Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif...
... et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif...
... et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif...
... et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
Le Fri, 12 Dec 2008 20:24:14 +0100, "Georges Solignac"Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif...
... et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
J'ai également expérimenté tous les bricolages possible... En 1944
j'essayais déjà de faire de la macro avec un box Zeiss 3 x 4 cm et une
loupe... Je ne te dis pas le résultat, mais j'avais 16 ans et pas le
moindre
maravédis...
J'ai même encore parfois sur mon 5D une bague EF/42 à vis, un vieux
soufflet
qui s'étire beaucoup et le Zeiss Biotar 2 conservé de mon Pentacon de
1956,
mon premier reflex mono-objectif interchangeable. Comme le Biotar à une
bague de présélection du diaphragme, c'est relativement pratique malgré
l'absence d'automatismes. je le ressors si j'ai besoin de rapports très
importants.
Parmis les fort doctes réponses ou commentaires, une chose me frappe :
beaucoup raisonnent comme si la macro ne devait s'exercer que sur des
sujets
statiques. Or la macrophoto d'insectes constitue souvent la porte
d'entrée
la plus attractive en ce domaine. Et sauf cas d'espèce (escargots,
chrysalides, insectes suceurs collés sur les feuilles etc) ces bestioles
sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg
En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrèmement aléatoires, voire
impossibles.
Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi
avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de
nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.
Un autre facteur intervient : la quantité de photos dans un espace de
temps
donné. On peut consacrer beaucoup de temps à la préparation et aux
réglages
si l'on fait une macrophoto statique de temps en temps.
Cette année, j'ai dépassé les 100000 photos d'insectes. J'en ai conservé
2000 et déja sélectionné une bonne centaine pour un nouveau bouquin. Le
rendement est extraordinairement faible !
Mais cela s'explique par la gratuité de l'image numérique, la nécessité de
n'avoir que des images techniquement satisfaisantes et le fait que pour un
même sujet, il est important de disposer d'un grand choix. L'insecte n'est
pas un objet et le cadre, son éclairage, sa position, son attitude
peuvent,
de la même bestiole, faire une image insignifiante ou exceptionnelle.
Simple amateur, je fais beaucoup de photos et c'est une façon de procéder.
--
Jacques DASSIÉ
Ils sont là, nos petits amis, discrets, secrets et fugaces... :
http://archaero.com/Insectes-jardin.htm
Le Fri, 12 Dec 2008 20:24:14 +0100, "Georges Solignac"
Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif...
... et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
J'ai également expérimenté tous les bricolages possible... En 1944
j'essayais déjà de faire de la macro avec un box Zeiss 3 x 4 cm et une
loupe... Je ne te dis pas le résultat, mais j'avais 16 ans et pas le
moindre
maravédis...
J'ai même encore parfois sur mon 5D une bague EF/42 à vis, un vieux
soufflet
qui s'étire beaucoup et le Zeiss Biotar 2 conservé de mon Pentacon de
1956,
mon premier reflex mono-objectif interchangeable. Comme le Biotar à une
bague de présélection du diaphragme, c'est relativement pratique malgré
l'absence d'automatismes. je le ressors si j'ai besoin de rapports très
importants.
Parmis les fort doctes réponses ou commentaires, une chose me frappe :
beaucoup raisonnent comme si la macro ne devait s'exercer que sur des
sujets
statiques. Or la macrophoto d'insectes constitue souvent la porte
d'entrée
la plus attractive en ce domaine. Et sauf cas d'espèce (escargots,
chrysalides, insectes suceurs collés sur les feuilles etc) ces bestioles
sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg
En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrèmement aléatoires, voire
impossibles.
Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi
avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de
nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.
Un autre facteur intervient : la quantité de photos dans un espace de
temps
donné. On peut consacrer beaucoup de temps à la préparation et aux
réglages
si l'on fait une macrophoto statique de temps en temps.
Cette année, j'ai dépassé les 100000 photos d'insectes. J'en ai conservé
2000 et déja sélectionné une bonne centaine pour un nouveau bouquin. Le
rendement est extraordinairement faible !
Mais cela s'explique par la gratuité de l'image numérique, la nécessité de
n'avoir que des images techniquement satisfaisantes et le fait que pour un
même sujet, il est important de disposer d'un grand choix. L'insecte n'est
pas un objet et le cadre, son éclairage, sa position, son attitude
peuvent,
de la même bestiole, faire une image insignifiante ou exceptionnelle.
Simple amateur, je fais beaucoup de photos et c'est une façon de procéder.
--
Jacques DASSIÉ
Ils sont là, nos petits amis, discrets, secrets et fugaces... :
http://archaero.com/Insectes-jardin.htm
Le Fri, 12 Dec 2008 20:24:14 +0100, "Georges Solignac"Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif...
... et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
J'ai également expérimenté tous les bricolages possible... En 1944
j'essayais déjà de faire de la macro avec un box Zeiss 3 x 4 cm et une
loupe... Je ne te dis pas le résultat, mais j'avais 16 ans et pas le
moindre
maravédis...
J'ai même encore parfois sur mon 5D une bague EF/42 à vis, un vieux
soufflet
qui s'étire beaucoup et le Zeiss Biotar 2 conservé de mon Pentacon de
1956,
mon premier reflex mono-objectif interchangeable. Comme le Biotar à une
bague de présélection du diaphragme, c'est relativement pratique malgré
l'absence d'automatismes. je le ressors si j'ai besoin de rapports très
importants.
Parmis les fort doctes réponses ou commentaires, une chose me frappe :
beaucoup raisonnent comme si la macro ne devait s'exercer que sur des
sujets
statiques. Or la macrophoto d'insectes constitue souvent la porte
d'entrée
la plus attractive en ce domaine. Et sauf cas d'espèce (escargots,
chrysalides, insectes suceurs collés sur les feuilles etc) ces bestioles
sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg
En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrèmement aléatoires, voire
impossibles.
Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi
avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de
nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.
Un autre facteur intervient : la quantité de photos dans un espace de
temps
donné. On peut consacrer beaucoup de temps à la préparation et aux
réglages
si l'on fait une macrophoto statique de temps en temps.
Cette année, j'ai dépassé les 100000 photos d'insectes. J'en ai conservé
2000 et déja sélectionné une bonne centaine pour un nouveau bouquin. Le
rendement est extraordinairement faible !
Mais cela s'explique par la gratuité de l'image numérique, la nécessité de
n'avoir que des images techniquement satisfaisantes et le fait que pour un
même sujet, il est important de disposer d'un grand choix. L'insecte n'est
pas un objet et le cadre, son éclairage, sa position, son attitude
peuvent,
de la même bestiole, faire une image insignifiante ou exceptionnelle.
Simple amateur, je fais beaucoup de photos et c'est une façon de procéder.
--
Jacques DASSIÉ
Ils sont là, nos petits amis, discrets, secrets et fugaces... :
http://archaero.com/Insectes-jardin.htm
Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg
Merci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques magnifiques.
petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile d'avancer
ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point...
ou de laisser l'autofocus,
et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.
Jacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .
Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg
Merci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques magnifiques.
petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile d'avancer
ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point...
ou de laisser l'autofocus,
et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.
Jacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .
Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg
Merci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques magnifiques.
petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile d'avancer
ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point...
ou de laisser l'autofocus,
et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.
Jacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .
ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance.
ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance.
ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance.
Le Sat, 13 Dec 2008 09:31:38 +0100, "D Gadenne"
écrit:Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpgMerci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques
magnifiques.
Et merci de tes appréciations.petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile
d'avancer ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point...
Bien entendu !ou de laisser l'autofocus,
Là, je suis moins d'accord, beaucoup d'images de mes galeries auraient été
tout simplement impossibles à réaliser sans nos autofocus modernes.
La photographie des insectes en vol, en particulier. En plein soleil, on
ne voit pas grand chose dans le viseur... On vise au jugé, l'appareil à
bout de bras... et l'autofocus (et le Dieu des photographes, le pot ou la
baraka) font le reste !et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.
avec la différence que pour mes milliers de macros d'insectes, je ne me
suis jamais servi d'un pied, dans mon jardin ! Si, pourtant, une fois...
Mais c'était pour photographier l'équipement macro... Comme il ne pouvait
tenir en l'air tout seul, j'ai sorti le gros Gitzo !
http://www.cijoint.fr/cj200812/cij8ocfSoP.jpgJacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .
Et c'est bien la meilleure façon... La photographie, pour nous, est un
divertissement merveilleux, puisque nous n'avons aucune obligation d'en
faire !
Le Sat, 13 Dec 2008 09:31:38 +0100, "D Gadenne" <denis.gadenne@free.fr>
écrit:
Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpg
Merci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques
magnifiques.
Et merci de tes appréciations.
petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile
d'avancer ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point...
Bien entendu !
ou de laisser l'autofocus,
Là, je suis moins d'accord, beaucoup d'images de mes galeries auraient été
tout simplement impossibles à réaliser sans nos autofocus modernes.
La photographie des insectes en vol, en particulier. En plein soleil, on
ne voit pas grand chose dans le viseur... On vise au jugé, l'appareil à
bout de bras... et l'autofocus (et le Dieu des photographes, le pot ou la
baraka) font le reste !
et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.
avec la différence que pour mes milliers de macros d'insectes, je ne me
suis jamais servi d'un pied, dans mon jardin ! Si, pourtant, une fois...
Mais c'était pour photographier l'équipement macro... Comme il ne pouvait
tenir en l'air tout seul, j'ai sorti le gros Gitzo !
http://www.cijoint.fr/cj200812/cij8ocfSoP.jpg
Jacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .
Et c'est bien la meilleure façon... La photographie, pour nous, est un
divertissement merveilleux, puisque nous n'avons aucune obligation d'en
faire !
Le Sat, 13 Dec 2008 09:31:38 +0100, "D Gadenne"
écrit:Illustration, ailes floues, ailes nettes :
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijmiTiVq1.jpg
http://www.cijoint.fr/cj200812/cijhg5rNNC.jpgMerci Jacques pour ses explications avec tes travaux pratiques
magnifiques.
Et merci de tes appréciations.petite astuce pour la mise au point cela c'est souvent plus facile
d'avancer ou reculer l'appareil que de tourner la mise au point...
Bien entendu !ou de laisser l'autofocus,
Là, je suis moins d'accord, beaucoup d'images de mes galeries auraient été
tout simplement impossibles à réaliser sans nos autofocus modernes.
La photographie des insectes en vol, en particulier. En plein soleil, on
ne voit pas grand chose dans le viseur... On vise au jugé, l'appareil à
bout de bras... et l'autofocus (et le Dieu des photographes, le pot ou la
baraka) font le reste !et il existe un accessoire qui permet de glisser rapidement
l'appareil quand on est sur pied, les bons soufflets en sont généralement
munis.
avec la différence que pour mes milliers de macros d'insectes, je ne me
suis jamais servi d'un pied, dans mon jardin ! Si, pourtant, une fois...
Mais c'était pour photographier l'équipement macro... Comme il ne pouvait
tenir en l'air tout seul, j'ai sorti le gros Gitzo !
http://www.cijoint.fr/cj200812/cij8ocfSoP.jpgJacques si je me trompe pardonne-moi je fais de la macro en touriste .
Et c'est bien la meilleure façon... La photographie, pour nous, est un
divertissement merveilleux, puisque nous n'avons aucune obligation d'en
faire !
Jacques Dassié a écrit
( news: )ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
À moins de se coller dessus les bébêtes vivent leur vie sans se
préoccuper de grand chose. Et pour moi la photographie d'abeille ou
d'araignée offre aussi peu de difficultés que la photo de plante, c'est
dire.
Une fois encore, cadrer un insecte au vol stationnaire et le figer d'un coup
de flash, je ne vois pas l'exploit.
Jacques Dassié a écrit
( news:frh6k4hbvneet40c415sukdb0fbbqd85ck@4ax.com )
ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
À moins de se coller dessus les bébêtes vivent leur vie sans se
préoccuper de grand chose. Et pour moi la photographie d'abeille ou
d'araignée offre aussi peu de difficultés que la photo de plante, c'est
dire.
Une fois encore, cadrer un insecte au vol stationnaire et le figer d'un coup
de flash, je ne vois pas l'exploit.
Jacques Dassié a écrit
( news: )ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
À moins de se coller dessus les bébêtes vivent leur vie sans se
préoccuper de grand chose. Et pour moi la photographie d'abeille ou
d'araignée offre aussi peu de difficultés que la photo de plante, c'est
dire.
Une fois encore, cadrer un insecte au vol stationnaire et le figer d'un coup
de flash, je ne vois pas l'exploit.
Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif.
Maintenant j'utilise des bagues de type P qui ont un applat plus large et
permettent de sécuriser le système par des vis-écrous (faire les percages
près du bord extérieur pour que les vis ne gènent pas le vissage sur
l'objectif).
De plus, si on standardise le perçage, on peut facilement démonter les
bagues et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif.
Maintenant j'utilise des bagues de type P qui ont un applat plus large et
permettent de sécuriser le système par des vis-écrous (faire les percages
près du bord extérieur pour que les vis ne gènent pas le vissage sur
l'objectif).
De plus, si on standardise le perçage, on peut facilement démonter les
bagues et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
Au début je collai deux bagues de type A, mais avec le poids des objectifs
il m'est arrivé qu'elles se décollent, toujours au mauvais moment et très
dangereusement pour l'objectif.
Maintenant j'utilise des bagues de type P qui ont un applat plus large et
permettent de sécuriser le système par des vis-écrous (faire les percages
près du bord extérieur pour que les vis ne gènent pas le vissage sur
l'objectif).
De plus, si on standardise le perçage, on peut facilement démonter les
bagues et se faire un nouvel adaptateur en gardant une des bagues,
intéressant quand on a plusieurs objectifs de filetage différent.
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes:
En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrêmement aléatoires, voire
impossibles.
Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes:
En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrêmement aléatoires, voire
impossibles.
Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.
Avoir les ailes nettes d'un morosphinx en vol (il ne se pose jamais en
butinant :), avec 160 battement d'ailes par seconde, relève de l'exploit
assorti de beaucoup de chance. Illustration, ailes floues, ailes nettes:
En corollaire, tout complément optique ne conservant pas les automatismes
des appareils modernes rendent ces macros extrêmement aléatoires, voire
impossibles.
Un exemple, quand Sylvain SF écrit :
"la prise de vue macro imposera donc une construction où l'on a choisi avec
soin son plan de netteté ou imposera une reconstruction par assemblage de
plusieurs plans nets.",
ses propos sont exacts mais ne s'appliquent absolument pas aux sujets de nos
chasses. Nous apprécierions de voir quelques images de lui.
Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown" écrit:Jacques Dassié a écritces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
Ah, que c'est fâcheux...
Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr> écrit:
Jacques Dassié a écrit
ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
Ah, que c'est fâcheux...
Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown" écrit:Jacques Dassié a écritces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
Ah, que c'est fâcheux...
Jacques Dassié a écrit :Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown"
écrit:Jacques Dassié a écritces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
Ah, que c'est fâcheux...
Après les avoir bien observées, j'ai cru remarquer que certaines étaient
très agitées, d'autres peu mobiles, (c'est étonnant, je sais, mais j'ai
vérifié) et j'ai remarqué aussi que plus elles bougeaient, plus elles
étaient difficiles à photographier ! Eh oui ! C'est comme ça !
Dans l'ordre, ma propre classification, du plus facile au plus difficile:
- les mouches mortes
- les araignées vivantes,
- les chenilles
- les insectes butineurs posés sur une fleur
- les papillons
- les insectes en vol à la recherche de fleurs à butiner
Et voici mes propres réalisations, bien indignes de celles de Jacques
Dassié mais j'insiste quand même pour qu'on les admire :
- une araignée vivante:
http://cjoint.com/data/mnsZpvM32j.htm
Je saurais gré à Jacques Dassié d'identifier cette rare épeire qui porte
sur son dos l'image d'un dieu indien (Vishnou, je crois) sans doute pour
effrayer les prédateurs (lieu et temps de la photo: région parisienne,
fin juillet)
- une abeille butinant:
http://cjoint.com/data/mns2H2C6sS_Guepabeille.jpg
Très belle photo, je dois dire, toute en nuances, je me tire mon chapeau.
- une abeille en vol:
http://cjoint.com/data/mns4PzfGHi_Abeille_en_vol.jpg
et sans flash, exploit photographique s'il en fut, hélas sans témoin et
jamais renouvelé, ce qui laisse planer un doute sur la réalité de
l'exploit.
Jacques Dassié a écrit :
Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown" <bour-brown@wnd.fr>
écrit:
Jacques Dassié a écrit
ces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
Ah, que c'est fâcheux...
Après les avoir bien observées, j'ai cru remarquer que certaines étaient
très agitées, d'autres peu mobiles, (c'est étonnant, je sais, mais j'ai
vérifié) et j'ai remarqué aussi que plus elles bougeaient, plus elles
étaient difficiles à photographier ! Eh oui ! C'est comme ça !
Dans l'ordre, ma propre classification, du plus facile au plus difficile:
- les mouches mortes
- les araignées vivantes,
- les chenilles
- les insectes butineurs posés sur une fleur
- les papillons
- les insectes en vol à la recherche de fleurs à butiner
Et voici mes propres réalisations, bien indignes de celles de Jacques
Dassié mais j'insiste quand même pour qu'on les admire :
- une araignée vivante:
http://cjoint.com/data/mnsZpvM32j.htm
Je saurais gré à Jacques Dassié d'identifier cette rare épeire qui porte
sur son dos l'image d'un dieu indien (Vishnou, je crois) sans doute pour
effrayer les prédateurs (lieu et temps de la photo: région parisienne,
fin juillet)
- une abeille butinant:
http://cjoint.com/data/mns2H2C6sS_Guepabeille.jpg
Très belle photo, je dois dire, toute en nuances, je me tire mon chapeau.
- une abeille en vol:
http://cjoint.com/data/mns4PzfGHi_Abeille_en_vol.jpg
et sans flash, exploit photographique s'il en fut, hélas sans témoin et
jamais renouvelé, ce qui laisse planer un doute sur la réalité de
l'exploit.
Jacques Dassié a écrit :Le Sat, 13 Dec 2008 10:55:06 +0100, "Bour-Brown"
écrit:Jacques Dassié a écritces bestioles sont peureuses, vives, insaisisables et volatiles...
Ce n'est pas mon sentiment.
Ah, que c'est fâcheux...
Après les avoir bien observées, j'ai cru remarquer que certaines étaient
très agitées, d'autres peu mobiles, (c'est étonnant, je sais, mais j'ai
vérifié) et j'ai remarqué aussi que plus elles bougeaient, plus elles
étaient difficiles à photographier ! Eh oui ! C'est comme ça !
Dans l'ordre, ma propre classification, du plus facile au plus difficile:
- les mouches mortes
- les araignées vivantes,
- les chenilles
- les insectes butineurs posés sur une fleur
- les papillons
- les insectes en vol à la recherche de fleurs à butiner
Et voici mes propres réalisations, bien indignes de celles de Jacques
Dassié mais j'insiste quand même pour qu'on les admire :
- une araignée vivante:
http://cjoint.com/data/mnsZpvM32j.htm
Je saurais gré à Jacques Dassié d'identifier cette rare épeire qui porte
sur son dos l'image d'un dieu indien (Vishnou, je crois) sans doute pour
effrayer les prédateurs (lieu et temps de la photo: région parisienne,
fin juillet)
- une abeille butinant:
http://cjoint.com/data/mns2H2C6sS_Guepabeille.jpg
Très belle photo, je dois dire, toute en nuances, je me tire mon chapeau.
- une abeille en vol:
http://cjoint.com/data/mns4PzfGHi_Abeille_en_vol.jpg
et sans flash, exploit photographique s'il en fut, hélas sans témoin et
jamais renouvelé, ce qui laisse planer un doute sur la réalité de
l'exploit.