On sait la direction que prend l'éducation qui veut tout rendre
attractif et simple, laissant supposer que l'apprentissage serait de la
responsabilité du professeur et non de l'élève... Toujours plus ludique,
toujours plus futile avec l'abandon définitif de la notion d'effort.
ce qu'est la notation solfégique : rien de plus que de la tablature AVEC
le nom des notes, scrogneugneu, représenté par la *clé*. Et je trouverais
bien plus productif de "désornementer" celle-ci pour refigurer un vrai G
majuscule
en lieu et place de la clé de sol, en clouant au passage au pilori Guy
d'Arrezzo et son fichu moyen mnémotechnique de l'hymne à Saint-Jean
Baptiste qui nous pourrit (en France quasi exclusivement) la
compréhension. Retour aux lettres donc, attribution d'une lettre à
chaque ligne pourquoi pas (clé multiple, donc ! E-G-B-D-F pour la clé de
sol actuelle). On peut en effet accepter que le maintien de la clé
unique lors de l'augmentation du nombre de lignes de la portée s'est
fait sur une longue période d'intégration, et que sur un court
apprentissage une clé multiple serait plus pratique ou visible... En
tous cas plus proche de la nature même de la notation solfégique.
Car sans ça, comment justifier qu'il y ait, graphiquement, la même
distance entre mi et fa qu'entre fa et sol alors que la distance
*musicale* (en demi-tons) va du simple au double... ?
On sait la direction que prend l'éducation qui veut tout rendre
attractif et simple, laissant supposer que l'apprentissage serait de la
responsabilité du professeur et non de l'élève... Toujours plus ludique,
toujours plus futile avec l'abandon définitif de la notion d'effort.
ce qu'est la notation solfégique : rien de plus que de la tablature AVEC
le nom des notes, scrogneugneu, représenté par la *clé*. Et je trouverais
bien plus productif de "désornementer" celle-ci pour refigurer un vrai G
majuscule
en lieu et place de la clé de sol, en clouant au passage au pilori Guy
d'Arrezzo et son fichu moyen mnémotechnique de l'hymne à Saint-Jean
Baptiste qui nous pourrit (en France quasi exclusivement) la
compréhension. Retour aux lettres donc, attribution d'une lettre à
chaque ligne pourquoi pas (clé multiple, donc ! E-G-B-D-F pour la clé de
sol actuelle). On peut en effet accepter que le maintien de la clé
unique lors de l'augmentation du nombre de lignes de la portée s'est
fait sur une longue période d'intégration, et que sur un court
apprentissage une clé multiple serait plus pratique ou visible... En
tous cas plus proche de la nature même de la notation solfégique.
Car sans ça, comment justifier qu'il y ait, graphiquement, la même
distance entre mi et fa qu'entre fa et sol alors que la distance
*musicale* (en demi-tons) va du simple au double... ?
On sait la direction que prend l'éducation qui veut tout rendre
attractif et simple, laissant supposer que l'apprentissage serait de la
responsabilité du professeur et non de l'élève... Toujours plus ludique,
toujours plus futile avec l'abandon définitif de la notion d'effort.
ce qu'est la notation solfégique : rien de plus que de la tablature AVEC
le nom des notes, scrogneugneu, représenté par la *clé*. Et je trouverais
bien plus productif de "désornementer" celle-ci pour refigurer un vrai G
majuscule
en lieu et place de la clé de sol, en clouant au passage au pilori Guy
d'Arrezzo et son fichu moyen mnémotechnique de l'hymne à Saint-Jean
Baptiste qui nous pourrit (en France quasi exclusivement) la
compréhension. Retour aux lettres donc, attribution d'une lettre à
chaque ligne pourquoi pas (clé multiple, donc ! E-G-B-D-F pour la clé de
sol actuelle). On peut en effet accepter que le maintien de la clé
unique lors de l'augmentation du nombre de lignes de la portée s'est
fait sur une longue période d'intégration, et que sur un court
apprentissage une clé multiple serait plus pratique ou visible... En
tous cas plus proche de la nature même de la notation solfégique.
Car sans ça, comment justifier qu'il y ait, graphiquement, la même
distance entre mi et fa qu'entre fa et sol alors que la distance
*musicale* (en demi-tons) va du simple au double... ?
>Je suggère a contrario qu'il n'est pas malsain de dire aux élèves que
c'est par respect pour eux et pour leur intelligence qu'on se doit de
prendre l'enseignement par un bout qui leur permette d'atteindre *en
continuité* (logique et progressive) les plus hauts niveaux.
Gérald.
Actuellement la tendance serait plutôt de tout baser sur l'écoute.
Un excès qui en remplace un autre. A l'enseignant de trouver le juste
milieu.
G.H.
>Je suggère a contrario qu'il n'est pas malsain de dire aux élèves que
c'est par respect pour eux et pour leur intelligence qu'on se doit de
prendre l'enseignement par un bout qui leur permette d'atteindre *en
continuité* (logique et progressive) les plus hauts niveaux.
Gérald.
Actuellement la tendance serait plutôt de tout baser sur l'écoute.
Un excès qui en remplace un autre. A l'enseignant de trouver le juste
milieu.
G.H.
>Je suggère a contrario qu'il n'est pas malsain de dire aux élèves que
c'est par respect pour eux et pour leur intelligence qu'on se doit de
prendre l'enseignement par un bout qui leur permette d'atteindre *en
continuité* (logique et progressive) les plus hauts niveaux.
Gérald.
Actuellement la tendance serait plutôt de tout baser sur l'écoute.
Un excès qui en remplace un autre. A l'enseignant de trouver le juste
milieu.
G.H.
>Je suggère a contrario qu'il n'est pas malsain de dire aux élèves que
>c'est par respect pour eux et pour leur intelligence qu'on se doit de
>prendre l'enseignement par un bout qui leur permette d'atteindre *en
>continuité* (logique et progressive) les plus hauts niveaux.
> Gérald.
J'ai malheureusement énormément d'élèves en grande difficulté sociale et
scolaire pour qui l'attention pose un réel problème . Alors, par quel bout
arriver ? Pourquoi vouloir mettre le ludique de côté ? Pourquoi vouloir,
pour ma part, mettre le résultat en avant quelque soit la forme ? C'est
là toutes les questions que se pose l'éducation nationale et auxquelles
répond parfois de façon maladroite . Le problème sera toujours
l'hétérogénéité des classes malheureusement surchargées (28 élèves/classe
moyenne dans mon collège),
>Je suggère a contrario qu'il n'est pas malsain de dire aux élèves que
>c'est par respect pour eux et pour leur intelligence qu'on se doit de
>prendre l'enseignement par un bout qui leur permette d'atteindre *en
>continuité* (logique et progressive) les plus hauts niveaux.
> Gérald.
J'ai malheureusement énormément d'élèves en grande difficulté sociale et
scolaire pour qui l'attention pose un réel problème . Alors, par quel bout
arriver ? Pourquoi vouloir mettre le ludique de côté ? Pourquoi vouloir,
pour ma part, mettre le résultat en avant quelque soit la forme ? C'est
là toutes les questions que se pose l'éducation nationale et auxquelles
répond parfois de façon maladroite . Le problème sera toujours
l'hétérogénéité des classes malheureusement surchargées (28 élèves/classe
moyenne dans mon collège),
>Je suggère a contrario qu'il n'est pas malsain de dire aux élèves que
>c'est par respect pour eux et pour leur intelligence qu'on se doit de
>prendre l'enseignement par un bout qui leur permette d'atteindre *en
>continuité* (logique et progressive) les plus hauts niveaux.
> Gérald.
J'ai malheureusement énormément d'élèves en grande difficulté sociale et
scolaire pour qui l'attention pose un réel problème . Alors, par quel bout
arriver ? Pourquoi vouloir mettre le ludique de côté ? Pourquoi vouloir,
pour ma part, mettre le résultat en avant quelque soit la forme ? C'est
là toutes les questions que se pose l'éducation nationale et auxquelles
répond parfois de façon maladroite . Le problème sera toujours
l'hétérogénéité des classes malheureusement surchargées (28 élèves/classe
moyenne dans mon collège),
"Jean-Claude Boudrant" a écrit :
> J'ai malheureusement énormément d'élèves en grande difficulté sociale et
> scolaire pour qui l'attention pose un réel problème . Alors, par quel bout
> y arriver ? Pourquoi vouloir mettre le ludique de côté ?
Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
moderne des "pas surchargés" ;-)
"Jean-Claude Boudrant" <jc.boudrant@wanadoo.fr> a écrit :
> J'ai malheureusement énormément d'élèves en grande difficulté sociale et
> scolaire pour qui l'attention pose un réel problème . Alors, par quel bout
> y arriver ? Pourquoi vouloir mettre le ludique de côté ?
Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
moderne des "pas surchargés" ;-)
"Jean-Claude Boudrant" a écrit :
> J'ai malheureusement énormément d'élèves en grande difficulté sociale et
> scolaire pour qui l'attention pose un réel problème . Alors, par quel bout
> y arriver ? Pourquoi vouloir mettre le ludique de côté ?
Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
moderne des "pas surchargés" ;-)
>Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
moderne des "pas surchargés" ;-)
[je triche un peu avec mon histoire d'orthographe, car mes stats sont
pour le secondaire - le primaire je ne me souviens plus des effectifs]
Alain Naigeon
>Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
moderne des "pas surchargés" ;-)
[je triche un peu avec mon histoire d'orthographe, car mes stats sont
pour le secondaire - le primaire je ne me souviens plus des effectifs]
Alain Naigeon
>Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
moderne des "pas surchargés" ;-)
[je triche un peu avec mon histoire d'orthographe, car mes stats sont
pour le secondaire - le primaire je ne me souviens plus des effectifs]
Alain Naigeon
>notion *d'effort* personnel (et gratuit)
Gérald .
>notion *d'effort* personnel (et gratuit)
Gérald .
>notion *d'effort* personnel (et gratuit)
Gérald .
>Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
>et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
>moderne des "pas surchargés" ;-)
>[je triche un peu avec mon histoire d'orthographe, car mes stats sont
> pour le secondaire - le primaire je ne me souviens plus des effectifs]
> Alain Naigeon
30, 35 parfois 40 en collège ? En quelle année ?
>Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
>et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
>moderne des "pas surchargés" ;-)
>[je triche un peu avec mon histoire d'orthographe, car mes stats sont
> pour le secondaire - le primaire je ne me souviens plus des effectifs]
> Alain Naigeon
30, 35 parfois 40 en collège ? En quelle année ?
>Euh, nous on était entre 30 et 35 minimum, et parfois ça frisait les 40,
>et on en s'est est bien tirés - à ce que je vois en jugeant l'orthographe
>moderne des "pas surchargés" ;-)
>[je triche un peu avec mon histoire d'orthographe, car mes stats sont
> pour le secondaire - le primaire je ne me souviens plus des effectifs]
> Alain Naigeon
30, 35 parfois 40 en collège ? En quelle année ?
Pour Alain :
Un convaincu n'est pas forcément ce que l'on croit, pour les mêmes
raison qu'un marteau-piqueur n'est pas forcément un fou cleptomane :-)
Pour Alain :
Un convaincu n'est pas forcément ce que l'on croit, pour les mêmes
raison qu'un marteau-piqueur n'est pas forcément un fou cleptomane :-)
Pour Alain :
Un convaincu n'est pas forcément ce que l'on croit, pour les mêmes
raison qu'un marteau-piqueur n'est pas forcément un fou cleptomane :-)
Mes
élèves de chorale ne disposent que des paroles des chansons et produisent
une excellente musique .
Les exemples musicaux ne manquent pas de bons
musiciens pour qui cette grammaire était barbare
(Eroll Garner, pianiste de
jazz par exemple, Django Reinhart, etc)
Si je considère que cet
apprentissage est indispensable (et pas si rébarbatif que cela) aux élèves
des conservatoires, il devient difficile (et pas forcément indispensable)
dans le cadre de l'enseignement de masse vers un public qu'il faut motiver
pour cette matière .
Mes
élèves de chorale ne disposent que des paroles des chansons et produisent
une excellente musique .
Les exemples musicaux ne manquent pas de bons
musiciens pour qui cette grammaire était barbare
(Eroll Garner, pianiste de
jazz par exemple, Django Reinhart, etc)
Si je considère que cet
apprentissage est indispensable (et pas si rébarbatif que cela) aux élèves
des conservatoires, il devient difficile (et pas forcément indispensable)
dans le cadre de l'enseignement de masse vers un public qu'il faut motiver
pour cette matière .
Mes
élèves de chorale ne disposent que des paroles des chansons et produisent
une excellente musique .
Les exemples musicaux ne manquent pas de bons
musiciens pour qui cette grammaire était barbare
(Eroll Garner, pianiste de
jazz par exemple, Django Reinhart, etc)
Si je considère que cet
apprentissage est indispensable (et pas si rébarbatif que cela) aux élèves
des conservatoires, il devient difficile (et pas forcément indispensable)
dans le cadre de l'enseignement de masse vers un public qu'il faut motiver
pour cette matière .
> 30, 35 parfois 40 en collège ? En quelle année ?
Mes souvenirs sont surtout vers seconde, première, terminale.
Lycée Fustel de Coulanges, Strasbourg
Bac passé en été 64,
> 30, 35 parfois 40 en collège ? En quelle année ?
Mes souvenirs sont surtout vers seconde, première, terminale.
Lycée Fustel de Coulanges, Strasbourg
Bac passé en été 64,
> 30, 35 parfois 40 en collège ? En quelle année ?
Mes souvenirs sont surtout vers seconde, première, terminale.
Lycée Fustel de Coulanges, Strasbourg
Bac passé en été 64,