>Disons alors qu'il ne serait pas malsain de leur expliquer effectivement
la démarche, et de leur situer ce qu'ils y perdent. Il ne faut plus
parler dans ce cas *d'enseignement* de la musique ...mais à la rigueur
"d'imprégnation", de "sensibilisation", "d'ergothérapie" voire de
"loisir culturel"...
Gérald .
Par contre je suis friand d'obtenir, en retour, des liens vers des sites
ou des institutions *d'enseignement musical* allant de manière
argumentée dans un sens contraire.
Gérald .
Mes souvenirs sont surtout vers seconde, première, terminale.
Lycée Fustel de Coulanges, Strasbourg
Alain Naigeon .
>Disons alors qu'il ne serait pas malsain de leur expliquer effectivement
la démarche, et de leur situer ce qu'ils y perdent. Il ne faut plus
parler dans ce cas *d'enseignement* de la musique ...mais à la rigueur
"d'imprégnation", de "sensibilisation", "d'ergothérapie" voire de
"loisir culturel"...
Gérald .
Par contre je suis friand d'obtenir, en retour, des liens vers des sites
ou des institutions *d'enseignement musical* allant de manière
argumentée dans un sens contraire.
Gérald .
Mes souvenirs sont surtout vers seconde, première, terminale.
Lycée Fustel de Coulanges, Strasbourg
Alain Naigeon .
>Disons alors qu'il ne serait pas malsain de leur expliquer effectivement
la démarche, et de leur situer ce qu'ils y perdent. Il ne faut plus
parler dans ce cas *d'enseignement* de la musique ...mais à la rigueur
"d'imprégnation", de "sensibilisation", "d'ergothérapie" voire de
"loisir culturel"...
Gérald .
Par contre je suis friand d'obtenir, en retour, des liens vers des sites
ou des institutions *d'enseignement musical* allant de manière
argumentée dans un sens contraire.
Gérald .
Mes souvenirs sont surtout vers seconde, première, terminale.
Lycée Fustel de Coulanges, Strasbourg
Alain Naigeon .
Il s'agit là d'une époque (que j'ai connue) où l'orientation ne conduisait
que les bons élèves vers le lycée dès la classe de sixième (filère
"classique" ou "moderne"), les autres allaient soit dans un CEG, soit ils
restaient à l'école primaire jusqu'à l'âge de 14 ans .
Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un
est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie .
Il s'agit là d'une époque (que j'ai connue) où l'orientation ne conduisait
que les bons élèves vers le lycée dès la classe de sixième (filère
"classique" ou "moderne"), les autres allaient soit dans un CEG, soit ils
restaient à l'école primaire jusqu'à l'âge de 14 ans .
Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un
est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie .
Il s'agit là d'une époque (que j'ai connue) où l'orientation ne conduisait
que les bons élèves vers le lycée dès la classe de sixième (filère
"classique" ou "moderne"), les autres allaient soit dans un CEG, soit ils
restaient à l'école primaire jusqu'à l'âge de 14 ans .
Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un
est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie .
>> Il s'agit là d'une époque (que j'ai connue) où l'orientation ne
conduisait
que les bons élèves vers le lycée dès la classe de sixième (filère
"classique" ou "moderne"), les autres allaient soit dans un CEG, soit ils
restaient à l'école primaire jusqu'à l'âge de 14 ans .
[...]Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un
bien,est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie
.
Evidemment mon désaccord porte sur le contenu de "ségrégation",
implicitement définie ci-dessus comme une faveur aux socialement
à l'aise.
Il me semble évident qu'en matière de goût d'apprendre et de réussite
professionnelle, il se dégage petit à petit une "ségrégation" en faveur
des meilleurs.
Bien sûr, je n'ignore pas qu'il existe une corrélation dommageable entre
ces deux catégories, mais ça me paraît peu transparent et peu efficace
d'en tirer des conclusions trop hâtives (bien que très à la mode) :
- d'une part, il vaut mieux toujours faire ce qu'on dit, et j'imagine que,
tout comme moi, à ta prochaine occasion d'avoir à faire à un
chirurgien ou un pilote d'avion, tu deviendras subitement un méchant
ségrégationiste ;
Et puis, ça me gêne tout de même, cette position implicite selon laquelle
il est injuste de distinguer les meilleurs. Moralement déjà, je ne vois
pas
pourquoi ce serait moins monstrueux de faire mourir les meilleurs à petit
feu que de laisser les moins bons au bord du chemin. Les *deux* choses
sont inacceptables à mes yeux, par conséquent c'est impossible de
vouloir maintenir une progression commune à tous et pour toujours.
Crois-tu vraiment que Mozart aurait perdu son temps à me donner des
cours de composition ? :-)
>> Il s'agit là d'une époque (que j'ai connue) où l'orientation ne
conduisait
que les bons élèves vers le lycée dès la classe de sixième (filère
"classique" ou "moderne"), les autres allaient soit dans un CEG, soit ils
restaient à l'école primaire jusqu'à l'âge de 14 ans .
[...]
Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un
bien,
est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie
.
Evidemment mon désaccord porte sur le contenu de "ségrégation",
implicitement définie ci-dessus comme une faveur aux socialement
à l'aise.
Il me semble évident qu'en matière de goût d'apprendre et de réussite
professionnelle, il se dégage petit à petit une "ségrégation" en faveur
des meilleurs.
Bien sûr, je n'ignore pas qu'il existe une corrélation dommageable entre
ces deux catégories, mais ça me paraît peu transparent et peu efficace
d'en tirer des conclusions trop hâtives (bien que très à la mode) :
- d'une part, il vaut mieux toujours faire ce qu'on dit, et j'imagine que,
tout comme moi, à ta prochaine occasion d'avoir à faire à un
chirurgien ou un pilote d'avion, tu deviendras subitement un méchant
ségrégationiste ;
Et puis, ça me gêne tout de même, cette position implicite selon laquelle
il est injuste de distinguer les meilleurs. Moralement déjà, je ne vois
pas
pourquoi ce serait moins monstrueux de faire mourir les meilleurs à petit
feu que de laisser les moins bons au bord du chemin. Les *deux* choses
sont inacceptables à mes yeux, par conséquent c'est impossible de
vouloir maintenir une progression commune à tous et pour toujours.
Crois-tu vraiment que Mozart aurait perdu son temps à me donner des
cours de composition ? :-)
>> Il s'agit là d'une époque (que j'ai connue) où l'orientation ne
conduisait
que les bons élèves vers le lycée dès la classe de sixième (filère
"classique" ou "moderne"), les autres allaient soit dans un CEG, soit ils
restaient à l'école primaire jusqu'à l'âge de 14 ans .
[...]Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un
bien,est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie
.
Evidemment mon désaccord porte sur le contenu de "ségrégation",
implicitement définie ci-dessus comme une faveur aux socialement
à l'aise.
Il me semble évident qu'en matière de goût d'apprendre et de réussite
professionnelle, il se dégage petit à petit une "ségrégation" en faveur
des meilleurs.
Bien sûr, je n'ignore pas qu'il existe une corrélation dommageable entre
ces deux catégories, mais ça me paraît peu transparent et peu efficace
d'en tirer des conclusions trop hâtives (bien que très à la mode) :
- d'une part, il vaut mieux toujours faire ce qu'on dit, et j'imagine que,
tout comme moi, à ta prochaine occasion d'avoir à faire à un
chirurgien ou un pilote d'avion, tu deviendras subitement un méchant
ségrégationiste ;
Et puis, ça me gêne tout de même, cette position implicite selon laquelle
il est injuste de distinguer les meilleurs. Moralement déjà, je ne vois
pas
pourquoi ce serait moins monstrueux de faire mourir les meilleurs à petit
feu que de laisser les moins bons au bord du chemin. Les *deux* choses
sont inacceptables à mes yeux, par conséquent c'est impossible de
vouloir maintenir une progression commune à tous et pour toujours.
Crois-tu vraiment que Mozart aurait perdu son temps à me donner des
cours de composition ? :-)
Je répète et affirme haut et fort que dans le cadre d'un enseignement
spécialisé ces apprentissages sont indispensables.
Quelques écoles vont toutefois dans un sens plus large de la musique :
http://www.dalcroze.fr/index.htm ou
http://www.vive-l-enfance.fr/French/Classes/FRMat36.htm . Je précise
toutefois qu'elles n'excluent pas la lecture de la musique, elles
l'approchent plus tardivement .
Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un bien,
est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie .
Je répète et affirme haut et fort que dans le cadre d'un enseignement
spécialisé ces apprentissages sont indispensables.
Quelques écoles vont toutefois dans un sens plus large de la musique :
http://www.dalcroze.fr/index.htm ou
http://www.vive-l-enfance.fr/French/Classes/FRMat36.htm . Je précise
toutefois qu'elles n'excluent pas la lecture de la musique, elles
l'approchent plus tardivement .
Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un bien,
est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie .
Je répète et affirme haut et fort que dans le cadre d'un enseignement
spécialisé ces apprentissages sont indispensables.
Quelques écoles vont toutefois dans un sens plus large de la musique :
http://www.dalcroze.fr/index.htm ou
http://www.vive-l-enfance.fr/French/Classes/FRMat36.htm . Je précise
toutefois qu'elles n'excluent pas la lecture de la musique, elles
l'approchent plus tardivement .
Le collège d'aujourd'hui est bien loin de cette ségrégation, est-ce un bien,
est-ce un mal ? En tout cas il faut l'adapter à la population acceuillie .
Expliques-tu
seulement à TES élèves ce qui pourrait leur permettre de devenir un jour
professeur de musique comme TOI ?
Expliques-tu
seulement à TES élèves ce qui pourrait leur permettre de devenir un jour
professeur de musique comme TOI ?
Expliques-tu
seulement à TES élèves ce qui pourrait leur permettre de devenir un jour
professeur de musique comme TOI ?
seulement à TES élèves ce qui pourrait leur permettre de devenir un jour
professeur de musique comme TOI ?
Bénis soient cette phrase et son auteur ! J'ai eu comme ça quelques
profs qui m'expliquaient que les exercices techniques assidus étaient
inutiles, qu'il fallait juste travailler un problème lorsque l'accasion se
présentait dans une pièce, etc. En oubliant que ces exercices, et eux
seuls, leur avaient permis de décrocher leurs diplômes et d'acquérir
définitivement une aisance instrumentale. Ca pourrait être malhonnête,
si je n'étais convaincu de leur sincérité (manque d'introspection).
seulement à TES élèves ce qui pourrait leur permettre de devenir un jour
professeur de musique comme TOI ?
Bénis soient cette phrase et son auteur ! J'ai eu comme ça quelques
profs qui m'expliquaient que les exercices techniques assidus étaient
inutiles, qu'il fallait juste travailler un problème lorsque l'accasion se
présentait dans une pièce, etc. En oubliant que ces exercices, et eux
seuls, leur avaient permis de décrocher leurs diplômes et d'acquérir
définitivement une aisance instrumentale. Ca pourrait être malhonnête,
si je n'étais convaincu de leur sincérité (manque d'introspection).
seulement à TES élèves ce qui pourrait leur permettre de devenir un jour
professeur de musique comme TOI ?
Bénis soient cette phrase et son auteur ! J'ai eu comme ça quelques
profs qui m'expliquaient que les exercices techniques assidus étaient
inutiles, qu'il fallait juste travailler un problème lorsque l'accasion se
présentait dans une pièce, etc. En oubliant que ces exercices, et eux
seuls, leur avaient permis de décrocher leurs diplômes et d'acquérir
définitivement une aisance instrumentale. Ca pourrait être malhonnête,
si je n'étais convaincu de leur sincérité (manque d'introspection).
> Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme,
> Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme,
> Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme,
Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme
en tout
cas de deux personnes ignorantes de la réalité des collèges d'aujourd'hui .
(pas besoin d'être un écrivain
notoirement reconnu pour enseigner le français)
Recentrons le débat s'il vous plait !
Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme
en tout
cas de deux personnes ignorantes de la réalité des collèges d'aujourd'hui .
(pas besoin d'être un écrivain
notoirement reconnu pour enseigner le français)
Recentrons le débat s'il vous plait !
Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme
en tout
cas de deux personnes ignorantes de la réalité des collèges d'aujourd'hui .
(pas besoin d'être un écrivain
notoirement reconnu pour enseigner le français)
Recentrons le débat s'il vous plait !
Mais nous sommes loin d'en être là. Car pour moi, laisser écrire à des
élèves le nom (français) des notes sous leur représentation solfégique
sur une portée est un triple non-sens :
- en laissant entendre que cette représentation ne serait PAS en soi (ou
serait autre chose que) la figuration du NOM des notes.
- en laissant entendre que "mi" serait une note unique et universelle
non dépendante d'une octave (si encore on demandait de préciser mi3 ou
mi4 etc.)
- en dissociant la lecture rythmique de la lecture mélodique qui serait
supposée plus difficile que la précédente. À moins que l'impasse ne soit
aussi faite sur le rythme et sa représentation et qu'il ne soit laissé à
la transmission orale... Dans ce cas plus la peine de parler d'une
quelconque écriture... et le sujet est clos !
Mais nous sommes loin d'en être là. Car pour moi, laisser écrire à des
élèves le nom (français) des notes sous leur représentation solfégique
sur une portée est un triple non-sens :
- en laissant entendre que cette représentation ne serait PAS en soi (ou
serait autre chose que) la figuration du NOM des notes.
- en laissant entendre que "mi" serait une note unique et universelle
non dépendante d'une octave (si encore on demandait de préciser mi3 ou
mi4 etc.)
- en dissociant la lecture rythmique de la lecture mélodique qui serait
supposée plus difficile que la précédente. À moins que l'impasse ne soit
aussi faite sur le rythme et sa représentation et qu'il ne soit laissé à
la transmission orale... Dans ce cas plus la peine de parler d'une
quelconque écriture... et le sujet est clos !
Mais nous sommes loin d'en être là. Car pour moi, laisser écrire à des
élèves le nom (français) des notes sous leur représentation solfégique
sur une portée est un triple non-sens :
- en laissant entendre que cette représentation ne serait PAS en soi (ou
serait autre chose que) la figuration du NOM des notes.
- en laissant entendre que "mi" serait une note unique et universelle
non dépendante d'une octave (si encore on demandait de préciser mi3 ou
mi4 etc.)
- en dissociant la lecture rythmique de la lecture mélodique qui serait
supposée plus difficile que la précédente. À moins que l'impasse ne soit
aussi faite sur le rythme et sa représentation et qu'il ne soit laissé à
la transmission orale... Dans ce cas plus la peine de parler d'une
quelconque écriture... et le sujet est clos !
Jean-Claude Boudrant wrote:Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme
euh... "défenseur" peut-être ? (le défendeur est la personne *contre
qui* un procès est engagé... tu n'en es pas encore là contre nous
j'espère :-))
Enfin, si par hasard tu cherchais - toujours dans le domaine haut de
gamme que tu privilégies - un correcteur orthographique, typographique
et grammatical français digne de ce nom, le bon lien est :
<http://www.prolexis.com/>
Juste pour aider, cordialement,
--
Gérald
Jean-Claude Boudrant <jc.boudrant@wanadoo.fr> wrote:
Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme
euh... "défenseur" peut-être ? (le défendeur est la personne *contre
qui* un procès est engagé... tu n'en es pas encore là contre nous
j'espère :-))
Enfin, si par hasard tu cherchais - toujours dans le domaine haut de
gamme que tu privilégies - un correcteur orthographique, typographique
et grammatical français digne de ce nom, le bon lien est :
<http://www.prolexis.com/>
Juste pour aider, cordialement,
--
Gérald
Jean-Claude Boudrant wrote:Je vois que j'ai affaire à deux ardents défendeurs de l'élitisme
euh... "défenseur" peut-être ? (le défendeur est la personne *contre
qui* un procès est engagé... tu n'en es pas encore là contre nous
j'espère :-))
Enfin, si par hasard tu cherchais - toujours dans le domaine haut de
gamme que tu privilégies - un correcteur orthographique, typographique
et grammatical français digne de ce nom, le bon lien est :
<http://www.prolexis.com/>
Juste pour aider, cordialement,
--
Gérald