Effectivement, certaines zones du territoire sont très mal couvertes par
le
réseau France Bleu.
Il faut savoir que Radio France ne dispose pas systématiquement de
fréquences à attribuer à France Bleu. C'est le cas, entre autres, en Midi
Pyrénées mais aussi à Montluçon. Radio France en concurrence avec d'autres
sociétés pour l'attribution de fréquences cherche des solutions auprès du
CSA. Mais les zones urbaines sont déjà saturées et les radios privées sont
très vigilantes. Pour certaines, nationales ou régionales, France Bleu se
positionne sur le même terrain... D'où ce status quo....
(Si France Bleu avait une couverte identique à ses concurrentes
nationales,
son audience serait près de 10 points......!!!!!)
"Pierre CHABOT" a écrit dans le message news:
4371c245$0$20168$Oui, les bizarreries sont nombreuses. L' Auvergne est très mal couverte
parFrance Bleu. Il est vrai que "France Bleu Pays d'Auvergne" était à
l'origine(à l'époque des expériences de radios locales)"Radio France Puy-de-Dôme"
etn'avait logiquement qu'une couverture départementale. Sa nouvelle
appellation, après la création de "France Bleu", laissait penser à une
réorganisation à l'échelle de la région. En fait, par manque de
financementsans doute, on n'a fait que basculer quelques émetteurs déjà existants
(et
diffusant souvent "Le Mouv") sur France Bleu Pays d'Auvergne (et non pas
France Bleu Auvergne; remarquer la subtile nuance qui est un aveu du
manquede moyens). Ce fut le cas par exemple à Moulins, dans l'Allier. On a donc
déshabillé l'un (qui était déjà très peu vêtu !) pour tenter d' habiller
l'autre. Si bien qu'il reste d'énormes lacunes (surtout dans le Cantal et
laHaute-Loire). Mais il y a plus curieux encore: Montluçon (60 000
habitants
avec ses environs immédiats, 2ème agglomération de la région Auvergne)
n'a
jamais eu de relais "France Bleu", alors que ce programme y est mal reçu
(encaissement de la vallée du Cher). Si Radio France veut vraiment donner
une vocation régionale à France Bleu, il faut qu'elle y mette les moyens.
Etc'est toute une réorganisation à faire, qu'on semble entamer timidement:
disparition des France Bleu "de ville" comme France Bleu Melun
(logiquementrattachée à la "Radio City" d'Ile-de-France). Dans le même ordre d'
idées,
il serait souhaitable que les France Bleu départementales (comme France
BleuCreuse) soient rattachées au programme de leur région ( dans cet exemple,
àFrance Bleu Limoges qui deviendrait France Bleu Limousin). On pourrait
donner bien d'autres exemples pour donner à ce réseau la cohérence qui
lui
manque. Et il faudrait assurer une couverture plus complète: certaines
régions sont suréquipées en relais, et d'autres pratiquement pas
couvertes.Mais, pour revenir à la question initiale: comment expliquer la volonté
délibérée de priver totalement la région Midi-Pyrénées de ce programme ?
Serait-ce une question tabou ?
"switcher" a écrit dans le message de news:
> In article <43712d46$0$21263$,
> "Pierre CHABOT" wrote:
>
>> Quand on regarde la carte du réseau France Bleu, une anomalie saute
>> aux
>> >> yeux: l'absence totale de cette radio dans la région
>> Midi-Pyrénées.
>> Pour
>> quelle(s) raison(s) la région toulousaine est-elle privée de ce
>> service
>> public implanté presque partout ailleurs et présenté comme un des
>> fleurons
>> de Radio France ?
>>
>>
>
> En vacances en Auvergne/Cantal, il n'y a pas de Blue
> a Vic- sur cere (peut etre aussi a Murat). Il y a un emmetteur
> faible a Aurillac ..
>
> --
> een appeltje te schillen met
> http://users.fulladsl.be/spb13810/apple/
> Breng je iMac G5 terug (ik wil binnen 2 jaar geen defecte Apple kopen)
> http://www.apple.com/nl/support/imac/repairextensionprogram/
Effectivement, certaines zones du territoire sont très mal couvertes par
le
réseau France Bleu.
Il faut savoir que Radio France ne dispose pas systématiquement de
fréquences à attribuer à France Bleu. C'est le cas, entre autres, en Midi
Pyrénées mais aussi à Montluçon. Radio France en concurrence avec d'autres
sociétés pour l'attribution de fréquences cherche des solutions auprès du
CSA. Mais les zones urbaines sont déjà saturées et les radios privées sont
très vigilantes. Pour certaines, nationales ou régionales, France Bleu se
positionne sur le même terrain... D'où ce status quo....
(Si France Bleu avait une couverte identique à ses concurrentes
nationales,
son audience serait près de 10 points......!!!!!)
"Pierre CHABOT" <chabot-pierre@wanadoo.fr> a écrit dans le message news:
4371c245$0$20168$8fcfb975@news.wanadoo.fr...
Oui, les bizarreries sont nombreuses. L' Auvergne est très mal couverte
par
France Bleu. Il est vrai que "France Bleu Pays d'Auvergne" était à
l'origine
(à l'époque des expériences de radios locales)"Radio France Puy-de-Dôme"
et
n'avait logiquement qu'une couverture départementale. Sa nouvelle
appellation, après la création de "France Bleu", laissait penser à une
réorganisation à l'échelle de la région. En fait, par manque de
financement
sans doute, on n'a fait que basculer quelques émetteurs déjà existants
(et
diffusant souvent "Le Mouv") sur France Bleu Pays d'Auvergne (et non pas
France Bleu Auvergne; remarquer la subtile nuance qui est un aveu du
manque
de moyens). Ce fut le cas par exemple à Moulins, dans l'Allier. On a donc
déshabillé l'un (qui était déjà très peu vêtu !) pour tenter d' habiller
l'autre. Si bien qu'il reste d'énormes lacunes (surtout dans le Cantal et
la
Haute-Loire). Mais il y a plus curieux encore: Montluçon (60 000
habitants
avec ses environs immédiats, 2ème agglomération de la région Auvergne)
n'a
jamais eu de relais "France Bleu", alors que ce programme y est mal reçu
(encaissement de la vallée du Cher). Si Radio France veut vraiment donner
une vocation régionale à France Bleu, il faut qu'elle y mette les moyens.
Et
c'est toute une réorganisation à faire, qu'on semble entamer timidement:
disparition des France Bleu "de ville" comme France Bleu Melun
(logiquement
rattachée à la "Radio City" d'Ile-de-France). Dans le même ordre d'
idées,
il serait souhaitable que les France Bleu départementales (comme France
Bleu
Creuse) soient rattachées au programme de leur région ( dans cet exemple,
à
France Bleu Limoges qui deviendrait France Bleu Limousin). On pourrait
donner bien d'autres exemples pour donner à ce réseau la cohérence qui
lui
manque. Et il faudrait assurer une couverture plus complète: certaines
régions sont suréquipées en relais, et d'autres pratiquement pas
couvertes.
Mais, pour revenir à la question initiale: comment expliquer la volonté
délibérée de priver totalement la région Midi-Pyrénées de ce programme ?
Serait-ce une question tabou ?
"switcher" <no@mail.be> a écrit dans le message de news:
no-7EB6DB.07512509112005@news.sunsite.dk...
> In article <43712d46$0$21263$8fcfb975@news.wanadoo.fr>,
> "Pierre CHABOT" <chabot-pierre@wanadoo.fr> wrote:
>
>> Quand on regarde la carte du réseau France Bleu, une anomalie saute
>> aux
>> >> yeux: l'absence totale de cette radio dans la région
>> Midi-Pyrénées.
>> Pour
>> quelle(s) raison(s) la région toulousaine est-elle privée de ce
>> service
>> public implanté presque partout ailleurs et présenté comme un des
>> fleurons
>> de Radio France ?
>>
>>
>
> En vacances en Auvergne/Cantal, il n'y a pas de Blue
> a Vic- sur cere (peut etre aussi a Murat). Il y a un emmetteur
> faible a Aurillac ..
>
> --
> een appeltje te schillen met
> http://users.fulladsl.be/spb13810/apple/
> Breng je iMac G5 terug (ik wil binnen 2 jaar geen defecte Apple kopen)
> http://www.apple.com/nl/support/imac/repairextensionprogram/
Effectivement, certaines zones du territoire sont très mal couvertes par
le
réseau France Bleu.
Il faut savoir que Radio France ne dispose pas systématiquement de
fréquences à attribuer à France Bleu. C'est le cas, entre autres, en Midi
Pyrénées mais aussi à Montluçon. Radio France en concurrence avec d'autres
sociétés pour l'attribution de fréquences cherche des solutions auprès du
CSA. Mais les zones urbaines sont déjà saturées et les radios privées sont
très vigilantes. Pour certaines, nationales ou régionales, France Bleu se
positionne sur le même terrain... D'où ce status quo....
(Si France Bleu avait une couverte identique à ses concurrentes
nationales,
son audience serait près de 10 points......!!!!!)
"Pierre CHABOT" a écrit dans le message news:
4371c245$0$20168$Oui, les bizarreries sont nombreuses. L' Auvergne est très mal couverte
parFrance Bleu. Il est vrai que "France Bleu Pays d'Auvergne" était à
l'origine(à l'époque des expériences de radios locales)"Radio France Puy-de-Dôme"
etn'avait logiquement qu'une couverture départementale. Sa nouvelle
appellation, après la création de "France Bleu", laissait penser à une
réorganisation à l'échelle de la région. En fait, par manque de
financementsans doute, on n'a fait que basculer quelques émetteurs déjà existants
(et
diffusant souvent "Le Mouv") sur France Bleu Pays d'Auvergne (et non pas
France Bleu Auvergne; remarquer la subtile nuance qui est un aveu du
manquede moyens). Ce fut le cas par exemple à Moulins, dans l'Allier. On a donc
déshabillé l'un (qui était déjà très peu vêtu !) pour tenter d' habiller
l'autre. Si bien qu'il reste d'énormes lacunes (surtout dans le Cantal et
laHaute-Loire). Mais il y a plus curieux encore: Montluçon (60 000
habitants
avec ses environs immédiats, 2ème agglomération de la région Auvergne)
n'a
jamais eu de relais "France Bleu", alors que ce programme y est mal reçu
(encaissement de la vallée du Cher). Si Radio France veut vraiment donner
une vocation régionale à France Bleu, il faut qu'elle y mette les moyens.
Etc'est toute une réorganisation à faire, qu'on semble entamer timidement:
disparition des France Bleu "de ville" comme France Bleu Melun
(logiquementrattachée à la "Radio City" d'Ile-de-France). Dans le même ordre d'
idées,
il serait souhaitable que les France Bleu départementales (comme France
BleuCreuse) soient rattachées au programme de leur région ( dans cet exemple,
àFrance Bleu Limoges qui deviendrait France Bleu Limousin). On pourrait
donner bien d'autres exemples pour donner à ce réseau la cohérence qui
lui
manque. Et il faudrait assurer une couverture plus complète: certaines
régions sont suréquipées en relais, et d'autres pratiquement pas
couvertes.Mais, pour revenir à la question initiale: comment expliquer la volonté
délibérée de priver totalement la région Midi-Pyrénées de ce programme ?
Serait-ce une question tabou ?
"switcher" a écrit dans le message de news:
> In article <43712d46$0$21263$,
> "Pierre CHABOT" wrote:
>
>> Quand on regarde la carte du réseau France Bleu, une anomalie saute
>> aux
>> >> yeux: l'absence totale de cette radio dans la région
>> Midi-Pyrénées.
>> Pour
>> quelle(s) raison(s) la région toulousaine est-elle privée de ce
>> service
>> public implanté presque partout ailleurs et présenté comme un des
>> fleurons
>> de Radio France ?
>>
>>
>
> En vacances en Auvergne/Cantal, il n'y a pas de Blue
> a Vic- sur cere (peut etre aussi a Murat). Il y a un emmetteur
> faible a Aurillac ..
>
> --
> een appeltje te schillen met
> http://users.fulladsl.be/spb13810/apple/
> Breng je iMac G5 terug (ik wil binnen 2 jaar geen defecte Apple kopen)
> http://www.apple.com/nl/support/imac/repairextensionprogram/
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
wrote:L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour
France Bleu dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée
qu'offre le Pic du Midi, une seule serait presque suffisante).
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais
bien un problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de
faire disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de
l'arrivée du Mouv'.
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
<chabot-pierre@wanadoo.fr> wrote:
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour
France Bleu dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée
qu'offre le Pic du Midi, une seule serait presque suffisante).
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais
bien un problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de
faire disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de
l'arrivée du Mouv'.
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
wrote:L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour
France Bleu dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée
qu'offre le Pic du Midi, une seule serait presque suffisante).
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais
bien un problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de
faire disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de
l'arrivée du Mouv'.
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
wrote:L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour
France Bleu dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée
qu'offre le Pic du Midi, une seule serait presque suffisante).
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais
bien un problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de
faire disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de
l'arrivée du Mouv'.
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
<chabot-pierre@wanadoo.fr> wrote:
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour
France Bleu dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée
qu'offre le Pic du Midi, une seule serait presque suffisante).
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais
bien un problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de
faire disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de
l'arrivée du Mouv'.
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
wrote:L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour
France Bleu dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée
qu'offre le Pic du Midi, une seule serait presque suffisante).
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais
bien un problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de
faire disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de
l'arrivée du Mouv'.
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
wrote:L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres
ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé
sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce
n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon
de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le
désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais bien
un
problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de faire
disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de l'arrivée du
Mouv'.
Il en a été de même lors de la disparition de la quasi totalité des
stations
FIP au profit de France Bleu.
Radio France adapte ses fréquences en fonction des taux d'écoute. Elle
restitue même des fréquences au CSA qu'elle n'a pas jugé utile de mettre
en
service, de tête une bonne centaine et dont bon nombre, depuis, ont permis
à
des radios privées d'arriver sur les ondes.
Radio France a beau relever du service public, il n'en demeure pas moins
que
son fonctionnement a des coûts et qu'il faut les amortir !
Emetteurs radio et TV :
http://perso.wanadoo.fr/tvignaud
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
<chabot-pierre@wanadoo.fr>
wrote:
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres
ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé
sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce
n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon
de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le
désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais bien
un
problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de faire
disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de l'arrivée du
Mouv'.
Il en a été de même lors de la disparition de la quasi totalité des
stations
FIP au profit de France Bleu.
Radio France adapte ses fréquences en fonction des taux d'écoute. Elle
restitue même des fréquences au CSA qu'elle n'a pas jugé utile de mettre
en
service, de tête une bonne centaine et dont bon nombre, depuis, ont permis
à
des radios privées d'arriver sur les ondes.
Radio France a beau relever du service public, il n'en demeure pas moins
que
son fonctionnement a des coûts et qu'il faut les amortir !
thierry.vignaud@NO-SPAM_laposte.net
Emetteurs radio et TV :
http://perso.wanadoo.fr/tvignaud
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
wrote:L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres
ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé
sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce
n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon
de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le
désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais bien
un
problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de faire
disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de l'arrivée du
Mouv'.
Il en a été de même lors de la disparition de la quasi totalité des
stations
FIP au profit de France Bleu.
Radio France adapte ses fréquences en fonction des taux d'écoute. Elle
restitue même des fréquences au CSA qu'elle n'a pas jugé utile de mettre
en
service, de tête une bonne centaine et dont bon nombre, depuis, ont permis
à
des radios privées d'arriver sur les ondes.
Radio France a beau relever du service public, il n'en demeure pas moins
que
son fonctionnement a des coûts et qu'il faut les amortir !
Emetteurs radio et TV :
http://perso.wanadoo.fr/tvignaud
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
wrote:L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres
ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé
sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce
n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon
de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le
désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais bien
un
problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de faire
disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de l'arrivée du
Mouv'.
Il en a été de même lors de la disparition de la quasi totalité des
stations
FIP au profit de France Bleu.
Radio France adapte ses fréquences en fonction des taux d'écoute. Elle
restitue même des fréquences au CSA qu'elle n'a pas jugé utile de mettre
en
service, de tête une bonne centaine et dont bon nombre, depuis, ont permis
à
des radios privées d'arriver sur les ondes.
Radio France a beau relever du service public, il n'en demeure pas moins
que
son fonctionnement a des coûts et qu'il faut les amortir !
Emetteurs radio et TV :
http://perso.wanadoo.fr/tvignaud
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
<chabot-pierre@wanadoo.fr>
wrote:
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres
ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé
sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce
n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon
de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le
désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais bien
un
problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de faire
disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de l'arrivée du
Mouv'.
Il en a été de même lors de la disparition de la quasi totalité des
stations
FIP au profit de France Bleu.
Radio France adapte ses fréquences en fonction des taux d'écoute. Elle
restitue même des fréquences au CSA qu'elle n'a pas jugé utile de mettre
en
service, de tête une bonne centaine et dont bon nombre, depuis, ont permis
à
des radios privées d'arriver sur les ondes.
Radio France a beau relever du service public, il n'en demeure pas moins
que
son fonctionnement a des coûts et qu'il faut les amortir !
thierry.vignaud@NO-SPAM_laposte.net
Emetteurs radio et TV :
http://perso.wanadoo.fr/tvignaud
On Thu, 10 Nov 2005 21:43:13 +0100, "Pierre CHABOT"
wrote:L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est
difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres
ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé
sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce
n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon
de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le
désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
Pour la région Midi-Pyrénées et notamment Toulouse ce n'est bien sûr pas
problème de fréquence puisque la station existait et a disparu, mais bien
un
problème d'audience puisque Radio France a jugé plus utile de faire
disparaître Radio France Toulouse (à l'époque) au profit de l'arrivée du
Mouv'.
Il en a été de même lors de la disparition de la quasi totalité des
stations
FIP au profit de France Bleu.
Radio France adapte ses fréquences en fonction des taux d'écoute. Elle
restitue même des fréquences au CSA qu'elle n'a pas jugé utile de mettre
en
service, de tête une bonne centaine et dont bon nombre, depuis, ont permis
à
des radios privées d'arriver sur les ondes.
Radio France a beau relever du service public, il n'en demeure pas moins
que
son fonctionnement a des coûts et qu'il faut les amortir !
Emetteurs radio et TV :
http://perso.wanadoo.fr/tvignaud
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être débattue)
et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public de radiodiffusion
a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres qui, eux, savent trouver
des auditeurs. Quant aux isolés des vallées du Cantal, comme personne ne
s'intéresse à eux, ils n'ont aucune chance de capter un jour une radio
régionale. Dure, dure loi du marché... J' avais la naïveté de penser que la
redevance pouvait peut-être aider à atténuer cette situation.
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être débattue)
et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public de radiodiffusion
a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres qui, eux, savent trouver
des auditeurs. Quant aux isolés des vallées du Cantal, comme personne ne
s'intéresse à eux, ils n'ont aucune chance de capter un jour une radio
régionale. Dure, dure loi du marché... J' avais la naïveté de penser que la
redevance pouvait peut-être aider à atténuer cette situation.
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être débattue)
et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public de radiodiffusion
a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres qui, eux, savent trouver
des auditeurs. Quant aux isolés des vallées du Cantal, comme personne ne
s'intéresse à eux, ils n'ont aucune chance de capter un jour une radio
régionale. Dure, dure loi du marché... J' avais la naïveté de penser que la
redevance pouvait peut-être aider à atténuer cette situation.
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être débattue)
et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public de radiodiffusion
a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres qui, eux, savent trouver
des auditeurs. Quant aux isolés des vallées du Cantal, comme personne ne
s'intéresse à eux, ils n'ont aucune chance de capter un jour une radio
régionale. Dure, dure loi du marché... J' avais la naïveté de penser que la
redevance pouvait peut-être aider à atténuer cette situation.
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être débattue)
et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public de radiodiffusion
a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres qui, eux, savent trouver
des auditeurs. Quant aux isolés des vallées du Cantal, comme personne ne
s'intéresse à eux, ils n'ont aucune chance de capter un jour une radio
régionale. Dure, dure loi du marché... J' avais la naïveté de penser que la
redevance pouvait peut-être aider à atténuer cette situation.
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être débattue)
et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public de radiodiffusion
a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres qui, eux, savent trouver
des auditeurs. Quant aux isolés des vallées du Cantal, comme personne ne
s'intéresse à eux, ils n'ont aucune chance de capter un jour une radio
régionale. Dure, dure loi du marché... J' avais la naïveté de penser que la
redevance pouvait peut-être aider à atténuer cette situation.
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
L' argument de pénurie de fréquences paraît assez spécieux. Il est difficile
de croire qu' on n' ait jamais pu trouver une fréquence pour France Bleu
dans toute la région Midi -Pyrénées ( avec la portée qu'offre le Pic du
Midi, une seule serait presque suffisante). Ou alors, c'est que d'autres ont
été servis trop confortablement. Difficile d'admettre un statu quo basé sur
l' exclusion totale d'une radio publique. Quant au Massif Central, ce n'est
pas précisément une région frontalière où on négocierait âprement les
fréquences... Même dans une ville moyenne comme Montluçon, il reste
plusieurs fréquences très exploitables sans gêner personne dans un rayon de
50 km. Et dès qu' on s'éloigne un peu des villes c'est quasiment le désert
radiophonique, là où une radio régionale serait particulèrement utile.
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être
débattue) et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public
de radiodiffusion a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres
qui, eux, savent trouver des auditeurs. Quant aux isolés des vallées
du Cantal, comme personne ne s'intéresse à eux, ils n'ont aucune
chance de capter un jour une radio régionale. Dure, dure loi du
marché... J' avais la naïveté de penser que la redevance pouvait
peut-être aider à atténuer cette situation.
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être
débattue) et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public
de radiodiffusion a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres
qui, eux, savent trouver des auditeurs. Quant aux isolés des vallées
du Cantal, comme personne ne s'intéresse à eux, ils n'ont aucune
chance de capter un jour une radio régionale. Dure, dure loi du
marché... J' avais la naïveté de penser que la redevance pouvait
peut-être aider à atténuer cette situation.
Je crois qu'on a fait le tour de la question (qui méritait d' être
débattue) et qu'on peut conclure: faute de moyens, le service public
de radiodiffusion a délégué sa mission (en Midi-Pyrénées) à d'autres
qui, eux, savent trouver des auditeurs. Quant aux isolés des vallées
du Cantal, comme personne ne s'intéresse à eux, ils n'ont aucune
chance de capter un jour une radio régionale. Dure, dure loi du
marché... J' avais la naïveté de penser que la redevance pouvait
peut-être aider à atténuer cette situation.