C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui figurent des vagues
s'opposent au format vertical et paraissent tronquées. S'y ajoutent la scission à
mi-hauteur et le clair de la partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement la mer avec une
grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui figurent des vagues
s'opposent au format vertical et paraissent tronquées. S'y ajoutent la scission à
mi-hauteur et le clair de la partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement la mer avec une
grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui figurent des vagues
s'opposent au format vertical et paraissent tronquées. S'y ajoutent la scission à
mi-hauteur et le clair de la partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement la mer avec une
grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
Le 02/01/2012 17:35, Octave a écrit :Dans la série 38, une photo m'intrigue parce que la mer est presque
illisible et devient autre chose, et pour la perte de profondeur:
www.octav.fr/quotidien/11-12-18/05.html
C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui
figurent des vagues s'opposent au format vertical et paraissent
tronquées. S'y ajoutent la scission à mi-hauteur et le clair de la
partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement la
mer avec une grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
Le 02/01/2012 17:35, Octave a écrit :
Dans la série 38, une photo m'intrigue parce que la mer est presque
illisible et devient autre chose, et pour la perte de profondeur:
www.octav.fr/quotidien/11-12-18/05.html
C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui
figurent des vagues s'opposent au format vertical et paraissent
tronquées. S'y ajoutent la scission à mi-hauteur et le clair de la
partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement la
mer avec une grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
Le 02/01/2012 17:35, Octave a écrit :Dans la série 38, une photo m'intrigue parce que la mer est presque
illisible et devient autre chose, et pour la perte de profondeur:
www.octav.fr/quotidien/11-12-18/05.html
C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui
figurent des vagues s'opposent au format vertical et paraissent
tronquées. S'y ajoutent la scission à mi-hauteur et le clair de la
partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement la
mer avec une grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
"Ghost-Rider" a écrit :C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui
figurent des vagues s'opposent au format vertical et paraissent
tronquées. S'y ajoutent la scission à mi-hauteur et le clair de la
partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement
la mer avec une grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
On pourrait dire la même chose de celle-là :
http://www.octav.fr/quotidien/11-12-18/08.html
Et pas besoin de la retourner pour en apprécier l'étrangeté. Dommage que
cette image brute de cadrage n'ait pas été corrigée. La mer qui penche
est à couper. Cela remédiera aussi au format standart de l'apn, un
format ridicule et pas bô...
Il reste une innovation, un petit plaisir à voir cette écume inédite
photographiée ainsi sur la grève. Mais je reste encore dubitatif devant
la légèreté du travail. Des brouillons, des brouillons accumulés dont on
ne peut dire que : Ah, j'aime bien la cinq et la vingt quatre. Je
déteste cela. A quand le vrai travail en profondeur d'où émerge
maintenant seulement l'écume ?
"Ghost-Rider" <Ghost-Rider@compuserve.com> a écrit :
C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui
figurent des vagues s'opposent au format vertical et paraissent
tronquées. S'y ajoutent la scission à mi-hauteur et le clair de la
partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement
la mer avec une grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
On pourrait dire la même chose de celle-là :
http://www.octav.fr/quotidien/11-12-18/08.html
Et pas besoin de la retourner pour en apprécier l'étrangeté. Dommage que
cette image brute de cadrage n'ait pas été corrigée. La mer qui penche
est à couper. Cela remédiera aussi au format standart de l'apn, un
format ridicule et pas bô...
Il reste une innovation, un petit plaisir à voir cette écume inédite
photographiée ainsi sur la grève. Mais je reste encore dubitatif devant
la légèreté du travail. Des brouillons, des brouillons accumulés dont on
ne peut dire que : Ah, j'aime bien la cinq et la vingt quatre. Je
déteste cela. A quand le vrai travail en profondeur d'où émerge
maintenant seulement l'écume ?
"Ghost-Rider" a écrit :C'est une composition paradoxale, car les lignes horizontales qui
figurent des vagues s'opposent au format vertical et paraissent
tronquées. S'y ajoutent la scission à mi-hauteur et le clair de la
partie du bas qui augmentent l'impression d'étrangeté.
Si on retourne cette photo de bas en haut, on reconnait immédiatement
la mer avec une grosse vague qui s'avance et les reflets du soleil.
On pourrait dire la même chose de celle-là :
http://www.octav.fr/quotidien/11-12-18/08.html
Et pas besoin de la retourner pour en apprécier l'étrangeté. Dommage que
cette image brute de cadrage n'ait pas été corrigée. La mer qui penche
est à couper. Cela remédiera aussi au format standart de l'apn, un
format ridicule et pas bô...
Il reste une innovation, un petit plaisir à voir cette écume inédite
photographiée ainsi sur la grève. Mais je reste encore dubitatif devant
la légèreté du travail. Des brouillons, des brouillons accumulés dont on
ne peut dire que : Ah, j'aime bien la cinq et la vingt quatre. Je
déteste cela. A quand le vrai travail en profondeur d'où émerge
maintenant seulement l'écume ?
Je fais de la photo avant tout de façon instinctive, par plaisir, par
nécessité. Ca avance par à-coups, en tournant autour du pot, en
reculant, en déviant. Mais j'ai toujours l'impression que ça progresse.
D'un autre côté, il y a ce que je vois chez les autres, ce qui me
marque, les directions qui m'intéressent, des choix de plus en plus
pointus.
Peut-être que le but est de diminuer l'espace entre ces deux choses
souvent contradictoires.
Je fais de la photo avant tout de façon instinctive, par plaisir, par
nécessité. Ca avance par à-coups, en tournant autour du pot, en
reculant, en déviant. Mais j'ai toujours l'impression que ça progresse.
D'un autre côté, il y a ce que je vois chez les autres, ce qui me
marque, les directions qui m'intéressent, des choix de plus en plus
pointus.
Peut-être que le but est de diminuer l'espace entre ces deux choses
souvent contradictoires.
Je fais de la photo avant tout de façon instinctive, par plaisir, par
nécessité. Ca avance par à-coups, en tournant autour du pot, en
reculant, en déviant. Mais j'ai toujours l'impression que ça progresse.
D'un autre côté, il y a ce que je vois chez les autres, ce qui me
marque, les directions qui m'intéressent, des choix de plus en plus
pointus.
Peut-être que le but est de diminuer l'espace entre ces deux choses
souvent contradictoires.
C'est terrible de s’intéresser à tout.
C'est terrible de s’intéresser à tout.
C'est terrible de s’intéresser à tout.
Le 02/01/2012 22:07, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :C'est terrible de s’intéresser à tout.
C'est fabuleux, il faudrait mille vies.
Le 02/01/2012 22:07, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :
C'est terrible de s’intéresser à tout.
C'est fabuleux, il faudrait mille vies.
Le 02/01/2012 22:07, YouDontNeedToKnowButItsNoëlle a écrit :C'est terrible de s’intéresser à tout.
C'est fabuleux, il faudrait mille vies.
Le 02/01/12 21:45, Octave a écrit :Je fais de la photo avant tout de façon instinctive, par plaisir, par
nécessité. Ca avance par à-coups, en tournant autour du pot, en
reculant, en déviant. Mais j'ai toujours l'impression que ça progresse.
D'un autre côté, il y a ce que je vois chez les autres, ce qui me
marque, les directions qui m'intéressent, des choix de plus en plus
pointus.
Peut-être que le but est de diminuer l'espace entre ces deux choses
souvent contradictoires.
En tous cas ici, je partage le plaisir du résultat plaisant à l'œil et
riche de teintes, de textures. Parce que le plaisir que tu as à
photographier, ça t'appartient en propre, en quelque sorte même si je le
sais ça ne me regarde pas.
J'aime bien le tournage autour du pot, on n'en a jamais fini.
Plus ça avance, moins j'en sais. Sauf qu'on acquiert la capacité à se
réjouir d'un petit reflet, d'un peu d'herbe par ci par là.
C'est terrible de s’intéresser à tout.
Le 02/01/12 21:45, Octave a écrit :
Je fais de la photo avant tout de façon instinctive, par plaisir, par
nécessité. Ca avance par à-coups, en tournant autour du pot, en
reculant, en déviant. Mais j'ai toujours l'impression que ça progresse.
D'un autre côté, il y a ce que je vois chez les autres, ce qui me
marque, les directions qui m'intéressent, des choix de plus en plus
pointus.
Peut-être que le but est de diminuer l'espace entre ces deux choses
souvent contradictoires.
En tous cas ici, je partage le plaisir du résultat plaisant à l'œil et
riche de teintes, de textures. Parce que le plaisir que tu as à
photographier, ça t'appartient en propre, en quelque sorte même si je le
sais ça ne me regarde pas.
J'aime bien le tournage autour du pot, on n'en a jamais fini.
Plus ça avance, moins j'en sais. Sauf qu'on acquiert la capacité à se
réjouir d'un petit reflet, d'un peu d'herbe par ci par là.
C'est terrible de s’intéresser à tout.
Le 02/01/12 21:45, Octave a écrit :Je fais de la photo avant tout de façon instinctive, par plaisir, par
nécessité. Ca avance par à-coups, en tournant autour du pot, en
reculant, en déviant. Mais j'ai toujours l'impression que ça progresse.
D'un autre côté, il y a ce que je vois chez les autres, ce qui me
marque, les directions qui m'intéressent, des choix de plus en plus
pointus.
Peut-être que le but est de diminuer l'espace entre ces deux choses
souvent contradictoires.
En tous cas ici, je partage le plaisir du résultat plaisant à l'œil et
riche de teintes, de textures. Parce que le plaisir que tu as à
photographier, ça t'appartient en propre, en quelque sorte même si je le
sais ça ne me regarde pas.
J'aime bien le tournage autour du pot, on n'en a jamais fini.
Plus ça avance, moins j'en sais. Sauf qu'on acquiert la capacité à se
réjouir d'un petit reflet, d'un peu d'herbe par ci par là.
C'est terrible de s’intéresser à tout.
Si au moins, ça, peut passer, c'est déjà pas mal. J'admets que
m'intéresser à la richesse des teintes, des textures dans une
photographie est en contradiction avec tout ce que je dis. Là, c'est
bien ça qui m'a intéressé, la richesse dans ce que je croyais pauvre,
trouver de la matière presque sans fin sur la plage. Donc, si ça se voit
dans les photos, c'est bien!
Je pense que c'est toujours ce que je cherche, trouver une richesse où
on n'en voit pas, du beau, du magique à partir du rien, partir du néant,
de l'insignifiant pour arriver à une lumière.
Je crois que c'est de toute façon dans les détails que ça se passe. Peu
importe que le sujet ce ne soit que moi et mon regard porté sur les
choses, ce "motif" sans intérêt pour les autres. C'est dans la manière
de traiter ce sujet, ce motif, que pourrait sortir quelque chose, une
étincelle, une "écume", quelque chose qui finit par concerner l'autre.
Je me dis que c'est peut-être déjà arrivé, que ça arrivera encore.
Si au moins, ça, peut passer, c'est déjà pas mal. J'admets que
m'intéresser à la richesse des teintes, des textures dans une
photographie est en contradiction avec tout ce que je dis. Là, c'est
bien ça qui m'a intéressé, la richesse dans ce que je croyais pauvre,
trouver de la matière presque sans fin sur la plage. Donc, si ça se voit
dans les photos, c'est bien!
Je pense que c'est toujours ce que je cherche, trouver une richesse où
on n'en voit pas, du beau, du magique à partir du rien, partir du néant,
de l'insignifiant pour arriver à une lumière.
Je crois que c'est de toute façon dans les détails que ça se passe. Peu
importe que le sujet ce ne soit que moi et mon regard porté sur les
choses, ce "motif" sans intérêt pour les autres. C'est dans la manière
de traiter ce sujet, ce motif, que pourrait sortir quelque chose, une
étincelle, une "écume", quelque chose qui finit par concerner l'autre.
Je me dis que c'est peut-être déjà arrivé, que ça arrivera encore.
Si au moins, ça, peut passer, c'est déjà pas mal. J'admets que
m'intéresser à la richesse des teintes, des textures dans une
photographie est en contradiction avec tout ce que je dis. Là, c'est
bien ça qui m'a intéressé, la richesse dans ce que je croyais pauvre,
trouver de la matière presque sans fin sur la plage. Donc, si ça se voit
dans les photos, c'est bien!
Je pense que c'est toujours ce que je cherche, trouver une richesse où
on n'en voit pas, du beau, du magique à partir du rien, partir du néant,
de l'insignifiant pour arriver à une lumière.
Je crois que c'est de toute façon dans les détails que ça se passe. Peu
importe que le sujet ce ne soit que moi et mon regard porté sur les
choses, ce "motif" sans intérêt pour les autres. C'est dans la manière
de traiter ce sujet, ce motif, que pourrait sortir quelque chose, une
étincelle, une "écume", quelque chose qui finit par concerner l'autre.
Je me dis que c'est peut-être déjà arrivé, que ça arrivera encore.
Je pensais que la mer n'était pas photogénique....
....Là, ça fait plus d'une semaine que j'y suis. La lumière y est très visible....
Je pensais que la mer n'était pas photogénique....
....Là, ça fait plus d'une semaine que j'y suis. La lumière y est très visible....
Je pensais que la mer n'était pas photogénique....
....Là, ça fait plus d'une semaine que j'y suis. La lumière y est très visible....
On 24.12.2011 09:54, Octave wrote:Je pensais que la mer n'était pas photogénique....
....Là, ça fait plus d'une semaine que j'y suis. La lumière y est très
visible....
...ben ca, on peut dire que c'est une chance!
;-)
On 24.12.2011 09:54, Octave wrote:
Je pensais que la mer n'était pas photogénique....
....Là, ça fait plus d'une semaine que j'y suis. La lumière y est très
visible....
...ben ca, on peut dire que c'est une chance!
;-)
On 24.12.2011 09:54, Octave wrote:Je pensais que la mer n'était pas photogénique....
....Là, ça fait plus d'une semaine que j'y suis. La lumière y est très
visible....
...ben ca, on peut dire que c'est une chance!
;-)