On fait pourtant de très beaux portraits au télé, lorsque le sujet ne sait pas qu'il est photographié. Le 35 ou le 50 mm empêche le modèle d'oublier le photographe.
L'avantage du télé elle qu'il assure d'avoir du bokeh si on le veut.
Il n'y a pas que le flou qui est intéressant. Mais il participe à la mise en valeur du sujet.
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Le 19/11/2014 13:14, Benoit a écrit :
On fait pourtant de très beaux portraits au télé, lorsque le sujet ne
sait pas qu'il est photographié. Le 35 ou le 50 mm empêche le modèle
d'oublier le photographe.
L'avantage du télé elle qu'il assure d'avoir du bokeh si on le veut.
Il n'y a pas que le flou qui est intéressant. Mais il participe à la
mise en valeur du sujet.
--
Dominique
Courriel : dominique point sextant ate orange en France
Esto quod es
On fait pourtant de très beaux portraits au télé, lorsque le sujet ne sait pas qu'il est photographié. Le 35 ou le 50 mm empêche le modèle d'oublier le photographe.
L'avantage du télé elle qu'il assure d'avoir du bokeh si on le veut.
Il n'y a pas que le flou qui est intéressant. Mais il participe à la mise en valeur du sujet.
-- Dominique Courriel : dominique point sextant ate orange en France Esto quod es
Ricco
Dominique avait énoncé :
Le 19/11/2014 12:55, Stephane Legras-Decussy a écrit :
le gars qui fait les photos de manière très agressive sur les passants au début, il me fait ça... son reflex devient le mien ... ;-)
+1
les temps ont bien changé, les " filmeurs " de rue d'autrefois ne connaissaient leur chance en revanche faire justice soi même; voies de faits, bris de matériel sont punis par la loi les notions de sphères ceci ou celà, je ne pense pas que ce soit inscrit dans la loi en revanche
Dominique avait énoncé :
Le 19/11/2014 12:55, Stephane Legras-Decussy a écrit :
le gars qui fait les photos de manière très agressive sur les passants
au début, il me fait ça... son reflex devient le mien ... ;-)
+1
les temps ont bien changé, les " filmeurs " de rue d'autrefois ne
connaissaient leur chance
en revanche faire justice soi même; voies de faits, bris de matériel
sont punis par la loi
les notions de sphères ceci ou celà, je ne pense pas que ce soit
inscrit dans la loi en revanche
Le 19/11/2014 12:55, Stephane Legras-Decussy a écrit :
le gars qui fait les photos de manière très agressive sur les passants au début, il me fait ça... son reflex devient le mien ... ;-)
+1
les temps ont bien changé, les " filmeurs " de rue d'autrefois ne connaissaient leur chance en revanche faire justice soi même; voies de faits, bris de matériel sont punis par la loi les notions de sphères ceci ou celà, je ne pense pas que ce soit inscrit dans la loi en revanche
benoit
Dominique wrote:
> L'avantage du télé elle qu'il assure d'avoir du bokeh si on le veut.
Il n'y a pas que le flou qui est intéressant. Mais il participe à la mise en valeur du sujet.
Oui, mais ce que je voulais dire est qu'on peut se retrouver dans des situations où le fond de l'image vient dominer le sujet. Soit tu travailles façon studio chez des gens et tu peux t'arranger pour que l'arrière-plan soit suffisament sous-éclairé pour perdre de sa présence, soit tu joue sur la profondeur de champ ; ou les deux bien sûr. En extérieur, c'est pareil, tu décides de ce qui doit être « visible » ou non et, s'il est difficile de jouer sur les lumières, il est plus facile de le faire avec le flou.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Dominique <zzz@aol.com> wrote:
> L'avantage du télé elle qu'il assure d'avoir du bokeh si on le veut.
Il n'y a pas que le flou qui est intéressant. Mais il participe à la
mise en valeur du sujet.
Oui, mais ce que je voulais dire est qu'on peut se retrouver dans
des situations où le fond de l'image vient dominer le sujet. Soit tu
travailles façon studio chez des gens et tu peux t'arranger pour que
l'arrière-plan soit suffisament sous-éclairé pour perdre de sa présence,
soit tu joue sur la profondeur de champ ; ou les deux bien sûr. En
extérieur, c'est pareil, tu décides de ce qui doit être « visible » ou
non et, s'il est difficile de jouer sur les lumières, il est plus facile
de le faire avec le flou.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
> L'avantage du télé elle qu'il assure d'avoir du bokeh si on le veut.
Il n'y a pas que le flou qui est intéressant. Mais il participe à la mise en valeur du sujet.
Oui, mais ce que je voulais dire est qu'on peut se retrouver dans des situations où le fond de l'image vient dominer le sujet. Soit tu travailles façon studio chez des gens et tu peux t'arranger pour que l'arrière-plan soit suffisament sous-éclairé pour perdre de sa présence, soit tu joue sur la profondeur de champ ; ou les deux bien sûr. En extérieur, c'est pareil, tu décides de ce qui doit être « visible » ou non et, s'il est difficile de jouer sur les lumières, il est plus facile de le faire avec le flou.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
benoit
René S wrote:
Dans la loi française, si. Ca s'appelle protection de la vie privée. Si on te photographie dans la rue, au bras de ta maitresse, et qu'on publie la photo sur internet, tu peux faire condamner le voyeur.
Pas comme voyeur, sauf si tu fais un reportage sur cette personne. En fait le pb est que la vie privé et la vie publique ne sont pas clairement définie, et ne peuvent l'être. Et les avocats, donc les juges, ou le contraire si tu veux, sont là pour faire le distingo.
Exemple : si tu photographies quelqu'un qui se ballade à poil dans la rue tu ne remets pas en cause sa vie privé puisque tu photographies sa vie publique. Si c'est quelqu'un qui se cure le nez là par contre...
En fait tout dépendra de la façon dont les juges verront ta photo et la situation. Tu auras toujours un ou deux énergumènes qui refuseront qu'on voit leur tronche dans une photo de manif, ce qui veut dire qu'ils ne veulent pas qu'on sache qu'ils affirment publiquement leur accord ou déaccord sur un sujet (des cons il y en aura toujours). Il faut aussi que la personne démontre qu'elle a subi un dommage. Et là, cela ouvre la porte : tu prends une photo de plage, tu la mets sur le web avec la date et l'heure, on reconnait quelqu'un en train de bronzer ou jouer à la pétanque et il était en arrêt maladie... tu n'y pouvais rien et comme il n'y avait pas volonté de nuire de ta part, tu es assez tranquille. Tu présentes la même image en le donnant comme exemple de ceux qui abusent de la couverture maladie... tu es moins tranquille.
Il y a donc pas mal de paramètres et il vaut mieux demander l'accord après la photo, pour être peinard. Maintenant si ta photo est éditée 20 ans plus tard la possibiité de dommage fait devient miniminimini.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
René S <rien@rien.fr> wrote:
Dans la loi française, si. Ca s'appelle protection de la vie privée. Si
on te photographie dans la rue, au bras de ta maitresse, et qu'on publie la
photo sur internet, tu peux faire condamner le voyeur.
Pas comme voyeur, sauf si tu fais un reportage sur cette personne.
En fait le pb est que la vie privé et la vie publique ne sont pas
clairement définie, et ne peuvent l'être. Et les avocats, donc les
juges, ou le contraire si tu veux, sont là pour faire le distingo.
Exemple : si tu photographies quelqu'un qui se ballade à poil dans
la rue tu ne remets pas en cause sa vie privé puisque tu photographies
sa vie publique. Si c'est quelqu'un qui se cure le nez là par contre...
En fait tout dépendra de la façon dont les juges verront ta photo et
la situation. Tu auras toujours un ou deux énergumènes qui refuseront
qu'on voit leur tronche dans une photo de manif, ce qui veut dire qu'ils
ne veulent pas qu'on sache qu'ils affirment publiquement leur accord ou
déaccord sur un sujet (des cons il y en aura toujours). Il faut aussi
que la personne démontre qu'elle a subi un dommage. Et là, cela ouvre la
porte : tu prends une photo de plage, tu la mets sur le web avec la date
et l'heure, on reconnait quelqu'un en train de bronzer ou jouer à la
pétanque et il était en arrêt maladie... tu n'y pouvais rien et comme il
n'y avait pas volonté de nuire de ta part, tu es assez tranquille. Tu
présentes la même image en le donnant comme exemple de ceux qui abusent
de la couverture maladie... tu es moins tranquille.
Il y a donc pas mal de paramètres et il vaut mieux demander l'accord
après la photo, pour être peinard. Maintenant si ta photo est éditée 20
ans plus tard la possibiité de dommage fait devient miniminimini.
--
"La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La
pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi.
Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et
personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Dans la loi française, si. Ca s'appelle protection de la vie privée. Si on te photographie dans la rue, au bras de ta maitresse, et qu'on publie la photo sur internet, tu peux faire condamner le voyeur.
Pas comme voyeur, sauf si tu fais un reportage sur cette personne. En fait le pb est que la vie privé et la vie publique ne sont pas clairement définie, et ne peuvent l'être. Et les avocats, donc les juges, ou le contraire si tu veux, sont là pour faire le distingo.
Exemple : si tu photographies quelqu'un qui se ballade à poil dans la rue tu ne remets pas en cause sa vie privé puisque tu photographies sa vie publique. Si c'est quelqu'un qui se cure le nez là par contre...
En fait tout dépendra de la façon dont les juges verront ta photo et la situation. Tu auras toujours un ou deux énergumènes qui refuseront qu'on voit leur tronche dans une photo de manif, ce qui veut dire qu'ils ne veulent pas qu'on sache qu'ils affirment publiquement leur accord ou déaccord sur un sujet (des cons il y en aura toujours). Il faut aussi que la personne démontre qu'elle a subi un dommage. Et là, cela ouvre la porte : tu prends une photo de plage, tu la mets sur le web avec la date et l'heure, on reconnait quelqu'un en train de bronzer ou jouer à la pétanque et il était en arrêt maladie... tu n'y pouvais rien et comme il n'y avait pas volonté de nuire de ta part, tu es assez tranquille. Tu présentes la même image en le donnant comme exemple de ceux qui abusent de la couverture maladie... tu es moins tranquille.
Il y a donc pas mal de paramètres et il vaut mieux demander l'accord après la photo, pour être peinard. Maintenant si ta photo est éditée 20 ans plus tard la possibiité de dommage fait devient miniminimini.
-- "La théorie, c'est quand on sait tout et que rien ne fonctionne. La pratique, c'est quand tout fonctionne et que personne ne sait pourquoi. Ici, nous avons réuni théorie et pratique : Rien ne fonctionne... et personne ne sait pourquoi !" [ Albert Einstein ]
Solanar
Stephane Legras-Decussy avait prétendu :
Le 19/11/2014 08:50, Dominique a écrit :
Le procédé qui consiste à photographier des personnes sans leur accord est discutable...
le gars qui fait les photos de manière très agressive sur les passants au début, il me fait ça... son reflex devient le mien ... ;-)
Un coup de photo dans la gueule, c'est vrai ue ca fait tres mal Question d'éducation Y'en a qui ne supportent même pas un regard La solution, c'est le casque moto ou la burqua ;)
-- Etre libre, c'est n'avoir rien à perdre
Stephane Legras-Decussy avait prétendu :
Le 19/11/2014 08:50, Dominique a écrit :
Le procédé qui consiste à photographier des personnes sans leur accord
est discutable...
le gars qui fait les photos de manière très agressive sur les passants au
début, il me fait ça... son reflex devient le mien ... ;-)
Un coup de photo dans la gueule, c'est vrai ue ca fait tres mal
Question d'éducation
Y'en a qui ne supportent même pas un regard
La solution, c'est le casque moto ou la burqua
;)
Le procédé qui consiste à photographier des personnes sans leur accord est discutable...
le gars qui fait les photos de manière très agressive sur les passants au début, il me fait ça... son reflex devient le mien ... ;-)
Un coup de photo dans la gueule, c'est vrai ue ca fait tres mal Question d'éducation Y'en a qui ne supportent même pas un regard La solution, c'est le casque moto ou la burqua ;)
-- Etre libre, c'est n'avoir rien à perdre
Stephane Legras-Decussy
Le 20/11/2014 11:52, Solanar a écrit :
Un coup de photo dans la gueule, c'est vrai ue ca fait tres mal Question d'éducation
pourquoi sacraliser la douleur physique ?
la plupart des gens préfèreraient se faire pincer fort que de se faire virer de leur boulot par SMS ...
Y'en a qui ne supportent même pas un regard La solution, c'est le casque moto ou la burqua
et on ne parle pas assez du problème de faire de la moto en burqua !
Le 20/11/2014 11:52, Solanar a écrit :
Un coup de photo dans la gueule, c'est vrai ue ca fait tres mal
Question d'éducation
pourquoi sacraliser la douleur physique ?
la plupart des gens préfèreraient se faire pincer fort
que de se faire virer de leur boulot par SMS ...
Y'en a qui ne supportent même pas un regard
La solution, c'est le casque moto ou la burqua
et on ne parle pas assez du problème de faire de la moto
en burqua !