enregistré son dernier disque (les variations Goldberg version 2).
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jean-daniel dodin wrote:Je me souviens aussi que le piano est un des instruments les plus
difficiles à imiter en électronique et à restituer dans un haut
parleur.
Le problème n'est pas exactement là. J'ai participé à des tests en
double aveugle, dans un auditorium dessiné par les ingénieurs
acoustiques de l'Ircam, avec "le" piano de concert dont le son avait
servi à l'échantillonnage source et "le" piano numérique haut de gamme
amplifié (ou non) dans des conditions décentes (je travaillais comme
spécialiste "produits numériques" pour cette marque).
faveurs de NS). En particulier la possibilité de jouer à volume réduit
(adaptable à l'environnement)
(1) je pense entre autres aux batteries numériques comme celle qui se
trouve 3m à gauche de mon bureau et sur laquelle *aucun* batteur pro n'a
jamais dit qu'il n'était pas agréable de taper un boeuf et d'y prendre
plaisir ! (Avis aux amateurs !).
jean-daniel dodin <jdd@dodin.org> wrote:
Je me souviens aussi que le piano est un des instruments les plus
difficiles à imiter en électronique et à restituer dans un haut
parleur.
Le problème n'est pas exactement là. J'ai participé à des tests en
double aveugle, dans un auditorium dessiné par les ingénieurs
acoustiques de l'Ircam, avec "le" piano de concert dont le son avait
servi à l'échantillonnage source et "le" piano numérique haut de gamme
amplifié (ou non) dans des conditions décentes (je travaillais comme
spécialiste "produits numériques" pour cette marque).
faveurs de NS). En particulier la possibilité de jouer à volume réduit
(adaptable à l'environnement)
(1) je pense entre autres aux batteries numériques comme celle qui se
trouve 3m à gauche de mon bureau et sur laquelle *aucun* batteur pro n'a
jamais dit qu'il n'était pas agréable de taper un boeuf et d'y prendre
plaisir ! (Avis aux amateurs !).
jean-daniel dodin wrote:Je me souviens aussi que le piano est un des instruments les plus
difficiles à imiter en électronique et à restituer dans un haut
parleur.
Le problème n'est pas exactement là. J'ai participé à des tests en
double aveugle, dans un auditorium dessiné par les ingénieurs
acoustiques de l'Ircam, avec "le" piano de concert dont le son avait
servi à l'échantillonnage source et "le" piano numérique haut de gamme
amplifié (ou non) dans des conditions décentes (je travaillais comme
spécialiste "produits numériques" pour cette marque).
faveurs de NS). En particulier la possibilité de jouer à volume réduit
(adaptable à l'environnement)
(1) je pense entre autres aux batteries numériques comme celle qui se
trouve 3m à gauche de mon bureau et sur laquelle *aucun* batteur pro n'a
jamais dit qu'il n'était pas agréable de taper un boeuf et d'y prendre
plaisir ! (Avis aux amateurs !).
Cette remarque présuppose un environnement hautement hostile à la pratique
instrumentale !
Cette remarque présuppose un environnement hautement hostile à la pratique
instrumentale !
Cette remarque présuppose un environnement hautement hostile à la pratique
instrumentale !
Et si vraiment
l'apprenti pianiste se mue en futur musicien, il sera temps alors de
songer à un achat plus "consistant".
Et si vraiment
l'apprenti pianiste se mue en futur musicien, il sera temps alors de
songer à un achat plus "consistant".
Et si vraiment
l'apprenti pianiste se mue en futur musicien, il sera temps alors de
songer à un achat plus "consistant".
Non pas à la pratique mais à la fréquence de cette pratique et à ses
horaires, mais aussi à son apprentissage, qui est pénible pour ceux qui
entendent.
Non pas à la pratique mais à la fréquence de cette pratique et à ses
horaires, mais aussi à son apprentissage, qui est pénible pour ceux qui
entendent.
Non pas à la pratique mais à la fréquence de cette pratique et à ses
horaires, mais aussi à son apprentissage, qui est pénible pour ceux qui
entendent.
Sauf que ma sottise tient compte de toutes les informations dont je
dispose, et de l'heure à laquelle j'ai répondu.
Et rejoignent également leurs tarifs. Une idée du prix d'un piano
numérique "haut de gamme" que tu préconises ? Pas moins de 4000¤.
Et si elle n'était d'abord intéressée que par l'instrument ? je crois
que c'est ce qui doit motiver avant tout un élève, et je constate tous
les jours que c'est une réalité chez la plupart des élèves.
En fait, j'ai un Mark VI, pour faire référence à ton Yamaha, mais le
mien, c'est un Selmer.
Ceci dit, je ne
comprends absolument pas ton paragraphe psychorigide dans lequel je
crois comprendre qu'il ne faudrait jouer sur un instrument donné que les
oeuvres dont il a réellement été le contemporain.
C'est d'une aberration
qui me laisse coi.
Sauf que ma sottise tient compte de toutes les informations dont je
dispose, et de l'heure à laquelle j'ai répondu.
Et rejoignent également leurs tarifs. Une idée du prix d'un piano
numérique "haut de gamme" que tu préconises ? Pas moins de 4000¤.
Et si elle n'était d'abord intéressée que par l'instrument ? je crois
que c'est ce qui doit motiver avant tout un élève, et je constate tous
les jours que c'est une réalité chez la plupart des élèves.
En fait, j'ai un Mark VI, pour faire référence à ton Yamaha, mais le
mien, c'est un Selmer.
Ceci dit, je ne
comprends absolument pas ton paragraphe psychorigide dans lequel je
crois comprendre qu'il ne faudrait jouer sur un instrument donné que les
oeuvres dont il a réellement été le contemporain.
C'est d'une aberration
qui me laisse coi.
Sauf que ma sottise tient compte de toutes les informations dont je
dispose, et de l'heure à laquelle j'ai répondu.
Et rejoignent également leurs tarifs. Une idée du prix d'un piano
numérique "haut de gamme" que tu préconises ? Pas moins de 4000¤.
Et si elle n'était d'abord intéressée que par l'instrument ? je crois
que c'est ce qui doit motiver avant tout un élève, et je constate tous
les jours que c'est une réalité chez la plupart des élèves.
En fait, j'ai un Mark VI, pour faire référence à ton Yamaha, mais le
mien, c'est un Selmer.
Ceci dit, je ne
comprends absolument pas ton paragraphe psychorigide dans lequel je
crois comprendre qu'il ne faudrait jouer sur un instrument donné que les
oeuvres dont il a réellement été le contemporain.
C'est d'une aberration
qui me laisse coi.
C'est toute l'histoire de "la question de l'instrument" débattue par
Glenn Gould dans la première émission de Montsaingeon en 79. Accepter ou
pas les évolutions techniques voire le caractère iconoclaste de jouer du
Bach au piano (ou du classique au piano numérique par extension). Je me
faisais l'avocat du diable, en défendant, comme lui, l'intérêt
d'accompagner les évolutions techniques.
C'est toute l'histoire de "la question de l'instrument" débattue par
Glenn Gould dans la première émission de Montsaingeon en 79. Accepter ou
pas les évolutions techniques voire le caractère iconoclaste de jouer du
Bach au piano (ou du classique au piano numérique par extension). Je me
faisais l'avocat du diable, en défendant, comme lui, l'intérêt
d'accompagner les évolutions techniques.
C'est toute l'histoire de "la question de l'instrument" débattue par
Glenn Gould dans la première émission de Montsaingeon en 79. Accepter ou
pas les évolutions techniques voire le caractère iconoclaste de jouer du
Bach au piano (ou du classique au piano numérique par extension). Je me
faisais l'avocat du diable, en défendant, comme lui, l'intérêt
d'accompagner les évolutions techniques.
> te vexe pas, c'était pas vraiment très agressif ! Un peu comme si tu
prenais "méchant" pour une injure ! On est loin du cri qui tue :-)
Meuh non ! Ça c'est les prix de machins avec systèmes d'accompagnement,
arrangeurs, partition qui s'affiche sur l'écran-pupitre et logiciels
intégrés d'apprentissage etc. Dès que tu redescends dans des modèles qui
se limitent à un bon son de piano et à un clavier à action de marteaux
progressive (comme on dit), c'est moins de la moitié !
Pas faux. Difficile de croire pour autant qu'elle n'ait pas un genre de
"projet" musical, une imprégnation...
on est dans un cas où il n'y a *pas* de piano déjà à la maison (pour
lequel elle aurait pu développer une affection), un peu comme une gamine
qui aurait ou n'aurait pas un cheval chez elle et qui voudrait apprendre
à monter. Gros pari et investissement à faire de la part des parents,
gros parcours à venir pour une apprentissage dur dont les enfants n'ont
plus l'habitude... Tout le monde n'est pas Petrucciani (et à défaut de
piano, il vivait dans une ambiance fortement musicale !).
J'aurais plus tendance, dans ce cas, à orienter vers une école de
musique municipale ou un conservatoire, dans lesquels les années
préalables de solfège permettent de se faire une idée de la motivation
et des moyens qu'il faut y consacrer (et de l'attitude par rapport à la
"musique").
Voilà ! On n'a plus qu'à ouvrir le real book. Donna Lee ? Scrapple from
the Apple ? Lover Man ? Song for Lester Young ? Django ? Naïma ?
C'est toute l'histoire de "la question de l'instrument" débattue par
Glenn Gould dans la première émission de Montsaingeon en 79.
faisais l'avocat du diable, en défendant, comme lui, l'intérêt
d'accompagner les évolutions techniques.
Non c'est une option qui peut se défendre et qui est défendue par de
grand noms (baroqueux entre autres). Elle n'est toutefois pas la mienne.
> te vexe pas, c'était pas vraiment très agressif ! Un peu comme si tu
prenais "méchant" pour une injure ! On est loin du cri qui tue :-)
Meuh non ! Ça c'est les prix de machins avec systèmes d'accompagnement,
arrangeurs, partition qui s'affiche sur l'écran-pupitre et logiciels
intégrés d'apprentissage etc. Dès que tu redescends dans des modèles qui
se limitent à un bon son de piano et à un clavier à action de marteaux
progressive (comme on dit), c'est moins de la moitié !
Pas faux. Difficile de croire pour autant qu'elle n'ait pas un genre de
"projet" musical, une imprégnation...
on est dans un cas où il n'y a *pas* de piano déjà à la maison (pour
lequel elle aurait pu développer une affection), un peu comme une gamine
qui aurait ou n'aurait pas un cheval chez elle et qui voudrait apprendre
à monter. Gros pari et investissement à faire de la part des parents,
gros parcours à venir pour une apprentissage dur dont les enfants n'ont
plus l'habitude... Tout le monde n'est pas Petrucciani (et à défaut de
piano, il vivait dans une ambiance fortement musicale !).
J'aurais plus tendance, dans ce cas, à orienter vers une école de
musique municipale ou un conservatoire, dans lesquels les années
préalables de solfège permettent de se faire une idée de la motivation
et des moyens qu'il faut y consacrer (et de l'attitude par rapport à la
"musique").
Voilà ! On n'a plus qu'à ouvrir le real book. Donna Lee ? Scrapple from
the Apple ? Lover Man ? Song for Lester Young ? Django ? Naïma ?
C'est toute l'histoire de "la question de l'instrument" débattue par
Glenn Gould dans la première émission de Montsaingeon en 79.
faisais l'avocat du diable, en défendant, comme lui, l'intérêt
d'accompagner les évolutions techniques.
Non c'est une option qui peut se défendre et qui est défendue par de
grand noms (baroqueux entre autres). Elle n'est toutefois pas la mienne.
> te vexe pas, c'était pas vraiment très agressif ! Un peu comme si tu
prenais "méchant" pour une injure ! On est loin du cri qui tue :-)
Meuh non ! Ça c'est les prix de machins avec systèmes d'accompagnement,
arrangeurs, partition qui s'affiche sur l'écran-pupitre et logiciels
intégrés d'apprentissage etc. Dès que tu redescends dans des modèles qui
se limitent à un bon son de piano et à un clavier à action de marteaux
progressive (comme on dit), c'est moins de la moitié !
Pas faux. Difficile de croire pour autant qu'elle n'ait pas un genre de
"projet" musical, une imprégnation...
on est dans un cas où il n'y a *pas* de piano déjà à la maison (pour
lequel elle aurait pu développer une affection), un peu comme une gamine
qui aurait ou n'aurait pas un cheval chez elle et qui voudrait apprendre
à monter. Gros pari et investissement à faire de la part des parents,
gros parcours à venir pour une apprentissage dur dont les enfants n'ont
plus l'habitude... Tout le monde n'est pas Petrucciani (et à défaut de
piano, il vivait dans une ambiance fortement musicale !).
J'aurais plus tendance, dans ce cas, à orienter vers une école de
musique municipale ou un conservatoire, dans lesquels les années
préalables de solfège permettent de se faire une idée de la motivation
et des moyens qu'il faut y consacrer (et de l'attitude par rapport à la
"musique").
Voilà ! On n'a plus qu'à ouvrir le real book. Donna Lee ? Scrapple from
the Apple ? Lover Man ? Song for Lester Young ? Django ? Naïma ?
C'est toute l'histoire de "la question de l'instrument" débattue par
Glenn Gould dans la première émission de Montsaingeon en 79.
faisais l'avocat du diable, en défendant, comme lui, l'intérêt
d'accompagner les évolutions techniques.
Non c'est une option qui peut se défendre et qui est défendue par de
grand noms (baroqueux entre autres). Elle n'est toutefois pas la mienne.
lequel elle aurait pu développer une affection), un peu comme une gamine
qui aurait ou n'aurait pas un cheval chez elle et qui voudrait apprendre
à monter. Gros pari et investissement à faire de la part des parents,
lequel elle aurait pu développer une affection), un peu comme une gamine
qui aurait ou n'aurait pas un cheval chez elle et qui voudrait apprendre
à monter. Gros pari et investissement à faire de la part des parents,
lequel elle aurait pu développer une affection), un peu comme une gamine
qui aurait ou n'aurait pas un cheval chez elle et qui voudrait apprendre
à monter. Gros pari et investissement à faire de la part des parents,
> > Et rejoignent également leurs tarifs. Une idée du prix d'un piano
> > numérique "haut de gamme" que tu préconises ? Pas moins de 4000¤.
>
> Meuh non ! Ça c'est les prix de machins avec systèmes d'accompagnement,
> arrangeurs, partition qui s'affiche sur l'écran-pupitre et logiciels
> intégrés d'apprentissage etc. Dès que tu redescends dans des modèles qui
> se limitent à un bon son de piano et à un clavier à action de marteaux
> progressive (comme on dit), c'est moins de la moitié !
En fait, je ne considère pas mon clavinova clp 230 comme un piano
numérique haut de gamme et pensais plutôt aux N100, F01 et H01, sans
système d'accompagnement, et sans écran à la *$@&*
poignet et doigts mous et sans vitalité aucune
> > Et rejoignent également leurs tarifs. Une idée du prix d'un piano
> > numérique "haut de gamme" que tu préconises ? Pas moins de 4000¤.
>
> Meuh non ! Ça c'est les prix de machins avec systèmes d'accompagnement,
> arrangeurs, partition qui s'affiche sur l'écran-pupitre et logiciels
> intégrés d'apprentissage etc. Dès que tu redescends dans des modèles qui
> se limitent à un bon son de piano et à un clavier à action de marteaux
> progressive (comme on dit), c'est moins de la moitié !
En fait, je ne considère pas mon clavinova clp 230 comme un piano
numérique haut de gamme et pensais plutôt aux N100, F01 et H01, sans
système d'accompagnement, et sans écran à la *$@&*
poignet et doigts mous et sans vitalité aucune
> > Et rejoignent également leurs tarifs. Une idée du prix d'un piano
> > numérique "haut de gamme" que tu préconises ? Pas moins de 4000¤.
>
> Meuh non ! Ça c'est les prix de machins avec systèmes d'accompagnement,
> arrangeurs, partition qui s'affiche sur l'écran-pupitre et logiciels
> intégrés d'apprentissage etc. Dès que tu redescends dans des modèles qui
> se limitent à un bon son de piano et à un clavier à action de marteaux
> progressive (comme on dit), c'est moins de la moitié !
En fait, je ne considère pas mon clavinova clp 230 comme un piano
numérique haut de gamme et pensais plutôt aux N100, F01 et H01, sans
système d'accompagnement, et sans écran à la *$@&*
poignet et doigts mous et sans vitalité aucune