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Photo de registres en nombre!

112 réponses
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Thierry Houx
Alors voilà, pour mon association, nous faisons des photos de registres
dans les mairies, archives? etc.
Nos photos sont faites souvent en conditions difficiles: Eclairage
artificiel, lumières parasites, ...
Vous avez bien compris que deux choses sont essentielles, la netteté et
la lisibilité du document obtenu.
Comme le documents originel doit être systématiquement corrigé pour
obtenir le résultat ci-dessus attendu, je cherche un outil en mesure de
faire ça par lots: J'ai actuellement 66.000 clichés à traiter.

Un exemple de document (loin d'être le plus mauvais):
https://www.cjoint.com/c/HAmhaagXuFi

10 réponses

8 9 10 11 12
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GhostRaider
Le 14/01/2018 à 05:46, Thierry Houx a écrit :
Le 13/01/2018 à 19:47, efji a écrit :
Le 13/01/2018 à 19:43, Alf92 a écrit :
François :
Le 13/01/2018 à 12:36, GhostRaider a écrit :

Utiliser un APN à flash automatique, comme un réflex Nikon, donnerait
les meilleurs résultats.

Ben non. Jamais de flash sur les documents anciens, ça accélère leur
dégradation.

légende urbaine
un flash même puissant dégrade beaucoup moins un document qu'une lampe
de 100W pendant 5 secondes

C'est clair. Dans les musées c'est juste le fait que c'est super
chiant d'avoir des flashes qui crépitent qui justifie l'interdiction.

C'est quand même une contrainte: Aux archives et dans certaines mairies,
ils interdisent le flash ou l'éclairage d'appoint. Cela contraint à
essayer d'éviter l'éclairage ambiant artificiel et de se mettre près
d'une fenêtre afin de bénéficier au mieux de la lumière du jour; comme
nous sommes en Haute-Normandie, ce n'est pas toujours simple.

Si on se met près d'une fenêtre, il faut impérativement disposer un
écran blanc du côté opposé pour équilibrer la lumière.
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GhostRaider
Le 13/01/2018 à 22:44, René a écrit :
Le samedi 13 janvier 2018 07:31:48 UTC-5, GhostRaider a écrit :
Le 12/01/2018 à 08:01, Thierry Houx a écrit :
Alors voilà, pour mon association, nous faisons des photos de registres
dans les mairies, archives? etc.
Nos photos sont faites souvent en conditions difficiles: Eclairage
artificiel, lumières parasites, ...
Vous avez bien compris que deux choses sont essentielles, la netteté et
la lisibilité du document obtenu.
Comme le documents originel doit être systématiquement corrigé pour
obtenir le résultat ci-dessus attendu, je cherche un outil en mesure de
faire ça par lots: J'ai actuellement 66.000 clichés à traiter.

Le gros problème des exemples que tu nous as fournis, c'est
l'irrégularité de l'éclairage qui parfois dépasse le contraste local de
l'encre pâle sur un fond à peine plus clair.
C'est un défaut majeur, mais il va falloir faire avec.
https://www.cjoint.com/data/HAmhaagXuFi_P1260838.JPG
https://www.cjoint.com/data/HAmoNHzCWFi_P1310721.JPG
https://www.cjoint.com/data/HAnj1oDyXii_Longueil-1770-009.JPG
L'idéal serait de rééquilibrer ce déséquilibre d'éclairage (par Picasa
ou autre) avant tout traitement, mais ces milliers de clichés ne peuvent
évidemment pas être repris un par un car ce déséquilibre n'est
certainement pas constant.
Il te faut donc une méthode qui te permette d'exploiter au mieux, et par
lot, ces nombreux fichiers en acceptant certains défauts sans que le but
initial de lisibilité soit oublié.
Je te propose d'utiliser DxO Optics Pro 11 (gratuit).
Ce logiciel comporte 36 préréglages dont le résultat est affiché sous
forme de vignette.
Pour tes clichés, celui qui semble le plus adapté est HDR noir et blanc.
En un clic, la photo est traitée et sauvegardée.
On peut traiter chaque photo individuellement, ou faire une
multi-sélection. Dans ce cas, tout le lot sera traité en un clic. Ça
peut donc aller très vite.
Certaines zones restent un peu sombres, mais pour mieux les lire, il
suffit, lors de l'affichage sur écran, de déplacer le curseur de
luminosité, comme tu peux le vérifier ci-après.
Ça donne ceci :
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAnmrFXtrZX_P1260838-DxO-HDR-N-B.jpg
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAnmsqvjStX_P1310721-DxO-HDR-N-B.jpg
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAnms4DPvxX_Longueil-1770-009-DxO-HDR-N-B.jpg
Le destinataire peut donc recevoir le fichier original et le fichier DxO
dont il peut éventuellement améliorer la lecture de certaines zones par
une opération simple de déplacement d'un curseur.

Pourquoi corriger l'éclairage en post production?

J'ai bien écrit dans le titre : " ... pour les fichiers déjà existants ".
Beaucoup plus simple de bien faire l'éclairage.

C'est ce que je dis depuis le début, mais le mal est fait.
L'association ne va pas refaire tous ces clichés. Ils sont de toutes
façons exploitables, voir ci-dessus.
Plusieurs possibilités existent. Oui les flashes. Mais avec un éclairage
continue le travail est facilité: visibilité assurée pour le
positionnement, bas iso, choix d'une ouverture constante, c'est le temps
d'exposition qui est ajusté.
1) 4 ampoules fluo compact destinés à la photos, avec ou sans réflecteurs, montées aux 4 coins de la "boite blanche".
2) 2 tubes fluorescents à gauche et à droite de la boite - photo si possible mais pas indispensable car le script corrigera tout.
Avant de photographier un lot de document il faut s'assurer que l'éclairage est vraiment répartie régulièrement sur toute la surface de travail, les 4 coins et le centre. Et plus si la surface est grande en éloignant les sources lumineuses ou en ajoutant des diffuseurs (Picard évidemment).

On peut vérifier que l'éclairage est équilibré avec un posemètre.
Une bonne préparation évitera des heures et des jours de vérifications et corrections.

Photographier des documents anciens, c'est un métier.
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Pierre Maurette
Thierry Houx :
Alors voilà, pour mon association, nous faisons des photos de registres dans
les mairies, archives? etc.
Nos photos sont faites souvent en conditions difficiles: Eclairage
artificiel, lumières parasites, ...
Vous avez bien compris que deux choses sont essentielles, la netteté et la
lisibilité du document obtenu.
Comme le documents originel doit être systématiquement corrigé pour obtenir
le résultat ci-dessus attendu, je cherche un outil en mesure de faire ça par
lots: J'ai actuellement 66.000 clichés à traiter.
Un exemple de document (loin d'être le plus mauvais):
https://www.cjoint.com/c/HAmhaagXuFi

Je suppose - sinon je n'ai rien compris - que les images seront
exploitées par un certain nombre de bénévoles que je nommerai
"décrypteurs" qui vont tenter de les lire et d'alimenter une base de
données ou simplement des documents texte.
Les deux exemples que vous proposez laissent penser que les originaux
sont corrects, et que le texte va de "lisible" à "même pas devinable".
On voit que parfois à cause de plusieurs encres différentes une image
aurait mérité plusieurs prises, mais il faut faire avec ce qu'on a.
Il faut éviter de partir de la conclusion: "le documents originel doit
être systématiquement corrigé etc.". La nécessité d'une correction
préalable ne me paraît pas évidente, en tout cas il faut absolument
éviter de faire dispataître de l'information au cours de cette phase.
Je pense également que le décrypteur sera mieux avec une image fidèle,
caractérisant bien l'état, le type, l'âge du document.
Ce que je ferais: je regarderai d'abord s'il y a lieu de partitionner
les documents en quelques (deux à quatre ?) types, par exemple
manuscrits, typoscripts, déclinés en bon et mauvais état. Ou/et
appareil photo, s'il y en a eu peu d'utilisés. Ensuite dans chaque
partition, ou sur un échantillonage global, je testerais une correction
automatique basique à partir d'un logiciel de qualité. Par exemple
couleur auto, expo auto, contraste auto, courbe contraste élevé
(discutable), une chouille fixe de clarté, 75 de netteté, 50 de
débruitage.
Vous l'appliquez avec vos logiciels soit de façon destructive sur une
copie ou en la créant (à la Bridge + Photoshop), soit à la Lightroom,
c'est à dire en un clic de copie de paramètres de développement, mais
il faudra ensuite exporter.
Il restera à mettre à disposition de vos décrypteurs une interface
confortable, dans laquelle il pourra manipuler quelques curseurs, dont
luminosité et contraste, et basculer facilement à zoom 100%. Notez que
si vos images sont sur un site, il est très facile de faire un tel
portail en utilisant des filtres HTML.
--
Pierre Maurette
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Hic
On Sun, 14 Jan 2018 05:46:36 +0100, Thierry Houx
wrote:
Le 13/01/2018 à 19:47, efji a écrit :
Le 13/01/2018 à 19:43, Alf92 a écrit :
François :
Le 13/01/2018 à 12:36, GhostRaider a écrit :

Utiliser un APN à flash automatique, comme un réflex Nikon, donnerait
les meilleurs résultats.

Ben non. Jamais de flash sur les documents anciens, ça accélère leur
dégradation.

légende urbaine
un flash même puissant dégrade beaucoup moins un document qu'une lampe
de 100W pendant 5 secondes

C'est clair. Dans les musées c'est juste le fait que c'est super chiant
d'avoir des flashes qui crépitent qui justifie l'interdiction.

C'est quand même une contrainte: Aux archives et dans certaines mairies,
ils interdisent le flash ou l'éclairage d'appoint. Cela contraint à
essayer d'éviter l'éclairage ambiant artificiel et de se mettre près
d'une fenêtre afin de bénéficier au mieux de la lumière du jour; comme
nous sommes en Haute-Normandie, ce n'est pas toujours simple.

contentes toi d'exposer correctement les documents éclairés avec une
lumière uniforme sur une surface plane (carton derrière incliné à 45°)
si tu respectes ceci ,tu n'auras besoin de rien d'autre.
noircir l'encre en postprod,ne sert à rien pour le décodage
quant à Différentier 2 encres qui se recouvrent en postprod
, ni penses même pas, tentes directement la prise de vue aux UV
En photographie,il faut tout faire à la prise de vue, le maximum.
Avatar
Hic
On Sun, 14 Jan 2018 08:26:13 +0100, GhostRaider
wrote:
Le 14/01/2018 à 05:46, Thierry Houx a écrit :
Le 13/01/2018 à 19:47, efji a écrit :
Le 13/01/2018 à 19:43, Alf92 a écrit :
François :
Le 13/01/2018 à 12:36, GhostRaider a écrit :

Utiliser un APN à flash automatique, comme un réflex Nikon, donnerait
les meilleurs résultats.

Ben non. Jamais de flash sur les documents anciens, ça accélère leur
dégradation.

légende urbaine
un flash même puissant dégrade beaucoup moins un document qu'une lampe
de 100W pendant 5 secondes

C'est clair. Dans les musées c'est juste le fait que c'est super
chiant d'avoir des flashes qui crépitent qui justifie l'interdiction.

C'est quand même une contrainte: Aux archives et dans certaines mairies,
ils interdisent le flash ou l'éclairage d'appoint. Cela contraint à
essayer d'éviter l'éclairage ambiant artificiel et de se mettre près
d'une fenêtre afin de bénéficier au mieux de la lumière du jour; comme
nous sommes en Haute-Normandie, ce n'est pas toujours simple.

Si on se met près d'une fenêtre, il faut impérativement disposer un
écran blanc du côté opposé pour équilibrer la lumière.

L'alternative est d'incliner le document
incliner le document à 45°, un carton derrière le feuillet
on a+de lumière sur une surface + plane donc meuilleure uniformité
++ un reflecteur pour réèquilibrer cet éclairage lègérement
lattéralisé
si la lumière arrive à droite, un reflecteur à gauche
et là on est bon
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Thierry Houx
Le 14/01/2018 à 09:16, Hic a écrit :
On Sun, 14 Jan 2018 05:46:36 +0100, Thierry Houx
wrote:
Le 13/01/2018 à 19:47, efji a écrit :
Le 13/01/2018 à 19:43, Alf92 a écrit :
François :
Le 13/01/2018 à 12:36, GhostRaider a écrit :

Utiliser un APN à flash automatique, comme un réflex Nikon, donnerait
les meilleurs résultats.

Ben non. Jamais de flash sur les documents anciens, ça accélère leur
dégradation.

légende urbaine
un flash même puissant dégrade beaucoup moins un document qu'une lampe
de 100W pendant 5 secondes

C'est clair. Dans les musées c'est juste le fait que c'est super chiant
d'avoir des flashes qui crépitent qui justifie l'interdiction.

C'est quand même une contrainte: Aux archives et dans certaines mairies,
ils interdisent le flash ou l'éclairage d'appoint. Cela contraint à
essayer d'éviter l'éclairage ambiant artificiel et de se mettre près
d'une fenêtre afin de bénéficier au mieux de la lumière du jour; comme
nous sommes en Haute-Normandie, ce n'est pas toujours simple.

contentes toi d'exposer correctement les documents éclairés avec une
lumière uniforme sur une surface plane (carton derrière incliné à 45°)
si tu respectes ceci ,tu n'auras besoin de rien d'autre.
noircir l'encre en postprod,ne sert à rien pour le décodage
quant à Différentier 2 encres qui se recouvrent en postprod
, ni penses même pas, tentes directement la prise de vue aux UV
En photographie,il faut tout faire à la prise de vue, le maximum.

OK, il me faut trouver comment faire pour ne pas perdre en rapidité,
sinon cela multiplie le nombre de déplacements.
Une séance de photo en mairie, c'est en moyenne environ 800 clichés pour
3 heures.
Avatar
Pierre Maurette
Den :
Thierry Houx wrote:
les documents durs à décrypter, comme cet exemple (encre
à travers le papier):
https://www.cjoint.com/c/HAnj1oDyXii

J'ai aussi ce problème lors de la photocopie de documents recto-verso : le
recto apparaît en transparence sur le recto. Pour palier ce problème,
je mets un carton gris moyen derrière la page que je veux copier : le
contraste du verso est alors réduit, donc la lecture du verso vient moins
parasiter celle du recto.

Pourquoi gris ?
Sur mes scanners (tous, un HP d'abord puis ceux de mes multifonctions)
le binz qui appuie sur le document est blanc (brillant, ou satiné).
L'idée est sans doute que sur un document simple face ça augmente le
contraste. Mais sur un recto-verso la visibilté du verso est *très*
gênante. J'intercale systématiquement une A4 Canson noir mat, le
résultat est indiscutable, et je sais que c'est une pratique logique et
courante.
--
Pierre Maurette
Avatar
Thierry Houx
Le 14/01/2018 à 08:36, GhostRaider a écrit :
Le 13/01/2018 à 22:44, René a écrit :
Le samedi 13 janvier 2018 07:31:48 UTC-5, GhostRaider a écrit :
Le 12/01/2018 à 08:01, Thierry Houx a écrit :
Alors voilà, pour mon association, nous faisons des photos de registres
dans les mairies, archives? etc.
Nos photos sont faites souvent en conditions difficiles: Eclairage
artificiel, lumières parasites, ...
Vous avez bien compris que deux choses sont essentielles, la netteté et
la lisibilité du document obtenu.
Comme le documents originel doit être systématiquement corrigé pour
obtenir le résultat ci-dessus attendu, je cherche un outil en mesure de
faire ça par lots: J'ai actuellement 66.000 clichés à traiter.

Le gros problème des exemples que tu nous as fournis, c'est
l'irrégularité de l'éclairage qui parfois dépasse le contraste local de
l'encre pâle sur un fond à peine plus clair.
C'est un défaut majeur, mais il va falloir faire avec.
https://www.cjoint.com/data/HAmhaagXuFi_P1260838.JPG
https://www.cjoint.com/data/HAmoNHzCWFi_P1310721.JPG
https://www.cjoint.com/data/HAnj1oDyXii_Longueil-1770-009.JPG
L'idéal serait de rééquilibrer ce déséquilibre d'éclairage (par Picasa
ou autre) avant tout traitement, mais ces milliers de clichés ne peuvent
évidemment pas être repris un par un car ce déséquilibre n'est
certainement pas constant.
Il te faut donc une méthode qui te permette d'exploiter au mieux, et par
lot, ces nombreux fichiers en acceptant certains défauts sans que le but
initial de lisibilité soit oublié.
Je te propose d'utiliser DxO Optics Pro 11 (gratuit).
Ce logiciel comporte 36 préréglages dont le résultat est affiché sous
forme de vignette.
Pour tes clichés, celui qui semble le plus adapté est HDR noir et blanc.
En un clic, la photo est traitée et sauvegardée.
On peut traiter chaque photo individuellement, ou faire une
multi-sélection. Dans ce cas, tout le lot sera traité en un clic. Ça
peut donc aller très vite.
Certaines zones restent un peu sombres, mais pour mieux les lire, il
suffit, lors de l'affichage sur écran, de déplacer le curseur de
luminosité, comme tu peux le vérifier ci-après.
Ça donne ceci :
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAnmrFXtrZX_P1260838-DxO-HDR-N-B.jpg
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAnmsqvjStX_P1310721-DxO-HDR-N-B.jpg
https://www.cjoint.com/doc/18_01/HAnms4DPvxX_Longueil-1770-009-DxO-HDR-N-B.jpg
Le destinataire peut donc recevoir le fichier original et le fichier DxO
dont il peut éventuellement améliorer la lecture de certaines zones par
une opération simple de déplacement d'un curseur.

Pourquoi corriger l'éclairage en post production?

J'ai bien écrit dans le titre : "  ... pour les fichiers déjà existants ".

Oui, ces dizaines de milliers de fichiers se sont faits sur plusieurs
années, avec des appareils photo différents, et bien sûr des
photographes différents. Depuis, certains documents ne sont plus
accessible car versés aux archives qui mettrons au moins une décennie
avant de les rendre accessibles.
Beaucoup plus simple de bien faire l'éclairage.

C'est ce que je dis depuis le début, mais le mal est fait.
L'association ne va pas refaire tous ces clichés. Ils sont de toutes
façons exploitables, voir ci-dessus.

Oui, voir plus haut. Depuis, on a acquis l'outil clic archive qui
simplifie le travail, le gros problème est l'éclairage qui est un
problème du à l'environnement et difficile à maîtriser.
Plusieurs possibilités existent. Oui les flashes. Mais avec un éclairage
continue le travail est facilité: visibilité assurée pour le
positionnement, bas iso, choix d'une ouverture constante, c'est le temps
d'exposition qui est ajusté.
1) 4 ampoules fluo compact destinés à la photos, avec ou sans
réflecteurs, montées aux 4 coins de la "boite blanche".
2) 2 tubes fluorescents à gauche et à droite de la boite - photo si
possible mais pas indispensable car le script corrigera tout.
Avant de photographier un lot de document il faut s'assurer que
l'éclairage est vraiment répartie régulièrement sur toute la surface
de travail, les 4 coins et le centre. Et plus si la surface est grande
en éloignant les sources lumineuses ou en ajoutant des diffuseurs
(Picard évidemment).


Problème: L'éclairage artificiel nous est interdit; l'outil clic archive
en fournit un LED qu'on utilise discrètement, mais qui se fait "écraser"
par un éclairage ambiant au néon.
On peut vérifier que l'éclairage est équilibré avec un posemètre.
Une bonne préparation évitera des heures et des jours de vérifications
et corrections.

Photographier des documents anciens, c'est un métier.

Oui, les archives ont un bon équipement, mais ne peuvent mettre à
disposition tout ce dont nous avons besoins. Par ailleurs, sur place en
mairie reste notre outil.
La maîtrise de la prise de vue ce serait l'idéal, mais vraiment très
difficile à mettre en oeuvre. C'est donc après qu'on peut corriger,
raison pour laquelle je recherche un moyen relativement rapide et
surtout automatique.
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GhostRaider
Le 14/01/2018 à 09:52, Thierry Houx a écrit :
Le 14/01/2018 à 09:16, Hic a écrit :
On Sun, 14 Jan 2018 05:46:36 +0100, Thierry Houx
wrote:
Le 13/01/2018 à 19:47, efji a écrit :
Le 13/01/2018 à 19:43, Alf92 a écrit :
François :
Le 13/01/2018 à 12:36, GhostRaider a écrit :

Utiliser un APN à flash automatique, comme un réflex Nikon,
donnerait
les meilleurs résultats.

Ben non. Jamais de flash sur les documents anciens, ça accélère leur
dégradation.

légende urbaine
un flash même puissant dégrade beaucoup moins un document qu'une lampe
de 100W pendant 5 secondes

C'est clair. Dans les musées c'est juste le fait que c'est super chiant
d'avoir des flashes qui crépitent qui justifie l'interdiction.

C'est quand même une contrainte: Aux archives et dans certaines mairies,
ils interdisent le flash ou l'éclairage d'appoint. Cela contraint à
essayer d'éviter l'éclairage ambiant artificiel et de se mettre près
d'une fenêtre afin de bénéficier au mieux de la lumière du jour; comme
nous sommes en Haute-Normandie, ce n'est pas toujours simple.



La lumière du jour est la meilleure à condition de la rééquilibrer par
un écran blanc mat du côté opposé.
contentes toi d'exposer correctement  les documents éclairés avec une
lumière uniforme sur une surface plane (carton derrière incliné à 45°)
si tu respectes ceci ,tu n'auras besoin de rien d'autre.
noircir l'encre  en postprod,ne sert à rien  pour le décodage
quant à Différentier 2 encres qui se recouvrent en postprod
, ni penses même pas, tentes directement  la prise de vue aux UV
En photographie,il faut tout faire  à la prise de vue, le maximum.

OK, il me faut trouver comment faire pour ne pas perdre en rapidité,
sinon cela multiplie le nombre de déplacements.
Une séance de photo en mairie, c'est en moyenne environ 800 clichés pour
3 heures.

Pour ce travail, j'utiliserais deux feuilles de carton blanc de hauteur
environ 2/3 de la hauteur de travail de la tête du scanner et de largeur
adaptée au format des documents, scotchées sur le grand côté pour faire
une charnière.
A la prise de vue, je placerais ce dispositif ouvert à 90° du côté
opposé à la lumière de la fenêtre. Il permettrait aussi de couper les
lumières parasites éventuelles et de mieux répartir la lumière des leds.
Il tiendrait tout seul en place et serait facilement déplaçable pour le
réglage.
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efji
Le 14/01/2018 à 10:11, Thierry Houx a écrit :
La maîtrise de la prise de vue ce serait l'idéal, mais vraiment très
difficile à mettre en oeuvre. C'est donc après qu'on peut corriger,
raison pour laquelle je recherche un moyen relativement rapide et
surtout automatique.

Je pense qu'il est temps de synthétiser tout ce qui a été dit (de
pertinent) jusqu'à présent :
1/ Les outils de traitement par lot existent et sont très nombreux.
J'ajouterai ImageMagick qui permet à peu près de tout faire en ligne de
commande (et donc avec des scripts) qui est sans doute le plus puissant
de tout ce qui a été cité.
2/ Etant donné le problème (archive immense avec une multitude de prises
de vue, sous une multitude d'environnements/appareil/éclairages) il est
évident d'un traitement unique est inadapté.
3/ Un traitement est toujours destructif (paradoxal lorsque le but est
de conserver des archives) donc en cas de traitement il faut se taper
une double sauvegarde (des originaux et des fichiers traités).
4/ Si le but est la lisibilité, il faut surtout ne rien faire et laisser
le lecteur éventuel jouer manuellement s'il le souhaite avec l'image
pour la rendre plus lisible.
5/ Pour la suite des festivités, essayer de soigner la prise de vue...
--
F.J.
8 9 10 11 12