"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Si une entreprise est sous-capitalisée et pour investir dans des
activités rentables elle a besoin de fonds qu'elle ne peut pas se
procurer à taux inférieur à son taux de rentabilité interne, elle peut
en effet avoir intérêt à vendre son parc immobilier pour le relouer
(lease-back).
Si ensuite, grâce à ce financement, elle a accru ses bénéfices et a
conforté sa structure financière, elle peut alors avoir intérêt à
racheter ce parc immobiliser car son taux de rentabilité interne est
devenu supérieur au taux du loyer.
Ce sont des calculs faits à longueur de temps par les entreprises bien
gérées.
Ca c'est du financement pas du cout de revient de la production.
En théorie, on ne devrait passer dans les prix de revient individuels
des articles que le coût de l'usure exacte entraînée par une certaine
production. C'est l'évidence et ça se fait assez généralement pour des
productions de grandes séries.
OkEn bref, quand le matériel est arrivé à sa limite d'usure et ne vaut
plus rien, la somme des amortissements comptabilisés dans les coûts de
reveint doit être égale à sa valeur d'origine. Si on revend ce
matériel on en tient compte.
Revente parfois avec profit, parfois à perte. Mais encore imprécis, on
ne le sait qu'après, pas avant.
Mais bien des éléments perturbateurs peuvent compliquer la tâche : les
séries hétérogènes, la baisse de la productivité du matériel,
l'obsolescence qui vient affecter sa valeur résiduelle éventuelle etc...
En bien voilà. Le vrai cout de revient est incertain. Les calculs
servent à évaluer les risques pas à déterminer un cout précis (sauf à
diminuer la qualité pour forcer à la production dans un budget fixé)
que les autres. En leur facturant leur consommation réelle et non une
part de l'amortissement annuel global, on se rapproche bien plus de la
vérité des prix.
Je n'ai jamais entendu parler de mesurer la quantité d'encre utilisée
sur des impressions; le vendeur charge plus cher pour couvrir ses frais
en cartouches et faire un petit profit supplémentaire; ici ce n'est pas
calculable.
Par contre un fabricant peut diminuer le nombre de points de
soudure afin de se retrouver avec quelques milliers de $ de plus en fin
d'année; là c'est calculable.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Si une entreprise est sous-capitalisée et pour investir dans des
activités rentables elle a besoin de fonds qu'elle ne peut pas se
procurer à taux inférieur à son taux de rentabilité interne, elle peut
en effet avoir intérêt à vendre son parc immobilier pour le relouer
(lease-back).
Si ensuite, grâce à ce financement, elle a accru ses bénéfices et a
conforté sa structure financière, elle peut alors avoir intérêt à
racheter ce parc immobiliser car son taux de rentabilité interne est
devenu supérieur au taux du loyer.
Ce sont des calculs faits à longueur de temps par les entreprises bien
gérées.
Ca c'est du financement pas du cout de revient de la production.
En théorie, on ne devrait passer dans les prix de revient individuels
des articles que le coût de l'usure exacte entraînée par une certaine
production. C'est l'évidence et ça se fait assez généralement pour des
productions de grandes séries.
Ok
En bref, quand le matériel est arrivé à sa limite d'usure et ne vaut
plus rien, la somme des amortissements comptabilisés dans les coûts de
reveint doit être égale à sa valeur d'origine. Si on revend ce
matériel on en tient compte.
Revente parfois avec profit, parfois à perte. Mais encore imprécis, on
ne le sait qu'après, pas avant.
Mais bien des éléments perturbateurs peuvent compliquer la tâche : les
séries hétérogènes, la baisse de la productivité du matériel,
l'obsolescence qui vient affecter sa valeur résiduelle éventuelle etc...
En bien voilà. Le vrai cout de revient est incertain. Les calculs
servent à évaluer les risques pas à déterminer un cout précis (sauf à
diminuer la qualité pour forcer à la production dans un budget fixé)
que les autres. En leur facturant leur consommation réelle et non une
part de l'amortissement annuel global, on se rapproche bien plus de la
vérité des prix.
Je n'ai jamais entendu parler de mesurer la quantité d'encre utilisée
sur des impressions; le vendeur charge plus cher pour couvrir ses frais
en cartouches et faire un petit profit supplémentaire; ici ce n'est pas
calculable.
Par contre un fabricant peut diminuer le nombre de points de
soudure afin de se retrouver avec quelques milliers de $ de plus en fin
d'année; là c'est calculable.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Si une entreprise est sous-capitalisée et pour investir dans des
activités rentables elle a besoin de fonds qu'elle ne peut pas se
procurer à taux inférieur à son taux de rentabilité interne, elle peut
en effet avoir intérêt à vendre son parc immobilier pour le relouer
(lease-back).
Si ensuite, grâce à ce financement, elle a accru ses bénéfices et a
conforté sa structure financière, elle peut alors avoir intérêt à
racheter ce parc immobiliser car son taux de rentabilité interne est
devenu supérieur au taux du loyer.
Ce sont des calculs faits à longueur de temps par les entreprises bien
gérées.
Ca c'est du financement pas du cout de revient de la production.
En théorie, on ne devrait passer dans les prix de revient individuels
des articles que le coût de l'usure exacte entraînée par une certaine
production. C'est l'évidence et ça se fait assez généralement pour des
productions de grandes séries.
OkEn bref, quand le matériel est arrivé à sa limite d'usure et ne vaut
plus rien, la somme des amortissements comptabilisés dans les coûts de
reveint doit être égale à sa valeur d'origine. Si on revend ce
matériel on en tient compte.
Revente parfois avec profit, parfois à perte. Mais encore imprécis, on
ne le sait qu'après, pas avant.
Mais bien des éléments perturbateurs peuvent compliquer la tâche : les
séries hétérogènes, la baisse de la productivité du matériel,
l'obsolescence qui vient affecter sa valeur résiduelle éventuelle etc...
En bien voilà. Le vrai cout de revient est incertain. Les calculs
servent à évaluer les risques pas à déterminer un cout précis (sauf à
diminuer la qualité pour forcer à la production dans un budget fixé)
que les autres. En leur facturant leur consommation réelle et non une
part de l'amortissement annuel global, on se rapproche bien plus de la
vérité des prix.
Je n'ai jamais entendu parler de mesurer la quantité d'encre utilisée
sur des impressions; le vendeur charge plus cher pour couvrir ses frais
en cartouches et faire un petit profit supplémentaire; ici ce n'est pas
calculable.
Par contre un fabricant peut diminuer le nombre de points de
soudure afin de se retrouver avec quelques milliers de $ de plus en fin
d'année; là c'est calculable.
En bien voilà. Le vrai cout de revient est incertain. Les calculs
servent à évaluer les risques pas à déterminer un cout précis (sauf à
diminuer la qualité pour forcer à la production dans un budget fixé)
Mais l'imprécision toute relative dans l'établissement des coûts de revient
ne les rend absolument pas invalides ou inexploitables. C'est le rôle du
comptable de maintenir les écarts entre les coûts réels et les coûts
préétablis aussi faibles que possible.
Tu parles de "diminuer la qualité pour forcer à la production dans un
budget fixé". Voilà une déclaration qui surprendra plus d'un directeur de
production.
que les autres. En leur facturant leur consommation réelle et non une
part de l'amortissement annuel global, on se rapproche bien plus de la
vérité des prix.
Tout est calculable. Regarde donc les coûts de revient dans la pharmacie.
On connait le prix du microgramme de tel principe actif dans tel comprimé.
Par contre un fabricant peut diminuer le nombre de points de
soudure afin de se retrouver avec quelques milliers de $ de plus en fin
d'année; là c'est calculable.
Ça, c'est la fameuse légende d'Henry Ford dont un ouvrier avait permis de
diminuer le nombre de points de soudure sur une carrosserie.
En bien voilà. Le vrai cout de revient est incertain. Les calculs
servent à évaluer les risques pas à déterminer un cout précis (sauf à
diminuer la qualité pour forcer à la production dans un budget fixé)
Mais l'imprécision toute relative dans l'établissement des coûts de revient
ne les rend absolument pas invalides ou inexploitables. C'est le rôle du
comptable de maintenir les écarts entre les coûts réels et les coûts
préétablis aussi faibles que possible.
Tu parles de "diminuer la qualité pour forcer à la production dans un
budget fixé". Voilà une déclaration qui surprendra plus d'un directeur de
production.
que les autres. En leur facturant leur consommation réelle et non une
part de l'amortissement annuel global, on se rapproche bien plus de la
vérité des prix.
Tout est calculable. Regarde donc les coûts de revient dans la pharmacie.
On connait le prix du microgramme de tel principe actif dans tel comprimé.
Par contre un fabricant peut diminuer le nombre de points de
soudure afin de se retrouver avec quelques milliers de $ de plus en fin
d'année; là c'est calculable.
Ça, c'est la fameuse légende d'Henry Ford dont un ouvrier avait permis de
diminuer le nombre de points de soudure sur une carrosserie.
En bien voilà. Le vrai cout de revient est incertain. Les calculs
servent à évaluer les risques pas à déterminer un cout précis (sauf à
diminuer la qualité pour forcer à la production dans un budget fixé)
Mais l'imprécision toute relative dans l'établissement des coûts de revient
ne les rend absolument pas invalides ou inexploitables. C'est le rôle du
comptable de maintenir les écarts entre les coûts réels et les coûts
préétablis aussi faibles que possible.
Tu parles de "diminuer la qualité pour forcer à la production dans un
budget fixé". Voilà une déclaration qui surprendra plus d'un directeur de
production.
que les autres. En leur facturant leur consommation réelle et non une
part de l'amortissement annuel global, on se rapproche bien plus de la
vérité des prix.
Tout est calculable. Regarde donc les coûts de revient dans la pharmacie.
On connait le prix du microgramme de tel principe actif dans tel comprimé.
Par contre un fabricant peut diminuer le nombre de points de
soudure afin de se retrouver avec quelques milliers de $ de plus en fin
d'année; là c'est calculable.
Ça, c'est la fameuse légende d'Henry Ford dont un ouvrier avait permis de
diminuer le nombre de points de soudure sur une carrosserie.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Mais l'imprécision toute relative dans l'établissement des coûts de
revient ne les rend absolument pas invalides ou inexploitables. C'est
le rôle du comptable de maintenir les écarts entre les coûts réels et
les coûts préétablis aussi faibles que possible.
C'est ce que j'affirme: le comptable ne peut affirmer avec certitude
qu'en pratique le coût sera tel. Il faut une latitude, du pire cas au
meilleur.
Tu parles de "diminuer la qualité pour forcer à la production dans un
budget fixé". Voilà une déclaration qui surprendra plus d'un directeur
de production.
Ben non, fréquent. Ton impression est trop chère, coupe la qualité du
papier. Ne pose pas 4 vis pour tenir la pièce, 2 suffisent. Etc... De
toute manière le comptable n'en sait rien de ces ajustements... et
souvent le client non plus.
Le prix demandé! Pas le cout de recherche développement.
Depuis 6 mois je suis en discussion avec Bombardier. Je sais ce qu'ils
veulent, je sais ce que je veux. Si le contrat arrive à signature, je
sais que je devrai faire des tests de production... Combien d'essais?
Pour quelle quantité? Pour quel prix? Combien de perte à la production?
Il faut décider au pif, par expérience. Mon comptable est absolument
inutile, mais il me dira en fin d'année si j'ai fait une bonne ou
mauvaise affaire.
Légende ou pas c'est pourtant une réalité dans tous les ateliers de
productions où le cout de vente ou de production est considéré
primordial. Mais oui il existe aussi des cas ou la qualité prime sur le
cout sans compromis, si le client veux bien payer une surcharge.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
Mais l'imprécision toute relative dans l'établissement des coûts de
revient ne les rend absolument pas invalides ou inexploitables. C'est
le rôle du comptable de maintenir les écarts entre les coûts réels et
les coûts préétablis aussi faibles que possible.
C'est ce que j'affirme: le comptable ne peut affirmer avec certitude
qu'en pratique le coût sera tel. Il faut une latitude, du pire cas au
meilleur.
Tu parles de "diminuer la qualité pour forcer à la production dans un
budget fixé". Voilà une déclaration qui surprendra plus d'un directeur
de production.
Ben non, fréquent. Ton impression est trop chère, coupe la qualité du
papier. Ne pose pas 4 vis pour tenir la pièce, 2 suffisent. Etc... De
toute manière le comptable n'en sait rien de ces ajustements... et
souvent le client non plus.
Le prix demandé! Pas le cout de recherche développement.
Depuis 6 mois je suis en discussion avec Bombardier. Je sais ce qu'ils
veulent, je sais ce que je veux. Si le contrat arrive à signature, je
sais que je devrai faire des tests de production... Combien d'essais?
Pour quelle quantité? Pour quel prix? Combien de perte à la production?
Il faut décider au pif, par expérience. Mon comptable est absolument
inutile, mais il me dira en fin d'année si j'ai fait une bonne ou
mauvaise affaire.
Légende ou pas c'est pourtant une réalité dans tous les ateliers de
productions où le cout de vente ou de production est considéré
primordial. Mais oui il existe aussi des cas ou la qualité prime sur le
cout sans compromis, si le client veux bien payer une surcharge.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :Mais l'imprécision toute relative dans l'établissement des coûts de
revient ne les rend absolument pas invalides ou inexploitables. C'est
le rôle du comptable de maintenir les écarts entre les coûts réels et
les coûts préétablis aussi faibles que possible.
C'est ce que j'affirme: le comptable ne peut affirmer avec certitude
qu'en pratique le coût sera tel. Il faut une latitude, du pire cas au
meilleur.
Tu parles de "diminuer la qualité pour forcer à la production dans un
budget fixé". Voilà une déclaration qui surprendra plus d'un directeur
de production.
Ben non, fréquent. Ton impression est trop chère, coupe la qualité du
papier. Ne pose pas 4 vis pour tenir la pièce, 2 suffisent. Etc... De
toute manière le comptable n'en sait rien de ces ajustements... et
souvent le client non plus.
Le prix demandé! Pas le cout de recherche développement.
Depuis 6 mois je suis en discussion avec Bombardier. Je sais ce qu'ils
veulent, je sais ce que je veux. Si le contrat arrive à signature, je
sais que je devrai faire des tests de production... Combien d'essais?
Pour quelle quantité? Pour quel prix? Combien de perte à la production?
Il faut décider au pif, par expérience. Mon comptable est absolument
inutile, mais il me dira en fin d'année si j'ai fait une bonne ou
mauvaise affaire.
Légende ou pas c'est pourtant une réalité dans tous les ateliers de
productions où le cout de vente ou de production est considéré
primordial. Mais oui il existe aussi des cas ou la qualité prime sur le
cout sans compromis, si le client veux bien payer une surcharge.
Le bon comptable ne passe pas son temps dans le silence monacal de son
cabinet, il doit passer son temps sur le terrain et très bien
connaître le cycle de production et les personnels de production. Il
doit être capable de repérer tout fait marquant, petit ou non.
La difficulté de la comptabilité, ce ne sont pas les calculs, c'est le
recueil des informations.
Quoi qu'on fasse en production, le comptable *doit* être informé.
Le bon comptable ne passe pas son temps dans le silence monacal de son
cabinet, il doit passer son temps sur le terrain et très bien
connaître le cycle de production et les personnels de production. Il
doit être capable de repérer tout fait marquant, petit ou non.
La difficulté de la comptabilité, ce ne sont pas les calculs, c'est le
recueil des informations.
Quoi qu'on fasse en production, le comptable *doit* être informé.
Le bon comptable ne passe pas son temps dans le silence monacal de son
cabinet, il doit passer son temps sur le terrain et très bien
connaître le cycle de production et les personnels de production. Il
doit être capable de repérer tout fait marquant, petit ou non.
La difficulté de la comptabilité, ce ne sont pas les calculs, c'est le
recueil des informations.
Quoi qu'on fasse en production, le comptable *doit* être informé.
Le 16/08/2013 10:41, Ghost-Rider a écrit :Le bon comptable ne passe pas son temps dans le silence monacal de son
cabinet, il doit passer son temps sur le terrain et très bien
connaître le cycle de production et les personnels de production. Il
doit être capable de repérer tout fait marquant, petit ou non.
La difficulté de la comptabilité, ce ne sont pas les calculs, c'est le
recueil des informations.
jamais vu un comptable sur le terrain :-)
Quoi qu'on fasse en production, le comptable *doit* être informé.
on se demande dans quel monde tu vis...
Le 16/08/2013 10:41, Ghost-Rider a écrit :
Le bon comptable ne passe pas son temps dans le silence monacal de son
cabinet, il doit passer son temps sur le terrain et très bien
connaître le cycle de production et les personnels de production. Il
doit être capable de repérer tout fait marquant, petit ou non.
La difficulté de la comptabilité, ce ne sont pas les calculs, c'est le
recueil des informations.
jamais vu un comptable sur le terrain :-)
Quoi qu'on fasse en production, le comptable *doit* être informé.
on se demande dans quel monde tu vis...
Le 16/08/2013 10:41, Ghost-Rider a écrit :Le bon comptable ne passe pas son temps dans le silence monacal de son
cabinet, il doit passer son temps sur le terrain et très bien
connaître le cycle de production et les personnels de production. Il
doit être capable de repérer tout fait marquant, petit ou non.
La difficulté de la comptabilité, ce ne sont pas les calculs, c'est le
recueil des informations.
jamais vu un comptable sur le terrain :-)
Quoi qu'on fasse en production, le comptable *doit* être informé.
on se demande dans quel monde tu vis...
on se demande dans quel monde tu vis...
J'ai vécu dans des entreprises bien gérées, voilà tout.
on se demande dans quel monde tu vis...
J'ai vécu dans des entreprises bien gérées, voilà tout.
on se demande dans quel monde tu vis...
J'ai vécu dans des entreprises bien gérées, voilà tout.
Je pense à quelque chose comme un atelier d'usinage qui fait surtout
des pièces uniques ou de très petites séries. Avec des problèmes
d'assemblages pour un nombre limité de pièces qui ne valent pas le
cout d'une analyse poussée et de plans détaillés: les couts de
préparation et de gestions sont trop lourds. Par contre dans la
production en grande série ou la production de pièces devant répondre
à des normes très strictes, militaire, aviation, etc, la situation est
très différente.
Je pense à quelque chose comme un atelier d'usinage qui fait surtout
des pièces uniques ou de très petites séries. Avec des problèmes
d'assemblages pour un nombre limité de pièces qui ne valent pas le
cout d'une analyse poussée et de plans détaillés: les couts de
préparation et de gestions sont trop lourds. Par contre dans la
production en grande série ou la production de pièces devant répondre
à des normes très strictes, militaire, aviation, etc, la situation est
très différente.
Je pense à quelque chose comme un atelier d'usinage qui fait surtout
des pièces uniques ou de très petites séries. Avec des problèmes
d'assemblages pour un nombre limité de pièces qui ne valent pas le
cout d'une analyse poussée et de plans détaillés: les couts de
préparation et de gestions sont trop lourds. Par contre dans la
production en grande série ou la production de pièces devant répondre
à des normes très strictes, militaire, aviation, etc, la situation est
très différente.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :J'ai vécu dans des entreprises bien gérées, voilà tout.
Je crois que nous ne parlons pas du même type de productions. Ce que tu
dis s'applique bien à l'entreprise qui veut faire des confitures 365
jour par année pour les 50 prochaines années. Le gaz ou l'électricité ?
Et le nouveau four est-il assez performant? Mauvaise température,
combien couterons les fraises cette année? Etc
Je pense à quelque chose comme un atelier d'usinage qui fait surtout des
pièces uniques ou de très petites séries. Avec des problèmes
d'assemblages pour un nombre limité de pièces qui ne valent pas le cout
d'une analyse poussée et de plans détaillés: les couts de préparation et
de gestions sont trop lourds.
Par contre dans la production en grande
série ou la production de pièces devant répondre à des normes très
strictes, militaire, aviation, etc, la situation est très différente.
Dit d'une autre manière, des gens qui vivent de leurs travail versus des
gens qui font vivre des actionnaires.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
J'ai vécu dans des entreprises bien gérées, voilà tout.
Je crois que nous ne parlons pas du même type de productions. Ce que tu
dis s'applique bien à l'entreprise qui veut faire des confitures 365
jour par année pour les 50 prochaines années. Le gaz ou l'électricité ?
Et le nouveau four est-il assez performant? Mauvaise température,
combien couterons les fraises cette année? Etc
Je pense à quelque chose comme un atelier d'usinage qui fait surtout des
pièces uniques ou de très petites séries. Avec des problèmes
d'assemblages pour un nombre limité de pièces qui ne valent pas le cout
d'une analyse poussée et de plans détaillés: les couts de préparation et
de gestions sont trop lourds.
Par contre dans la production en grande
série ou la production de pièces devant répondre à des normes très
strictes, militaire, aviation, etc, la situation est très différente.
Dit d'une autre manière, des gens qui vivent de leurs travail versus des
gens qui font vivre des actionnaires.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :J'ai vécu dans des entreprises bien gérées, voilà tout.
Je crois que nous ne parlons pas du même type de productions. Ce que tu
dis s'applique bien à l'entreprise qui veut faire des confitures 365
jour par année pour les 50 prochaines années. Le gaz ou l'électricité ?
Et le nouveau four est-il assez performant? Mauvaise température,
combien couterons les fraises cette année? Etc
Je pense à quelque chose comme un atelier d'usinage qui fait surtout des
pièces uniques ou de très petites séries. Avec des problèmes
d'assemblages pour un nombre limité de pièces qui ne valent pas le cout
d'une analyse poussée et de plans détaillés: les couts de préparation et
de gestions sont trop lourds.
Par contre dans la production en grande
série ou la production de pièces devant répondre à des normes très
strictes, militaire, aviation, etc, la situation est très différente.
Dit d'une autre manière, des gens qui vivent de leurs travail versus des
gens qui font vivre des actionnaires.
quand on fabrique des vis pour aviation, par exemple, on fait des
milliers de pièces par jour, et donc certaines fabrications même en
relativement grande série sont très courtes et encore très peu automatisées
si, pour revenir en charte, un Nikon demande une pièce découpée de 10
mm de long, le plus cher va être l’outil. Ensuite on va sortir une
pièce par seconde (mini, peut-être 50 en un coup de presse par seconde)
la production va durer quelques jours. Ensuite, la grande question est
"faut-il conserver l'outil". Dans certaines boites il y a un hangar
plein d'outils :-)
et dans le cas d'une voiture où le constructeur s'engage par contrat à
avoir des pièces détachées pendant 10 ans (je viens d'en acheter une,
c'est dedans), selon le succès du modèle le coût réel va changer du
simple au double ou pire
ce que décrit G-R c'est l'idéal auquel toutes les entreprises voudrait
adhérer
quand on fabrique des vis pour aviation, par exemple, on fait des
milliers de pièces par jour, et donc certaines fabrications même en
relativement grande série sont très courtes et encore très peu automatisées
si, pour revenir en charte, un Nikon demande une pièce découpée de 10
mm de long, le plus cher va être l’outil. Ensuite on va sortir une
pièce par seconde (mini, peut-être 50 en un coup de presse par seconde)
la production va durer quelques jours. Ensuite, la grande question est
"faut-il conserver l'outil". Dans certaines boites il y a un hangar
plein d'outils :-)
et dans le cas d'une voiture où le constructeur s'engage par contrat à
avoir des pièces détachées pendant 10 ans (je viens d'en acheter une,
c'est dedans), selon le succès du modèle le coût réel va changer du
simple au double ou pire
ce que décrit G-R c'est l'idéal auquel toutes les entreprises voudrait
adhérer
quand on fabrique des vis pour aviation, par exemple, on fait des
milliers de pièces par jour, et donc certaines fabrications même en
relativement grande série sont très courtes et encore très peu automatisées
si, pour revenir en charte, un Nikon demande une pièce découpée de 10
mm de long, le plus cher va être l’outil. Ensuite on va sortir une
pièce par seconde (mini, peut-être 50 en un coup de presse par seconde)
la production va durer quelques jours. Ensuite, la grande question est
"faut-il conserver l'outil". Dans certaines boites il y a un hangar
plein d'outils :-)
et dans le cas d'une voiture où le constructeur s'engage par contrat à
avoir des pièces détachées pendant 10 ans (je viens d'en acheter une,
c'est dedans), selon le succès du modèle le coût réel va changer du
simple au double ou pire
ce que décrit G-R c'est l'idéal auquel toutes les entreprises voudrait
adhérer
fatalité. Ils auraient mieux fait d'embaucher des comptables
compétents et surtout, de les écouter.
fatalité. Ils auraient mieux fait d'embaucher des comptables
compétents et surtout, de les écouter.
fatalité. Ils auraient mieux fait d'embaucher des comptables
compétents et surtout, de les écouter.