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Objectif macro vs bagues-allonge

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Ofnuts
Puisqu'on en cause ailleurs, pour mon éducation, quels sont les
avantages et inconvénients respectifs des objectifs typés macro d'un
côté, et des bagues-allonges avec des objectifs plus communs de l'autre?
--
Bertrand

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Jacques Dassié
Le Fri, 12 Dec 2008 20:24:14 +0100, "Georges Solignac"

Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif...
... et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.



J'ai également expérimenté tous les bricolages possible... En 1944
j'essayais déjà de faire de la macro avec un box Zeiss 3 x 4 cm et une
loupe... Je ne te dis pas le résultat, mais j'avais 16 ans et pas le moindre
maravédis...

J'ai même encore parfois sur mon 5D une bague EF/42 à vis, un vieux soufflet
qui s'étire beaucoup et le Zeiss Biotar 2 conservé de mon Pentacon de 1956,
mon premier reflex mono-objectif interchangeable. Comme le Biotar à une
bague de présélection du diaphragme, c'est relativement pratique malgré
l'absence d'automatismes. je le ressors si j'ai besoin de rapports très
importants.

Parmis les fort doctes réponses ou commentaires, une chose me frappe :
beaucoup raisonnent comme si la macro ne devait s'exercer que sur des sujets
statiques. Or la macrophoto d'insectes constitue souvent la porte d'entrée
la plus attractive en ce domaine. Et sauf cas d'espèce (escargots,
chrysalides, insectes suceurs collés sur les feuilles etc) ces bestioles
sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...

Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes :

http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg

http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg

En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrèmement aléatoires, voire
impossibles.
Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.

Un autre facteur intervient : la quantité de photos dans un espace de temps
donné. On peut consacrer beaucoup de temps à la préparation et aux réglages
si l'on fait une macrophoto statique de temps en temps.

Cette année, j'ai dépassé les 100000 photos d'insectes. J'en ai conservé
2000 et déja sélectionné une bonne centaine pour un nouveau bouquin. Le
rendement est extraordinairement faible !
Mais cela s'explique par la gratuité de l'image numérique, la nécessité de
n'avoir que des images techniquement satisfaisantes et le fait que pour un
même sujet, il est important de disposer d'un grand choix. L'insecte n'est
pas un objet et le cadre, son éclairage, sa position, son attitude peuvent,
de la même bestiole, faire une image insignifiante ou exceptionnelle.

Simple amateur, je fais beaucoup de photos et c'est une façon de procéder.
--
Jacques DASSIÉ
Ils sont là, nos petits amis, discrets, secrets et fugaces... :
http://archaero.com/Insectes-jardin.htm
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D Gadenne
"Jacques Dassié" a écrit dans le
message de news:
Le Fri, 12 Dec 2008 20:24:14 +0100, "Georges Solignac"

Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif...
... et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.



J'ai également expérimenté tous les bricolages possible... En 1944
j'essayais déjà de faire de la macro avec un box Zeiss 3 x 4 cm et une
loupe... Je ne te dis pas le résultat, mais j'avais 16 ans et pas le
moindre
maravédis...

J'ai même encore parfois sur mon 5D une bague EF/42 à vis, un vieux
soufflet
qui s'étire beaucoup et le Zeiss Biotar 2 conservé de mon Pentacon de
1956,
mon premier reflex mono-objectif interchangeable. Comme le Biotar à une
bague de présélection du diaphragme, c'est relativement pratique malgré
l'absence d'automatismes. je le ressors si j'ai besoin de rapports très
importants.

Parmis les fort doctes réponses ou commentaires, une chose me frappe :
beaucoup raisonnent comme si la macro ne devait s'exercer que sur des
sujets
statiques. Or la macrophoto d'insectes constitue souvent la porte
d'entrée
la plus attractive en ce domaine. Et sauf cas d'espèce (escargots,
chrysalides, insectes suceurs collés sur les feuilles etc) ces bestioles
sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...

Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes :

http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg

http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg

En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrèmement aléatoires, voire
impossibles.
Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi
avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de
nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.

Un autre facteur intervient : la quantité de photos dans un espace de
temps
donné. On peut consacrer beaucoup de temps à la préparation et aux
réglages
si l'on fait une macrophoto statique de temps en temps.

Cette année, j'ai dépassé les 100000 photos d'insectes. J'en ai conservé
2000 et déja sélectionné une bonne centaine pour un nouveau bouquin. Le
rendement est extraordinairement faible !
Mais cela s'explique par la gratuité de l'image numérique, la nécessité de
n'avoir que des images techniquement satisfaisantes et le fait que pour un
même sujet, il est important de disposer d'un grand choix. L'insecte n'est
pas un objet et le cadre, son éclairage, sa position, son attitude
peuvent,
de la même bestiole, faire une image insignifiante ou exceptionnelle.

Simple amateur, je fais beaucoup de photos et c'est une façon de procéder.
--
Jacques DASSIÉ
Ils sont là, nos petits amis, discrets, secrets et fugaces... :
http://archaero.com/Insectes-jardin.htm



Merci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques magnifiques.
Pour faire simple
Faire de la macro c'est pas pareil que de la photo rapprochée
si le sujet photographié est plus petit que l'original c'est rapproché.
S'il est plus grand c'est de la macro
Pour faire de la macro de haute qualité il faut s'équiper
sinon les plus mauvais résultat sont obtenus avec un Zoom et une bonnette
Assez mauvais focal fixe et bonnette
moyen focal fixe et doubleur
bon focal fixe à l'envers
bon focal fixe + tube allonge ( ou soufflet)
très bon optique macro + tube allonge ( ou soufflet)

Nota si on utilise une optique relativement courte ( 50 mm ) les bagues
allonges
si on utilise une optique longue ( 105, 180 mm) le soufflet est préférable.
petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile d'avancer
ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point ou de laisser
l'autofocus, et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.

Jacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .

--
Photographiquement votre
Denis Gadenne
http://denis.gadenne.free.fr
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Jacques Dassié
Le Sat, 13 Dec 2008 09:31:38 +0100, "D Gadenne"
écrit:

Illustration, ailes floues, ailes nettes :

http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg

http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg





Merci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques magnifiques.



Et merci de tes appréciations.

petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile d'avancer
ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point...



Bien entendu !

ou de laisser l'autofocus,



Là, je suis moins d'accord, beaucoup d'images de mes galeries auraient été
tout simplement impossibles à réaliser sans nos autofocus modernes.
La photographie des insectes en vol, en particulier. En plein soleil, on ne
voit pas grand chose dans le viseur... On vise au jugé, l'appareil à bout de
bras... et l'autofocus (et le Dieu des photographes, le pot ou la baraka)
font le reste !

et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.



avec la différence que pour mes milliers de macros d'insectes, je ne me suis
jamais servi d'un pied, dans mon jardin ! Si, pourtant, une fois... Mais
c'était pour photographier l'équipement macro... Comme il ne pouvait tenir
en l'air tout seul, j'ai sorti le gros Gitzo !

http://www.cijoint.fr/cj200812/cij8ocfSoP.jpg

Jacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .



Et c'est bien la meilleure façon... La photographie, pour nous, est un
divertissement merveilleux, puisque nous n'avons aucune obligation d'en
faire !
--
Jacques DASSIÉ
Ils sont là, nos petits amis, discrets, secrets et fugaces... :
http://archaero.com/Insectes-jardin.htm
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Bour-Brown
Jacques Dassié a écrit
( news: )

ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...



Ce n'est pas mon sentiment.

À moins de se coller dessus les bébêtes vivent leur vie sans se
préoccuper de grand chose. Et pour moi la photographie d'abeille ou
d'araignée offre aussi peu de difficultés que la photo de plante, c'est
dire.

Ce n'est quand même pas trop nerveux comme genre, la photo de plante.

Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance.



Une fois encore, cadrer un insecte au vol stationnaire et le figer d'un coup
de flash, je ne vois pas l'exploit.

Question d'époque peut-être.

Au XIXe nul doute que les clichés de Jules-Etienne Marey par exemple
s'inscrivaient dans ce registre, mais aujourd'hui avec un numérique...
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libre
Jacques Dassié wrote:

Le Sat, 13 Dec 2008 09:31:38 +0100, "D Gadenne"
écrit:

Illustration, ailes floues, ailes nettes :

http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg

http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg





Merci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques
magnifiques.



Et merci de tes appréciations.

petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile
d'avancer ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point...



Bien entendu !

ou de laisser l'autofocus,



Là, je suis moins d'accord, beaucoup d'images de mes galeries auraient été
tout simplement impossibles à réaliser sans nos autofocus modernes.
La photographie des insectes en vol, en particulier. En plein soleil, on
ne voit pas grand chose dans le viseur... On vise au jugé, l'appareil à
bout de bras... et l'autofocus (et le Dieu des photographes, le pot ou la
baraka) font le reste !

et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.



avec la différence que pour mes milliers de macros d'insectes, je ne me
suis jamais servi d'un pied, dans mon jardin ! Si, pourtant, une fois...
Mais c'était pour photographier l'équipement macro... Comme il ne pouvait
tenir en l'air tout seul, j'ai sorti le gros Gitzo !

http://www.cijoint.fr/cj200812/cij8ocfSoP.jpg

Jacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .



Et c'est bien la meilleure façon... La photographie, pour nous, est un
divertissement merveilleux, puisque nous n'avons aucune obligation d'en
faire !


mais comment fais tu pour avoir des photos aussi nette a main levé
je suis baba
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Jacques Dassié
Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown" écrit:

Jacques Dassié a écrit
( news: )

ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...



Ce n'est pas mon sentiment.


Ah, que c'est fâcheux...

À moins de se coller dessus les bébêtes vivent leur vie sans se
préoccuper de grand chose. Et pour moi la photographie d'abeille ou
d'araignée offre aussi peu de difficultés que la photo de plante, c'est
dire.



Revoila BB ! Faire semblant de ne pas comprendre, détourner le propos pour
placer ta critique et avoir le dernier mot, avec une supérioritée
affichée... !

Tu enonces un truisme, une évidence. Les araignées ont des comportements
fondamentalement différents selon l'espèce et la photo d'une grosse
amaurobius tapie à l'entrée de sa toile est à la portée de tous, toi y
compris !
Par contre, une saltique, de face, c'est un autre problème et je ne fais pas
allusion aux insectes volants difficiles à saisir, la liste en serait
longue.

Une fois encore, cadrer un insecte au vol stationnaire et le figer d'un coup
de flash, je ne vois pas l'exploit.



Bien sûr, tu ne veux rien voir... Mais il faudrait peut-être essayer et nous
montrer tes résultats.
Ne te gênes surtout pas... Vas-y, montres-nous ce que nous aurions dû faire.

Au fait, je n'ai pas souvenance d'avoir vu dans ce forum beaucoup d'images
de macrophotographie, de toi. Tu devrais bien illustrer tes propos, ce
serait plus profitable pour tous...

Tiens, écris donc sur la macrophotographie l'équivalent de quelques messages
que tu as commis, relatifs à l'emploi de photoshop.
Le ton était parfaitement urbain, et le propos judicieux.
Dommage qu'il n'en soit pas toujours ainsi.
--
Jacques Dassié
http://archaero.com/
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YouDontNeedToKnowButItsNoëlle
Georges Solignac a écrit :

Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif.



Précisement ce qui m'a fait reculer.

Maintenant j'utilise des bagues de type P qui ont un applat plus large et
permettent de sécuriser le système par des vis-écrous (faire les percages
près du bord extérieur pour que les vis ne gènent pas le vissage sur
l'objectif).

De plus, si on standardise le perçage, on peut facilement démonter les
bagues et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.


Je ne suis pas bricoleuse du tout, néanmoins je regarderais ce que je
trouve à la prochaine braderie !

Noëlle Adam
Avatar
Sylvain SF
Jacques Dassié a écrit :

Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes:



cela a été noté, tes vues sont (sur la base que ce que j'ai vu voir -
j'ai eu plaisir à voir) des vues rapprochées pas de la macro.
je ne hiérarchise pas ces 2 variantes, faire l'une n'est pas plus ou
moins ceci ou cela comparée à l'autre, juste différent en contraintes.

bien sur que prendre un [moro]sphinx n'est pas facile, le raccourci
de BB masque la réalité, avoir attendu puis suivi la bestiole des heures
avec des kilos en bout de bras est déjà un effort, faire une macro x5
d'un pistil ou d'un cristal quelconque en tournant les bagues d'un
chariot bien assis est presque plus facile.

En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrêmement aléatoires, voire
impossibles.



je souscris, c'est pourquoi je ne recommandais pas - et surtout pour un
débutant en macro - des montages compliqués.
pour un sphinx comme si dessus, un 80 ou 135mm macro qui ne fera peut
être ""que"" du 1:2 (très largement suffisant) mais permettra de
travailler à 20 et plus cm en gardant son AF et son exposition
automatique est une (la?) meilleure façon de procéder; si l'on choisi
des sujet peu farouche (ou statique) on peux descendre en focale et
monter en grossissement, mais sans oublier - comme tu l'indiques -
qu'un montage trop lourd rendra impossible/difficle la prise de vue
en macro du monde vivant.

Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.



lorsque l'on travaille en rapproché ou en macro sur la gamme 1:2 à 1:1
la PdC reste acceptable/suffisante et un montage par plan est tout à
fait inutile; je n'évoquais cela que pour les cas 3:1 (5:1 et plus) en
réponse à "la belle promesse technique" du Canon EP-M qui peut être
plus décevant en pratique qu'il n'est séduisant en théorie.

hormis des images moches discutés ailleurs, je fais très peu de macro
depuis que je suis passé au numérique ... a cause du manque de temps,
des déceptions du capteur APS-C, de la météo, ...

avant je pouvais utiliser ça <http://cjoint.com/?mnr0llDMmR> donnant
du 1:2 à 50cm, j'avais des diaps de bestioles, je les avais perdu en
route et/ou elles sont maintenant délavées.

Sylvain.
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Ghost-Rider
Jacques Dassié a écrit :
Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown" écrit:

Jacques Dassié a écrit

ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...


Ce n'est pas mon sentiment.


Ah, que c'est fâcheux...



Après les avoir bien observées, j'ai cru remarquer que certaines étaient
très agitées, d'autres peu mobiles, (c'est étonnant, je sais, mais j'ai
vérifié) et j'ai remarqué aussi que plus elles bougeaient, plus elles
étaient difficiles à photographier ! Eh oui ! C'est comme ça !

Dans l'ordre, ma propre classification, du plus facile au plus difficile:
- les mouches mortes
- les araignées vivantes,
- les chenilles
- les insectes butineurs posés sur une fleur
- les papillons
- les insectes en vol à la recherche de fleurs à butiner

Et voici mes propres réalisations, bien indignes de celles de Jacques
Dassié mais j'insiste quand même pour qu'on les admire :
- une araignée vivante:
http://cjoint.com/data/mnsZpvM32j.htm
Je saurais gré à Jacques Dassié d'identifier cette rare épeire qui porte
sur son dos l'image d'un dieu indien (Vishnou, je crois) sans doute pour
effrayer les prédateurs (lieu et temps de la photo: région parisienne,
fin juillet)
- une abeille butinant:
http://cjoint.com/data/mns2H2C6sS_Guepabeille.jpg
Très belle photo, je dois dire, toute en nuances, je me tire mon chapeau.
- une abeille en vol:
http://cjoint.com/data/mns4PzfGHi_Abeille_en_vol.jpg
et sans flash, exploit photographique s'il en fut, hélas sans témoin et
jamais renouvelé, ce qui laisse planer un doute sur la réalité de l'exploit.

--
Ghost Rider

"Aimez-vous les uns les autres".
Jésus-Christ
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libre
Ghost-Rider wrote:

Jacques Dassié a écrit :
Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown"
écrit:

Jacques Dassié a écrit

ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...


Ce n'est pas mon sentiment.


Ah, que c'est fâcheux...



Après les avoir bien observées, j'ai cru remarquer que certaines étaient
très agitées, d'autres peu mobiles, (c'est étonnant, je sais, mais j'ai
vérifié) et j'ai remarqué aussi que plus elles bougeaient, plus elles
étaient difficiles à photographier ! Eh oui ! C'est comme ça !

Dans l'ordre, ma propre classification, du plus facile au plus difficile:
- les mouches mortes
- les araignées vivantes,
- les chenilles
- les insectes butineurs posés sur une fleur
- les papillons
- les insectes en vol à la recherche de fleurs à butiner

Et voici mes propres réalisations, bien indignes de celles de Jacques
Dassié mais j'insiste quand même pour qu'on les admire :
- une araignée vivante:
http://cjoint.com/data/mnsZpvM32j.htm
Je saurais gré à Jacques Dassié d'identifier cette rare épeire qui porte
sur son dos l'image d'un dieu indien (Vishnou, je crois) sans doute pour
effrayer les prédateurs (lieu et temps de la photo: région parisienne,
fin juillet)
- une abeille butinant:
http://cjoint.com/data/mns2H2C6sS_Guepabeille.jpg
Très belle photo, je dois dire, toute en nuances, je me tire mon chapeau.
- une abeille en vol:
http://cjoint.com/data/mns4PzfGHi_Abeille_en_vol.jpg
et sans flash, exploit photographique s'il en fut, hélas sans témoin et
jamais renouvelé, ce qui laisse planer un doute sur la réalité de
l'exploit.



chapeau pour l'abeille en vol pas facile
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