Dans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
Dans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
Dans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
Jerome Lambert , dans le message , aDans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
En d'autres termes, un mélange d'immobilisme et d'inefficacité...
Jerome Lambert , dans le message <51hgvkF1kp060U1@mid.individual.net>, a
Dans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
En d'autres termes, un mélange d'immobilisme et d'inefficacité...
Jerome Lambert , dans le message , aDans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
En d'autres termes, un mélange d'immobilisme et d'inefficacité...
"pehache grmpf" , dans le messagePour augmenter la sécurité et avoir 10 points de plus, FF devrait
interdire d'aller sur internet.
Dommage qu'outlook n'interdise pas d'aller sur les news.
"pehache grmpf" , dans le message
Pour augmenter la sécurité et avoir 10 points de plus, FF devrait
interdire d'aller sur internet.
Dommage qu'outlook n'interdise pas d'aller sur les news.
"pehache grmpf" , dans le messagePour augmenter la sécurité et avoir 10 points de plus, FF devrait
interdire d'aller sur internet.
Dommage qu'outlook n'interdise pas d'aller sur les news.
A voir à l'usage: en 2 ans de MacOS X, je n'ai eu *aucun* problème
d'installation/désinstallation de programmes, chose que je n'ai connue
ni sous Linux, ni sous Windows, alors la supériorité des autres méthodes
ne me semble que toute théorique...
A voir à l'usage: en 2 ans de MacOS X, je n'ai eu *aucun* problème
d'installation/désinstallation de programmes, chose que je n'ai connue
ni sous Linux, ni sous Windows, alors la supériorité des autres méthodes
ne me semble que toute théorique...
A voir à l'usage: en 2 ans de MacOS X, je n'ai eu *aucun* problème
d'installation/désinstallation de programmes, chose que je n'ai connue
ni sous Linux, ni sous Windows, alors la supériorité des autres méthodes
ne me semble que toute théorique...
Il n'y a pas de stand BSD à ce salon cette année.
Rhôôô mais comment ça se fait ?
A priori un micmac d'organisation. M'enfin ça n'a pas l'air très clair
Il n'y a pas de stand BSD à ce salon cette année.
Rhôôô mais comment ça se fait ?
A priori un micmac d'organisation. M'enfin ça n'a pas l'air très clair
Il n'y a pas de stand BSD à ce salon cette année.
Rhôôô mais comment ça se fait ?
A priori un micmac d'organisation. M'enfin ça n'a pas l'air très clair
Michel Talon, dans le message <eovvb1$2lcg$,
a écrit :Totalement faux. Un disque peut débiter 40 Mo/s, donc en une seconde
amener toutes les librairies partagées de KDE en mémoire.
C'est le débit brut. Il faut compter nettement moins quand on a un
filesystem et des fichiers relativement petits.
- quitte ta session KDE ;
- depuis le réseau ou la console, force la lecture de gros fichiers pour
virer les bibliothèques de KDE du cache ;
- lance une session KDE, et chronomètre le temps qu'elle met à s'ouvrir ;
- quitte à nouveau la session ;
- lance immédiatement une nouvelle session, et chronomètre le temps.
Tu constateras que la seconde ouverture est _beaucoup_ plus rapide que la
première.
Je ne sais pas si John Dyson sait de quoi il parle, mais toi, ce n'est pas
le cas, parce que les benchmarks que tu évoques ici sont complètement
non-pertinents : lors de l'exécution d'un ./configure, les shells invoqués
le sont toujours depuis le cache.
Ça ne contredit donc absolument pas mon affirmation, qui est que le temps
d'édition dynamique des liens est négligeable devant le temps de chargement
depuis le disque.
Dans l'ensemble, je trouve la situation sous Linux très satisfaisante.
Windows boote plus vite, mais
tout n'est pas fonctionnel loin de là quand le "desktop" apparaît.
Tu permets que je traduise ta phrase en français ? « Windows boote plus
lentement. » Voilà, c'est plus clair comme ça.
On Thu, 21 Aug 2003 17:30:08 -0500, John Dyson wrote:I sure hope that the motivation for a dynamic root isn't the same
as the silly building of the GCC compiler as a shared object!!!
GCC-3.3 built itself from 2.95.3 on Solaris 10-beta with no problems.
The
compiler is hardly a shared object. It is not static linked to any
system
library.
Removal of static linked binaries seems to be a "good" thing. I'm
still
awaiting the CVS tag RELENG_5.
Michel Talon, dans le message <eovvb1$2lcg$1@asmodee.lpthe.jussieu.fr>,
a écrit :
Totalement faux. Un disque peut débiter 40 Mo/s, donc en une seconde
amener toutes les librairies partagées de KDE en mémoire.
C'est le débit brut. Il faut compter nettement moins quand on a un
filesystem et des fichiers relativement petits.
- quitte ta session KDE ;
- depuis le réseau ou la console, force la lecture de gros fichiers pour
virer les bibliothèques de KDE du cache ;
- lance une session KDE, et chronomètre le temps qu'elle met à s'ouvrir ;
- quitte à nouveau la session ;
- lance immédiatement une nouvelle session, et chronomètre le temps.
Tu constateras que la seconde ouverture est _beaucoup_ plus rapide que la
première.
Je ne sais pas si John Dyson sait de quoi il parle, mais toi, ce n'est pas
le cas, parce que les benchmarks que tu évoques ici sont complètement
non-pertinents : lors de l'exécution d'un ./configure, les shells invoqués
le sont toujours depuis le cache.
Ça ne contredit donc absolument pas mon affirmation, qui est que le temps
d'édition dynamique des liens est négligeable devant le temps de chargement
depuis le disque.
Dans l'ensemble, je trouve la situation sous Linux très satisfaisante.
Windows boote plus vite, mais
tout n'est pas fonctionnel loin de là quand le "desktop" apparaît.
Tu permets que je traduise ta phrase en français ? « Windows boote plus
lentement. » Voilà, c'est plus clair comme ça.
On Thu, 21 Aug 2003 17:30:08 -0500, John Dyson wrote:
I sure hope that the motivation for a dynamic root isn't the same
as the silly building of the GCC compiler as a shared object!!!
GCC-3.3 built itself from 2.95.3 on Solaris 10-beta with no problems.
The
compiler is hardly a shared object. It is not static linked to any
system
library.
Removal of static linked binaries seems to be a "good" thing. I'm
still
awaiting the CVS tag RELENG_5.
Michel Talon, dans le message <eovvb1$2lcg$,
a écrit :Totalement faux. Un disque peut débiter 40 Mo/s, donc en une seconde
amener toutes les librairies partagées de KDE en mémoire.
C'est le débit brut. Il faut compter nettement moins quand on a un
filesystem et des fichiers relativement petits.
- quitte ta session KDE ;
- depuis le réseau ou la console, force la lecture de gros fichiers pour
virer les bibliothèques de KDE du cache ;
- lance une session KDE, et chronomètre le temps qu'elle met à s'ouvrir ;
- quitte à nouveau la session ;
- lance immédiatement une nouvelle session, et chronomètre le temps.
Tu constateras que la seconde ouverture est _beaucoup_ plus rapide que la
première.
Je ne sais pas si John Dyson sait de quoi il parle, mais toi, ce n'est pas
le cas, parce que les benchmarks que tu évoques ici sont complètement
non-pertinents : lors de l'exécution d'un ./configure, les shells invoqués
le sont toujours depuis le cache.
Ça ne contredit donc absolument pas mon affirmation, qui est que le temps
d'édition dynamique des liens est négligeable devant le temps de chargement
depuis le disque.
Dans l'ensemble, je trouve la situation sous Linux très satisfaisante.
Windows boote plus vite, mais
tout n'est pas fonctionnel loin de là quand le "desktop" apparaît.
Tu permets que je traduise ta phrase en français ? « Windows boote plus
lentement. » Voilà, c'est plus clair comme ça.
On Thu, 21 Aug 2003 17:30:08 -0500, John Dyson wrote:I sure hope that the motivation for a dynamic root isn't the same
as the silly building of the GCC compiler as a shared object!!!
GCC-3.3 built itself from 2.95.3 on Solaris 10-beta with no problems.
The
compiler is hardly a shared object. It is not static linked to any
system
library.
Removal of static linked binaries seems to be a "good" thing. I'm
still
awaiting the CVS tag RELENG_5.
Jerome Lambert , dans le message , a
écrit :Dans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
En d'autres termes, un mélange d'immobilisme et d'inefficacité...
Jerome Lambert , dans le message <51hgvkF1kp060U1@mid.individual.net>, a
écrit :
Dans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
En d'autres termes, un mélange d'immobilisme et d'inefficacité...
Jerome Lambert , dans le message , a
écrit :Dans le cas de MacOS X, une base commune fournie par l'OS, les
applications sachant quoi y trouver au minimum. Si elles veulent plus,
elles l'apportent elles-même en gardant leurs petits fichiers dans leur
répertoire, sans aller trifouiller dans le système. Celui reste donc
intact, et l'installation/désinstallation consiste à copier/supprimer
l'application sur le disque dur, en se préoccupant uniquement de
respecter les recommandations de version minimale de l'OS. D'après ce
que j'ai vu, PC-BSD fonctionne grosso-modo via le même principe.
En d'autres termes, un mélange d'immobilisme et d'inefficacité...
Jerome Lambert , dans le message , a
écrit :A voir à l'usage: en 2 ans de MacOS X, je n'ai eu *aucun* problème
d'installation/désinstallation de programmes, chose que je n'ai connue
ni sous Linux, ni sous Windows, alors la supériorité des autres méthodes
ne me semble que toute théorique...
D'un autre côté, macos est notoirement moins réactif que Linux sur une même
machine. Chacun son choix.
Jerome Lambert , dans le message <51hhejF1j26eiU1@mid.individual.net>, a
écrit :
A voir à l'usage: en 2 ans de MacOS X, je n'ai eu *aucun* problème
d'installation/désinstallation de programmes, chose que je n'ai connue
ni sous Linux, ni sous Windows, alors la supériorité des autres méthodes
ne me semble que toute théorique...
D'un autre côté, macos est notoirement moins réactif que Linux sur une même
machine. Chacun son choix.
Jerome Lambert , dans le message , a
écrit :A voir à l'usage: en 2 ans de MacOS X, je n'ai eu *aucun* problème
d'installation/désinstallation de programmes, chose que je n'ai connue
ni sous Linux, ni sous Windows, alors la supériorité des autres méthodes
ne me semble que toute théorique...
D'un autre côté, macos est notoirement moins réactif que Linux sur une même
machine. Chacun son choix.
Dans les benchmarks cités par les dévs d'ext4 dans Linux mag de ce mois,
les performances affichées d'ext2/3/4 sont énormément supérieures à
tous les autres FS dans tous les cas de figure. Je suis parfaitement prêt
à croire qu'il y ait eu des améliorations notables, et même qu'ext3/4
soit désormais plus rapide que les autres, mais je ne crois pas à la
magie : xfs ayant une courbe de performance qui colle au plus près le
matériel sous-jacent, il n'y a tout simplement pas moyen d'aller beaucoup
plus vite que lui (mais très légèrement, c'est possible).
Quant à la question de la fiabilité, j'y réfléchirai. Cependant je ne
peux pas dire avoir rencontré de nombreux problèmes avec xfs (en tout et
pour tout, 1 seul, en fait), sur environ 500 machines et sur environ 3 ans.
Dans les benchmarks cités par les dévs d'ext4 dans Linux mag de ce mois,
les performances affichées d'ext2/3/4 sont énormément supérieures à
tous les autres FS dans tous les cas de figure. Je suis parfaitement prêt
à croire qu'il y ait eu des améliorations notables, et même qu'ext3/4
soit désormais plus rapide que les autres, mais je ne crois pas à la
magie : xfs ayant une courbe de performance qui colle au plus près le
matériel sous-jacent, il n'y a tout simplement pas moyen d'aller beaucoup
plus vite que lui (mais très légèrement, c'est possible).
Quant à la question de la fiabilité, j'y réfléchirai. Cependant je ne
peux pas dire avoir rencontré de nombreux problèmes avec xfs (en tout et
pour tout, 1 seul, en fait), sur environ 500 machines et sur environ 3 ans.
Dans les benchmarks cités par les dévs d'ext4 dans Linux mag de ce mois,
les performances affichées d'ext2/3/4 sont énormément supérieures à
tous les autres FS dans tous les cas de figure. Je suis parfaitement prêt
à croire qu'il y ait eu des améliorations notables, et même qu'ext3/4
soit désormais plus rapide que les autres, mais je ne crois pas à la
magie : xfs ayant une courbe de performance qui colle au plus près le
matériel sous-jacent, il n'y a tout simplement pas moyen d'aller beaucoup
plus vite que lui (mais très légèrement, c'est possible).
Quant à la question de la fiabilité, j'y réfléchirai. Cependant je ne
peux pas dire avoir rencontré de nombreux problèmes avec xfs (en tout et
pour tout, 1 seul, en fait), sur environ 500 machines et sur environ 3 ans.
John Dyson avait fait des benchmarks se
scripts "configure" qui lancent une grande quantité de shells, il y
avait des différences tout à fait significatives sur le temps total
d'exécution entre shell statique et dynamique.
Je ne sais pas si John Dyson sait de quoi il parle, mais toi, ce n'est pas
On Wed, 22 Apr 1998, John S. Dyson wrote:I'll scream terribly loudly if we even passingly consider making a
shell shared!!! Shells are almost never advatageously made shared.
John Dyson avait fait des benchmarks se
scripts "configure" qui lancent une grande quantité de shells, il y
avait des différences tout à fait significatives sur le temps total
d'exécution entre shell statique et dynamique.
Je ne sais pas si John Dyson sait de quoi il parle, mais toi, ce n'est pas
On Wed, 22 Apr 1998, John S. Dyson wrote:
I'll scream terribly loudly if we even passingly consider making a
shell shared!!! Shells are almost never advatageously made shared.
John Dyson avait fait des benchmarks se
scripts "configure" qui lancent une grande quantité de shells, il y
avait des différences tout à fait significatives sur le temps total
d'exécution entre shell statique et dynamique.
Je ne sais pas si John Dyson sait de quoi il parle, mais toi, ce n'est pas
On Wed, 22 Apr 1998, John S. Dyson wrote:I'll scream terribly loudly if we even passingly consider making a
shell shared!!! Shells are almost never advatageously made shared.