Le 08/06/2014 10:41, Doug713705 a écrit :Tout à fait, sauf que les gens sont déjà informés (Wikileak, Snowden
pour ne citer qu'eux).
Alors
1) Les gens sont PAS informés, ils sont ignorants de tas de choses
déterminantes.
2) Ils ne VEULENT PAS être informé, dans le sens où l'information qu'ils
devraient posséder, ils la rejettent pour des raisons de <trop long à
expliquer>
3) Wikileak, c'est du flan, de la clownerie, voir même une opération de
diversion
4) Snowden n'a fait qu'apprendre à la masse amorphe ce que tout geek
sainement paranoïaque savait déjà.
5) Snowden et Wikileak n'apprennent rien de déterminant sur ce qui se
passe dans le monde, et on pouvait s'en passer ("on" c'est à dire les
gens qui s'informent)
Les gens savent qu'ils se font baiser dans les
grandes largeurs mais préfèrent en réclamer d'avantage que de dire stop.
Les savent qu'ils se font baiser, mais ne savent pas comment, ni
pourquoi, ni jusqu'où ça va aller, ni pourquoi, etc... Ils ne savent en
gros qu'une chose "tous pourris", et ils s'en contentent, car ils
considérerait toute autre perspective comme éminemment trop
"paranoïaque" et "invraisemblable".
L'information ne suffit pas, il faut également et surtout une
reflexion et une prise de conscience.
Là oui.En attendant, le système se remettra toujours debout, raison pour
laquelle il vain de lutter contre lui. Sortir du système est une
échappatoire mais elle n'offre aucune garantie, ni de succès, ni dans
le temps.
S'informer c'est déjà lutter contre le système. Le moteur du système,
c'est l'ignorance.
Le 08/06/2014 10:41, Doug713705 a écrit :
Tout à fait, sauf que les gens sont déjà informés (Wikileak, Snowden
pour ne citer qu'eux).
Alors
1) Les gens sont PAS informés, ils sont ignorants de tas de choses
déterminantes.
2) Ils ne VEULENT PAS être informé, dans le sens où l'information qu'ils
devraient posséder, ils la rejettent pour des raisons de <trop long à
expliquer>
3) Wikileak, c'est du flan, de la clownerie, voir même une opération de
diversion
4) Snowden n'a fait qu'apprendre à la masse amorphe ce que tout geek
sainement paranoïaque savait déjà.
5) Snowden et Wikileak n'apprennent rien de déterminant sur ce qui se
passe dans le monde, et on pouvait s'en passer ("on" c'est à dire les
gens qui s'informent)
Les gens savent qu'ils se font baiser dans les
grandes largeurs mais préfèrent en réclamer d'avantage que de dire stop.
Les savent qu'ils se font baiser, mais ne savent pas comment, ni
pourquoi, ni jusqu'où ça va aller, ni pourquoi, etc... Ils ne savent en
gros qu'une chose "tous pourris", et ils s'en contentent, car ils
considérerait toute autre perspective comme éminemment trop
"paranoïaque" et "invraisemblable".
L'information ne suffit pas, il faut également et surtout une
reflexion et une prise de conscience.
Là oui.
En attendant, le système se remettra toujours debout, raison pour
laquelle il vain de lutter contre lui. Sortir du système est une
échappatoire mais elle n'offre aucune garantie, ni de succès, ni dans
le temps.
S'informer c'est déjà lutter contre le système. Le moteur du système,
c'est l'ignorance.
Le 08/06/2014 10:41, Doug713705 a écrit :Tout à fait, sauf que les gens sont déjà informés (Wikileak, Snowden
pour ne citer qu'eux).
Alors
1) Les gens sont PAS informés, ils sont ignorants de tas de choses
déterminantes.
2) Ils ne VEULENT PAS être informé, dans le sens où l'information qu'ils
devraient posséder, ils la rejettent pour des raisons de <trop long à
expliquer>
3) Wikileak, c'est du flan, de la clownerie, voir même une opération de
diversion
4) Snowden n'a fait qu'apprendre à la masse amorphe ce que tout geek
sainement paranoïaque savait déjà.
5) Snowden et Wikileak n'apprennent rien de déterminant sur ce qui se
passe dans le monde, et on pouvait s'en passer ("on" c'est à dire les
gens qui s'informent)
Les gens savent qu'ils se font baiser dans les
grandes largeurs mais préfèrent en réclamer d'avantage que de dire stop.
Les savent qu'ils se font baiser, mais ne savent pas comment, ni
pourquoi, ni jusqu'où ça va aller, ni pourquoi, etc... Ils ne savent en
gros qu'une chose "tous pourris", et ils s'en contentent, car ils
considérerait toute autre perspective comme éminemment trop
"paranoïaque" et "invraisemblable".
L'information ne suffit pas, il faut également et surtout une
reflexion et une prise de conscience.
Là oui.En attendant, le système se remettra toujours debout, raison pour
laquelle il vain de lutter contre lui. Sortir du système est une
échappatoire mais elle n'offre aucune garantie, ni de succès, ni dans
le temps.
S'informer c'est déjà lutter contre le système. Le moteur du système,
c'est l'ignorance.
Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
(estimation pifométrique scientifiquement établie à partir de données
reccueilles au doigt mouillé).
Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
(estimation pifométrique scientifiquement établie à partir de données
reccueilles au doigt mouillé).
Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
(estimation pifométrique scientifiquement établie à partir de données
reccueilles au doigt mouillé).
On 2014-06-08, Doug713705 wrote:Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
(estimation pifométrique scientifiquement établie à partir de données
reccueilles au doigt mouillé).
Et fausses, très peu de gens sont informées car être informé signifie
une remise en question de valeurs qu'il est très difficile de ...
remettre en question et qu'on pourrait résumer par "Hi... était un
brave type".
En gros, tant que tu ne sais pas expliquer cette phrase, tu n'es pas
informé, tu crois l'être, mais tu ne l'es pas.
On 2014-06-08, Doug713705 <doug.letough@free.fr> wrote:
Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
(estimation pifométrique scientifiquement établie à partir de données
reccueilles au doigt mouillé).
Et fausses, très peu de gens sont informées car être informé signifie
une remise en question de valeurs qu'il est très difficile de ...
remettre en question et qu'on pourrait résumer par "Hi... était un
brave type".
En gros, tant que tu ne sais pas expliquer cette phrase, tu n'es pas
informé, tu crois l'être, mais tu ne l'es pas.
On 2014-06-08, Doug713705 wrote:Pas que. Le nombre de personnes qui sont informées et qui ne font rien
est bien plus important que le nombre de personne totalement niaises.
(estimation pifométrique scientifiquement établie à partir de données
reccueilles au doigt mouillé).
Et fausses, très peu de gens sont informées car être informé signifie
une remise en question de valeurs qu'il est très difficile de ...
remettre en question et qu'on pourrait résumer par "Hi... était un
brave type".
En gros, tant que tu ne sais pas expliquer cette phrase, tu n'es pas
informé, tu crois l'être, mais tu ne l'es pas.
T'es vraiment grave quand tu t'y mets.
On peut être informé sans pour autant être un sympathisant
pro-hiltlerien !
On peut aussi être partiellement informé ce qui suffit amplement pour
comprendre la situation. La plupart des gens de la classe moyenne
s'arrete à ce stade d'information partielle car au-delà il leur faudrait
commencer à réfléchir au renoncement de leur confort (relatif), de leur
avenir tel qu'il l'imaginait.
Il y a une limte à la double-pensée, depasser cette limite t'oblige à
faire un choix. Ne pas la franchir permet de se sentir (se croire si tu
préfères) éveillé _et_ de conserver son confort. Bref, de ne pas avoir à
faire de choix.
En gros, tant que tu ne sais pas expliquer cette phrase, tu n'es pas
informé, tu crois l'être, mais tu ne l'es pas.
Que l'histoire soit écrite par les vaincoeurs ne veut pas dire que
les perdants étaient de "braves types".
Tu sembles oublier qu'il ya tout un panel de nuances entre le dernier
des enculés et le brave type.
Bon, c'est pas tout ça mais on est super-hors-charte depuis un sacré
paquet de temps.
T'es vraiment grave quand tu t'y mets.
On peut être informé sans pour autant être un sympathisant
pro-hiltlerien !
On peut aussi être partiellement informé ce qui suffit amplement pour
comprendre la situation. La plupart des gens de la classe moyenne
s'arrete à ce stade d'information partielle car au-delà il leur faudrait
commencer à réfléchir au renoncement de leur confort (relatif), de leur
avenir tel qu'il l'imaginait.
Il y a une limte à la double-pensée, depasser cette limite t'oblige à
faire un choix. Ne pas la franchir permet de se sentir (se croire si tu
préfères) éveillé _et_ de conserver son confort. Bref, de ne pas avoir à
faire de choix.
En gros, tant que tu ne sais pas expliquer cette phrase, tu n'es pas
informé, tu crois l'être, mais tu ne l'es pas.
Que l'histoire soit écrite par les vaincoeurs ne veut pas dire que
les perdants étaient de "braves types".
Tu sembles oublier qu'il ya tout un panel de nuances entre le dernier
des enculés et le brave type.
Bon, c'est pas tout ça mais on est super-hors-charte depuis un sacré
paquet de temps.
T'es vraiment grave quand tu t'y mets.
On peut être informé sans pour autant être un sympathisant
pro-hiltlerien !
On peut aussi être partiellement informé ce qui suffit amplement pour
comprendre la situation. La plupart des gens de la classe moyenne
s'arrete à ce stade d'information partielle car au-delà il leur faudrait
commencer à réfléchir au renoncement de leur confort (relatif), de leur
avenir tel qu'il l'imaginait.
Il y a une limte à la double-pensée, depasser cette limite t'oblige à
faire un choix. Ne pas la franchir permet de se sentir (se croire si tu
préfères) éveillé _et_ de conserver son confort. Bref, de ne pas avoir à
faire de choix.
En gros, tant que tu ne sais pas expliquer cette phrase, tu n'es pas
informé, tu crois l'être, mais tu ne l'es pas.
Que l'histoire soit écrite par les vaincoeurs ne veut pas dire que
les perdants étaient de "braves types".
Tu sembles oublier qu'il ya tout un panel de nuances entre le dernier
des enculés et le brave type.
Bon, c'est pas tout ça mais on est super-hors-charte depuis un sacré
paquet de temps.
Un jour, j'ai entendu un éditeur de logiciel pour Windows dire "Linux,
c'est le Diable".
Un jour, j'ai entendu un éditeur de logiciel pour Windows dire "Linux,
c'est le Diable".
Un jour, j'ai entendu un éditeur de logiciel pour Windows dire "Linux,
c'est le Diable".
Doug713705 wrote:
... vaincoeurs ...
... canalyser...
Doug713705 wrote:
... vaincoeurs ...
... canalyser...
Doug713705 wrote:
... vaincoeurs ...
... canalyser...
Ça veut juste dire qu'il investiguer dans ce sens, qu'il faut chercher à
innocenter Hitler pour comprendre le système.
Ça veut juste dire qu'il investiguer dans ce sens, qu'il faut chercher à
innocenter Hitler pour comprendre le système.
Ça veut juste dire qu'il investiguer dans ce sens, qu'il faut chercher à
innocenter Hitler pour comprendre le système.
Bon comparé aux linuxiens qui affirmaient il y a 20 ans déjà, que Bill
Gates était Satan, ça fait un match nul.
Bon comparé aux linuxiens qui affirmaient il y a 20 ans déjà, que Bill
Gates était Satan, ça fait un match nul.
Bon comparé aux linuxiens qui affirmaient il y a 20 ans déjà, que Bill
Gates était Satan, ça fait un match nul.
Un jour, j'ai entendu un éditeur de logiciel pour Windows dire "Linux,
c'est le Diable".
Bon comparé aux linuxiens qui affirmaient il y a 20 ans déjà, que Bill
Gates était Satan, ça fait un match nul.
Un jour, j'ai entendu un éditeur de logiciel pour Windows dire "Linux,
c'est le Diable".
Bon comparé aux linuxiens qui affirmaient il y a 20 ans déjà, que Bill
Gates était Satan, ça fait un match nul.
Un jour, j'ai entendu un éditeur de logiciel pour Windows dire "Linux,
c'est le Diable".
Bon comparé aux linuxiens qui affirmaient il y a 20 ans déjà, que Bill
Gates était Satan, ça fait un match nul.