Alain Naigeon wrote:
> > Ce qui est regrétable c'est qu'un ancien éditeur comme encre prenait
> > compte ces changements.
>
> tu veux dire "Encore", je suppose ? Eh bien oui, il fait ça
> les doigts dans le nez, et aussi le changement de patch
> instrumental à la volée, pendant l'écoute ; quand j'avais
> essayé Finale, il ne le faisait pas non plus.
"Encore" est un séquenceur doté de fonctions d'édition rudimentaires. Il
n'a JAMAIS été considéré comme un éditeur de partitions par ceux qui en
font profession. Il confirme donc ce que je disais sur la différence
entre les deux mondes.
Alain Naigeon <anaigeon@free.fr> wrote:
> > Ce qui est regrétable c'est qu'un ancien éditeur comme encre prenait
> > compte ces changements.
>
> tu veux dire "Encore", je suppose ? Eh bien oui, il fait ça
> les doigts dans le nez, et aussi le changement de patch
> instrumental à la volée, pendant l'écoute ; quand j'avais
> essayé Finale, il ne le faisait pas non plus.
"Encore" est un séquenceur doté de fonctions d'édition rudimentaires. Il
n'a JAMAIS été considéré comme un éditeur de partitions par ceux qui en
font profession. Il confirme donc ce que je disais sur la différence
entre les deux mondes.
Alain Naigeon wrote:
> > Ce qui est regrétable c'est qu'un ancien éditeur comme encre prenait
> > compte ces changements.
>
> tu veux dire "Encore", je suppose ? Eh bien oui, il fait ça
> les doigts dans le nez, et aussi le changement de patch
> instrumental à la volée, pendant l'écoute ; quand j'avais
> essayé Finale, il ne le faisait pas non plus.
"Encore" est un séquenceur doté de fonctions d'édition rudimentaires. Il
n'a JAMAIS été considéré comme un éditeur de partitions par ceux qui en
font profession. Il confirme donc ce que je disais sur la différence
entre les deux mondes.
AMHA, et au leur (Passport à l'époque), Encore n'était pas un
séquenceur : car ils en avaient un à leur catalogue, autre que
Encore, et les possibilités MIDI de Encore restent, elles, rudimentaires.
Par contre c'est un éditeur très correct, qui, *à l'époque*, pouvait
donner des leçons de convivialité et de support MIDI à Finale.
Au vu de ce qu'on peut en tirer, je pense que le terme "rudimentaire"
pour l'édition sous Encore est quelque peu exagéré ; ceci dit, je n'ai
pas dit que c'était un logiciel professionnel, j'ai simplement relevé
qu'un logiciel qui se disait tel faisait moins bien certaines choses
que lui.
Alors, si l'exigence est telle que l'édition
sous Encore est "rudimentaire", alors, ma foi, je peux dire que
l'implémention Windows de Finale était, il y a quelques années,
carrément ubuesque sur cette même échelle de qualité.
Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur, ou faire soi-même en mode
texte (du genre Tex et produits dérivés). La seule chose vraiment
nouvelle apportée par la micro-informatique, c'est justement
l'écoute, qui permet le contrôle, le maquettage, etc.
Et, ma
foi, je vois tous les jours des compositeurs, des vrais, avec cursus,
qui ne font pas la fine bouche sur cet aspect des choses. Et
j'ai, à mon âge, un peu d'expérience avec les commerçants,
le plus souvent ils débinent ce qu'ils ne savent pas bien faire,
et j'ai l'impression que c'est le cas avec le MIDI pour Finale.
Pour finir, je n'ai aucune expérience avec le support de Coda,
mais il y a un compositeur sur rec.music.compose (Matt Fields)
de Chicago, qui est passé à Sibelius pour la raison exactement
inverse... Evidemment ce genre de chose dépend des gens
en charge du support local, on ne peut généraliser (ni dans
un sens ni dans l'autre).
AMHA, et au leur (Passport à l'époque), Encore n'était pas un
séquenceur : car ils en avaient un à leur catalogue, autre que
Encore, et les possibilités MIDI de Encore restent, elles, rudimentaires.
Par contre c'est un éditeur très correct, qui, *à l'époque*, pouvait
donner des leçons de convivialité et de support MIDI à Finale.
Au vu de ce qu'on peut en tirer, je pense que le terme "rudimentaire"
pour l'édition sous Encore est quelque peu exagéré ; ceci dit, je n'ai
pas dit que c'était un logiciel professionnel, j'ai simplement relevé
qu'un logiciel qui se disait tel faisait moins bien certaines choses
que lui.
Alors, si l'exigence est telle que l'édition
sous Encore est "rudimentaire", alors, ma foi, je peux dire que
l'implémention Windows de Finale était, il y a quelques années,
carrément ubuesque sur cette même échelle de qualité.
Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur, ou faire soi-même en mode
texte (du genre Tex et produits dérivés). La seule chose vraiment
nouvelle apportée par la micro-informatique, c'est justement
l'écoute, qui permet le contrôle, le maquettage, etc.
Et, ma
foi, je vois tous les jours des compositeurs, des vrais, avec cursus,
qui ne font pas la fine bouche sur cet aspect des choses. Et
j'ai, à mon âge, un peu d'expérience avec les commerçants,
le plus souvent ils débinent ce qu'ils ne savent pas bien faire,
et j'ai l'impression que c'est le cas avec le MIDI pour Finale.
Pour finir, je n'ai aucune expérience avec le support de Coda,
mais il y a un compositeur sur rec.music.compose (Matt Fields)
de Chicago, qui est passé à Sibelius pour la raison exactement
inverse... Evidemment ce genre de chose dépend des gens
en charge du support local, on ne peut généraliser (ni dans
un sens ni dans l'autre).
AMHA, et au leur (Passport à l'époque), Encore n'était pas un
séquenceur : car ils en avaient un à leur catalogue, autre que
Encore, et les possibilités MIDI de Encore restent, elles, rudimentaires.
Par contre c'est un éditeur très correct, qui, *à l'époque*, pouvait
donner des leçons de convivialité et de support MIDI à Finale.
Au vu de ce qu'on peut en tirer, je pense que le terme "rudimentaire"
pour l'édition sous Encore est quelque peu exagéré ; ceci dit, je n'ai
pas dit que c'était un logiciel professionnel, j'ai simplement relevé
qu'un logiciel qui se disait tel faisait moins bien certaines choses
que lui.
Alors, si l'exigence est telle que l'édition
sous Encore est "rudimentaire", alors, ma foi, je peux dire que
l'implémention Windows de Finale était, il y a quelques années,
carrément ubuesque sur cette même échelle de qualité.
Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur, ou faire soi-même en mode
texte (du genre Tex et produits dérivés). La seule chose vraiment
nouvelle apportée par la micro-informatique, c'est justement
l'écoute, qui permet le contrôle, le maquettage, etc.
Et, ma
foi, je vois tous les jours des compositeurs, des vrais, avec cursus,
qui ne font pas la fine bouche sur cet aspect des choses. Et
j'ai, à mon âge, un peu d'expérience avec les commerçants,
le plus souvent ils débinent ce qu'ils ne savent pas bien faire,
et j'ai l'impression que c'est le cas avec le MIDI pour Finale.
Pour finir, je n'ai aucune expérience avec le support de Coda,
mais il y a un compositeur sur rec.music.compose (Matt Fields)
de Chicago, qui est passé à Sibelius pour la raison exactement
inverse... Evidemment ce genre de chose dépend des gens
en charge du support local, on ne peut généraliser (ni dans
un sens ni dans l'autre).
D'ailleurs, il ne faut pas confondre logiciel professionnel avec logiciel
utilisé par des professionnels
Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur,
D'ailleurs, il ne faut pas confondre logiciel professionnel avec logiciel
utilisé par des professionnels
Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur,
D'ailleurs, il ne faut pas confondre logiciel professionnel avec logiciel
utilisé par des professionnels
Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur,
- L'édition de partition (dite "gravure") est un métier, dont pour
l'instant le principal logiciel utilisé par ceux qui le pratiquent est
Finale, qui est conçu pour cela et pas pour autre chose.
- L'édition de partition (dite "gravure") est un métier, dont pour
l'instant le principal logiciel utilisé par ceux qui le pratiquent est
Finale, qui est conçu pour cela et pas pour autre chose.
- L'édition de partition (dite "gravure") est un métier, dont pour
l'instant le principal logiciel utilisé par ceux qui le pratiquent est
Finale, qui est conçu pour cela et pas pour autre chose.
Je me demande ce qui te permet d'affirmer ça !
Les éditions Notissimo, par exemple, sont bien distribuées dans certaines
librairies musicales, je ne sais pas si ils utilisent toujours Encore, mais
je sais que c'était le cas il y a quelques années. (de même que les
éditions Fertile Plaine, qui, je te l'accorde, ne sont vendues que par
correspondance)
Ces mêmes particuliers, ou enseignants, ou compositeurs, s'ils ont envie de
voir leur travail publié un jour, sont bien obligés de se doter de
logiciels compatibles avec ceux de leurs éventuels éditeurs, sous peine de
se voir refuser leurs partitions !
Je me demande ce qui te permet d'affirmer ça !
Les éditions Notissimo, par exemple, sont bien distribuées dans certaines
librairies musicales, je ne sais pas si ils utilisent toujours Encore, mais
je sais que c'était le cas il y a quelques années. (de même que les
éditions Fertile Plaine, qui, je te l'accorde, ne sont vendues que par
correspondance)
Ces mêmes particuliers, ou enseignants, ou compositeurs, s'ils ont envie de
voir leur travail publié un jour, sont bien obligés de se doter de
logiciels compatibles avec ceux de leurs éventuels éditeurs, sous peine de
se voir refuser leurs partitions !
Je me demande ce qui te permet d'affirmer ça !
Les éditions Notissimo, par exemple, sont bien distribuées dans certaines
librairies musicales, je ne sais pas si ils utilisent toujours Encore, mais
je sais que c'était le cas il y a quelques années. (de même que les
éditions Fertile Plaine, qui, je te l'accorde, ne sont vendues que par
correspondance)
Ces mêmes particuliers, ou enseignants, ou compositeurs, s'ils ont envie de
voir leur travail publié un jour, sont bien obligés de se doter de
logiciels compatibles avec ceux de leurs éventuels éditeurs, sous peine de
se voir refuser leurs partitions !
etc.
Globalement cela est faux. Les éditeurs (du moins ceux que j'ai cités)
ne travaillent pas à partir de *logiciels* mais à partir de *films*
flashés à 1200 ou 2400 dpi,
ou l'Interlude ?)
Quand se présentent des besoins de gravure (si le client ou l'ACA ne
peut fournir les films), ils font appel *en externe* (sauf les Henle et
Breitkopf !) à des graveurs professionnels pour qui le fait de disposer
ou non d'un fichier Finale comme source ne change pas grand chose... et
qui fourniront, in fine, les films.
etc.
Globalement cela est faux. Les éditeurs (du moins ceux que j'ai cités)
ne travaillent pas à partir de *logiciels* mais à partir de *films*
flashés à 1200 ou 2400 dpi,
ou l'Interlude ?)
Quand se présentent des besoins de gravure (si le client ou l'ACA ne
peut fournir les films), ils font appel *en externe* (sauf les Henle et
Breitkopf !) à des graveurs professionnels pour qui le fait de disposer
ou non d'un fichier Finale comme source ne change pas grand chose... et
qui fourniront, in fine, les films.
etc.
Globalement cela est faux. Les éditeurs (du moins ceux que j'ai cités)
ne travaillent pas à partir de *logiciels* mais à partir de *films*
flashés à 1200 ou 2400 dpi,
ou l'Interlude ?)
Quand se présentent des besoins de gravure (si le client ou l'ACA ne
peut fournir les films), ils font appel *en externe* (sauf les Henle et
Breitkopf !) à des graveurs professionnels pour qui le fait de disposer
ou non d'un fichier Finale comme source ne change pas grand chose... et
qui fourniront, in fine, les films.
Noooooooon! Tu vas faire hurler de rire (ou s'étrangler d'indignation, au
choix) les pros de l'édition musicale si tu leur sort ce genre de fadaise!
Le seul outil informatique qui aie vraiment percé les murs épais des maisons
d'éditions musicales (et qui n'en est pas encore délogé) est Score, un
dinosaure de l'ère DOS et qui a évolué jusqu'à être porté sous Windows. La
plupart des maisons d'éditions, j'entends celles qui se servent de
l'ordinateur pour faire le boulot de gravure,
se servent de cet outil et ne
veulent pas entendre parler de Finale parce que ses possibilités d'édition
et de mise en page sont tout simplement ridicules et quasi impossible à
mettre en oeuvre, ou devant passer par tout un tas de détours, trucages et
autres, que ce logiciel est tout simplement impropre à tout travail sérieux
(je parle bien entendu ici du boulot *dans* une maison d'édition), et que la
qualité des fontes musicales proposées pour Finale fait hurler les
professionnels quand il s'agit de les flasher.
Noooooooon! Tu vas faire hurler de rire (ou s'étrangler d'indignation, au
choix) les pros de l'édition musicale si tu leur sort ce genre de fadaise!
Le seul outil informatique qui aie vraiment percé les murs épais des maisons
d'éditions musicales (et qui n'en est pas encore délogé) est Score, un
dinosaure de l'ère DOS et qui a évolué jusqu'à être porté sous Windows. La
plupart des maisons d'éditions, j'entends celles qui se servent de
l'ordinateur pour faire le boulot de gravure,
se servent de cet outil et ne
veulent pas entendre parler de Finale parce que ses possibilités d'édition
et de mise en page sont tout simplement ridicules et quasi impossible à
mettre en oeuvre, ou devant passer par tout un tas de détours, trucages et
autres, que ce logiciel est tout simplement impropre à tout travail sérieux
(je parle bien entendu ici du boulot *dans* une maison d'édition), et que la
qualité des fontes musicales proposées pour Finale fait hurler les
professionnels quand il s'agit de les flasher.
Noooooooon! Tu vas faire hurler de rire (ou s'étrangler d'indignation, au
choix) les pros de l'édition musicale si tu leur sort ce genre de fadaise!
Le seul outil informatique qui aie vraiment percé les murs épais des maisons
d'éditions musicales (et qui n'en est pas encore délogé) est Score, un
dinosaure de l'ère DOS et qui a évolué jusqu'à être porté sous Windows. La
plupart des maisons d'éditions, j'entends celles qui se servent de
l'ordinateur pour faire le boulot de gravure,
se servent de cet outil et ne
veulent pas entendre parler de Finale parce que ses possibilités d'édition
et de mise en page sont tout simplement ridicules et quasi impossible à
mettre en oeuvre, ou devant passer par tout un tas de détours, trucages et
autres, que ce logiciel est tout simplement impropre à tout travail sérieux
(je parle bien entendu ici du boulot *dans* une maison d'édition), et que la
qualité des fontes musicales proposées pour Finale fait hurler les
professionnels quand il s'agit de les flasher.
Alain Naigeon wrote:D'ailleurs, il ne faut pas confondre logiciel professionnel avec logiciel
utilisé par des professionnels
Ah ouiche ? Ta sémantique m'échappe, Alain !Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur,
Et tu crois qu'il fait quoi, l'imprimeur, si ce n'est faire appel à des
"professionnels" de la gravure de partition, pour lui fournir son film ?
Remarque, j'en ai bien connu un pas loin d'ici qui faisait encore ses
partitions d'accordéon au Rotring, mais il est mort !
Sur le thème "on PEUT utiliser une Ferrari pour transporter des bottes
de foin si on VEUT", façon gagnant du Loto, évidemment tout est
possible, mais tu embrouilles les pistes à loisir et ce n'est pas gentil
pour ceux qui pourraient venir chercher ici de l'information. Donc je
clarifie :
- L'édition de partition (dite "gravure") est un métier, dont pour
l'instant le principal logiciel utilisé par ceux qui le pratiquent est
Finale, qui est conçu pour cela et pas pour autre chose.
Je parle
d'éditions effectivement *vendues* en librairies musicales et de pages
*flashées* effectivement *payées* par les éditeurs au graveur. Certaines
partitions vendues sont réalisées aussi avec Berlioz, certaines sans
doute avec Sibélius, aucune avec Encore.
- Le particulier ou l'enseignant, ou le compositeur peuvent souhaiter
effectuer des *impressions* (et non des éditions) de partitions pour
diverses raisons parfaitement respectables. Il peuvent - s'ils veulent
se compliquer la vie ou s'ils ont des exigences particulières - utiliser
le logiciel professionnel Finale (mais qui est, j'insiste, d'une autre
"profession" que la leur).
- Mais il vaudrait mieux, dans la majorité des cas, qu'ils utilisent une
des version allégée de Finale, PrintMUsic ou Allegro ou d'autres
logiciels plus adaptés à leurs besoins comme Encore. Ces logiciels
peuvent certes être utilisés de manière *professionnelle* par ces gens,
mais cette profession-là n'est *pas* la gravure de partitions.
Alain Naigeon <anaigeon@free.fr> wrote:
D'ailleurs, il ne faut pas confondre logiciel professionnel avec logiciel
utilisé par des professionnels
Ah ouiche ? Ta sémantique m'échappe, Alain !
Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur,
Et tu crois qu'il fait quoi, l'imprimeur, si ce n'est faire appel à des
"professionnels" de la gravure de partition, pour lui fournir son film ?
Remarque, j'en ai bien connu un pas loin d'ici qui faisait encore ses
partitions d'accordéon au Rotring, mais il est mort !
Sur le thème "on PEUT utiliser une Ferrari pour transporter des bottes
de foin si on VEUT", façon gagnant du Loto, évidemment tout est
possible, mais tu embrouilles les pistes à loisir et ce n'est pas gentil
pour ceux qui pourraient venir chercher ici de l'information. Donc je
clarifie :
- L'édition de partition (dite "gravure") est un métier, dont pour
l'instant le principal logiciel utilisé par ceux qui le pratiquent est
Finale, qui est conçu pour cela et pas pour autre chose.
Je parle
d'éditions effectivement *vendues* en librairies musicales et de pages
*flashées* effectivement *payées* par les éditeurs au graveur. Certaines
partitions vendues sont réalisées aussi avec Berlioz, certaines sans
doute avec Sibélius, aucune avec Encore.
- Le particulier ou l'enseignant, ou le compositeur peuvent souhaiter
effectuer des *impressions* (et non des éditions) de partitions pour
diverses raisons parfaitement respectables. Il peuvent - s'ils veulent
se compliquer la vie ou s'ils ont des exigences particulières - utiliser
le logiciel professionnel Finale (mais qui est, j'insiste, d'une autre
"profession" que la leur).
- Mais il vaudrait mieux, dans la majorité des cas, qu'ils utilisent une
des version allégée de Finale, PrintMUsic ou Allegro ou d'autres
logiciels plus adaptés à leurs besoins comme Encore. Ces logiciels
peuvent certes être utilisés de manière *professionnelle* par ces gens,
mais cette profession-là n'est *pas* la gravure de partitions.
Alain Naigeon wrote:D'ailleurs, il ne faut pas confondre logiciel professionnel avec logiciel
utilisé par des professionnels
Ah ouiche ? Ta sémantique m'échappe, Alain !Pour finir, je me pose des questions sur la "valeur ajoutée" d'un
éditeur pur et dur ; après tout, on peut écrire crayon-papier,
puis confier ça à un imprimeur,
Et tu crois qu'il fait quoi, l'imprimeur, si ce n'est faire appel à des
"professionnels" de la gravure de partition, pour lui fournir son film ?
Remarque, j'en ai bien connu un pas loin d'ici qui faisait encore ses
partitions d'accordéon au Rotring, mais il est mort !
Sur le thème "on PEUT utiliser une Ferrari pour transporter des bottes
de foin si on VEUT", façon gagnant du Loto, évidemment tout est
possible, mais tu embrouilles les pistes à loisir et ce n'est pas gentil
pour ceux qui pourraient venir chercher ici de l'information. Donc je
clarifie :
- L'édition de partition (dite "gravure") est un métier, dont pour
l'instant le principal logiciel utilisé par ceux qui le pratiquent est
Finale, qui est conçu pour cela et pas pour autre chose.
Je parle
d'éditions effectivement *vendues* en librairies musicales et de pages
*flashées* effectivement *payées* par les éditeurs au graveur. Certaines
partitions vendues sont réalisées aussi avec Berlioz, certaines sans
doute avec Sibélius, aucune avec Encore.
- Le particulier ou l'enseignant, ou le compositeur peuvent souhaiter
effectuer des *impressions* (et non des éditions) de partitions pour
diverses raisons parfaitement respectables. Il peuvent - s'ils veulent
se compliquer la vie ou s'ils ont des exigences particulières - utiliser
le logiciel professionnel Finale (mais qui est, j'insiste, d'une autre
"profession" que la leur).
- Mais il vaudrait mieux, dans la majorité des cas, qu'ils utilisent une
des version allégée de Finale, PrintMUsic ou Allegro ou d'autres
logiciels plus adaptés à leurs besoins comme Encore. Ces logiciels
peuvent certes être utilisés de manière *professionnelle* par ces gens,
mais cette profession-là n'est *pas* la gravure de partitions.
Tiens, encore récemment... dans un bouquin, plutôt bien fait d'ailleurs,
d'un éditeur lyonnais, transfuge de chez F***** dont la clientèle
est le monde de l'éducation musicale... L'éditeur me le présente, assez
comme peuvent l'être les commerçants, et là, me saute aux yeux une
pardon une coquille (j'ai encore oublié un "q"), assez vilaine... Je la
ai faite remarquer... réponse évasive du gars un peu gêné, mais qui ne
rien faire : "ah bon, heu... vous êtes certains ?... [il enlève ses
parce qu'il est presse bite] oui, en effet, bon..."... Que faire ? sinon
admettre que ça a été relu trop vite par des gens trop peu payés, et pour
tenir des délais de sortie imposés par on ne sait quel marché...
Tiens, encore récemment... dans un bouquin, plutôt bien fait d'ailleurs,
d'un éditeur lyonnais, transfuge de chez F***** dont la clientèle
est le monde de l'éducation musicale... L'éditeur me le présente, assez
comme peuvent l'être les commerçants, et là, me saute aux yeux une
pardon une coquille (j'ai encore oublié un "q"), assez vilaine... Je la
ai faite remarquer... réponse évasive du gars un peu gêné, mais qui ne
rien faire : "ah bon, heu... vous êtes certains ?... [il enlève ses
parce qu'il est presse bite] oui, en effet, bon..."... Que faire ? sinon
admettre que ça a été relu trop vite par des gens trop peu payés, et pour
tenir des délais de sortie imposés par on ne sait quel marché...
Tiens, encore récemment... dans un bouquin, plutôt bien fait d'ailleurs,
d'un éditeur lyonnais, transfuge de chez F***** dont la clientèle
est le monde de l'éducation musicale... L'éditeur me le présente, assez
comme peuvent l'être les commerçants, et là, me saute aux yeux une
pardon une coquille (j'ai encore oublié un "q"), assez vilaine... Je la
ai faite remarquer... réponse évasive du gars un peu gêné, mais qui ne
rien faire : "ah bon, heu... vous êtes certains ?... [il enlève ses
parce qu'il est presse bite] oui, en effet, bon..."... Que faire ? sinon
admettre que ça a été relu trop vite par des gens trop peu payés, et pour
tenir des délais de sortie imposés par on ne sait quel marché...