--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1kbvhbm.9bypxv14zpaqrN%
À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
elle est où la photo ?
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit dans le message de news:
1kbvhbm.9bypxv14zpaqrN%filh@filh.orgie...
À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
"FiLH" a écrit dans le message de news: 1kbvhbm.9bypxv14zpaqrN%
À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
FiLH
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
benoit
FiLH wrote:
À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Avec un « h » ça va mieux. Quoique... la page blanche est quand même.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Avec un « h » ça va mieux. Quoique... la page blanche est quand
même.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Avec un « h » ça va mieux. Quoique... la page blanche est quand même.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
vincent
On 07/12/2011 18:47, FiLH wrote:
À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
-- vincent.
On 07/12/2011 18:47, FiLH wrote:
À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
vincent <vincent.bach@gratuit.fr> wrote:
On 07/12/2011 18:47, FiLH wrote:
> À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
>
> ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
>
Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
Erreur de copier coller dsl
http://www.zanderolsen.com/Tree_Line.html
FiLH
--
Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire
une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle.
Roland Barthes.
http://www.filh.org
-- Le fondement du constat bourgeois, c'est le bon sens, c'est-à-dire une vérité qui s'arrête sur l'ordre arbitraire de celui qui la parle. Roland Barthes. http://www.filh.org
Voui, j'ai adoré. La perception de l'espace est aimablement dérangée, mais d'une façon aussi douce que cet emmaillotement des arbres. Il n'y pas vraiment d'illusion, juste une belle perturbation de la vue, et pourtant toutes les pièces sont là, pas de tricherie. C'est très fort dans sa légèreté.
Noëlle Adam
Le 07/12/11 22:15, FiLH a écrit :
vincent<vincent.bach@gratuit.fr> wrote:
On 07/12/2011 18:47, FiLH wrote:
À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
Erreur de copier coller dsl
http://www.zanderolsen.com/Tree_Line.html
FiLH
Voui, j'ai adoré. La perception de l'espace est aimablement dérangée,
mais d'une façon aussi douce que cet emmaillotement des arbres.
Il n'y pas vraiment d'illusion, juste une belle perturbation de la vue,
et pourtant toutes les pièces sont là, pas de tricherie. C'est très fort
dans sa légèreté.
Voui, j'ai adoré. La perception de l'espace est aimablement dérangée, mais d'une façon aussi douce que cet emmaillotement des arbres. Il n'y pas vraiment d'illusion, juste une belle perturbation de la vue, et pourtant toutes les pièces sont là, pas de tricherie. C'est très fort dans sa légèreté.
Noëlle Adam
Alf92
"FiLH" a écrit
> À cause de la simplicité de la mise en oeuvre... > > ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg >
Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
voici la retranscription du premier document (ttp:///...) qui s'est malencontreusement (?) égaré sur FRP :
============= Le rôle du snobisme
Si l'intellectualisme a agi sur le comportement des artistes, il a modifié aussi celui des amateurs et d'une part croissante du public. Il a, en effet, entraîné l'extension d'un phénomène jadis limité a la société mondaine : le snobisme. Il n'était possible alors d'obtenir une supériorité de façade qu'en affectant les apparences de l'aristocratie. Celle-ci a cédé le pas de nos jours à la classe nouvelle des intellectuels. Le monde moderne, du fait de sa technicité croissante, n'est pas justiciable du simple bon sens traditionnel ; il exige une formation et un savoir spéciaux qui créent des catégories de privilégiés mentaux ; ils sont à nouveau distingués de la masse, mais, cette fois leur capacité d'aborder certains problèmes, de les comprendre et de les résoudre. Chaque spécialité engendre ainsi une élite armée de connaissances aussi prestigieuses que mystérieuses pour le commun, et dont l'exclusivité est sanctionnée par un langage particulier, impénétrable à' quiconque n'y a point été initié. De véritables castes intellectuelles, entourées de respect, se sont ainsi constituées, allant de l'ingénieur et du savant au psychologue, au sociologue ou même à' l'esthéticien. Une promotion sociale peut donc être obtenue en adoptant les signes extérieurs, manifestés en l'occurrence par les idées, les opinions et le langage désignant un de ces groupes privilégiés. Tel est le fondement du snobisme. Autant l'attachement aux apparences des anciennes sociétés avait une action retardatrice, autant ce souci de mimer l'avancement intellectuel a favorisé les innovations, et d'autant plus qu'elles heurtaient les habitudes et n'étaient accessibles qu'avec difficulté. Le snobisme a donc joué un rôle à' la fois aussi utile et pernicieux que l'attachement aveugle aux formes périmées, bien qu'il agît en sens inverse. Il conduit à' évaluer l'intérêt d'une ouvre non point par son apport positif, c'est-à-dire par son pouvoir créateur réel, mais par son aspect négatif, c'est-à-dire la difficulté que celui-ci éprouve à se faire reconnaître. Choquer, heurter fournissent alors les éléments du barème de l'estime qui ne sait sur quoi se fonder. « Que voulez-vous, c'est ce qu'il y a de plus neuf et d'inattendu », a-t-on pu entendre dire à' un membre du jury de la Biennale de Venise pour justifier le choix du pop'art pour le grand prix de 1964. La nouveauté, le surprenant en soi n'ont pourtant jamais constitué des valeurs esthétiques. Un pareil repère de jugement, devenu presque mécanique, dispense de participer à la valeur réelle de l'artiste. C'est ainsi que le scandale a ?ni par prendre une portée monstrueusement artificielle qui n'a été que trop exploitée, non seulement en esthétique, mais même en éthique. L'analyse des éléments principaux et factices de la réussite de certains artistes contemporains, par ailleurs fort doués, montre que leurs dons réels y ont eu moins de part que ces motifs artificiels. Le prodigieux succès de Salvador Dali, par exemple, est dû en majeure partie, hélas!, à ce qui compromet son apport authentique, à savoir, d'une part, à une aptitude au scandale cultivée avec ingéniosité et, d'autre part - compensation paradoxale -, à une technique étroitement conforme à la tradition du réalisme le plus attardé. Le public bourgeois se trouve ainsi rassuré à' la fois dans son attachement aux formes périmées, qu'il regrette en secret, et entraîné par la garantie de modernisme qu'il croit trouver dans ce qui choque violemment ses usages.
=============
je ne sais pas de qui est ce texte. un journaliste ? à vu de nez ça date de l'année de ta naissance...
-- Alf92
"FiLH" <filh@filh.orgie> a écrit
> À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
>
> ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
>
Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
Erreur de copier coller dsl
http://www.zanderolsen.com/Tree_Line.html
vrai acte manqué ou provocation réussi ?
voici la retranscription du premier document (ttp:///...) qui s'est
malencontreusement (?) égaré sur FRP :
=============
Le rôle du snobisme
Si l'intellectualisme a agi sur le comportement des artistes, il a modifié
aussi celui des amateurs et d'une part croissante du public. Il a, en effet,
entraîné l'extension d'un phénomène jadis limité a la société mondaine :
le snobisme. Il n'était possible alors d'obtenir une supériorité de façade
qu'en affectant les apparences de l'aristocratie. Celle-ci a cédé le pas de
nos jours à la classe nouvelle des intellectuels. Le monde moderne, du fait
de sa technicité croissante, n'est pas justiciable du simple bon sens
traditionnel ; il exige une formation et un savoir spéciaux qui créent des
catégories de privilégiés mentaux ; ils sont à nouveau distingués de la
masse, mais, cette fois leur capacité d'aborder certains problèmes, de les
comprendre et de les résoudre.
Chaque spécialité engendre ainsi une élite armée de connaissances aussi
prestigieuses que mystérieuses pour le commun, et dont l'exclusivité est
sanctionnée par un langage particulier, impénétrable à' quiconque n'y a
point été initié. De véritables castes intellectuelles, entourées de
respect, se sont ainsi constituées, allant de l'ingénieur et du savant au
psychologue, au sociologue ou même à' l'esthéticien. Une promotion sociale
peut donc être obtenue en adoptant les signes extérieurs, manifestés en
l'occurrence par les idées, les opinions et le langage désignant un de ces
groupes privilégiés. Tel est le fondement du snobisme.
Autant l'attachement aux apparences des anciennes sociétés avait une action
retardatrice, autant ce souci de mimer l'avancement intellectuel a favorisé
les innovations, et d'autant plus qu'elles heurtaient les habitudes et
n'étaient accessibles qu'avec difficulté. Le snobisme a donc joué un rôle à'
la fois aussi utile et pernicieux que l'attachement aveugle aux formes
périmées, bien qu'il agît en sens inverse. Il conduit à' évaluer l'intérêt
d'une ouvre non point par son apport positif, c'est-à-dire par son pouvoir
créateur réel, mais par son aspect négatif, c'est-à-dire la difficulté que
celui-ci éprouve à se faire reconnaître. Choquer, heurter fournissent alors
les éléments du barème de l'estime qui ne sait sur quoi se fonder. « Que
voulez-vous, c'est ce qu'il y a de plus neuf et d'inattendu », a-t-on pu
entendre dire à' un membre du jury de la Biennale de Venise pour justifier
le choix du pop'art pour le grand prix de 1964. La nouveauté, le surprenant
en soi n'ont pourtant jamais constitué des valeurs esthétiques. Un pareil
repère de jugement, devenu presque mécanique, dispense de participer à la
valeur réelle de l'artiste. C'est ainsi que le scandale a ?ni par prendre
une portée monstrueusement artificielle qui n'a été que trop exploitée, non
seulement en esthétique, mais même en éthique. L'analyse des éléments
principaux et factices de la réussite de certains artistes contemporains,
par ailleurs fort doués, montre que leurs dons réels y ont eu moins de part
que ces motifs artificiels. Le prodigieux succès de Salvador Dali, par
exemple, est dû en majeure partie, hélas!, à ce qui compromet son apport
authentique, à savoir, d'une part, à une aptitude au scandale cultivée avec
ingéniosité et, d'autre part - compensation paradoxale -, à une technique
étroitement conforme à la tradition du réalisme le plus attardé. Le public
bourgeois se trouve ainsi rassuré à' la fois dans son attachement aux formes
périmées, qu'il regrette en secret, et entraîné par la garantie de
modernisme qu'il croit trouver dans ce qui choque violemment ses usages.
=============
je ne sais pas de qui est ce texte. un journaliste ?
à vu de nez ça date de l'année de ta naissance...
voici la retranscription du premier document (ttp:///...) qui s'est malencontreusement (?) égaré sur FRP :
============= Le rôle du snobisme
Si l'intellectualisme a agi sur le comportement des artistes, il a modifié aussi celui des amateurs et d'une part croissante du public. Il a, en effet, entraîné l'extension d'un phénomène jadis limité a la société mondaine : le snobisme. Il n'était possible alors d'obtenir une supériorité de façade qu'en affectant les apparences de l'aristocratie. Celle-ci a cédé le pas de nos jours à la classe nouvelle des intellectuels. Le monde moderne, du fait de sa technicité croissante, n'est pas justiciable du simple bon sens traditionnel ; il exige une formation et un savoir spéciaux qui créent des catégories de privilégiés mentaux ; ils sont à nouveau distingués de la masse, mais, cette fois leur capacité d'aborder certains problèmes, de les comprendre et de les résoudre. Chaque spécialité engendre ainsi une élite armée de connaissances aussi prestigieuses que mystérieuses pour le commun, et dont l'exclusivité est sanctionnée par un langage particulier, impénétrable à' quiconque n'y a point été initié. De véritables castes intellectuelles, entourées de respect, se sont ainsi constituées, allant de l'ingénieur et du savant au psychologue, au sociologue ou même à' l'esthéticien. Une promotion sociale peut donc être obtenue en adoptant les signes extérieurs, manifestés en l'occurrence par les idées, les opinions et le langage désignant un de ces groupes privilégiés. Tel est le fondement du snobisme. Autant l'attachement aux apparences des anciennes sociétés avait une action retardatrice, autant ce souci de mimer l'avancement intellectuel a favorisé les innovations, et d'autant plus qu'elles heurtaient les habitudes et n'étaient accessibles qu'avec difficulté. Le snobisme a donc joué un rôle à' la fois aussi utile et pernicieux que l'attachement aveugle aux formes périmées, bien qu'il agît en sens inverse. Il conduit à' évaluer l'intérêt d'une ouvre non point par son apport positif, c'est-à-dire par son pouvoir créateur réel, mais par son aspect négatif, c'est-à-dire la difficulté que celui-ci éprouve à se faire reconnaître. Choquer, heurter fournissent alors les éléments du barème de l'estime qui ne sait sur quoi se fonder. « Que voulez-vous, c'est ce qu'il y a de plus neuf et d'inattendu », a-t-on pu entendre dire à' un membre du jury de la Biennale de Venise pour justifier le choix du pop'art pour le grand prix de 1964. La nouveauté, le surprenant en soi n'ont pourtant jamais constitué des valeurs esthétiques. Un pareil repère de jugement, devenu presque mécanique, dispense de participer à la valeur réelle de l'artiste. C'est ainsi que le scandale a ?ni par prendre une portée monstrueusement artificielle qui n'a été que trop exploitée, non seulement en esthétique, mais même en éthique. L'analyse des éléments principaux et factices de la réussite de certains artistes contemporains, par ailleurs fort doués, montre que leurs dons réels y ont eu moins de part que ces motifs artificiels. Le prodigieux succès de Salvador Dali, par exemple, est dû en majeure partie, hélas!, à ce qui compromet son apport authentique, à savoir, d'une part, à une aptitude au scandale cultivée avec ingéniosité et, d'autre part - compensation paradoxale -, à une technique étroitement conforme à la tradition du réalisme le plus attardé. Le public bourgeois se trouve ainsi rassuré à' la fois dans son attachement aux formes périmées, qu'il regrette en secret, et entraîné par la garantie de modernisme qu'il croit trouver dans ce qui choque violemment ses usages.
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je ne sais pas de qui est ce texte. un journaliste ? à vu de nez ça date de l'année de ta naissance...
-- Alf92
benoit
FiLH wrote:
vincent wrote:
> On 07/12/2011 18:47, FiLH wrote: > > À cause de la simplicité de la mise en oeuvre... > > > > ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg > > > > Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
J'aime beaucoup. Du coup ça me donne envoie de revoir des travaux de George Rousse.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
FiLH <filh@filh.orgie> wrote:
vincent <vincent.bach@gratuit.fr> wrote:
> On 07/12/2011 18:47, FiLH wrote:
> > À cause de la simplicité de la mise en oeuvre...
> >
> > ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg
> >
>
> Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
Erreur de copier coller dsl
http://www.zanderolsen.com/Tree_Line.html
J'aime beaucoup. Du coup ça me donne envoie de revoir des travaux de
George Rousse.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
> On 07/12/2011 18:47, FiLH wrote: > > À cause de la simplicité de la mise en oeuvre... > > > > ttp://cjoint.com/11dc/ALfsqp6OP8T_snobisme.jpg > > > > Il y a manifestement une erreur de lien, même avec le h manquant !
J'aime beaucoup. Du coup ça me donne envoie de revoir des travaux de George Rousse.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
J'aime beaucoup. Du coup ça me donne envoie de revoir des travaux
de George Rousse.
Dans ce style, un précurseur, John Pfahl :
"Altered landscapes" :
http://johnpfahl.com/pages/alteredlandscapes%28east%29/16australianpines.html
(1977)
http://johnpfahl.com/pages/alteredlandscapes%28east%29/08bluerightangle.html
(1975)
http://johnpfahl.com/pages/alteredlandscapes%28east%29/07pinkrockrectangle.html
(1975)