Mais là il ne s'agit pas d'informations confidentielles, j'aurais très
bien pu écouter la radio 24/24 et mettre sur mon site tous les morceaux
qui passent, alors ça change quoi que ce soit un script qui récupère
ces informations qui sont dans un fichier sur leur site ?
Mais là il ne s'agit pas d'informations confidentielles, j'aurais très
bien pu écouter la radio 24/24 et mettre sur mon site tous les morceaux
qui passent, alors ça change quoi que ce soit un script qui récupère
ces informations qui sont dans un fichier sur leur site ?
Mais là il ne s'agit pas d'informations confidentielles, j'aurais très
bien pu écouter la radio 24/24 et mettre sur mon site tous les morceaux
qui passent, alors ça change quoi que ce soit un script qui récupère
ces informations qui sont dans un fichier sur leur site ?
On Tue, 21 Oct 2003 21:07:49 +0200, Olivier ROUX
wrote:
> le copyright n'existe pas en france (c'est une notion americaine)
La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
aux Etats-Unis.
On Tue, 21 Oct 2003 21:07:49 +0200, Olivier ROUX <rouxo@netultra.net>
wrote:
> le copyright n'existe pas en france (c'est une notion americaine)
La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
aux Etats-Unis.
On Tue, 21 Oct 2003 21:07:49 +0200, Olivier ROUX
wrote:
> le copyright n'existe pas en france (c'est une notion americaine)
La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
aux Etats-Unis.
> > le copyright n'existe pas en france (c'est une notion americaine)
>
> La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
> signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
> automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
> aux Etats-Unis.
c'est faux du fait du double sens du copyright aux USA.
> > le copyright n'existe pas en france (c'est une notion americaine)
>
> La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
> signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
> automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
> aux Etats-Unis.
c'est faux du fait du double sens du copyright aux USA.
> > le copyright n'existe pas en france (c'est une notion americaine)
>
> La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
> signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
> automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
> aux Etats-Unis.
c'est faux du fait du double sens du copyright aux USA.
> Dans le message de news:bn3o8v$e49$,
Christophe CLEMENT s'exclama :
Bonjour,
Je vous explique mon problème...
Tout à l'heure un type travaillant pour le compte d'une radio m'a
téléphoné et m'a demandé explicitement de fermer la partie de mon site
qui traitait de cette radio.
Je pense que leur demande est un peu abusive au vu du contenu
des-dites pages, c'est à dire :
- leur logo (a-t-on le droit de mettre le logo d'une radio sur sa page
web ?)
- leur playlist en temps réel (la liste des 100 derniers morceaux
qu'ils ont passés sur leur radio avec la date, l'heure, l'artiste, le
nom du titre, ...)
- un lien vers un site qui fait une pétition contre la radio (ils ont
cru que le site qui était pointé était le mien, d'ailleurs je pense
que c'est pour celà qu'ils m'ont téléphonés... mais moi je n'ai rien
à voir avec la pétition, à part que je l'ai signé ! Pas la peine de
me dire que j'ai le droit de signer une pétition, je le sais déjà).
Que puis-je laisser, que puis-je enlever ??
Pour l'instant j'ai tout viré dans le doute, là je me renseigne avant
de remettre éventuellement les pages.
> Dans le message de news:bn3o8v$e49$1@news-reader5.wanadoo.fr,
Christophe CLEMENT <chris_NOSPAM@PLEASE.75018.org> s'exclama :
Bonjour,
Je vous explique mon problème...
Tout à l'heure un type travaillant pour le compte d'une radio m'a
téléphoné et m'a demandé explicitement de fermer la partie de mon site
qui traitait de cette radio.
Je pense que leur demande est un peu abusive au vu du contenu
des-dites pages, c'est à dire :
- leur logo (a-t-on le droit de mettre le logo d'une radio sur sa page
web ?)
- leur playlist en temps réel (la liste des 100 derniers morceaux
qu'ils ont passés sur leur radio avec la date, l'heure, l'artiste, le
nom du titre, ...)
- un lien vers un site qui fait une pétition contre la radio (ils ont
cru que le site qui était pointé était le mien, d'ailleurs je pense
que c'est pour celà qu'ils m'ont téléphonés... mais moi je n'ai rien
à voir avec la pétition, à part que je l'ai signé ! Pas la peine de
me dire que j'ai le droit de signer une pétition, je le sais déjà).
Que puis-je laisser, que puis-je enlever ??
Pour l'instant j'ai tout viré dans le doute, là je me renseigne avant
de remettre éventuellement les pages.
> Dans le message de news:bn3o8v$e49$,
Christophe CLEMENT s'exclama :
Bonjour,
Je vous explique mon problème...
Tout à l'heure un type travaillant pour le compte d'une radio m'a
téléphoné et m'a demandé explicitement de fermer la partie de mon site
qui traitait de cette radio.
Je pense que leur demande est un peu abusive au vu du contenu
des-dites pages, c'est à dire :
- leur logo (a-t-on le droit de mettre le logo d'une radio sur sa page
web ?)
- leur playlist en temps réel (la liste des 100 derniers morceaux
qu'ils ont passés sur leur radio avec la date, l'heure, l'artiste, le
nom du titre, ...)
- un lien vers un site qui fait une pétition contre la radio (ils ont
cru que le site qui était pointé était le mien, d'ailleurs je pense
que c'est pour celà qu'ils m'ont téléphonés... mais moi je n'ai rien
à voir avec la pétition, à part que je l'ai signé ! Pas la peine de
me dire que j'ai le droit de signer une pétition, je le sais déjà).
Que puis-je laisser, que puis-je enlever ??
Pour l'instant j'ai tout viré dans le doute, là je me renseigne avant
de remettre éventuellement les pages.
Benoit Rivet wrote:
> Ca ne les a pas empêché d'être condamné pour ce motif : avoir reproduit
> de façon substantielle les éléments de la base de donnée de cadremploi.
Mouais.
Extraire des informations du web pour les restituer sous une forme plus
adaptée à un besoin, c'est exactement ce vers quoi se dirigent XML et le
web sémantique : s'abstraire de la présentation pour pouvoir réutiliser
les données.
Dans le cas des PA, on comprends qu'il y a préjudice à celui qui s'est
donné la peine de les collecter. Un programme de radio réalisé, faut pas
pousser. Que dire alors des moteurs de comparaison de prix? Ou de ceci:
http://www.pescadoo.net/eau/index.html
dispose que "le producteur d'une base de données, entendu comme la
personne qui prend l'initiative et le risque des investissements
correspondants, bénéficie d'une protection du contenu de sa base lorsque
la constitution, la vérification ou la présentation de celui-ci atteste
d'un investissement financier, matériel ou humain substantiel" ;
Benoit Rivet <benoit.rivet@libre.fr.invalid> wrote:
> Ca ne les a pas empêché d'être condamné pour ce motif : avoir reproduit
> de façon substantielle les éléments de la base de donnée de cadremploi.
Mouais.
Extraire des informations du web pour les restituer sous une forme plus
adaptée à un besoin, c'est exactement ce vers quoi se dirigent XML et le
web sémantique : s'abstraire de la présentation pour pouvoir réutiliser
les données.
Dans le cas des PA, on comprends qu'il y a préjudice à celui qui s'est
donné la peine de les collecter. Un programme de radio réalisé, faut pas
pousser. Que dire alors des moteurs de comparaison de prix? Ou de ceci:
http://www.pescadoo.net/eau/index.html
dispose que "le producteur d'une base de données, entendu comme la
personne qui prend l'initiative et le risque des investissements
correspondants, bénéficie d'une protection du contenu de sa base lorsque
la constitution, la vérification ou la présentation de celui-ci atteste
d'un investissement financier, matériel ou humain substantiel" ;
Benoit Rivet wrote:
> Ca ne les a pas empêché d'être condamné pour ce motif : avoir reproduit
> de façon substantielle les éléments de la base de donnée de cadremploi.
Mouais.
Extraire des informations du web pour les restituer sous une forme plus
adaptée à un besoin, c'est exactement ce vers quoi se dirigent XML et le
web sémantique : s'abstraire de la présentation pour pouvoir réutiliser
les données.
Dans le cas des PA, on comprends qu'il y a préjudice à celui qui s'est
donné la peine de les collecter. Un programme de radio réalisé, faut pas
pousser. Que dire alors des moteurs de comparaison de prix? Ou de ceci:
http://www.pescadoo.net/eau/index.html
dispose que "le producteur d'une base de données, entendu comme la
personne qui prend l'initiative et le risque des investissements
correspondants, bénéficie d'une protection du contenu de sa base lorsque
la constitution, la vérification ou la présentation de celui-ci atteste
d'un investissement financier, matériel ou humain substantiel" ;
> Dans le message de news:3f957dc7$0$13283$,
djehuti s'exclama :- leur playlist en temps réel (la liste des 100 derniers morceaux
qu'ils ont passés sur leur radio avec la date, l'heure, l'artiste,
le nom du titre, ...)
je ne vois pas ce qu'il y a à redire à cela.
que la playlist est pompée directement sur le site de la radio en
question (et visiblement sans leur autorisation)
une autre raison suffisante ?
> Dans le message de news:3f957dc7$0$13283$626a54ce@news.free.fr,
djehuti <djehuti55@aol.com> s'exclama :
- leur playlist en temps réel (la liste des 100 derniers morceaux
qu'ils ont passés sur leur radio avec la date, l'heure, l'artiste,
le nom du titre, ...)
je ne vois pas ce qu'il y a à redire à cela.
que la playlist est pompée directement sur le site de la radio en
question (et visiblement sans leur autorisation)
une autre raison suffisante ?
> Dans le message de news:3f957dc7$0$13283$,
djehuti s'exclama :- leur playlist en temps réel (la liste des 100 derniers morceaux
qu'ils ont passés sur leur radio avec la date, l'heure, l'artiste,
le nom du titre, ...)
je ne vois pas ce qu'il y a à redire à cela.
que la playlist est pompée directement sur le site de la radio en
question (et visiblement sans leur autorisation)
une autre raison suffisante ?
C'est MAL. La jurisprudence est formelle : cf Keljob qui a été condamné
pour avoir pioché dans la base de données de Cadremploi.
Mais là il ne s'agit pas d'informations confidentielles,
Les données extraites par Keljob n'étaient pas non plus confidentielles,
puisque n'importe qui pouvait également les retrouver sur le site de
Cadremploi.
Keljob faisait office de moteur de recherche d'offres d'emploi, en
scrutant les sites proposant ces services et en proposant aux
internautes les offres adaptées à leur profil (défini dans les critères
de recherche entrés par leurs clients).
C'est MAL. La jurisprudence est formelle : cf Keljob qui a été condamné
pour avoir pioché dans la base de données de Cadremploi.
Mais là il ne s'agit pas d'informations confidentielles,
Les données extraites par Keljob n'étaient pas non plus confidentielles,
puisque n'importe qui pouvait également les retrouver sur le site de
Cadremploi.
Keljob faisait office de moteur de recherche d'offres d'emploi, en
scrutant les sites proposant ces services et en proposant aux
internautes les offres adaptées à leur profil (défini dans les critères
de recherche entrés par leurs clients).
C'est MAL. La jurisprudence est formelle : cf Keljob qui a été condamné
pour avoir pioché dans la base de données de Cadremploi.
Mais là il ne s'agit pas d'informations confidentielles,
Les données extraites par Keljob n'étaient pas non plus confidentielles,
puisque n'importe qui pouvait également les retrouver sur le site de
Cadremploi.
Keljob faisait office de moteur de recherche d'offres d'emploi, en
scrutant les sites proposant ces services et en proposant aux
internautes les offres adaptées à leur profil (défini dans les critères
de recherche entrés par leurs clients).
La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
aux Etats-Unis.
c'est faux du fait du double sens du copyright aux USA.
La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
aux Etats-Unis.
c'est faux du fait du double sens du copyright aux USA.
La protection des droits d'auteur (ou copyright) existe dans tous les pays
signataires de la convention de Berne, y compris la France. Mais elle est
automatique, et la mention du copyright n'est pas nécessaire, ni ici, ni
aux Etats-Unis.
c'est faux du fait du double sens du copyright aux USA.
Dans le cas exposé par Christophe, il semble manifeste que la mise à
disposition de la programmation peut tomber sous le coup de l'article L.
342-2 du code de la propriété intellectuelle (extraction ou
réutilisation répétée et systématique de parties qualitativement ou
quantitativement non substantielles du contenu de la base de données).
Dans le cas exposé par Christophe, il semble manifeste que la mise à
disposition de la programmation peut tomber sous le coup de l'article L.
342-2 du code de la propriété intellectuelle (extraction ou
réutilisation répétée et systématique de parties qualitativement ou
quantitativement non substantielles du contenu de la base de données).
Dans le cas exposé par Christophe, il semble manifeste que la mise à
disposition de la programmation peut tomber sous le coup de l'article L.
342-2 du code de la propriété intellectuelle (extraction ou
réutilisation répétée et systématique de parties qualitativement ou
quantitativement non substantielles du contenu de la base de données).
Bref, si le producteur de la base de donnée peut justifier d'un
investissement substantiel, les données sont protégées contre une
extraction et une réutilisation qualitativement ou quantitativement
substantielle.
Dans le cas exposé par Christophe, il semble manifeste que la mise à
disposition de la programmation peut tomber sous le coup de l'article L.
342-2 du code de la propriété intellectuelle (extraction ou
réutilisation répétée et systématique de parties qualitativement ou
quantitativement non substantielles du contenu de la base de données).
Pour un moteur de comparaison de prix, on doit certainement pouvoir
plaider la violation de l'article L. 342-2... mais j'imagine que, suite
à la jurisprudence Keljob/Cadremploi, les moteurs de comparaison de prix
ont pris soin de prendre des accords avec les sites qu'ils scrutent.
Bref, si le producteur de la base de donnée peut justifier d'un
investissement substantiel, les données sont protégées contre une
extraction et une réutilisation qualitativement ou quantitativement
substantielle.
Dans le cas exposé par Christophe, il semble manifeste que la mise à
disposition de la programmation peut tomber sous le coup de l'article L.
342-2 du code de la propriété intellectuelle (extraction ou
réutilisation répétée et systématique de parties qualitativement ou
quantitativement non substantielles du contenu de la base de données).
Pour un moteur de comparaison de prix, on doit certainement pouvoir
plaider la violation de l'article L. 342-2... mais j'imagine que, suite
à la jurisprudence Keljob/Cadremploi, les moteurs de comparaison de prix
ont pris soin de prendre des accords avec les sites qu'ils scrutent.
Bref, si le producteur de la base de donnée peut justifier d'un
investissement substantiel, les données sont protégées contre une
extraction et une réutilisation qualitativement ou quantitativement
substantielle.
Dans le cas exposé par Christophe, il semble manifeste que la mise à
disposition de la programmation peut tomber sous le coup de l'article L.
342-2 du code de la propriété intellectuelle (extraction ou
réutilisation répétée et systématique de parties qualitativement ou
quantitativement non substantielles du contenu de la base de données).
Pour un moteur de comparaison de prix, on doit certainement pouvoir
plaider la violation de l'article L. 342-2... mais j'imagine que, suite
à la jurisprudence Keljob/Cadremploi, les moteurs de comparaison de prix
ont pris soin de prendre des accords avec les sites qu'ils scrutent.