Brina writes:
> Vous traitez vos enfants comme des meubles ?
La loi les traite ainsi, pas moi.
> tiens donc ... et par quel principe ?
Par le principe que rien ne dit le contraire. La loi parle des
individus, sans créer de cas spécifique pour les mineurs (à part le fait
que leurs autorisations ne valent rien et doivent être fournies par
leurs parents).
> L'adulte voyant qu'il peut être photographié à le droit de refuser la
> prise de vue en partant du champ par ex, s'il est dans un lieu public où
> il n'y a aucune raison qu'il y ait des prises de vues (sans le savoir à
> l'avance donc), pour le mineur, c'est le responsable légal qui a ce
> droit.
Et alors?
> C'est quand même dingue, ce droit que s'arroge certains d'estimer
> pouvoir faire ce qu'ils veulent au mépris du droit des autres,
> simplement pour leur bon plaisir :-(
C'est quand même dinque, ces gens qui se croient dans un royaume privé
même lorsqu'ils sont sur la place publique. Si vous ne voulez pas être
photographié, évitez les lieux publics. Vous êtes chez vous ...
> ... ainsi que de refuser pour ses enfants (il doit donc être
> avisé et donner son avis sauf s'il était présent lors des photos en
> sachant que cela serait publié, évidemment)
Ce n'est pas du tout évident.
> Si des gosses ne peuvent plus se balader dans la rue sans risquer de
> voir leurs photos publiées n'importe où pour le bon plaisir d'un gus,
> c'est grave
Vous parlez à plusieurs reprises de plaisir. Que voulez-vous dire,
exactement? Que pensez-vous que les photographes font de leurs photos?
Et pourquoi leur plaisir serait-il moins légitime et moins acceptable
que le plaisir des autres?
C'est ça le côté malsain de la pensée française, qui voit le mal là où
il n'y en a point. Les photographes sont des gens comme tous les
autres; ils ne sont pas des terroristes, et leur métier n'est pas
dangereux.
Brina writes:
> Vous traitez vos enfants comme des meubles ?
La loi les traite ainsi, pas moi.
> tiens donc ... et par quel principe ?
Par le principe que rien ne dit le contraire. La loi parle des
individus, sans créer de cas spécifique pour les mineurs (à part le fait
que leurs autorisations ne valent rien et doivent être fournies par
leurs parents).
> L'adulte voyant qu'il peut être photographié à le droit de refuser la
> prise de vue en partant du champ par ex, s'il est dans un lieu public où
> il n'y a aucune raison qu'il y ait des prises de vues (sans le savoir à
> l'avance donc), pour le mineur, c'est le responsable légal qui a ce
> droit.
Et alors?
> C'est quand même dingue, ce droit que s'arroge certains d'estimer
> pouvoir faire ce qu'ils veulent au mépris du droit des autres,
> simplement pour leur bon plaisir :-(
C'est quand même dinque, ces gens qui se croient dans un royaume privé
même lorsqu'ils sont sur la place publique. Si vous ne voulez pas être
photographié, évitez les lieux publics. Vous êtes chez vous ...
> ... ainsi que de refuser pour ses enfants (il doit donc être
> avisé et donner son avis sauf s'il était présent lors des photos en
> sachant que cela serait publié, évidemment)
Ce n'est pas du tout évident.
> Si des gosses ne peuvent plus se balader dans la rue sans risquer de
> voir leurs photos publiées n'importe où pour le bon plaisir d'un gus,
> c'est grave
Vous parlez à plusieurs reprises de plaisir. Que voulez-vous dire,
exactement? Que pensez-vous que les photographes font de leurs photos?
Et pourquoi leur plaisir serait-il moins légitime et moins acceptable
que le plaisir des autres?
C'est ça le côté malsain de la pensée française, qui voit le mal là où
il n'y en a point. Les photographes sont des gens comme tous les
autres; ils ne sont pas des terroristes, et leur métier n'est pas
dangereux.
Brina writes:
> Vous traitez vos enfants comme des meubles ?
La loi les traite ainsi, pas moi.
> tiens donc ... et par quel principe ?
Par le principe que rien ne dit le contraire. La loi parle des
individus, sans créer de cas spécifique pour les mineurs (à part le fait
que leurs autorisations ne valent rien et doivent être fournies par
leurs parents).
> L'adulte voyant qu'il peut être photographié à le droit de refuser la
> prise de vue en partant du champ par ex, s'il est dans un lieu public où
> il n'y a aucune raison qu'il y ait des prises de vues (sans le savoir à
> l'avance donc), pour le mineur, c'est le responsable légal qui a ce
> droit.
Et alors?
> C'est quand même dingue, ce droit que s'arroge certains d'estimer
> pouvoir faire ce qu'ils veulent au mépris du droit des autres,
> simplement pour leur bon plaisir :-(
C'est quand même dinque, ces gens qui se croient dans un royaume privé
même lorsqu'ils sont sur la place publique. Si vous ne voulez pas être
photographié, évitez les lieux publics. Vous êtes chez vous ...
> ... ainsi que de refuser pour ses enfants (il doit donc être
> avisé et donner son avis sauf s'il était présent lors des photos en
> sachant que cela serait publié, évidemment)
Ce n'est pas du tout évident.
> Si des gosses ne peuvent plus se balader dans la rue sans risquer de
> voir leurs photos publiées n'importe où pour le bon plaisir d'un gus,
> c'est grave
Vous parlez à plusieurs reprises de plaisir. Que voulez-vous dire,
exactement? Que pensez-vous que les photographes font de leurs photos?
Et pourquoi leur plaisir serait-il moins légitime et moins acceptable
que le plaisir des autres?
C'est ça le côté malsain de la pensée française, qui voit le mal là où
il n'y en a point. Les photographes sont des gens comme tous les
autres; ils ne sont pas des terroristes, et leur métier n'est pas
dangereux.
> C'est quand même dingue, ce droit que s'arroge certains d'estimer
> pouvoir faire ce qu'ils veulent au mépris du droit des autres,
> simplement pour leur bon plaisir :-(
>
Oui, par exemple priver de la jouissance publique d'un lieu public, rien que
par sa présence. Tu arrives as photographier certains monuments historiques
connus sans la présence de public ?
Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et des
siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces mêmes
règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout en
permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en plus
difficile.
> Si des gosses ne peuvent plus se balader dans la rue sans risquer de
> voir leurs photos publiées n'importe où pour le bon plaisir d'un gus,
> c'est grave
Caricature. Il ne s'agit pas de ça. C'est avec ce type d'argument que l'on
fait passer une démocratie au régime de la dictature.
> C'est quand même dingue, ce droit que s'arroge certains d'estimer
> pouvoir faire ce qu'ils veulent au mépris du droit des autres,
> simplement pour leur bon plaisir :-(
>
Oui, par exemple priver de la jouissance publique d'un lieu public, rien que
par sa présence. Tu arrives as photographier certains monuments historiques
connus sans la présence de public ?
Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et des
siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces mêmes
règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout en
permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en plus
difficile.
> Si des gosses ne peuvent plus se balader dans la rue sans risquer de
> voir leurs photos publiées n'importe où pour le bon plaisir d'un gus,
> c'est grave
Caricature. Il ne s'agit pas de ça. C'est avec ce type d'argument que l'on
fait passer une démocratie au régime de la dictature.
> C'est quand même dingue, ce droit que s'arroge certains d'estimer
> pouvoir faire ce qu'ils veulent au mépris du droit des autres,
> simplement pour leur bon plaisir :-(
>
Oui, par exemple priver de la jouissance publique d'un lieu public, rien que
par sa présence. Tu arrives as photographier certains monuments historiques
connus sans la présence de public ?
Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et des
siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces mêmes
règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout en
permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en plus
difficile.
> Si des gosses ne peuvent plus se balader dans la rue sans risquer de
> voir leurs photos publiées n'importe où pour le bon plaisir d'un gus,
> c'est grave
Caricature. Il ne s'agit pas de ça. C'est avec ce type d'argument que l'on
fait passer une démocratie au régime de la dictature.
Dans l'article <40225001$0$6978$,
Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
> Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
> siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et
> siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces
> règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout
> permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
> sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en
> difficile.
cela devient difficile face aux abus.
ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
aussi ?
Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
prendre en photo par des inconnus ?
Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
dans la rue ?
Dans l'article <40225001$0$6978$7a628cd7@news.club-internet.fr>,
Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
> Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
> siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et
> siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces
> règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout
> permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
> sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en
> difficile.
cela devient difficile face aux abus.
ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
aussi ?
Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
prendre en photo par des inconnus ?
Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
dans la rue ?
Dans l'article <40225001$0$6978$,
Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
> Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
> siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et
> siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces
> règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout
> permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
> sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en
> difficile.
cela devient difficile face aux abus.
ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
aussi ?
Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
prendre en photo par des inconnus ?
Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
dans la rue ?
Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
cela devient difficile face aux abus.
ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
aussi ?
Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
prendre en photo par des inconnus ?
Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
dans la rue ?
Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
cela devient difficile face aux abus.
ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
aussi ?
Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
prendre en photo par des inconnus ?
Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
dans la rue ?
Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
cela devient difficile face aux abus.
ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
aussi ?
Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
prendre en photo par des inconnus ?
Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
dans la rue ?
> Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
>
Si l'individu est le point central de la photo (photographié pour lui même,
donc), c'est indispensable, même dans un lieu public, et c'est tout naturel.
> > Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
> > siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et
des
> > siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces
mêmes
> > règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout
en
> > permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
> > sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en
plus
> > difficile.
>
> cela devient difficile face aux abus.
Toujours le même argument. Prendre un cas isolé, en faire une généralité, et
interdire à tous.
> ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
> aussi ?
> Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
> celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
> prendre en photo par des inconnus ?
>
J'arrive, le monde doit s'arrêter de tourner durant mon passage. Quand tu es
là, il faut baisser la tête aussi ? Parce que les gens te voient sinon. Tu
sais, ça existe dans certains pays pour une certaine "élite"
( :-(((, pas vraiment au fond....) et ce ne sont pas les plus démocratiques!
> Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
> dans la rue ?
Mais de quoi tu parles ? Relis donc un peu les posts précédents avec les
exemples que j'ai cités. A te suivre le port d'un appareil photo dans la rue
serait sanctionnable comme celui d'une arme à feu.
Restons raisonnables et non intégristes. Comme je l'ai répété de nombreuses
fois, il faut des règles claires et justes, qui préservent la liberté de
*chaque* individu sur les lieux publics. Et seuls les abus *dans un sens
comme dans l'autre* doivent être sanctionnés. Il ne faut pas la liberté de
tout faire comme il ne faut pas la liberté de tout interdire dans les lieux
publics. Mais il ne faut pas que tu puisses être considéré comme en tord par
un juge, alors qu'un autre juge te considerait comme innocent. En bref tu
dois pouvoir savoir ce que tu peux faire et ce que tu ne peux pas faire.
> Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
>
Si l'individu est le point central de la photo (photographié pour lui même,
donc), c'est indispensable, même dans un lieu public, et c'est tout naturel.
> > Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
> > siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et
des
> > siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces
mêmes
> > règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout
en
> > permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
> > sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en
plus
> > difficile.
>
> cela devient difficile face aux abus.
Toujours le même argument. Prendre un cas isolé, en faire une généralité, et
interdire à tous.
> ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
> aussi ?
> Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
> celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
> prendre en photo par des inconnus ?
>
J'arrive, le monde doit s'arrêter de tourner durant mon passage. Quand tu es
là, il faut baisser la tête aussi ? Parce que les gens te voient sinon. Tu
sais, ça existe dans certains pays pour une certaine "élite"
( :-(((, pas vraiment au fond....) et ce ne sont pas les plus démocratiques!
> Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
> dans la rue ?
Mais de quoi tu parles ? Relis donc un peu les posts précédents avec les
exemples que j'ai cités. A te suivre le port d'un appareil photo dans la rue
serait sanctionnable comme celui d'une arme à feu.
Restons raisonnables et non intégristes. Comme je l'ai répété de nombreuses
fois, il faut des règles claires et justes, qui préservent la liberté de
*chaque* individu sur les lieux publics. Et seuls les abus *dans un sens
comme dans l'autre* doivent être sanctionnés. Il ne faut pas la liberté de
tout faire comme il ne faut pas la liberté de tout interdire dans les lieux
publics. Mais il ne faut pas que tu puisses être considéré comme en tord par
un juge, alors qu'un autre juge te considerait comme innocent. En bref tu
dois pouvoir savoir ce que tu peux faire et ce que tu ne peux pas faire.
> Pourquoi ne pas demander l'avis des gens qui sont là ?
>
Si l'individu est le point central de la photo (photographié pour lui même,
donc), c'est indispensable, même dans un lieu public, et c'est tout naturel.
> > Que resterait il aujourd'hui de la connaissance historique du début du
> > siècle si les règles photographiques avaient été aussi rigoureuses ? Et
des
> > siècles avant s'il les dessins et gravures avaient été soumises à ces
mêmes
> > règles ? Il faut des règles *claires* qui préservent la vie privée tout
en
> > permettant à l'histoire de se montrer pour nos descendants. Dans nos
> > sociétés qui virent de plus en plus vers l'intégrisme c'est de plus en
plus
> > difficile.
>
> cela devient difficile face aux abus.
Toujours le même argument. Prendre un cas isolé, en faire une généralité, et
interdire à tous.
> ça y est ... vous avez alerté Amnystie Internationale, l'ONU et la CEDH
> aussi ?
> Vous voulez parler de liberté ? et si on parlait de celle des autres,
> celles des gens qui aimeraient se balader tranquille sans se faire
> prendre en photo par des inconnus ?
>
J'arrive, le monde doit s'arrêter de tourner durant mon passage. Quand tu es
là, il faut baisser la tête aussi ? Parce que les gens te voient sinon. Tu
sais, ça existe dans certains pays pour une certaine "élite"
( :-(((, pas vraiment au fond....) et ce ne sont pas les plus démocratiques!
> Vous n'avez pas d'amis, d'enfants, de parents pour faire les modèles
> dans la rue ?
Mais de quoi tu parles ? Relis donc un peu les posts précédents avec les
exemples que j'ai cités. A te suivre le port d'un appareil photo dans la rue
serait sanctionnable comme celui d'une arme à feu.
Restons raisonnables et non intégristes. Comme je l'ai répété de nombreuses
fois, il faut des règles claires et justes, qui préservent la liberté de
*chaque* individu sur les lieux publics. Et seuls les abus *dans un sens
comme dans l'autre* doivent être sanctionnés. Il ne faut pas la liberté de
tout faire comme il ne faut pas la liberté de tout interdire dans les lieux
publics. Mais il ne faut pas que tu puisses être considéré comme en tord par
un juge, alors qu'un autre juge te considerait comme innocent. En bref tu
dois pouvoir savoir ce que tu peux faire et ce que tu ne peux pas faire.
Dans l'article <4024a76c$0$6970$,
Dominique LAMIABLE a promptement
Si l'individu est le point central de la photo (photographié pour
lui même, donc), c'est indispensable, même dans un lieu public, et
c'est tout naturel.
ah là va falloir vous mettre d'accord ...
Dans l'article <4024a76c$0$6970$7a628cd7@news.club-internet.fr>,
Dominique LAMIABLE <dlamiable@club-internet.fr> a promptement
Si l'individu est le point central de la photo (photographié pour
lui même, donc), c'est indispensable, même dans un lieu public, et
c'est tout naturel.
ah là va falloir vous mettre d'accord ...
Dans l'article <4024a76c$0$6970$,
Dominique LAMIABLE a promptement
Si l'individu est le point central de la photo (photographié pour
lui même, donc), c'est indispensable, même dans un lieu public, et
c'est tout naturel.
ah là va falloir vous mettre d'accord ...