Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes sur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Non. C'est le produit final uniquement, qui doit plaire au client (parce
qu'il est beau, pas cher, de qualité, peu importe les raisons).
Les entreprises de productions ne sont pas si "secondaires" et doivent
répondre à des critères de qualité (au moins au niveau du produit). Il
faut donc imposer des critères de qualité sur des valeurs morales et
plus de transparence pour l'acheteur final. Ne serait-ce pas justement les
enjeux du "commerce équitable"?
Les systèmes marxistes qui ont été tentés par certains se sont
écroulés plus vite encore.
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la porte et
leur dire "démerdez vous"?
Certes, mais inévitable.
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse prendre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés, les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel monstre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (encore!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes sur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Non. C'est le produit final uniquement, qui doit plaire au client (parce
qu'il est beau, pas cher, de qualité, peu importe les raisons).
Les entreprises de productions ne sont pas si "secondaires" et doivent
répondre à des critères de qualité (au moins au niveau du produit). Il
faut donc imposer des critères de qualité sur des valeurs morales et
plus de transparence pour l'acheteur final. Ne serait-ce pas justement les
enjeux du "commerce équitable"?
Les systèmes marxistes qui ont été tentés par certains se sont
écroulés plus vite encore.
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la porte et
leur dire "démerdez vous"?
Certes, mais inévitable.
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse prendre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés, les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel monstre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (encore!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes sur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Non. C'est le produit final uniquement, qui doit plaire au client (parce
qu'il est beau, pas cher, de qualité, peu importe les raisons).
Les entreprises de productions ne sont pas si "secondaires" et doivent
répondre à des critères de qualité (au moins au niveau du produit). Il
faut donc imposer des critères de qualité sur des valeurs morales et
plus de transparence pour l'acheteur final. Ne serait-ce pas justement les
enjeux du "commerce équitable"?
Les systèmes marxistes qui ont été tentés par certains se sont
écroulés plus vite encore.
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la porte et
leur dire "démerdez vous"?
Certes, mais inévitable.
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse prendre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés, les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel monstre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (encore!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes s ur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Est-ce qu'on peut vraiment les dissocier?
Non. C'est le produit final uniquement, qui doit plaire au client (parce
qu'il est beau, pas cher, de qualité, peu importe les raisons).
Le produit ne compte pas dans la durée, parce qu'il ne "reste" pas dans
la société...
Les entreprises de productions ne sont pas si "secondaires" et doivent
répondre à des critères de qualité (au moins au niveau du produ it). Il
faut donc imposer des critères de qualité sur des valeurs morales et
plus de transparence pour l'acheteur final. Ne serait-ce pas justement les
enjeux du "commerce équitable"?
Certes. je crains cependant que le commerce équitable ne soit un
emplâtre sur une jambe de bois. Une vraie solution serait de taxer les
transports selon leur coût réel social, écologique.... Bref multipl ier
le prix des transports par 10, pour limiter au minimum le commerce ee
international. Ben oui, on serait moins tenter de faire venir de loin ce
qu'on peut produire près.... Le concept même de l'OMC et du
libéralisme commerical est contre-nature et délétère.
Les systèmes marxistes qui ont été tentés par certains se sont
écroulés plus vite encore.
Marx est un économiste. Il n'y a pas existé de "système marxiste", sauf
dans la propagande stalinienne. Il existe des théories économiques sur
le travail et le capital, par contre, extrèmement opératoires (largem ent
autant que celles d'A. Smith...)
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la por te et
leur dire "démerdez vous"?
Non, mais aujourd'hui on essaie de les prendre pour des cons, et ça ne
marchera pas...
Certes, mais inévitable.
Faut voir...
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse pr endre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés , les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel mons tre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (enco re!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affai re
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes s ur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Est-ce qu'on peut vraiment les dissocier?
Non. C'est le produit final uniquement, qui doit plaire au client (parce
qu'il est beau, pas cher, de qualité, peu importe les raisons).
Le produit ne compte pas dans la durée, parce qu'il ne "reste" pas dans
la société...
Les entreprises de productions ne sont pas si "secondaires" et doivent
répondre à des critères de qualité (au moins au niveau du produ it). Il
faut donc imposer des critères de qualité sur des valeurs morales et
plus de transparence pour l'acheteur final. Ne serait-ce pas justement les
enjeux du "commerce équitable"?
Certes. je crains cependant que le commerce équitable ne soit un
emplâtre sur une jambe de bois. Une vraie solution serait de taxer les
transports selon leur coût réel social, écologique.... Bref multipl ier
le prix des transports par 10, pour limiter au minimum le commerce ee
international. Ben oui, on serait moins tenter de faire venir de loin ce
qu'on peut produire près.... Le concept même de l'OMC et du
libéralisme commerical est contre-nature et délétère.
Les systèmes marxistes qui ont été tentés par certains se sont
écroulés plus vite encore.
Marx est un économiste. Il n'y a pas existé de "système marxiste", sauf
dans la propagande stalinienne. Il existe des théories économiques sur
le travail et le capital, par contre, extrèmement opératoires (largem ent
autant que celles d'A. Smith...)
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la por te et
leur dire "démerdez vous"?
Non, mais aujourd'hui on essaie de les prendre pour des cons, et ça ne
marchera pas...
Certes, mais inévitable.
Faut voir...
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse pr endre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés , les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel mons tre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (enco re!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affai re
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes s ur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Est-ce qu'on peut vraiment les dissocier?
Non. C'est le produit final uniquement, qui doit plaire au client (parce
qu'il est beau, pas cher, de qualité, peu importe les raisons).
Le produit ne compte pas dans la durée, parce qu'il ne "reste" pas dans
la société...
Les entreprises de productions ne sont pas si "secondaires" et doivent
répondre à des critères de qualité (au moins au niveau du produ it). Il
faut donc imposer des critères de qualité sur des valeurs morales et
plus de transparence pour l'acheteur final. Ne serait-ce pas justement les
enjeux du "commerce équitable"?
Certes. je crains cependant que le commerce équitable ne soit un
emplâtre sur une jambe de bois. Une vraie solution serait de taxer les
transports selon leur coût réel social, écologique.... Bref multipl ier
le prix des transports par 10, pour limiter au minimum le commerce ee
international. Ben oui, on serait moins tenter de faire venir de loin ce
qu'on peut produire près.... Le concept même de l'OMC et du
libéralisme commerical est contre-nature et délétère.
Les systèmes marxistes qui ont été tentés par certains se sont
écroulés plus vite encore.
Marx est un économiste. Il n'y a pas existé de "système marxiste", sauf
dans la propagande stalinienne. Il existe des théories économiques sur
le travail et le capital, par contre, extrèmement opératoires (largem ent
autant que celles d'A. Smith...)
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la por te et
leur dire "démerdez vous"?
Non, mais aujourd'hui on essaie de les prendre pour des cons, et ça ne
marchera pas...
Certes, mais inévitable.
Faut voir...
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse pr endre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés , les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel mons tre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (enco re!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affai re
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ...
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ...
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ...
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ...
Je vais me mettre un instant à ta portée : "Je te pisse à la raie, petit
con."
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affa ire
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ..."
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ...
Je vais me mettre un instant à ta portée : "Je te pisse à la raie, petit
con."
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affa ire
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ..."
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ...
Je vais me mettre un instant à ta portée : "Je te pisse à la raie, petit
con."
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affa ire
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
Pfffffff, alors l'économie aussi, tu connais rien ..."
Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes sur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Est-ce qu'on peut vraiment les dissocier?
Le produit ne compte pas dans la durée, parce qu'il ne "reste" pas dans
la société...
Certes. je crains cependant que le commerce équitable ne soit un
emplâtre sur une jambe de bois. Une vraie solution serait de taxer les
transports selon leur coût réel social, écologique....
Bref multiplier
le prix des transports par 10, pour limiter au minimum le commerce ee
international. Ben oui, on serait moins tenter de faire venir de loin ce
qu'on peut produire près.... Le concept même de l'OMC et du
libéralisme commerical est contre-nature et délétère.
Marx est un économiste.
Il n'y a pas existé de "système marxiste", sauf
dans la propagande stalinienne.
Il existe des théories économiques sur
le travail et le capital, par contre, extrèmement opératoires (largement
autant que celles d'A. Smith...)
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la porte et
leur dire "démerdez vous"?
Non, mais aujourd'hui on essaie de les prendre pour des cons, et ça ne
marchera pas...
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse prendre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés, les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel monstre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (encore!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affaire
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes sur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Est-ce qu'on peut vraiment les dissocier?
Le produit ne compte pas dans la durée, parce qu'il ne "reste" pas dans
la société...
Certes. je crains cependant que le commerce équitable ne soit un
emplâtre sur une jambe de bois. Une vraie solution serait de taxer les
transports selon leur coût réel social, écologique....
Bref multiplier
le prix des transports par 10, pour limiter au minimum le commerce ee
international. Ben oui, on serait moins tenter de faire venir de loin ce
qu'on peut produire près.... Le concept même de l'OMC et du
libéralisme commerical est contre-nature et délétère.
Marx est un économiste.
Il n'y a pas existé de "système marxiste", sauf
dans la propagande stalinienne.
Il existe des théories économiques sur
le travail et le capital, par contre, extrèmement opératoires (largement
autant que celles d'A. Smith...)
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la porte et
leur dire "démerdez vous"?
Non, mais aujourd'hui on essaie de les prendre pour des cons, et ça ne
marchera pas...
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse prendre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés, les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel monstre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (encore!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affaire
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
Sans oublier de bonnes relations avec les fournisseurs. On ne peut pas
leur reprocher: ça marche.
La seule chose que je regrette vraiment est l'opacité de ces firmes sur
les valeurs éthiques et environnementales. Pas leur fonctionnement.
Est-ce qu'on peut vraiment les dissocier?
Le produit ne compte pas dans la durée, parce qu'il ne "reste" pas dans
la société...
Certes. je crains cependant que le commerce équitable ne soit un
emplâtre sur une jambe de bois. Une vraie solution serait de taxer les
transports selon leur coût réel social, écologique....
Bref multiplier
le prix des transports par 10, pour limiter au minimum le commerce ee
international. Ben oui, on serait moins tenter de faire venir de loin ce
qu'on peut produire près.... Le concept même de l'OMC et du
libéralisme commerical est contre-nature et délétère.
Marx est un économiste.
Il n'y a pas existé de "système marxiste", sauf
dans la propagande stalinienne.
Il existe des théories économiques sur
le travail et le capital, par contre, extrèmement opératoires (largement
autant que celles d'A. Smith...)
Aux pays développés de faire mieux. Faut-il donc leur fermer la porte et
leur dire "démerdez vous"?
Non, mais aujourd'hui on essaie de les prendre pour des cons, et ça ne
marchera pas...
Le reste, on laisse les
salariés s'en occuper eux-mêmes. C'est à dire qu'on les laisse prendre
les décisions importantes: le recrutement, la notation des salariés, les
objectifs à moyens et long terme, etc... Le tout, dans un bordel monstre
apparent, mais qui s'avère être terriblement efficace. Ce modèle
existe, et nous vient (je crois) d'Amérique du Sud. On étudie (encore!)
son fonctionnement dans nos grandes écoles.
C'est une bonne idée en effet. On a encore vu ces jours ci avec l'affaire
Danone le pouvoir absolument exorbitant des grands patrons. Danone n'a
qu'une seule chose de française : sa direction générale, qui compte
bien se battre bec et ongles pour garder son pouvoir....
1976 c'est bien l'epoque ou billou a voler un freeware pour le vendre et
creer microsoft ?
Il n'a rien fait de tel. Il a utilisé indûment l'ordinateur de la fac de
Paul Allen (où il n'était pas étudiant et n'avait pas le droit de
mettre les pieds a priori) pour développer le BASIC Altair. Cependant il
a indubitablement codé, travaillé comme un noir, et fait du très bon
boulot. Il y a UNE CHOSE qu'on ne peut pas retirer à Bill Gates : c'est
un développeur, un vrai, et ce n'est sans doute pas étranger au succès
de Microsoft.
--
Si non confectus non reficiat.
1976 c'est bien l'epoque ou billou a voler un freeware pour le vendre et
creer microsoft ?
Il n'a rien fait de tel. Il a utilisé indûment l'ordinateur de la fac de
Paul Allen (où il n'était pas étudiant et n'avait pas le droit de
mettre les pieds a priori) pour développer le BASIC Altair. Cependant il
a indubitablement codé, travaillé comme un noir, et fait du très bon
boulot. Il y a UNE CHOSE qu'on ne peut pas retirer à Bill Gates : c'est
un développeur, un vrai, et ce n'est sans doute pas étranger au succès
de Microsoft.
--
Si non confectus non reficiat.
1976 c'est bien l'epoque ou billou a voler un freeware pour le vendre et
creer microsoft ?
Il n'a rien fait de tel. Il a utilisé indûment l'ordinateur de la fac de
Paul Allen (où il n'était pas étudiant et n'avait pas le droit de
mettre les pieds a priori) pour développer le BASIC Altair. Cependant il
a indubitablement codé, travaillé comme un noir, et fait du très bon
boulot. Il y a UNE CHOSE qu'on ne peut pas retirer à Bill Gates : c'est
un développeur, un vrai, et ce n'est sans doute pas étranger au succès
de Microsoft.
--
Si non confectus non reficiat.
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
depart du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par
allen la seul chose que bill a fait c'est vendre le produit du vol et
rediger les contrats
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
depart du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par
allen la seul chose que bill a fait c'est vendre le produit du vol et
rediger les contrats
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
depart du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par
allen la seul chose que bill a fait c'est vendre le produit du vol et
rediger les contrats
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
Absolument faux. Ils programmaient tous les deux, et pour le basic Altair
c'est surtout Bill qui l'a codé, tout le monde le reconnait.
depart du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par
N'importe quoi. Gates et Allen ont découvert BASIC dans ses
implémentations sur grands systèmes dans les ordis de la fac, et ils ont
eu l'idée de le porter sur l'Altair. Ils ont tout codé à partir de
zéro. Je n'ai jamais entendu la moindre source sérieuse affirmer le
contraire. J'ai encore vu récemment une interview de B. Gates qui disait
qu'il connaissait encore le code par coeur : ça m'étonnerait qu'il
s'amuse à dire ça si c'était quelqu'un d'autre qui l'avait fait!
C'est cela, oui. Tu es complètement à côté de la plaque ce qui fait
que tu ne peux pas comprendre la force profonde de Microsoft, qui est
d'avoir un patron qui SAIT ce qu'est le métier de développeur et qui
COMPREND ce que sont les problèmes qu'on rencontre quand on veut sortir
un logiciel.
D'après les informations courantes, Bill Gates a codé personnellement
pour Microsoft au moins jusqu'en 1983. Des DIZAINES de personnes l'ont vu
coder. Tu peux affirmer que tous les gens qui ont bossé chez microsoft
sont de méchants menteurs, mais avoue que ce n'est pas sérieux.
des dizaines de personnes d'avant 1983 qui etait chez microsoft son
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
Absolument faux. Ils programmaient tous les deux, et pour le basic Altair
c'est surtout Bill qui l'a codé, tout le monde le reconnait.
depart du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par
N'importe quoi. Gates et Allen ont découvert BASIC dans ses
implémentations sur grands systèmes dans les ordis de la fac, et ils ont
eu l'idée de le porter sur l'Altair. Ils ont tout codé à partir de
zéro. Je n'ai jamais entendu la moindre source sérieuse affirmer le
contraire. J'ai encore vu récemment une interview de B. Gates qui disait
qu'il connaissait encore le code par coeur : ça m'étonnerait qu'il
s'amuse à dire ça si c'était quelqu'un d'autre qui l'avait fait!
C'est cela, oui. Tu es complètement à côté de la plaque ce qui fait
que tu ne peux pas comprendre la force profonde de Microsoft, qui est
d'avoir un patron qui SAIT ce qu'est le métier de développeur et qui
COMPREND ce que sont les problèmes qu'on rencontre quand on veut sortir
un logiciel.
D'après les informations courantes, Bill Gates a codé personnellement
pour Microsoft au moins jusqu'en 1983. Des DIZAINES de personnes l'ont vu
coder. Tu peux affirmer que tous les gens qui ont bossé chez microsoft
sont de méchants menteurs, mais avoue que ce n'est pas sérieux.
des dizaines de personnes d'avant 1983 qui etait chez microsoft son
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
Absolument faux. Ils programmaient tous les deux, et pour le basic Altair
c'est surtout Bill qui l'a codé, tout le monde le reconnait.
depart du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par
N'importe quoi. Gates et Allen ont découvert BASIC dans ses
implémentations sur grands systèmes dans les ordis de la fac, et ils ont
eu l'idée de le porter sur l'Altair. Ils ont tout codé à partir de
zéro. Je n'ai jamais entendu la moindre source sérieuse affirmer le
contraire. J'ai encore vu récemment une interview de B. Gates qui disait
qu'il connaissait encore le code par coeur : ça m'étonnerait qu'il
s'amuse à dire ça si c'était quelqu'un d'autre qui l'avait fait!
C'est cela, oui. Tu es complètement à côté de la plaque ce qui fait
que tu ne peux pas comprendre la force profonde de Microsoft, qui est
d'avoir un patron qui SAIT ce qu'est le métier de développeur et qui
COMPREND ce que sont les problèmes qu'on rencontre quand on veut sortir
un logiciel.
D'après les informations courantes, Bill Gates a codé personnellement
pour Microsoft au moins jusqu'en 1983. Des DIZAINES de personnes l'ont vu
coder. Tu peux affirmer que tous les gens qui ont bossé chez microsoft
sont de méchants menteurs, mais avoue que ce n'est pas sérieux.
des dizaines de personnes d'avant 1983 qui etait chez microsoft son
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
Absolument faux. Ils programmaient tous les deux, et pour le basic Altair
c'est surtout Bill qui l'a codé, tout le monde le reconnait.
source ?
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
Absolument faux. Ils programmaient tous les deux, et pour le basic Altair
c'est surtout Bill qui l'a codé, tout le monde le reconnait.
source ?
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de
Absolument faux. Ils programmaient tous les deux, et pour le basic Altair
c'est surtout Bill qui l'a codé, tout le monde le reconnait.
source ?
--
Si non confectus non reficiat.
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de depart
du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par allen la
seul chose que bill a fait c'est vendre le produit du vol et rediger les
contrats
--
Si non confectus non reficiat.
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de depart
du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par allen la
seul chose que bill a fait c'est vendre le produit du vol et rediger les
contrats
--
Si non confectus non reficiat.
bil n'a jamais programme c'est allen qui programmait et le point de depart
du basic altair etait un freeware qui a ete adapte a l'altair par allen la
seul chose que bill a fait c'est vendre le produit du vol et rediger les
contrats