Ça y est, j'ai pris un peu de temps pour faire un pano avec du focus
stacking.
Brut de fonderie hors limite de la taille à 15 Mo sur cjoint :
<https://www.cjoint.com/doc/19_02/IBitzernlGv_Untitled-Panorama1.jpg>
Procédure :
- Une règle à côté du sujet pour que les différents logiciels aient un
repère, surtout le panneau quand il n'y a qu'un morceau de queue comme
repère.
- Un stacking par zone puis un pano avec les zones. Toute tentative dans
l'autre sens (pano puis stacking de pano) a raté pour une raison simple,
dans un cas le cadrage ne change pas, la distance de mise au point seule
évolue. Dans l'autre, le cadrage change, mais la zone de mise au point
ne semble pas faite de façon assez fiable. En tout cas : « If it works,
dont fix it! »
Trois outils testés :
- HeliconFocus pour le stacking (toute tentative avec un autre logiciel
a été infructueuse) ;
- Pour le pano : Hugin (le plus mauvais cette fois-ci, inutilisable),
Autopano (guère mieux), Photoshop plutôt bon et enfin Lightroom le
meilleur cette fois-ci.
Un gros problème : avec tous ces calculs sur les images, le jpeg choisi
pour aller plus vite sur l'apprentissage est une catastrophe. Des zones
colorées qui apparaissent et, l'air de rien, faire du stacking avec du
pas très net n'est pas top :
<https://www.cjoint.com/doc/19_02/IBitPjYN2jv_Capture-d'écran-2019-02-08-à-20.06.22.jpg>
Il faut avouer qu'il y a eu pas mal de calculs effectués avec les
données et plus on est précis au départ : « bin, comment dire, plus il y
a de chance que ce soit propre à l'arrivée. »
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Et le pire c'est que je pense que ton ami Pierrot a la bonne réponse juste un peu plus bas...
batman vs superman... le choc des titans :-)
benoit
Benoit wrote:
Alf92 wrote:
Pierre Maurette : > Alf92 : >> efji : >>> On 11/02/2019 00:26, Benoit wrote: >>>> (..) >>> >>> C'est bien, tu (re)découvres toutes les bases de la technique photo :) >>> Donc, quand tu fermes beaucoup le diaphragme, tu obtiens plus de >>> profondeur de champ et moins de définition à cause de la diffraction. En >>> plus tu as la prime du numérique : les poussières sur le capteur qui >>> deviennent visibles. >> >> pour quelle raison les poussières sur le capteur sont plus visibles à >> faible ouverture ? si elles sont *sur* le capteurs l'ouverture ne >> devraient pas avoir d'importance, non ? > > Je me suis bien sûr posé la même question. La réponse est justement > dans la distance entre la surface devant le capteur et le capteur > lui-même. Cette distance est assez grande. Elle est constituée d'au > moins une lame d'air et une lame de verre. > Les rayons qui atteignent un point du capteur décrivent un cône. A la > limite, le rayon est "unique" (c'est une image) dans le cas d'une toute > petite ouverture, la pétouille est dessinée exactement. Quand le cône > grandit (ouverture du diaph) la pétouille devient logiquement de plus > en plus floue. Jusque disparaître. ça semble logique merci
Sauf que sur mon Sony il n'y a pas de lame de verre et c'est pareil.
Et puis je viens de comprendre, tout du moins je le crois, cette histoire de « lame d'air ». Enfin bon... J'ai dit « je crois » pas je prie. (Revu et corrigé des « Brèves de Comptoir » C'est du pur Leraillez et sa foutue mémoire. L'gars Benoît, à nouveau, il vous prie de le croire.) Et Hop ! -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com
Benoit <benoit@com.invalid> wrote:
Alf92 <alf921@gmail.com> wrote:
> Pierre Maurette :
> > Alf92 :
> >> efji :
> >>> On 11/02/2019 00:26, Benoit wrote:
>
> >>>> (..)
> >>>
> >>> C'est bien, tu (re)découvres toutes les bases de la technique photo :)
> >>> Donc, quand tu fermes beaucoup le diaphragme, tu obtiens plus de
> >>> profondeur de champ et moins de définition à cause de la diffraction. En
> >>> plus tu as la prime du numérique : les poussières sur le capteur qui
> >>> deviennent visibles.
> >>
> >> pour quelle raison les poussières sur le capteur sont plus visibles à
> >> faible ouverture ? si elles sont *sur* le capteurs l'ouverture ne
> >> devraient pas avoir d'importance, non ?
> >
> > Je me suis bien sûr posé la même question. La réponse est justement
> > dans la distance entre la surface devant le capteur et le capteur
> > lui-même. Cette distance est assez grande. Elle est constituée d'au
> > moins une lame d'air et une lame de verre.
> > Les rayons qui atteignent un point du capteur décrivent un cône. A la
> > limite, le rayon est "unique" (c'est une image) dans le cas d'une toute
> > petite ouverture, la pétouille est dessinée exactement. Quand le cône
> > grandit (ouverture du diaph) la pétouille devient logiquement de plus
> > en plus floue. Jusque disparaître.
>
> ça semble logique
> merci
Sauf que sur mon Sony il n'y a pas de lame de verre et c'est pareil.
Et puis je viens de comprendre, tout du moins je le crois, cette
histoire de « lame d'air ».
Enfin bon... J'ai dit « je crois » pas je prie.
(Revu et corrigé des « Brèves de Comptoir »
C'est du pur Leraillez et sa foutue mémoire.
L'gars Benoît, à nouveau, il vous prie de le croire.)
Et Hop !
--
Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible
Benoit chez lui à leraillez.com
Pierre Maurette : > Alf92 : >> efji : >>> On 11/02/2019 00:26, Benoit wrote: >>>> (..) >>> >>> C'est bien, tu (re)découvres toutes les bases de la technique photo :) >>> Donc, quand tu fermes beaucoup le diaphragme, tu obtiens plus de >>> profondeur de champ et moins de définition à cause de la diffraction. En >>> plus tu as la prime du numérique : les poussières sur le capteur qui >>> deviennent visibles. >> >> pour quelle raison les poussières sur le capteur sont plus visibles à >> faible ouverture ? si elles sont *sur* le capteurs l'ouverture ne >> devraient pas avoir d'importance, non ? > > Je me suis bien sûr posé la même question. La réponse est justement > dans la distance entre la surface devant le capteur et le capteur > lui-même. Cette distance est assez grande. Elle est constituée d'au > moins une lame d'air et une lame de verre. > Les rayons qui atteignent un point du capteur décrivent un cône. A la > limite, le rayon est "unique" (c'est une image) dans le cas d'une toute > petite ouverture, la pétouille est dessinée exactement. Quand le cône > grandit (ouverture du diaph) la pétouille devient logiquement de plus > en plus floue. Jusque disparaître. ça semble logique merci
Sauf que sur mon Sony il n'y a pas de lame de verre et c'est pareil.
Et puis je viens de comprendre, tout du moins je le crois, cette histoire de « lame d'air ». Enfin bon... J'ai dit « je crois » pas je prie. (Revu et corrigé des « Brèves de Comptoir » C'est du pur Leraillez et sa foutue mémoire. L'gars Benoît, à nouveau, il vous prie de le croire.) Et Hop ! -- Vie : n.f. maladie mortelle sexuellement transmissible Benoit chez lui à leraillez.com