Nikon a annoncé le 5 aout dernier à Amsterdam un objectif 18-140mm qui
relance la spéculation sur la sortie imminente d'un successeur du
D300s. Le D400 pourrait être annoncé dans les semaines qui viennent et
être présenté à l'IFA Consumer Electronic Show de Berlin du 6 au 11
septembre : http://b2b.ifa-berlin.com/en/
un précédent :
-juin 2012, Nikon annonce un 24-85mm suivi 3 mois après du D600 dont le
24-85mm constitue le kit.
la question se pose de savoir si le nouveau 18-140mm est destiné soit à
fournir le kit d'un éventuel D400 ? soit à venir étoffer la gamme des
produits standards ? Il semble étonnant que notre opticien historique
n'ait pas mieux à faire que de mettre des vieilleries à jour alors même
que la concurrence innove. Quel peut être l’intérêt de cette optique
dont le prix annoncé est aussi proche de celui du 18-200mm VRII ? Un
prix élevé assez peu compatible d'ailleurs avec le remplacement du
18-105mm.
Autre réflexion : Ken Rockwell a mis les pieds dans le plat en
expliquant que, selon lui : "The Nikon D600, D800 and D4 are the same
camera" (1). Il explique que la disponibilité REELLE de ces boitiers
s'était établie au même moment.
Nikon aurait lancé sa chaine de fabrication au même moment pour ces
trois boitiers mais en aurait différé volontairement les annonces avec
les indisponibilités que cela impliquent !
Si on poursuit ce raisonnement, un D400 gamme Pro ne serait rien d'autre
qu'un D600 équipé d'un capteur de D7100 avec quelques variantes. Le prix
serait logiquement proche de celui du D600, un prix qui justifierait le
prix élevé du 18-140mm.
affaire à suivre..
1) The Nikon D600, D800 and D4 are the same camera
http://kenrockwell.com/nikon/d600-d800-d4-are-the-same-camera.htm
Holy cow, I just realized Nikon's great deception of 2012: the D600,
D800, D800E and D4 all have the same insides! They are all the same
cameras designed and produced at the same time with the same insides,
differing only in exterior casing and when Nikon chose to announce them.
Nikon got cheap and really only developed one set of guts that's used
for all three cameras, and then announced them at different times to try
to hide it.
The D600, D800, D800E and D4 produce the same images with the same
processing power, the same LCDs, the same green-shift problems and
identical AF controls. They differ only in exterior packaging and when
Nikon chose to announce them to make them appear different. It's just
like 1980 again!
Tout s'argumente avec GR. Il suffit d'ajouter une couche après l'autre et surtout de ne pas comprendre ni de tenir compte de ce que l'autre dit.
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les domaines d'application.
J'ai affirmé au tout début, lors de ma première intervention:
____Le prix de revient avant ou après la fabrication?
Il y a un vocabulaire pour ça : coûts standards, coûts préétablis, coûts historiques, c'est celui que tu dois utiliser. Comme en musique ou en médecine : "Docteur, j'ai l'estomac descendu !"
____Le prix de revient réel ne peut être comptabilisé qu'après, sur une période ____assez longue, et ils diffèrent assez des calculs lors de la conception du ____produit alors que les couts sont toujours "prévisionnels"...
Les coûts ne sont prévisionnels (tu veux dire préétablis) que si on les établit justement, sinon, ils n'existent pas, ce qui serait évidemment une faute.
C'est ce que tu viens d'admettre en disant : "On analyse ces écarts et on en tient compte au fil de l'eau"
Moi, je n'"admets" rien du tout. La comptabilité est une science parfaitement définie qui n'a pas besoin de mes admissions. On en tient compte au fil de l'eau veut dire qu'on en tient compte dans la correction des budgets flexibles.
Et moi je fais des travaux uniques, les écarts filent avec la cours de l'eau, inutiles à comptabiliser.
C'est là où tu te trompes radicalement car en ne les comptabilisant pas tu te prives d'un outil de gestion prévisionnelle précieux.
Et quand la tâche ne se fait qu'une fois, comment l'analyses-tu? Comment calcules-tu le temps nécessaire pour définir la suite des opérations d'assemblage et leur impact sur la conception des éléments pour une oeuvre qui ne sera réalisé qu'une fois.
La méthode qu'on utilise depuis au moins 150 ans, c'est l'analyse opérationnelle. On segmente toute opération complexe en ses éléments les plus fins possibles auxquels on peut affecter un coût. Car c'est un leurre de penser qu'une opération industrielle est "nouvelle". Même si on sculpte à la main une carrosserie de voiture, on peut en analyser les opérations.
Moi je n'alourdi pas mes charge en consultant comptable ou ingénieur, je le fais, les coûts sont au pif.
Ne t'étonne pas alors si tu as des problèmes de profitabilité.
Et pour les grands travaux... il suffit de bien vouloir constater que les dépassements de coûts sont la norme, peut-être est-ce la méthode comptable.
Justement non, la comptabilité sert à réduire les écarts à zéro, pas à les oublier.
Sinon il faut copier ce qui a déjà été fait ailleurs: même pont, même building que partout dans le monde.
Ça, c'est une bonne méthode de départ. On sait par exemple que le coût de construction d'un immeuble de telle qualité ce sera à peu près tant du m². C'est insuffisant en soi mais ça donne une idée de la profitabilité d'une opération envisagée. Ensuite, il faut rentrer dans le détail. Tu as déjà vu un devis de construction d'usine ? Tout y est, dans un grand détail. Ici, tant d'heures de tel compagnon, à tel coût de l'heure, tant de ferraille, tant de béton de telle qualité etc... C'est d'ailleurs un métier de faire des devis. Ensuite le constructeur va analyser ses écarts : là j'ai passé plus d'heures, mais le coût a été plus faible, là le bureau de contrôle m'a fait casser et refaire : perte sèche etc...
La comptabilité n'a pas d'opinions politiques et ne se base pas sur une quelconque philosophie, comme de jouer du violon ou faire cuire un oeuf. Penser le contraire est une erreur fondamentale.
Bien vrai. Aujourd'hui les ouvriers sont donc appelés "capital humain". Comme tout autre "capital" ils font parti du "capital de risque" des magnats de la finance.
Strictement rien à voir avec le prix de revient d'un capteur d'APN (retour en charte). Mais la plus grande richesse d'une entreprise, ce sont les hommes, c'est sûr. Pourtant ne les voir que comme une variable d'ajustement relève d'une vision complètement dépassée.
Le 17/08/2013 23:23, René a écrit :
Tout s'argumente avec GR. Il suffit d'ajouter une couche après l'autre
et surtout de ne pas comprendre ni de tenir compte de ce que l'autre dit.
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la
comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les
domaines d'application.
J'ai affirmé au tout début, lors de ma première intervention:
____Le prix de revient avant ou après la fabrication?
Il y a un vocabulaire pour ça : coûts standards, coûts préétablis, coûts
historiques, c'est celui que tu dois utiliser.
Comme en musique ou en médecine : "Docteur, j'ai l'estomac descendu !"
____Le prix de revient réel ne peut être comptabilisé qu'après, sur une
période
____assez longue, et ils diffèrent assez des calculs lors de la
conception du
____produit alors que les couts sont toujours "prévisionnels"...
Les coûts ne sont prévisionnels (tu veux dire préétablis) que si on les
établit justement, sinon, ils n'existent pas, ce qui serait évidemment
une faute.
C'est ce que tu viens d'admettre en disant : "On analyse ces écarts et
on en tient compte au fil de l'eau"
Moi, je n'"admets" rien du tout. La comptabilité est une science
parfaitement définie qui n'a pas besoin de mes admissions.
On en tient compte au fil de l'eau veut dire qu'on en tient compte dans
la correction des budgets flexibles.
Et moi je fais des travaux uniques, les écarts filent avec la cours de
l'eau, inutiles à comptabiliser.
C'est là où tu te trompes radicalement car en ne les comptabilisant pas
tu te prives d'un outil de gestion prévisionnelle précieux.
Et quand la tâche ne se fait qu'une fois, comment l'analyses-tu?
Comment calcules-tu le temps nécessaire pour définir la suite des
opérations d'assemblage et leur impact sur la conception des éléments
pour une oeuvre qui ne sera réalisé qu'une fois.
La méthode qu'on utilise depuis au moins 150 ans, c'est l'analyse
opérationnelle. On segmente toute opération complexe en ses éléments les
plus fins possibles auxquels on peut affecter un coût.
Car c'est un leurre de penser qu'une opération industrielle est
"nouvelle". Même si on sculpte à la main une carrosserie de voiture, on
peut en analyser les opérations.
Moi je n'alourdi pas
mes charge en consultant comptable ou ingénieur, je le fais, les coûts
sont au pif.
Ne t'étonne pas alors si tu as des problèmes de profitabilité.
Et pour les grands travaux... il suffit de bien vouloir
constater que les dépassements de coûts sont la norme, peut-être est-ce
la méthode comptable.
Justement non, la comptabilité sert à réduire les écarts à zéro, pas à
les oublier.
Sinon il faut copier ce qui a déjà été fait
ailleurs: même pont, même building que partout dans le monde.
Ça, c'est une bonne méthode de départ. On sait par exemple que le coût
de construction d'un immeuble de telle qualité ce sera à peu près tant
du m². C'est insuffisant en soi mais ça donne une idée de la
profitabilité d'une opération envisagée.
Ensuite, il faut rentrer dans le détail.
Tu as déjà vu un devis de construction d'usine ? Tout y est, dans un
grand détail. Ici, tant d'heures de tel compagnon, à tel coût de
l'heure, tant de ferraille, tant de béton de telle qualité etc... C'est
d'ailleurs un métier de faire des devis.
Ensuite le constructeur va analyser ses écarts : là j'ai passé plus
d'heures, mais le coût a été plus faible, là le bureau de contrôle m'a
fait casser et refaire : perte sèche etc...
La comptabilité n'a pas d'opinions politiques et ne se base pas sur
une quelconque philosophie, comme de jouer du violon ou faire cuire un
oeuf.
Penser le contraire est une erreur fondamentale.
Bien vrai. Aujourd'hui les ouvriers sont donc appelés "capital humain".
Comme tout autre "capital" ils font parti du "capital de risque" des
magnats de la finance.
Strictement rien à voir avec le prix de revient d'un capteur d'APN
(retour en charte).
Mais la plus grande richesse d'une entreprise, ce sont les hommes, c'est
sûr. Pourtant ne les voir que comme une variable d'ajustement relève
d'une vision complètement dépassée.
Tout s'argumente avec GR. Il suffit d'ajouter une couche après l'autre et surtout de ne pas comprendre ni de tenir compte de ce que l'autre dit.
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les domaines d'application.
J'ai affirmé au tout début, lors de ma première intervention:
____Le prix de revient avant ou après la fabrication?
Il y a un vocabulaire pour ça : coûts standards, coûts préétablis, coûts historiques, c'est celui que tu dois utiliser. Comme en musique ou en médecine : "Docteur, j'ai l'estomac descendu !"
____Le prix de revient réel ne peut être comptabilisé qu'après, sur une période ____assez longue, et ils diffèrent assez des calculs lors de la conception du ____produit alors que les couts sont toujours "prévisionnels"...
Les coûts ne sont prévisionnels (tu veux dire préétablis) que si on les établit justement, sinon, ils n'existent pas, ce qui serait évidemment une faute.
C'est ce que tu viens d'admettre en disant : "On analyse ces écarts et on en tient compte au fil de l'eau"
Moi, je n'"admets" rien du tout. La comptabilité est une science parfaitement définie qui n'a pas besoin de mes admissions. On en tient compte au fil de l'eau veut dire qu'on en tient compte dans la correction des budgets flexibles.
Et moi je fais des travaux uniques, les écarts filent avec la cours de l'eau, inutiles à comptabiliser.
C'est là où tu te trompes radicalement car en ne les comptabilisant pas tu te prives d'un outil de gestion prévisionnelle précieux.
Et quand la tâche ne se fait qu'une fois, comment l'analyses-tu? Comment calcules-tu le temps nécessaire pour définir la suite des opérations d'assemblage et leur impact sur la conception des éléments pour une oeuvre qui ne sera réalisé qu'une fois.
La méthode qu'on utilise depuis au moins 150 ans, c'est l'analyse opérationnelle. On segmente toute opération complexe en ses éléments les plus fins possibles auxquels on peut affecter un coût. Car c'est un leurre de penser qu'une opération industrielle est "nouvelle". Même si on sculpte à la main une carrosserie de voiture, on peut en analyser les opérations.
Moi je n'alourdi pas mes charge en consultant comptable ou ingénieur, je le fais, les coûts sont au pif.
Ne t'étonne pas alors si tu as des problèmes de profitabilité.
Et pour les grands travaux... il suffit de bien vouloir constater que les dépassements de coûts sont la norme, peut-être est-ce la méthode comptable.
Justement non, la comptabilité sert à réduire les écarts à zéro, pas à les oublier.
Sinon il faut copier ce qui a déjà été fait ailleurs: même pont, même building que partout dans le monde.
Ça, c'est une bonne méthode de départ. On sait par exemple que le coût de construction d'un immeuble de telle qualité ce sera à peu près tant du m². C'est insuffisant en soi mais ça donne une idée de la profitabilité d'une opération envisagée. Ensuite, il faut rentrer dans le détail. Tu as déjà vu un devis de construction d'usine ? Tout y est, dans un grand détail. Ici, tant d'heures de tel compagnon, à tel coût de l'heure, tant de ferraille, tant de béton de telle qualité etc... C'est d'ailleurs un métier de faire des devis. Ensuite le constructeur va analyser ses écarts : là j'ai passé plus d'heures, mais le coût a été plus faible, là le bureau de contrôle m'a fait casser et refaire : perte sèche etc...
La comptabilité n'a pas d'opinions politiques et ne se base pas sur une quelconque philosophie, comme de jouer du violon ou faire cuire un oeuf. Penser le contraire est une erreur fondamentale.
Bien vrai. Aujourd'hui les ouvriers sont donc appelés "capital humain". Comme tout autre "capital" ils font parti du "capital de risque" des magnats de la finance.
Strictement rien à voir avec le prix de revient d'un capteur d'APN (retour en charte). Mais la plus grande richesse d'une entreprise, ce sont les hommes, c'est sûr. Pourtant ne les voir que comme une variable d'ajustement relève d'une vision complètement dépassée.
Ghost-Rider
Le 18/08/2013 10:05, jdanield a écrit :
Le 17/08/2013 22:51, Ghost-Rider a écrit :
Et j'ai beaucoup pratiqué les dirigeants ou les cadres supérieurs desdites banques. Certains étaient très forts, d'autres ignorants à faire peur, ne sachant pas lire un bilan. C'est la vie.
ben non, c'est les comptables... :-)
Il est vrai que certains dirigeants d'entreprise ne savent pas lire leur bilan. Le compte de résultat, ils y arrivent encore. Mais le bilan ! Quand c'est une petite entreprise, passe encore. Mais des comptes consolidés, avec ses kyrielles de provisions, d'amortissement du goodwill, d'intérêts minoritaires, de différences de consolidation, j'en passe et des meilleures... C'est d'ailleurs bien pour ça que les experts comptables sont très bien payés. Si tout le monde savait, la vie ne serait plus aussi rose.
Le 18/08/2013 10:05, jdanield a écrit :
Le 17/08/2013 22:51, Ghost-Rider a écrit :
Et j'ai beaucoup pratiqué les dirigeants ou les cadres supérieurs
desdites banques. Certains étaient très forts, d'autres ignorants à
faire peur, ne sachant pas lire un bilan.
C'est la vie.
ben non, c'est les comptables... :-)
Il est vrai que certains dirigeants d'entreprise ne savent pas lire leur
bilan.
Le compte de résultat, ils y arrivent encore.
Mais le bilan !
Quand c'est une petite entreprise, passe encore.
Mais des comptes consolidés, avec ses kyrielles de provisions,
d'amortissement du goodwill, d'intérêts minoritaires, de différences de
consolidation, j'en passe et des meilleures...
C'est d'ailleurs bien pour ça que les experts comptables sont très bien
payés. Si tout le monde savait, la vie ne serait plus aussi rose.
Et j'ai beaucoup pratiqué les dirigeants ou les cadres supérieurs desdites banques. Certains étaient très forts, d'autres ignorants à faire peur, ne sachant pas lire un bilan. C'est la vie.
ben non, c'est les comptables... :-)
Il est vrai que certains dirigeants d'entreprise ne savent pas lire leur bilan. Le compte de résultat, ils y arrivent encore. Mais le bilan ! Quand c'est une petite entreprise, passe encore. Mais des comptes consolidés, avec ses kyrielles de provisions, d'amortissement du goodwill, d'intérêts minoritaires, de différences de consolidation, j'en passe et des meilleures... C'est d'ailleurs bien pour ça que les experts comptables sont très bien payés. Si tout le monde savait, la vie ne serait plus aussi rose.
Solanar
Dans son message précédent, Ghost-Rider a écrit :
Le 18/08/2013 00:48, Solanar a écrit :
Après mûre réflexion, Richard a écrit :
si on avait écouté les comptables, aucune innovation n'aurait jamais été faite.
C'est exact. Mais d'autres parts si certains patrons avaient écouté les comptables leurs entreprises seraient toujours florissantes plutôt que d'être en faillite.
Mais si tous les patrons avaient écouté les comptables on n'aurait jamais fabriqué des machines à vapeur. l'esclavage comptablement parlant, ca marche parfaitement
Tu as les références historiques de cette intéressante remarque ? Car si la révolution industrielle a pu avoir lieu, et d'abord en Angleterre, c'est bien parce qu'entre autres, la machine à vapeur a permis d'accroître fortement la productivité. Et cette productivité, il fallait bien que quelqu'un la mesure.
Apres coup certainement Faiut pas demander a un comptable de calculer sur des idées, il n'est pas formé pour Par contre apres coup, oui, il a les éléments Demande a un comptable de te conseiller sur une idée nouvelle, un produit nouveau dont il n'a aucun chiffre dans ses formules.
--
Etre libre c'est n'avoir rien à perdre
Dans son message précédent, Ghost-Rider a écrit :
Le 18/08/2013 00:48, Solanar a écrit :
Après mûre réflexion, Richard a écrit :
si on avait écouté les comptables, aucune innovation n'aurait jamais
été faite.
C'est exact. Mais d'autres parts si certains patrons avaient
écouté les comptables leurs entreprises seraient toujours
florissantes plutôt que d'être en faillite.
Mais si tous les patrons avaient écouté les comptables on n'aurait
jamais fabriqué des machines à vapeur.
l'esclavage comptablement parlant, ca marche parfaitement
Tu as les références historiques de cette intéressante remarque ?
Car si la révolution industrielle a pu avoir lieu, et d'abord en Angleterre,
c'est bien parce qu'entre autres, la machine à vapeur a permis d'accroître
fortement la productivité.
Et cette productivité, il fallait bien que quelqu'un la mesure.
Apres coup certainement
Faiut pas demander a un comptable de calculer sur des idées, il n'est
pas formé pour
Par contre apres coup, oui, il a les éléments
Demande a un comptable de te conseiller sur une idée nouvelle, un
produit nouveau dont il n'a aucun chiffre dans ses formules.
si on avait écouté les comptables, aucune innovation n'aurait jamais été faite.
C'est exact. Mais d'autres parts si certains patrons avaient écouté les comptables leurs entreprises seraient toujours florissantes plutôt que d'être en faillite.
Mais si tous les patrons avaient écouté les comptables on n'aurait jamais fabriqué des machines à vapeur. l'esclavage comptablement parlant, ca marche parfaitement
Tu as les références historiques de cette intéressante remarque ? Car si la révolution industrielle a pu avoir lieu, et d'abord en Angleterre, c'est bien parce qu'entre autres, la machine à vapeur a permis d'accroître fortement la productivité. Et cette productivité, il fallait bien que quelqu'un la mesure.
Apres coup certainement Faiut pas demander a un comptable de calculer sur des idées, il n'est pas formé pour Par contre apres coup, oui, il a les éléments Demande a un comptable de te conseiller sur une idée nouvelle, un produit nouveau dont il n'a aucun chiffre dans ses formules.
--
Etre libre c'est n'avoir rien à perdre
Ghost-Rider
Le 18/08/2013 12:12, Solanar a écrit :
Faiut pas demander a un comptable de calculer sur des idées, il n'est pas formé pour Par contre apres coup, oui, il a les éléments Demande a un comptable de te conseiller sur une idée nouvelle, un produit nouveau dont il n'a aucun chiffre dans ses formules.
Ta remarque est tout-à-fait pertinente. Les dirigeants reprochent souvent au comptable de leur dire ce qu'ils ne peuvent pas faire, jamais ce qu'ils devraient faire. En matière fiscale particulièrement. Ce n'est pas leur formation et surtout pas leur tournure d'esprit. Si ça l'était, ils seraient dirigeants aussi. Car je n'ai que très rarement connu des dirigeants ayant reçu principalement une formation comptable. Dans un article sur les 100 premiers managers français, je n'avais vu qu'un seul expert-comptable mais une cargaison d'ingénieurs, d'HEC et similaires et d'autodidactes. Je n'ai connu qu'un polytechnicien expert-comptable, bien connu dans la profession : Jacques Frinault.
Le 18/08/2013 12:12, Solanar a écrit :
Faiut pas demander a un comptable de calculer sur des idées, il n'est
pas formé pour
Par contre apres coup, oui, il a les éléments
Demande a un comptable de te conseiller sur une idée nouvelle, un
produit nouveau dont il n'a aucun chiffre dans ses formules.
Ta remarque est tout-à-fait pertinente. Les dirigeants reprochent
souvent au comptable de leur dire ce qu'ils ne peuvent pas faire, jamais
ce qu'ils devraient faire.
En matière fiscale particulièrement.
Ce n'est pas leur formation et surtout pas leur tournure d'esprit.
Si ça l'était, ils seraient dirigeants aussi.
Car je n'ai que très rarement connu des dirigeants ayant reçu
principalement une formation comptable.
Dans un article sur les 100 premiers managers français, je n'avais vu
qu'un seul expert-comptable mais une cargaison d'ingénieurs, d'HEC et
similaires et d'autodidactes.
Je n'ai connu qu'un polytechnicien expert-comptable, bien connu dans la
profession : Jacques Frinault.
Faiut pas demander a un comptable de calculer sur des idées, il n'est pas formé pour Par contre apres coup, oui, il a les éléments Demande a un comptable de te conseiller sur une idée nouvelle, un produit nouveau dont il n'a aucun chiffre dans ses formules.
Ta remarque est tout-à-fait pertinente. Les dirigeants reprochent souvent au comptable de leur dire ce qu'ils ne peuvent pas faire, jamais ce qu'ils devraient faire. En matière fiscale particulièrement. Ce n'est pas leur formation et surtout pas leur tournure d'esprit. Si ça l'était, ils seraient dirigeants aussi. Car je n'ai que très rarement connu des dirigeants ayant reçu principalement une formation comptable. Dans un article sur les 100 premiers managers français, je n'avais vu qu'un seul expert-comptable mais une cargaison d'ingénieurs, d'HEC et similaires et d'autodidactes. Je n'ai connu qu'un polytechnicien expert-comptable, bien connu dans la profession : Jacques Frinault.
Richard
les banques étant les plus experts des comptables, j'ai un doute
Excuse-moi mais il semblerait que tu t'y connaisses encore moins bien en pratique bancaire qu'en pratique comptable.
les banques étant les plus experts des comptables, j'ai un doute
Excuse-moi mais il semblerait que tu t'y connaisses encore
moins bien en pratique bancaire qu'en pratique comptable.
les banques étant les plus experts des comptables, j'ai un doute
Excuse-moi mais il semblerait que tu t'y connaisses encore moins bien en pratique bancaire qu'en pratique comptable.
René
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion : kuq0in$1j0$
Le 17/08/2013 23:23, René a écrit :
Tout s'argumente avec GR. Il suffit d'ajouter une couche après l'autre et surtout de ne pas comprendre ni de tenir compte de ce que l'autre dit.
Et GR confirme... bla bla bla
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les domaines d'application.
J'ai affirmé au tout début, lors de ma première intervention:
____Le prix de revient avant ou après la fabrication?
Il y a un vocabulaire pour ça : coûts standards, coûts préétablis, coûts historiques, c'est celui que tu dois utiliser. Comme en musique ou en médecine : "Docteur, j'ai l'estomac descendu !"
____Le prix de revient réel ne peut être comptabilisé qu'après, sur une période ____assez longue, et ils diffèrent assez des calculs lors de la conception du ____produit alors que les couts sont toujours "prévisionnels"...
Les coûts ne sont prévisionnels (tu veux dire préétablis) que si on les établit justement, sinon, ils n'existent pas, ce qui serait évidemment une faute.
C'est ce que tu viens d'admettre en disant : "On analyse ces écarts et on en tient compte au fil de l'eau"
Moi, je n'"admets" rien du tout. La comptabilité est une science parfaitement définie qui n'a pas besoin de mes admissions. On en tient compte au fil de l'eau veut dire qu'on en tient compte dans la correction des budgets flexibles.
Et moi je fais des travaux uniques, les écarts filent avec la cours de l'eau, inutiles à comptabiliser.
C'est là où tu te trompes radicalement car en ne les comptabilisant pas tu te prives d'un outil de gestion prévisionnelle précieux.
Et quand la tâche ne se fait qu'une fois, comment l'analyses-tu? Comment calcules-tu le temps nécessaire pour définir la suite des opérations d'assemblage et leur impact sur la conception des éléments pour une oeuvre qui ne sera réalisé qu'une fois.
La méthode qu'on utilise depuis au moins 150 ans, c'est l'analyse opérationnelle. On segmente toute opération complexe en ses éléments les plus fins possibles auxquels on peut affecter un coût. Car c'est un leurre de penser qu'une opération industrielle est "nouvelle". Même si on sculpte à la main une carrosserie de voiture, on peut en analyser les opérations.
Moi je n'alourdi pas mes charge en consultant comptable ou ingénieur, je le fais, les coûts sont au pif.
Ne t'étonne pas alors si tu as des problèmes de profitabilité.
Et pour les grands travaux... il suffit de bien vouloir constater que les dépassements de coûts sont la norme, peut-être est-ce la méthode comptable.
Justement non, la comptabilité sert à réduire les écarts à zéro, pas à les oublier.
Sinon il faut copier ce qui a déjà été fait ailleurs: même pont, même building que partout dans le monde.
Ça, c'est une bonne méthode de départ. On sait par exemple que le coût de construction d'un immeuble de telle qualité ce sera à peu près tant du m². C'est insuffisant en soi mais ça donne une idée de la profitabilité d'une opération envisagée. Ensuite, il faut rentrer dans le détail. Tu as déjà vu un devis de construction d'usine ? Tout y est, dans un grand détail. Ici, tant d'heures de tel compagnon, à tel coût de l'heure, tant de ferraille, tant de béton de telle qualité etc... C'est d'ailleurs un métier de faire des devis. Ensuite le constructeur va analyser ses écarts : là j'ai passé plus d'heures, mais le coût a été plus faible, là le bureau de contrôle m'a fait casser et refaire : perte sèche etc...
La comptabilité n'a pas d'opinions politiques et ne se base pas sur une quelconque philosophie, comme de jouer du violon ou faire cuire un oeuf. Penser le contraire est une erreur fondamentale.
Bien vrai. Aujourd'hui les ouvriers sont donc appelés "capital humain". Comme tout autre "capital" ils font parti du "capital de risque" des magnats de la finance.
Strictement rien à voir avec le prix de revient d'un capteur d'APN (retour en charte). Mais la plus grande richesse d'une entreprise, ce sont les hommes, c'est sûr. Pourtant ne les voir que comme une variable d'ajustement relève d'une vision complètement dépassée.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion :
kuq0in$1j0$1@dont-email.me...
Le 17/08/2013 23:23, René a écrit :
Tout s'argumente avec GR. Il suffit d'ajouter une couche après l'autre
et surtout de ne pas comprendre ni de tenir compte de ce que l'autre dit.
Et GR confirme... bla bla bla
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la
comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les
domaines d'application.
J'ai affirmé au tout début, lors de ma première intervention:
____Le prix de revient avant ou après la fabrication?
Il y a un vocabulaire pour ça : coûts standards, coûts préétablis, coûts
historiques, c'est celui que tu dois utiliser.
Comme en musique ou en médecine : "Docteur, j'ai l'estomac descendu !"
____Le prix de revient réel ne peut être comptabilisé qu'après, sur une
période
____assez longue, et ils diffèrent assez des calculs lors de la
conception du
____produit alors que les couts sont toujours "prévisionnels"...
Les coûts ne sont prévisionnels (tu veux dire préétablis) que si on les
établit justement, sinon, ils n'existent pas, ce qui serait évidemment
une faute.
C'est ce que tu viens d'admettre en disant : "On analyse ces écarts et
on en tient compte au fil de l'eau"
Moi, je n'"admets" rien du tout. La comptabilité est une science
parfaitement définie qui n'a pas besoin de mes admissions.
On en tient compte au fil de l'eau veut dire qu'on en tient compte dans
la correction des budgets flexibles.
Et moi je fais des travaux uniques, les écarts filent avec la cours de
l'eau, inutiles à comptabiliser.
C'est là où tu te trompes radicalement car en ne les comptabilisant pas
tu te prives d'un outil de gestion prévisionnelle précieux.
Et quand la tâche ne se fait qu'une fois, comment l'analyses-tu?
Comment calcules-tu le temps nécessaire pour définir la suite des
opérations d'assemblage et leur impact sur la conception des éléments
pour une oeuvre qui ne sera réalisé qu'une fois.
La méthode qu'on utilise depuis au moins 150 ans, c'est l'analyse
opérationnelle. On segmente toute opération complexe en ses éléments les
plus fins possibles auxquels on peut affecter un coût.
Car c'est un leurre de penser qu'une opération industrielle est
"nouvelle". Même si on sculpte à la main une carrosserie de voiture, on
peut en analyser les opérations.
Moi je n'alourdi pas
mes charge en consultant comptable ou ingénieur, je le fais, les coûts
sont au pif.
Ne t'étonne pas alors si tu as des problèmes de profitabilité.
Et pour les grands travaux... il suffit de bien vouloir
constater que les dépassements de coûts sont la norme, peut-être est-ce
la méthode comptable.
Justement non, la comptabilité sert à réduire les écarts à zéro, pas à
les oublier.
Sinon il faut copier ce qui a déjà été fait
ailleurs: même pont, même building que partout dans le monde.
Ça, c'est une bonne méthode de départ. On sait par exemple que le coût
de construction d'un immeuble de telle qualité ce sera à peu près tant
du m². C'est insuffisant en soi mais ça donne une idée de la
profitabilité d'une opération envisagée.
Ensuite, il faut rentrer dans le détail.
Tu as déjà vu un devis de construction d'usine ? Tout y est, dans un
grand détail. Ici, tant d'heures de tel compagnon, à tel coût de
l'heure, tant de ferraille, tant de béton de telle qualité etc... C'est
d'ailleurs un métier de faire des devis.
Ensuite le constructeur va analyser ses écarts : là j'ai passé plus
d'heures, mais le coût a été plus faible, là le bureau de contrôle m'a
fait casser et refaire : perte sèche etc...
La comptabilité n'a pas d'opinions politiques et ne se base pas sur
une quelconque philosophie, comme de jouer du violon ou faire cuire un
oeuf.
Penser le contraire est une erreur fondamentale.
Bien vrai. Aujourd'hui les ouvriers sont donc appelés "capital humain".
Comme tout autre "capital" ils font parti du "capital de risque" des
magnats de la finance.
Strictement rien à voir avec le prix de revient d'un capteur d'APN
(retour en charte).
Mais la plus grande richesse d'une entreprise, ce sont les hommes, c'est
sûr. Pourtant ne les voir que comme une variable d'ajustement relève
d'une vision complètement dépassée.
"Ghost-Rider" a écrit dans le message de groupe de discussion : kuq0in$1j0$
Le 17/08/2013 23:23, René a écrit :
Tout s'argumente avec GR. Il suffit d'ajouter une couche après l'autre et surtout de ne pas comprendre ni de tenir compte de ce que l'autre dit.
Et GR confirme... bla bla bla
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les domaines d'application.
J'ai affirmé au tout début, lors de ma première intervention:
____Le prix de revient avant ou après la fabrication?
Il y a un vocabulaire pour ça : coûts standards, coûts préétablis, coûts historiques, c'est celui que tu dois utiliser. Comme en musique ou en médecine : "Docteur, j'ai l'estomac descendu !"
____Le prix de revient réel ne peut être comptabilisé qu'après, sur une période ____assez longue, et ils diffèrent assez des calculs lors de la conception du ____produit alors que les couts sont toujours "prévisionnels"...
Les coûts ne sont prévisionnels (tu veux dire préétablis) que si on les établit justement, sinon, ils n'existent pas, ce qui serait évidemment une faute.
C'est ce que tu viens d'admettre en disant : "On analyse ces écarts et on en tient compte au fil de l'eau"
Moi, je n'"admets" rien du tout. La comptabilité est une science parfaitement définie qui n'a pas besoin de mes admissions. On en tient compte au fil de l'eau veut dire qu'on en tient compte dans la correction des budgets flexibles.
Et moi je fais des travaux uniques, les écarts filent avec la cours de l'eau, inutiles à comptabiliser.
C'est là où tu te trompes radicalement car en ne les comptabilisant pas tu te prives d'un outil de gestion prévisionnelle précieux.
Et quand la tâche ne se fait qu'une fois, comment l'analyses-tu? Comment calcules-tu le temps nécessaire pour définir la suite des opérations d'assemblage et leur impact sur la conception des éléments pour une oeuvre qui ne sera réalisé qu'une fois.
La méthode qu'on utilise depuis au moins 150 ans, c'est l'analyse opérationnelle. On segmente toute opération complexe en ses éléments les plus fins possibles auxquels on peut affecter un coût. Car c'est un leurre de penser qu'une opération industrielle est "nouvelle". Même si on sculpte à la main une carrosserie de voiture, on peut en analyser les opérations.
Moi je n'alourdi pas mes charge en consultant comptable ou ingénieur, je le fais, les coûts sont au pif.
Ne t'étonne pas alors si tu as des problèmes de profitabilité.
Et pour les grands travaux... il suffit de bien vouloir constater que les dépassements de coûts sont la norme, peut-être est-ce la méthode comptable.
Justement non, la comptabilité sert à réduire les écarts à zéro, pas à les oublier.
Sinon il faut copier ce qui a déjà été fait ailleurs: même pont, même building que partout dans le monde.
Ça, c'est une bonne méthode de départ. On sait par exemple que le coût de construction d'un immeuble de telle qualité ce sera à peu près tant du m². C'est insuffisant en soi mais ça donne une idée de la profitabilité d'une opération envisagée. Ensuite, il faut rentrer dans le détail. Tu as déjà vu un devis de construction d'usine ? Tout y est, dans un grand détail. Ici, tant d'heures de tel compagnon, à tel coût de l'heure, tant de ferraille, tant de béton de telle qualité etc... C'est d'ailleurs un métier de faire des devis. Ensuite le constructeur va analyser ses écarts : là j'ai passé plus d'heures, mais le coût a été plus faible, là le bureau de contrôle m'a fait casser et refaire : perte sèche etc...
La comptabilité n'a pas d'opinions politiques et ne se base pas sur une quelconque philosophie, comme de jouer du violon ou faire cuire un oeuf. Penser le contraire est une erreur fondamentale.
Bien vrai. Aujourd'hui les ouvriers sont donc appelés "capital humain". Comme tout autre "capital" ils font parti du "capital de risque" des magnats de la finance.
Strictement rien à voir avec le prix de revient d'un capteur d'APN (retour en charte). Mais la plus grande richesse d'une entreprise, ce sont les hommes, c'est sûr. Pourtant ne les voir que comme une variable d'ajustement relève d'une vision complètement dépassée.
Ghost-Rider
Le 18/08/2013 22:30, René a écrit :
Et GR confirme... bla bla bla
C'est bien ce que je dis, tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les domaines d'application. Alors il ne te reste plus que le bla bla bla...
Bon, si on parlait un peu de verrerie artistique, pour changer ?
Le 18/08/2013 22:30, René a écrit :
Et GR confirme... bla bla bla
C'est bien ce que je dis, tu t'es lancé dans une discussion à propos
d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le
langage et les domaines d'application.
Alors il ne te reste plus que le bla bla bla...
Bon, si on parlait un peu de verrerie artistique, pour changer ?
C'est bien ce que je dis, tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les domaines d'application. Alors il ne te reste plus que le bla bla bla...
Bon, si on parlait un peu de verrerie artistique, pour changer ?
jdanield
Le 18/08/2013 22:30, René a écrit :
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les domaines d'application.
déjà, une science, on peut en discuter, au mieux une banche des math, ensuite tu confond la discipline et celui qui la met en oeuvre.
le comptable, dans une petite entreprise, c'est souvent l'expert du coin, qui ne voit que les factures
c'est aussi souvent la secrétaire avec un cap (ma fille a un cap de comptable) et basta.
à vous entendre on croirait que le comptable fait tout dans l'entreprise... je crois qu'il y a une fable de La Fontaine là dessus, mais je ne me souviens plus du titre
jdd
Le 18/08/2013 22:30, René a écrit :
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la
comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les
domaines d'application.
déjà, une science, on peut en discuter, au mieux une banche des math,
ensuite tu confond la discipline et celui qui la met en oeuvre.
le comptable, dans une petite entreprise, c'est souvent l'expert du
coin, qui ne voit que les factures
c'est aussi souvent la secrétaire avec un cap (ma fille a un cap de
comptable) et basta.
à vous entendre on croirait que le comptable fait tout dans
l'entreprise... je crois qu'il y a une fable de La Fontaine là dessus,
mais je ne me souviens plus du titre
Tu t'es lancé dans une discussion à propos d'une science, la comptabilité, dont tu sembles ignorer les concepts, le langage et les domaines d'application.
déjà, une science, on peut en discuter, au mieux une banche des math, ensuite tu confond la discipline et celui qui la met en oeuvre.
le comptable, dans une petite entreprise, c'est souvent l'expert du coin, qui ne voit que les factures
c'est aussi souvent la secrétaire avec un cap (ma fille a un cap de comptable) et basta.
à vous entendre on croirait que le comptable fait tout dans l'entreprise... je crois qu'il y a une fable de La Fontaine là dessus, mais je ne me souviens plus du titre
jdd
Ghost-Rider
Le 18/08/2013 23:01, jdanield a écrit :
déjà, une science, on peut en discuter, au mieux une banche des math,
Il faut d'abord savoir de quoi il s'agit et avoir quelques teintures. Personnellement, je ne me hasarderai jamais à parler de physique nucléaire, de génétique ou d'aviation. Je n'y connais strictement rien.
ensuite tu confond la discipline et celui qui la met en oeuvre. le comptable, dans une petite entreprise, c'est souvent l'expert du coin, qui ne voit que les factures c'est aussi souvent la secrétaire avec un cap (ma fille a un cap de comptable) et basta.
C'est bien là le problème. Comprendre la gestion d'une entreprise nécessite plus qu'un CAP.
à vous entendre on croirait que le comptable fait tout dans l'entreprise... je crois qu'il y a une fable de La Fontaine là dessus, mais je ne me souviens plus du titre
Oh, le comptable (terme générique, hein), c'est comme un médecin, il analyse, il interprète, il diagnostique, il donne un traitement, mais en face, il faut un minimum de répondant, c'est sûr.
Le 18/08/2013 23:01, jdanield a écrit :
déjà, une science, on peut en discuter, au mieux une banche des math,
Il faut d'abord savoir de quoi il s'agit et avoir quelques teintures.
Personnellement, je ne me hasarderai jamais à parler de physique
nucléaire, de génétique ou d'aviation. Je n'y connais strictement rien.
ensuite tu confond la discipline et celui qui la met en oeuvre.
le comptable, dans une petite entreprise, c'est souvent l'expert du
coin, qui ne voit que les factures
c'est aussi souvent la secrétaire avec un cap (ma fille a un cap de
comptable) et basta.
C'est bien là le problème. Comprendre la gestion d'une entreprise
nécessite plus qu'un CAP.
à vous entendre on croirait que le comptable fait tout dans
l'entreprise... je crois qu'il y a une fable de La Fontaine là dessus,
mais je ne me souviens plus du titre
Oh, le comptable (terme générique, hein), c'est comme un médecin, il
analyse, il interprète, il diagnostique, il donne un traitement, mais en
face, il faut un minimum de répondant, c'est sûr.
déjà, une science, on peut en discuter, au mieux une banche des math,
Il faut d'abord savoir de quoi il s'agit et avoir quelques teintures. Personnellement, je ne me hasarderai jamais à parler de physique nucléaire, de génétique ou d'aviation. Je n'y connais strictement rien.
ensuite tu confond la discipline et celui qui la met en oeuvre. le comptable, dans une petite entreprise, c'est souvent l'expert du coin, qui ne voit que les factures c'est aussi souvent la secrétaire avec un cap (ma fille a un cap de comptable) et basta.
C'est bien là le problème. Comprendre la gestion d'une entreprise nécessite plus qu'un CAP.
à vous entendre on croirait que le comptable fait tout dans l'entreprise... je crois qu'il y a une fable de La Fontaine là dessus, mais je ne me souviens plus du titre
Oh, le comptable (terme générique, hein), c'est comme un médecin, il analyse, il interprète, il diagnostique, il donne un traitement, mais en face, il faut un minimum de répondant, c'est sûr.
jdanield
Le 18/08/2013 23:09, Ghost-Rider a écrit :
Il faut d'abord savoir de quoi il s'agit et avoir quelques teintures. Personnellement, je ne me hasarderai jamais à parler de physique nucléaire, de génétique ou d'aviation. Je n'y connais strictement rien.
ca fait jamais que 40 ans que je suis trésorier d'associations et j'ai eu ma propre entreprise, j'ai même écrit un logiciel de compta (pour moi), qui marchait très bien.
faut peut-être définir ce que tu appelle comptabilité, j'ai l'impression qu'il y a une différence de définition
Oh, le comptable (terme générique, hein), c'est comme un médecin, il analyse, il interprète, il diagnostique, il donne un traitement, mais en face, il faut un minimum de répondant, c'est sûr.
mais en vous lisant, j'ai l'impression d'un astronome qui dirait que l'univers tourne grâce à lui, parce qu'il sait l'analyser...
jdd
Le 18/08/2013 23:09, Ghost-Rider a écrit :
Il faut d'abord savoir de quoi il s'agit et avoir quelques teintures.
Personnellement, je ne me hasarderai jamais à parler de physique
nucléaire, de génétique ou d'aviation. Je n'y connais strictement rien.
ca fait jamais que 40 ans que je suis trésorier d'associations et j'ai
eu ma propre entreprise, j'ai même écrit un logiciel de compta (pour
moi), qui marchait très bien.
faut peut-être définir ce que tu appelle comptabilité, j'ai
l'impression qu'il y a une différence de définition
Oh, le comptable (terme générique, hein), c'est comme un médecin, il
analyse, il interprète, il diagnostique, il donne un traitement, mais
en face, il faut un minimum de répondant, c'est sûr.
mais en vous lisant, j'ai l'impression d'un astronome qui dirait que
l'univers tourne grâce à lui, parce qu'il sait l'analyser...
Il faut d'abord savoir de quoi il s'agit et avoir quelques teintures. Personnellement, je ne me hasarderai jamais à parler de physique nucléaire, de génétique ou d'aviation. Je n'y connais strictement rien.
ca fait jamais que 40 ans que je suis trésorier d'associations et j'ai eu ma propre entreprise, j'ai même écrit un logiciel de compta (pour moi), qui marchait très bien.
faut peut-être définir ce que tu appelle comptabilité, j'ai l'impression qu'il y a une différence de définition
Oh, le comptable (terme générique, hein), c'est comme un médecin, il analyse, il interprète, il diagnostique, il donne un traitement, mais en face, il faut un minimum de répondant, c'est sûr.
mais en vous lisant, j'ai l'impression d'un astronome qui dirait que l'univers tourne grâce à lui, parce qu'il sait l'analyser...