et des
diplômes.
Le libre c'est ce qui arrive quand on laisse les gens compétents coder
et entreprendre librement.
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200 après l'an de grâce, inspiré(e) "Patrick Philippot" écrivait la plume légère :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure (si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui rend les utilisateurs maboules, etc.
Ça tombe bien, il existe une explication simple, qui correspond au conflit en entreprise d'une hiérarchie de statut contre une hiérarchie de compétence. Pour être codeur il est nécessaire de faire du code qui marche, et pour être manager il est suffisant de naître fils de chef. Et ce sont les chefs qui décident des solutions informatique alors qu'ils ne les utilisent pas et qu'ils sont incompétents. http://insee.est-unique.net/ES339G.pdf
Pour rentrer dans le détails Les inégalités sociales sont en train de revenir au niveau de 1950 http://insee.est-unique.net/ES361B.pdf là je prend l'exemple des grandes écoles parce que je l'ai sous la main, mais il est assez représentatif. => le diplome est affaire de reproduction sociale
Le statut est déterminant dans la carrière.
La compétence en programmation est indépendante 1) de l'expérience 2) du diplome au de delà de deux ans d'expérience (Erick Sackmann et Grant),
Bref, l'entreprise n'a pas pour but de gagner de l'argent mais de permettre la reproduction sociale. Si il voulait des gens compétents les salaires et les position seraient indépendants de l'expérience et des diplômes.
Le libre c'est ce qui arrive quand on laisse les gens compétents coder et entreprendre librement.
Emmanuel Florac
Le Sun, 26 Sep 2004 12:55:50 +0200, k a écrit :
La compétence en programmation est indépendante 1) de l'expérience 2) du diplome au de delà de deux ans d'expérience (Erick Sackmann et Grant),
La compétence indépendante du diplôme ça me paraît clair, mais indépendante de l'expérience, tu peux préciser? Ça me paraît abérrant.
-- Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes doivent avoir aussi leurs règles. Kaid Ahmed.
Le Sun, 26 Sep 2004 12:55:50 +0200, k a écrit :
La compétence en programmation est indépendante
1) de l'expérience
2) du diplome au de delà de deux ans d'expérience
(Erick Sackmann et Grant),
La compétence indépendante du diplôme ça me paraît clair, mais
indépendante de l'expérience, tu peux préciser? Ça me paraît abérrant.
--
Toutes les organisations ont leur règles, et les Femmes Algériennes
doivent avoir aussi leurs règles.
Kaid Ahmed.
Le Sun, 26 Sep 2004 11:07:05 +0200, Patrick Philippot a écrit :
J'ai tellement peur du chômage que je me suis créé mon propre emploi. Ça suffit comme réponse?
Moi aussi, mais je fais du logiciel libre, comme quoi.
-- Quis, quid, ubi, quibus auxiliis, cur, quomodo, quando
Jerome Lambert
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure (si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui rend les utilisateurs maboules, etc.
Les réseaux des entreprises sont gérés par des administrateurs qui ont été formés pour utiliser Windows. Il y a donc deux choix possibles:
- faire le gros dos, ce qui permet notamment de justifier son emploi du temps en réinstallation, mise-à-jour de sécurité, dépannages et autre.
- passer à "autre chose" (que ce soit Linux ou autre), ce qui implique de quitter son petit confort pour réapprendre toute une série de notions et d'outils.
A votre avis, quelle est la solution privilégiée?
Je suis passé dans des boites où le nombre de machines se comptait en millier, et il y avait un poste pour un type dont le seul boulot était de régénérer à intervalles régulières les machines avec une image Ghost (les données des utilisateurs étaient sur des serveurs de fichiers).
Passer p.ex. à Linux implique de facto la suppression du poste cité ci-dessus...
Question: le service informatique de la boîte a-t-il intérêt à promouvoir Linux? Il me semble que non, ou alors ils sont suicidaires...
Parfaite définition du masochisme semble-t-il.
Non, c'est une manière de défendre son business, malheureusement au dépend des utilisateurs...
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est
le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est
pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à
leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles
continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure
(si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui
rend les utilisateurs maboules, etc.
Les réseaux des entreprises sont gérés par des administrateurs qui ont
été formés pour utiliser Windows. Il y a donc deux choix possibles:
- faire le gros dos, ce qui permet notamment de justifier son emploi du
temps en réinstallation, mise-à-jour de sécurité, dépannages et autre.
- passer à "autre chose" (que ce soit Linux ou autre), ce qui implique de
quitter son petit confort pour réapprendre toute une série de notions et
d'outils.
A votre avis, quelle est la solution privilégiée?
Je suis passé dans des boites où le nombre de machines se comptait en
millier, et il y avait un poste pour un type dont le seul boulot était de
régénérer à intervalles régulières les machines avec une image Ghost
(les données des utilisateurs étaient sur des serveurs de fichiers).
Passer p.ex. à Linux implique de facto la suppression du poste cité
ci-dessus...
Question: le service informatique de la boîte a-t-il intérêt à
promouvoir Linux? Il me semble que non, ou alors ils sont suicidaires...
Parfaite définition du masochisme semble-t-il.
Non, c'est une manière de défendre son business, malheureusement au
dépend des utilisateurs...
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure (si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui rend les utilisateurs maboules, etc.
Les réseaux des entreprises sont gérés par des administrateurs qui ont été formés pour utiliser Windows. Il y a donc deux choix possibles:
- faire le gros dos, ce qui permet notamment de justifier son emploi du temps en réinstallation, mise-à-jour de sécurité, dépannages et autre.
- passer à "autre chose" (que ce soit Linux ou autre), ce qui implique de quitter son petit confort pour réapprendre toute une série de notions et d'outils.
A votre avis, quelle est la solution privilégiée?
Je suis passé dans des boites où le nombre de machines se comptait en millier, et il y avait un poste pour un type dont le seul boulot était de régénérer à intervalles régulières les machines avec une image Ghost (les données des utilisateurs étaient sur des serveurs de fichiers).
Passer p.ex. à Linux implique de facto la suppression du poste cité ci-dessus...
Question: le service informatique de la boîte a-t-il intérêt à promouvoir Linux? Il me semble que non, ou alors ils sont suicidaires...
Parfaite définition du masochisme semble-t-il.
Non, c'est une manière de défendre son business, malheureusement au dépend des utilisateurs...
Jerome Lambert
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure (si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui rend les utilisateurs maboules, etc.
Les réseaux des entreprises sont gérés par des administrateurs qui ont été formés pour utiliser Windows. Il y a donc deux choix possibles:
- faire le gros dos, ce qui permet notamment de justifier son emploi du temps en réinstallation, mise-à-jour de sécurité, dépannages et autre.
- passer à "autre chose" (que ce soit Linux ou autre), ce qui implique de quitter son petit confort pour réapprendre toute une série de notions et d'outils.
A votre avis, quelle est la solution privilégiée?
Je suis passé dans un boite où le nombre de machines se comptait en millier, et il y avait un poste pour un type dont le seul boulot était de régénérer à intervalles régulières les machines avec une image Ghost (les données des utilisateurs étaient sur des serveurs de fichiers).
Passer p.ex. à Linux implique de facto la suppression du poste cité ci-dessus...
Question: le service informatique de la boîte a-t-il intérêt à promouvoir Linux? Il me semble que non, ou alors ils sont suicidaires...
Parfaite définition du masochisme semble-t-il.
Non, c'est une manière de défendre son business, malheureusement au dépend des utilisateurs...
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est
le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est
pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à
leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles
continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure
(si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui
rend les utilisateurs maboules, etc.
Les réseaux des entreprises sont gérés par des administrateurs qui ont
été formés pour utiliser Windows. Il y a donc deux choix possibles:
- faire le gros dos, ce qui permet notamment de justifier son emploi du
temps en réinstallation, mise-à-jour de sécurité, dépannages et autre.
- passer à "autre chose" (que ce soit Linux ou autre), ce qui implique de
quitter son petit confort pour réapprendre toute une série de notions et
d'outils.
A votre avis, quelle est la solution privilégiée?
Je suis passé dans un boite où le nombre de machines se comptait en
millier, et il y avait un poste pour un type dont le seul boulot était de
régénérer à intervalles régulières les machines avec une image Ghost
(les données des utilisateurs étaient sur des serveurs de fichiers).
Passer p.ex. à Linux implique de facto la suppression du poste cité
ci-dessus...
Question: le service informatique de la boîte a-t-il intérêt à
promouvoir Linux? Il me semble que non, ou alors ils sont suicidaires...
Parfaite définition du masochisme semble-t-il.
Non, c'est une manière de défendre son business, malheureusement au
dépend des utilisateurs...
Le Sun, 26 Sep 2004 11:02:24 +0200, Patrick Philippot a écrit :
Michel Talon wrote:
La seule raison qui fait le succés de Microsoft, c'est le fait que les gens choisissent toujours le pire tant que ce n'est pas devenu catastrophique.
Les gens peut-être. Les entreprises? Elles sont a priori attentives à leurs dépenses et à leurs intérêts. Je suis donc surpris qu'elles continuent à utiliser un OS bogué, qui se plante tous les 1/4 d'heure (si j'en crois ce que je lis ici), qui met en jeu leur sécurité, qui rend les utilisateurs maboules, etc.
Les réseaux des entreprises sont gérés par des administrateurs qui ont été formés pour utiliser Windows. Il y a donc deux choix possibles:
- faire le gros dos, ce qui permet notamment de justifier son emploi du temps en réinstallation, mise-à-jour de sécurité, dépannages et autre.
- passer à "autre chose" (que ce soit Linux ou autre), ce qui implique de quitter son petit confort pour réapprendre toute une série de notions et d'outils.
A votre avis, quelle est la solution privilégiée?
Je suis passé dans un boite où le nombre de machines se comptait en millier, et il y avait un poste pour un type dont le seul boulot était de régénérer à intervalles régulières les machines avec une image Ghost (les données des utilisateurs étaient sur des serveurs de fichiers).
Passer p.ex. à Linux implique de facto la suppression du poste cité ci-dessus...
Question: le service informatique de la boîte a-t-il intérêt à promouvoir Linux? Il me semble que non, ou alors ils sont suicidaires...
Parfaite définition du masochisme semble-t-il.
Non, c'est une manière de défendre son business, malheureusement au dépend des utilisateurs...
Thierry
Patrick Philippot wrote:
Thierry wrote:
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Mea culpa, c'était MVP et j'ai cru voir VAR (Value Added Reseller).
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait, le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que
humm, j'ai cru comprendre que c'était une histoire de peur sur les brevets.
cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le
D'accord pour évaluer l'ensemble des couts mais alors pourquoi accorder au moins 60% de remise ? Y avait-il escroquerie "avant" ?
prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de
Mais qui parle de cout de licence ?
journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
Ca dépend des compétences. Une anecdote : où je travaille, parmis tous les "kadors windowsiens" qui ne jurent que par COM, VC++, etc. pour une application, personne n'a pu trouver (ni meme diagnostiquer...) d'où provenaient des refus de connexions alors que sous Solaris, pas de problème. W2K ne peut pas accepter plus de deux (je crois) connection TCP en état "pending", où alors il faut payer la version "Entreprise" (ou "Advanced" ou je ne sais pas quoi). Et c'est moi, humble Unixien qui ai trouvé l'origine du problème. Alors oui, si les compétences sont meilleurs chez les Unixiens, c'est normal que le prix soit plus élevé.
---
Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en dansant autour du totem. Affligeant.
Qui parle de "vraie" liberté ? Je développe du logiciel propriétaire sur Linux et sur Solaris, en C et en Java, et oui, je pense que Linux n'est pas LA réponse a tous les problèmes.
(et je ne danse pas autour du totem).
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de l'époque.
Attends un peu, tu fais du "Windows", c'est ton gagne-pain. Moi je fais de "l'Unix", c'est normal que je défende mon beefsteak.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font peur aux entreprises. Vous croyez défendre une cause mais vous vous tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une Église.
Intéressant parce qu'il me semblait qu'une fois qu'on a signé chez Microsoft, on est pieds-et-poings liés principalement par le format de fichier.
Exemple : le format "doc" de Word est propriétaire. J'ai applaudi des deux mains quand j'ai appris que Word allait faire du XML, avec des DTD publiques. Le jeu allait etre clair. Si Word est si supérieur à OpenOffice.org (par exemple), il allait continuer de se vendre. Mais Microsoft a posé un brevet sur l'enregistrement des fichiers XML, si je ne m'abuse.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se
Honnetement, quand tu vas voir un client et que tu lui annonces que tu ne fais que du "Windows", est-ce-que tu lui dit que pour tel ou tel chose Linux serait plus approprié et que tu refuses le contrat ?
passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage, susucre." de E. Florac.
Effectivement, ce n'est pas très sympatique.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en moins de 24 heures. C'est automatique.
Qui fait des remarques déplaisantes ? Qui utilise des mots comme "gourou", "totem", "Eglise", "nombril" ?
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Ok, Linux c'est nul. Chez Microsoft, Linux n'est pas un concurrent. D'ailleurs il est absent des écrans radar, les "Get the Facts" n'existent pas, ni "Halloween".
Bonne contemplation de nombril.
Si "ça" ce n'est pas une remarque déplaisante ?
-- Thierry
Patrick Philippot wrote:
Thierry wrote:
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions
Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne
vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des
entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est
indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Mea culpa, c'était MVP et j'ai cru voir VAR (Value Added Reseller).
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une
concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment
structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales
aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des
entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas
parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font
rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait,
le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité
que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que
humm, j'ai cru comprendre que c'était une histoire de peur sur les brevets.
cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des
coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le
D'accord pour évaluer l'ensemble des couts mais alors pourquoi accorder
au moins 60% de remise ?
Y avait-il escroquerie "avant" ?
prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente
que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de
Mais qui parle de cout de licence ?
journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que
pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS
est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
Ca dépend des compétences.
Une anecdote : où je travaille, parmis tous les "kadors windowsiens" qui
ne jurent que par COM, VC++, etc. pour une application, personne n'a pu
trouver (ni meme diagnostiquer...) d'où provenaient des refus de
connexions alors que sous Solaris, pas de problème.
W2K ne peut pas accepter plus de deux (je crois) connection TCP en état
"pending", où alors il faut payer la version "Entreprise" (ou "Advanced"
ou je ne sais pas quoi).
Et c'est moi, humble Unixien qui ai trouvé l'origine du problème.
Alors oui, si les compétences sont meilleurs chez les Unixiens, c'est
normal que le prix soit plus élevé.
---
Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui
travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non
grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté
informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en
dansant autour du totem. Affligeant.
Qui parle de "vraie" liberté ?
Je développe du logiciel propriétaire sur Linux et sur Solaris, en C et
en Java, et oui, je pense que Linux n'est pas LA réponse a tous les
problèmes.
(et je ne danse pas autour du totem).
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre
dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et
modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur
de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la
figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier
pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas
quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas
de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de
l'époque.
Attends un peu, tu fais du "Windows", c'est ton gagne-pain.
Moi je fais de "l'Unix", c'est normal que je défende mon beefsteak.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font
peur aux entreprises. Vous croyez défendre une cause mais vous vous
tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables
d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée
de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu
tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des
entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une
Église.
Intéressant parce qu'il me semblait qu'une fois qu'on a signé chez
Microsoft, on est pieds-et-poings liés principalement par le format de
fichier.
Exemple : le format "doc" de Word est propriétaire.
J'ai applaudi des deux mains quand j'ai appris que Word allait faire du
XML, avec des DTD publiques. Le jeu allait etre clair. Si Word est si
supérieur à OpenOffice.org (par exemple), il allait continuer de se
vendre. Mais Microsoft a posé un brevet sur l'enregistrement des
fichiers XML, si je ne m'abuse.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste
à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en
vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se
Honnetement, quand tu vas voir un client et que tu lui annonces que tu
ne fais que du "Windows", est-ce-que tu lui dit que pour tel ou tel
chose Linux serait plus approprié et que tu refuses le contrat ?
passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à
longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement
infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est
ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit
systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par
des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage,
susucre." de E. Florac.
Effectivement, ce n'est pas très sympatique.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est
une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce
n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un
troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en
moins de 24 heures. C'est automatique.
Qui fait des remarques déplaisantes ?
Qui utilise des mots comme "gourou", "totem", "Eglise", "nombril" ?
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes
largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous
sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et
de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez
l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Ok, Linux c'est nul. Chez Microsoft, Linux n'est pas un concurrent.
D'ailleurs il est absent des écrans radar, les "Get the Facts"
n'existent pas, ni "Halloween".
Le monsieur n'est pas programmeur, il est "vendeur de solutions Microsoft".
C'est absolument faux, vous avez lu ça où? 1) Je développe et 2) je ne vends rien que mon savoir faire et mes capacités pédagogiques à des entreprises qui ont déjà choisi les technologies Microsoft. C'est indigne? Répréhensible? Malhonnête? Il faut me guillotiner?
Mea culpa, c'était MVP et j'ai cru voir VAR (Value Added Reseller).
Encore plus fort : "il n'y a pas de concurrence" chez Microsoft.
A l'heure qu'il est, non. Il n'y en a pas. Il y aura vraiment une concurrence à Microsoft quand "l'opposition" sera suffisamment structurée et puissante pour offrir de vraies alternatives commerciales aux produits Microsoft, aussi bien à destination du grand public que des entreprises. Ce n'est pas encore le cas et je persiste, ce n'est pas parti pour. Les quelques exemples montés en épingle ici et là ne font rien pour me convaincre. Le cas de Münich est intéressant car en fait, le problème vient de la brusque prise de conscience de la municipalité que les coûts marginaux du passage à Linux ne sont pas négligeables que
humm, j'ai cru comprendre que c'était une histoire de peur sur les brevets.
cela. Idem pour Paris qui a sagement décidé d'évaluer l'ensemble des coûts avant de prendre une décision. Dans les grosses structures, le
D'accord pour évaluer l'ensemble des couts mais alors pourquoi accorder au moins 60% de remise ? Y avait-il escroquerie "avant" ?
prix de la licence pour l'OS est un faux problème. Cela ne représente que peu de choses par rapport au coût global. Par contre, le prix de
Mais qui parle de cout de licence ?
journée d'une compétence Linux est environ 1,5 à 2 fois plus élevé que pour une compétence Windows, d'après mes dernières infos (bizarre, l'OS est censé être plus facile à gérer et poser moins de problèmes).
Ca dépend des compétences. Une anecdote : où je travaille, parmis tous les "kadors windowsiens" qui ne jurent que par COM, VC++, etc. pour une application, personne n'a pu trouver (ni meme diagnostiquer...) d'où provenaient des refus de connexions alors que sous Solaris, pas de problème. W2K ne peut pas accepter plus de deux (je crois) connection TCP en état "pending", où alors il faut payer la version "Entreprise" (ou "Advanced" ou je ne sais pas quoi). Et c'est moi, humble Unixien qui ai trouvé l'origine du problème. Alors oui, si les compétences sont meilleurs chez les Unixiens, c'est normal que le prix soit plus élevé.
---
Bon, je vois que les moeurs n'ont pas changé. Microsoft et tous ceux qui travaillent sur leurs technologies sont a priori suspects et persona non grata dans les lieux réservés aux supporters de la "vraie" liberté informatique qui continuent de proférer les incantations rituelles en dansant autour du totem. Affligeant.
Qui parle de "vraie" liberté ? Je développe du logiciel propriétaire sur Linux et sur Solaris, en C et en Java, et oui, je pense que Linux n'est pas LA réponse a tous les problèmes.
(et je ne danse pas autour du totem).
C'est très agaçant et pas très intéressant. A chaque fois que je rentre dans un fil de discussion sur un groupe Linux, de manière polie et modérée, en émettant simplement quelques opinions qui n'ont pas l'heur de plaire aux ayatollahs du coin, on finit toujours par me jeter à la figure mon boulot et mes choix professionnels comme si je devais expier pour ça. Eh les gars, j'ai aussi passé 19 ans chez IBM, ça ne mérite pas quelques coups de pied au cul supplémentaires? A l'époque (je n'ai pas de chance), c'est IBM qui était la cible des diatribes des gourous de l'époque.
Attends un peu, tu fais du "Windows", c'est ton gagne-pain. Moi je fais de "l'Unix", c'est normal que je défende mon beefsteak.
Laissez moi vous dire une chose, ce sont de tels comportements qui font peur aux entreprises. Vous croyez défendre une cause mais vous vous tirez dans le pied. Pour avoir discuté avec de nombreux responsables d'entreprises, je sais que beaucoup d'entre eux sont effrayés à l'idée de s'engager sur un software supporté par une communauté aussi peu tolérante. Ils veulent un OS supporté de manière claire par des entreprises bien identifiées. Pas prononcer des voeux et entrer dans une Église.
Intéressant parce qu'il me semblait qu'une fois qu'on a signé chez Microsoft, on est pieds-et-poings liés principalement par le format de fichier.
Exemple : le format "doc" de Word est propriétaire. J'ai applaudi des deux mains quand j'ai appris que Word allait faire du XML, avec des DTD publiques. Le jeu allait etre clair. Si Word est si supérieur à OpenOffice.org (par exemple), il allait continuer de se vendre. Mais Microsoft a posé un brevet sur l'enregistrement des fichiers XML, si je ne m'abuse.
Si vous (et vos collègues) pensez que défendre un produit, cela consiste à systématiquement dénigrer ceux de la concurrence et ceux qui en vivent, vous vous trompez complètement. Et c'est pourtant ce qui se
Honnetement, quand tu vas voir un client et que tu lui annonces que tu ne fais que du "Windows", est-ce-que tu lui dit que pour tel ou tel chose Linux serait plus approprié et que tu refuses le contrat ?
passe ici. On ne peut pas visiter un newsgroup Linux sans lire à longueur de messages des commentaires haineux et souvent techniquement infondés, voire carrément stupides, sur Windows et sa communauté. C'est ridicule. Toute tentative de discussion sereine et argumentée finit systématiquement par des "arguments" comme ceux que vous avancez ou par des remarques méprisantes comme le "Mais oui, c'est ça, allez sage, susucre." de E. Florac.
Effectivement, ce n'est pas très sympatique.
Ce newsgroups devrait un lieu d'échanges. Il ne peut pas l'être. C'est une chambre d'enregistrement d'anathèmes. Je ne suis pas surpris, ce n'est pas ma première tentative. Je n'ai même pas besoin de démarrer un troll pour me ramasser des injures ou des remarques déplaisantes en moins de 24 heures. C'est automatique.
Qui fait des remarques déplaisantes ? Qui utilise des mots comme "gourou", "totem", "Eglise", "nombril" ?
Si c'est votre façon de promouvoir Linux, tant pis pour vous. Vous êtes largement contre-productif. Mais probablement très satisfait de vous sentir au chaud dans une communauté bien à l'abri de ses certitudes et de ses a priori. Vous parlez de liberté mais vous développez l'exclusion. C'est dommage. En tous cas, Microsoft adore ça.
Ok, Linux c'est nul. Chez Microsoft, Linux n'est pas un concurrent. D'ailleurs il est absent des écrans radar, les "Get the Facts" n'existent pas, ni "Halloween".