> Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'artic le
> cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
> deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htmet
>http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.... ).
> Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
> noyau Linux, ou plutôt de leur absence, dans Linux. Les raisons princ ipales
> sont pour moi assez évidentes.
Ce sont les raison qui sont citées dans les commentaires de l'article e n
question.
> Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
> requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
> personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
> expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorit é de
> jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ou dit plus crûment, les gens se font royalement jeter quand ils
proposent quelque chose pour Linux (c'est pareil pour FreeBSD - voir C.
Murenin) qui n'a pas la bénédiction préalable des grands cadors. Qu i
plus est, ces gens considèrent leur groupe de travail comme une
"méritocratie", ce qui leur permet de valoriser leur statut de
"développeur" y compris en terme de CV. Ils prennent garde à ce que
cette valeur ne se dévalue pas, et ont une tendance naturelle à tirer
l'échelle derrière eux.
De ce fait peu de jeunes sont tentés par l'effort nécessaire pour se
mettre à niveau sans aucune garantie qu'il en sorte quoi que ce soit.
Et il est bien possible qu'ils soient très satisfaits d'être entre ge ns
de IBM et de RedHat pour faire le boulot.
> Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'artic le
> cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
> deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htmet
>http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.... ).
> Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
> noyau Linux, ou plutôt de leur absence, dans Linux. Les raisons princ ipales
> sont pour moi assez évidentes.
Ce sont les raison qui sont citées dans les commentaires de l'article e n
question.
> Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
> requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
> personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
> expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorit é de
> jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ou dit plus crûment, les gens se font royalement jeter quand ils
proposent quelque chose pour Linux (c'est pareil pour FreeBSD - voir C.
Murenin) qui n'a pas la bénédiction préalable des grands cadors. Qu i
plus est, ces gens considèrent leur groupe de travail comme une
"méritocratie", ce qui leur permet de valoriser leur statut de
"développeur" y compris en terme de CV. Ils prennent garde à ce que
cette valeur ne se dévalue pas, et ont une tendance naturelle à tirer
l'échelle derrière eux.
De ce fait peu de jeunes sont tentés par l'effort nécessaire pour se
mettre à niveau sans aucune garantie qu'il en sorte quoi que ce soit.
Et il est bien possible qu'ils soient très satisfaits d'être entre ge ns
de IBM et de RedHat pour faire le boulot.
> Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'artic le
> cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
> deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htmet
>http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.... ).
> Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
> noyau Linux, ou plutôt de leur absence, dans Linux. Les raisons princ ipales
> sont pour moi assez évidentes.
Ce sont les raison qui sont citées dans les commentaires de l'article e n
question.
> Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
> requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
> personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
> expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorit é de
> jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ou dit plus crûment, les gens se font royalement jeter quand ils
proposent quelque chose pour Linux (c'est pareil pour FreeBSD - voir C.
Murenin) qui n'a pas la bénédiction préalable des grands cadors. Qu i
plus est, ces gens considèrent leur groupe de travail comme une
"méritocratie", ce qui leur permet de valoriser leur statut de
"développeur" y compris en terme de CV. Ils prennent garde à ce que
cette valeur ne se dévalue pas, et ont une tendance naturelle à tirer
l'échelle derrière eux.
De ce fait peu de jeunes sont tentés par l'effort nécessaire pour se
mettre à niveau sans aucune garantie qu'il en sorte quoi que ce soit.
Et il est bien possible qu'ils soient très satisfaits d'être entre ge ns
de IBM et de RedHat pour faire le boulot.
On Apr 20, 1:41 pm, JKB wrote:Je pense pour ma part qu'il y a un problème de fond. Pour enseigner
dans le supérieur, le niveau moyen de connaissance est en baisse
malgré tout ce qu'on peut lire par-ci par-là. En électronique, le
jour où je trouve encore un électronicien débutant capable de faire
un push-pull de classe AB sans griller un composant, je l'embauche
illico ! En informatique, c'est pareil. Et le problème ne vient pas
de madame Michu ou de sa nièce, le problème vient aussi par le haut.
La culture générale d'un ingénieur est de plus en plus lamentable.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne. Les bancs des universités scientifiques
et des grandes écoles (sauf commerce, hein, faut pas rigoler,
pourquoi faire des études scientifiques de 5 à 8 ans pour pouvoir au
bout de 10 ans de labeur s'acheter une Peugeot 607 alors qu'en
sortant d'une école de commerce, on peut s'acheter une Benz en deux ?)
se vident de plus en plus (ou alors, il faut prendre n'importe qui,
ce qui n'est pas une solution). En informatique, tu te retrouves
avec des types issus d'écoles soi-disant spécialisées (les plus
marantes étant l'EPITECH et l'EPITA) qui savent faire du
clickodrome, mais qui sont perdus pour l'immense majorité dès que tu
leur demande vraiment d'administrer une machine avec une VT et les
outils standard (sans s, pour pipomachin, standard est un adjectif
invariable). Lorsqu'il s'agit d'écrire un "hello, world !" en Java,
en Objective C, en tout ce que tu veux et à la mode, tu vas encore
trouver du monde. Lorsqu'il s'agit d'attaquer les couches basses en
C (en C propre, hein, pas en bidouille explosive et plantogène !),
il n'y a plus personne et ça ne s'arrange pas. Alors lorsqu'il
s'agit de pondre un système d'exploitation, ça peut assez rapidement
devenir amusant.
Certes, le niveau d'enseignement est en chute libre depuis plusieurs
années. Certes, l'effet de mode "kikoolol" ainsi que le coté pratique
veut qu'on préfère développer du code sur plusieurs couches de
virtualisation plutôt que du C ou de l'ASM. Et c'est bien dommage,
parce que l'évolution des couches les plus basses limite l'évolution
de celles reposant dessus.
Je te rassure tout de suite, si le développement du noyau continue
comme ça, ça risque de changer rapidement. Je vois de plus en plus
de NetBSD et de FreeBSD autour de moi (je ne parle pas d'OpenBSD qui
est hors course pour un certain nombre de points techniques et qui
viole allègrement les specs Posix). C'est d'ailleurs assez amusant,
depuis le noyau Linux 2.6, NetBSD a repris du poil de la bête.
Possible, en effet, sans compter Hurd, qui pourrait remplacer Linux
dans le projet GNU.
As-tu déjà bossé avec des SSII ? As-tu déjà discuté _technique_ avec
un type envoyé par une SSII ? Les SSII courantes sont des boîtes
d'interim pour informaticien et on n'y trouve pas les meilleurs.
Simplement des pauvres types qui n'ont que ça pour bosser.
Alors, oui et non. J'ai déjà bossé avec des mecs de SSII, mais pas
avec les SSII directement. Et oui, j'ai discuté technique. Faut
maitriser le sujet qu'on aborde, parce qu'ils sont très surs d'eux et
très difficiles à convaincre, surtout quand ils disent des conneries.
Je suis d'accord sur le point de vue des SSII, et de ceux qui bossent
dedans. Reste tout de même qu'en France, les SSII utilisent beaucoup
(trop?) de propriétaire. :)
> 3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
> les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
> "cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
> ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
> plus rarement, MacOS X)
P'taing, on n'a pas du voir les mêmes. Ça fait pas loin de vingt ans
que je vois passer des SSII et j'ai bossé par le passé chez SFR et
au CNET (devenu depuis FT R&R puis Orange lab) et je n'ai jamais vu
des applications de plus haut niveau que ce qu'on faisait en
interne.
Je n'ai pas du bien comprendre, parce que je crois après plusieurs
lectures qu'on dit plus ou moins la même chose.Ouaips, il faut savoir coder en mode noyau, donc sans garde fou et
un tantinet proprement.
Ce qui n'est plus vraiment enseigné, les professeurs de DUT et de
Faculté préférant respectivement se concentrer sur "apprendre à coder
rapidement" et "apprendre à coder sur papier".
Explique-moi juste une chose. Comment se fait-il qu'il y a dix ou
quinze ans, on trouvait des jeunes avec ses compétences et qu'on en
trouve plus aujourd'hui ?
Sans rentrer dans les détails, qui ne sont qu'une interprétation
personnelle et qu'un avis sur les causes du phénomène, il est avéré
(il suffit de demander aux enseignants proches de la retraite pour
s'en rendre compte) que le niveau d'enseignement est en chute libre.
Celui du primaire entrainant celui du collège, et ainsi, récursivement
jusqu'au supérieur.
> Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
> si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
> fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire...
Trouve moi un utilisateur d'Ubuntu (une des distributions GNU/Linux
(encore qu'on est de plus en plus en droit d'en douter) les plus
populaires, juste pour expliquer que je la nomme à cet endroit) qui
est prêt à réécrire plus proprement et de façon plus optimisée un
morceau de code noyau, et je reconsidèrerais mon point de vue.
> De fait, la
> nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
> fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
> Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
> plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
> nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
C'est parfaitement faux. Je contribue au libre, mais c'est un effet
de bord et sans être payé directement pour faire ça. Je contribue au
libre parce que ça me donne un panel d'utilisateurs pour débusquer
mes bugs à moi. Il y a tout un tas de raisons différences hors
philanthropie maladive ou salaire qui font qu'on peut contribuer au
libre.
Ouais, c'est pas faux. C'est aussi un point de vue et une façon de
faire de quelqu'un qui SAIT déjà coder en mode noyau, et pour qui ça
ne nécessite pas d'apprentissage. Donc, je pense, de quelqu'un faisant
partie d'une petite minorité.
On Apr 20, 1:41 pm, JKB <knatsc...@koenigsberg.fr> wrote:
Je pense pour ma part qu'il y a un problème de fond. Pour enseigner
dans le supérieur, le niveau moyen de connaissance est en baisse
malgré tout ce qu'on peut lire par-ci par-là. En électronique, le
jour où je trouve encore un électronicien débutant capable de faire
un push-pull de classe AB sans griller un composant, je l'embauche
illico ! En informatique, c'est pareil. Et le problème ne vient pas
de madame Michu ou de sa nièce, le problème vient aussi par le haut.
La culture générale d'un ingénieur est de plus en plus lamentable.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne. Les bancs des universités scientifiques
et des grandes écoles (sauf commerce, hein, faut pas rigoler,
pourquoi faire des études scientifiques de 5 à 8 ans pour pouvoir au
bout de 10 ans de labeur s'acheter une Peugeot 607 alors qu'en
sortant d'une école de commerce, on peut s'acheter une Benz en deux ?)
se vident de plus en plus (ou alors, il faut prendre n'importe qui,
ce qui n'est pas une solution). En informatique, tu te retrouves
avec des types issus d'écoles soi-disant spécialisées (les plus
marantes étant l'EPITECH et l'EPITA) qui savent faire du
clickodrome, mais qui sont perdus pour l'immense majorité dès que tu
leur demande vraiment d'administrer une machine avec une VT et les
outils standard (sans s, pour pipomachin, standard est un adjectif
invariable). Lorsqu'il s'agit d'écrire un "hello, world !" en Java,
en Objective C, en tout ce que tu veux et à la mode, tu vas encore
trouver du monde. Lorsqu'il s'agit d'attaquer les couches basses en
C (en C propre, hein, pas en bidouille explosive et plantogène !),
il n'y a plus personne et ça ne s'arrange pas. Alors lorsqu'il
s'agit de pondre un système d'exploitation, ça peut assez rapidement
devenir amusant.
Certes, le niveau d'enseignement est en chute libre depuis plusieurs
années. Certes, l'effet de mode "kikoolol" ainsi que le coté pratique
veut qu'on préfère développer du code sur plusieurs couches de
virtualisation plutôt que du C ou de l'ASM. Et c'est bien dommage,
parce que l'évolution des couches les plus basses limite l'évolution
de celles reposant dessus.
Je te rassure tout de suite, si le développement du noyau continue
comme ça, ça risque de changer rapidement. Je vois de plus en plus
de NetBSD et de FreeBSD autour de moi (je ne parle pas d'OpenBSD qui
est hors course pour un certain nombre de points techniques et qui
viole allègrement les specs Posix). C'est d'ailleurs assez amusant,
depuis le noyau Linux 2.6, NetBSD a repris du poil de la bête.
Possible, en effet, sans compter Hurd, qui pourrait remplacer Linux
dans le projet GNU.
As-tu déjà bossé avec des SSII ? As-tu déjà discuté _technique_ avec
un type envoyé par une SSII ? Les SSII courantes sont des boîtes
d'interim pour informaticien et on n'y trouve pas les meilleurs.
Simplement des pauvres types qui n'ont que ça pour bosser.
Alors, oui et non. J'ai déjà bossé avec des mecs de SSII, mais pas
avec les SSII directement. Et oui, j'ai discuté technique. Faut
maitriser le sujet qu'on aborde, parce qu'ils sont très surs d'eux et
très difficiles à convaincre, surtout quand ils disent des conneries.
Je suis d'accord sur le point de vue des SSII, et de ceux qui bossent
dedans. Reste tout de même qu'en France, les SSII utilisent beaucoup
(trop?) de propriétaire. :)
> 3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
> les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
> "cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
> ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
> plus rarement, MacOS X)
P'taing, on n'a pas du voir les mêmes. Ça fait pas loin de vingt ans
que je vois passer des SSII et j'ai bossé par le passé chez SFR et
au CNET (devenu depuis FT R&R puis Orange lab) et je n'ai jamais vu
des applications de plus haut niveau que ce qu'on faisait en
interne.
Je n'ai pas du bien comprendre, parce que je crois après plusieurs
lectures qu'on dit plus ou moins la même chose.
Ouaips, il faut savoir coder en mode noyau, donc sans garde fou et
un tantinet proprement.
Ce qui n'est plus vraiment enseigné, les professeurs de DUT et de
Faculté préférant respectivement se concentrer sur "apprendre à coder
rapidement" et "apprendre à coder sur papier".
Explique-moi juste une chose. Comment se fait-il qu'il y a dix ou
quinze ans, on trouvait des jeunes avec ses compétences et qu'on en
trouve plus aujourd'hui ?
Sans rentrer dans les détails, qui ne sont qu'une interprétation
personnelle et qu'un avis sur les causes du phénomène, il est avéré
(il suffit de demander aux enseignants proches de la retraite pour
s'en rendre compte) que le niveau d'enseignement est en chute libre.
Celui du primaire entrainant celui du collège, et ainsi, récursivement
jusqu'au supérieur.
> Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
> si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
> fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire...
Trouve moi un utilisateur d'Ubuntu (une des distributions GNU/Linux
(encore qu'on est de plus en plus en droit d'en douter) les plus
populaires, juste pour expliquer que je la nomme à cet endroit) qui
est prêt à réécrire plus proprement et de façon plus optimisée un
morceau de code noyau, et je reconsidèrerais mon point de vue.
> De fait, la
> nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
> fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
> Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
> plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
> nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
C'est parfaitement faux. Je contribue au libre, mais c'est un effet
de bord et sans être payé directement pour faire ça. Je contribue au
libre parce que ça me donne un panel d'utilisateurs pour débusquer
mes bugs à moi. Il y a tout un tas de raisons différences hors
philanthropie maladive ou salaire qui font qu'on peut contribuer au
libre.
Ouais, c'est pas faux. C'est aussi un point de vue et une façon de
faire de quelqu'un qui SAIT déjà coder en mode noyau, et pour qui ça
ne nécessite pas d'apprentissage. Donc, je pense, de quelqu'un faisant
partie d'une petite minorité.
On Apr 20, 1:41 pm, JKB wrote:Je pense pour ma part qu'il y a un problème de fond. Pour enseigner
dans le supérieur, le niveau moyen de connaissance est en baisse
malgré tout ce qu'on peut lire par-ci par-là. En électronique, le
jour où je trouve encore un électronicien débutant capable de faire
un push-pull de classe AB sans griller un composant, je l'embauche
illico ! En informatique, c'est pareil. Et le problème ne vient pas
de madame Michu ou de sa nièce, le problème vient aussi par le haut.
La culture générale d'un ingénieur est de plus en plus lamentable.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne. Les bancs des universités scientifiques
et des grandes écoles (sauf commerce, hein, faut pas rigoler,
pourquoi faire des études scientifiques de 5 à 8 ans pour pouvoir au
bout de 10 ans de labeur s'acheter une Peugeot 607 alors qu'en
sortant d'une école de commerce, on peut s'acheter une Benz en deux ?)
se vident de plus en plus (ou alors, il faut prendre n'importe qui,
ce qui n'est pas une solution). En informatique, tu te retrouves
avec des types issus d'écoles soi-disant spécialisées (les plus
marantes étant l'EPITECH et l'EPITA) qui savent faire du
clickodrome, mais qui sont perdus pour l'immense majorité dès que tu
leur demande vraiment d'administrer une machine avec une VT et les
outils standard (sans s, pour pipomachin, standard est un adjectif
invariable). Lorsqu'il s'agit d'écrire un "hello, world !" en Java,
en Objective C, en tout ce que tu veux et à la mode, tu vas encore
trouver du monde. Lorsqu'il s'agit d'attaquer les couches basses en
C (en C propre, hein, pas en bidouille explosive et plantogène !),
il n'y a plus personne et ça ne s'arrange pas. Alors lorsqu'il
s'agit de pondre un système d'exploitation, ça peut assez rapidement
devenir amusant.
Certes, le niveau d'enseignement est en chute libre depuis plusieurs
années. Certes, l'effet de mode "kikoolol" ainsi que le coté pratique
veut qu'on préfère développer du code sur plusieurs couches de
virtualisation plutôt que du C ou de l'ASM. Et c'est bien dommage,
parce que l'évolution des couches les plus basses limite l'évolution
de celles reposant dessus.
Je te rassure tout de suite, si le développement du noyau continue
comme ça, ça risque de changer rapidement. Je vois de plus en plus
de NetBSD et de FreeBSD autour de moi (je ne parle pas d'OpenBSD qui
est hors course pour un certain nombre de points techniques et qui
viole allègrement les specs Posix). C'est d'ailleurs assez amusant,
depuis le noyau Linux 2.6, NetBSD a repris du poil de la bête.
Possible, en effet, sans compter Hurd, qui pourrait remplacer Linux
dans le projet GNU.
As-tu déjà bossé avec des SSII ? As-tu déjà discuté _technique_ avec
un type envoyé par une SSII ? Les SSII courantes sont des boîtes
d'interim pour informaticien et on n'y trouve pas les meilleurs.
Simplement des pauvres types qui n'ont que ça pour bosser.
Alors, oui et non. J'ai déjà bossé avec des mecs de SSII, mais pas
avec les SSII directement. Et oui, j'ai discuté technique. Faut
maitriser le sujet qu'on aborde, parce qu'ils sont très surs d'eux et
très difficiles à convaincre, surtout quand ils disent des conneries.
Je suis d'accord sur le point de vue des SSII, et de ceux qui bossent
dedans. Reste tout de même qu'en France, les SSII utilisent beaucoup
(trop?) de propriétaire. :)
> 3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
> les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
> "cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
> ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
> plus rarement, MacOS X)
P'taing, on n'a pas du voir les mêmes. Ça fait pas loin de vingt ans
que je vois passer des SSII et j'ai bossé par le passé chez SFR et
au CNET (devenu depuis FT R&R puis Orange lab) et je n'ai jamais vu
des applications de plus haut niveau que ce qu'on faisait en
interne.
Je n'ai pas du bien comprendre, parce que je crois après plusieurs
lectures qu'on dit plus ou moins la même chose.Ouaips, il faut savoir coder en mode noyau, donc sans garde fou et
un tantinet proprement.
Ce qui n'est plus vraiment enseigné, les professeurs de DUT et de
Faculté préférant respectivement se concentrer sur "apprendre à coder
rapidement" et "apprendre à coder sur papier".
Explique-moi juste une chose. Comment se fait-il qu'il y a dix ou
quinze ans, on trouvait des jeunes avec ses compétences et qu'on en
trouve plus aujourd'hui ?
Sans rentrer dans les détails, qui ne sont qu'une interprétation
personnelle et qu'un avis sur les causes du phénomène, il est avéré
(il suffit de demander aux enseignants proches de la retraite pour
s'en rendre compte) que le niveau d'enseignement est en chute libre.
Celui du primaire entrainant celui du collège, et ainsi, récursivement
jusqu'au supérieur.
> Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
> si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
> fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire...
Trouve moi un utilisateur d'Ubuntu (une des distributions GNU/Linux
(encore qu'on est de plus en plus en droit d'en douter) les plus
populaires, juste pour expliquer que je la nomme à cet endroit) qui
est prêt à réécrire plus proprement et de façon plus optimisée un
morceau de code noyau, et je reconsidèrerais mon point de vue.
> De fait, la
> nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
> fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
> Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
> plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
> nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
C'est parfaitement faux. Je contribue au libre, mais c'est un effet
de bord et sans être payé directement pour faire ça. Je contribue au
libre parce que ça me donne un panel d'utilisateurs pour débusquer
mes bugs à moi. Il y a tout un tas de raisons différences hors
philanthropie maladive ou salaire qui font qu'on peut contribuer au
libre.
Ouais, c'est pas faux. C'est aussi un point de vue et une façon de
faire de quelqu'un qui SAIT déjà coder en mode noyau, et pour qui ça
ne nécessite pas d'apprentissage. Donc, je pense, de quelqu'un faisant
partie d'une petite minorité.
lorsque tu regardes ta future fiche de paie, ça termine de te
dissuader. La science, aujourd'hui, c'est une vocation au même titre
que la prêtrise.
lorsque tu regardes ta future fiche de paie, ça termine de te
dissuader. La science, aujourd'hui, c'est une vocation au même titre
que la prêtrise.
lorsque tu regardes ta future fiche de paie, ça termine de te
dissuader. La science, aujourd'hui, c'est une vocation au même titre
que la prêtrise.
On Apr 20, 2:22 pm, (Michel Talon) wrote:> Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
> cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
> deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htmet
>http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle....).
> Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
> noyau Linux, ou plutôt de leur absence, dans Linux. Les raisons principales
> sont pour moi assez évidentes.
Ce sont les raison qui sont citées dans les commentaires de l'article en
question.
J'aurais peut être du lire les commentaires aussi. N'empêche que je
n'aurais pas dit non pour consulter les documents d'où viennent les
chiffres.> Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
> requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
> personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
> expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
> jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ou dit plus crûment, les gens se font royalement jeter quand ils
proposent quelque chose pour Linux (c'est pareil pour FreeBSD - voir C.
Murenin) qui n'a pas la bénédiction préalable des grands cadors. Qui
plus est, ces gens considèrent leur groupe de travail comme une
"méritocratie", ce qui leur permet de valoriser leur statut de
"développeur" y compris en terme de CV. Ils prennent garde à ce que
cette valeur ne se dévalue pas, et ont une tendance naturelle à tirer
l'échelle derrière eux.
Normal. Et tout à fait compréhensible. Ils ne sont en rien
responsables de la chute de niveau et du manque de main d'œuvre
compétente. Par contre, j'avoue que c'est dommage de se prendre autant
au sérieux, et de regarder tout le monde de haut, même quand on
travaille sur la base d'un outil populaire et important. Le
comportement que tu décris des gars de (Free|Net)BSD est donc
nettement préfèrable à celui que tu décris des gars de Linux.
On Apr 20, 2:22 pm, ta...@lpthe.jussieu.fr (Michel Talon) wrote:
> Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
> cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
> deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htmet
>http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle....).
> Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
> noyau Linux, ou plutôt de leur absence, dans Linux. Les raisons principales
> sont pour moi assez évidentes.
Ce sont les raison qui sont citées dans les commentaires de l'article en
question.
J'aurais peut être du lire les commentaires aussi. N'empêche que je
n'aurais pas dit non pour consulter les documents d'où viennent les
chiffres.
> Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
> requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
> personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
> expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
> jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ou dit plus crûment, les gens se font royalement jeter quand ils
proposent quelque chose pour Linux (c'est pareil pour FreeBSD - voir C.
Murenin) qui n'a pas la bénédiction préalable des grands cadors. Qui
plus est, ces gens considèrent leur groupe de travail comme une
"méritocratie", ce qui leur permet de valoriser leur statut de
"développeur" y compris en terme de CV. Ils prennent garde à ce que
cette valeur ne se dévalue pas, et ont une tendance naturelle à tirer
l'échelle derrière eux.
Normal. Et tout à fait compréhensible. Ils ne sont en rien
responsables de la chute de niveau et du manque de main d'œuvre
compétente. Par contre, j'avoue que c'est dommage de se prendre autant
au sérieux, et de regarder tout le monde de haut, même quand on
travaille sur la base d'un outil populaire et important. Le
comportement que tu décris des gars de (Free|Net)BSD est donc
nettement préfèrable à celui que tu décris des gars de Linux.
On Apr 20, 2:22 pm, (Michel Talon) wrote:> Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
> cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
> deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htmet
>http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle....).
> Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
> noyau Linux, ou plutôt de leur absence, dans Linux. Les raisons principales
> sont pour moi assez évidentes.
Ce sont les raison qui sont citées dans les commentaires de l'article en
question.
J'aurais peut être du lire les commentaires aussi. N'empêche que je
n'aurais pas dit non pour consulter les documents d'où viennent les
chiffres.> Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
> requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
> personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
> expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
> jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ou dit plus crûment, les gens se font royalement jeter quand ils
proposent quelque chose pour Linux (c'est pareil pour FreeBSD - voir C.
Murenin) qui n'a pas la bénédiction préalable des grands cadors. Qui
plus est, ces gens considèrent leur groupe de travail comme une
"méritocratie", ce qui leur permet de valoriser leur statut de
"développeur" y compris en terme de CV. Ils prennent garde à ce que
cette valeur ne se dévalue pas, et ont une tendance naturelle à tirer
l'échelle derrière eux.
Normal. Et tout à fait compréhensible. Ils ne sont en rien
responsables de la chute de niveau et du manque de main d'œuvre
compétente. Par contre, j'avoue que c'est dommage de se prendre autant
au sérieux, et de regarder tout le monde de haut, même quand on
travaille sur la base d'un outil populaire et important. Le
comportement que tu décris des gars de (Free|Net)BSD est donc
nettement préfèrable à celui que tu décris des gars de Linux.
C'est simplement pour deux raisons principales :
1/ il est plus facile de cliquer sur un bouton pour installer une
solution propriétaire qu'on ne maîtrise pas parce que derrière, il y
aura la hotline et qu'on pourra toujours dire qu'on n'est
qu'installateur (cas vécu) ;
C'est simplement pour deux raisons principales :
1/ il est plus facile de cliquer sur un bouton pour installer une
solution propriétaire qu'on ne maîtrise pas parce que derrière, il y
aura la hotline et qu'on pourra toujours dire qu'on n'est
qu'installateur (cas vécu) ;
C'est simplement pour deux raisons principales :
1/ il est plus facile de cliquer sur un bouton pour installer une
solution propriétaire qu'on ne maîtrise pas parce que derrière, il y
aura la hotline et qu'on pourra toujours dire qu'on n'est
qu'installateur (cas vécu) ;
Imaginer garder les bureaux
d'études en France et la production en Chine est la plus grande
stupidité que des idiots aient imaginée.
Imaginer garder les bureaux
d'études en France et la production en Chine est la plus grande
stupidité que des idiots aient imaginée.
Imaginer garder les bureaux
d'études en France et la production en Chine est la plus grande
stupidité que des idiots aient imaginée.
Michel Talon a formulé ce lundi :
> P4nd1-P4nd4 wrote:
>> Et ca marche à un tel point que vous êtes dedans au garde à vous avec
>> les 2 pieds dans la merde,
>
> Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
> dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
hou la vilaine jalouse !
Michel Talon a formulé ce lundi :
> P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4@.net> wrote:
>> Et ca marche à un tel point que vous êtes dedans au garde à vous avec
>> les 2 pieds dans la merde,
>
> Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
> dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
hou la vilaine jalouse !
Michel Talon a formulé ce lundi :
> P4nd1-P4nd4 wrote:
>> Et ca marche à un tel point que vous êtes dedans au garde à vous avec
>> les 2 pieds dans la merde,
>
> Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
> dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
hou la vilaine jalouse !
Le 19-04-2010, *.-pipolin-.* <> a écrit :Michel Talon a formulé ce lundi :P4nd1-P4nd4 wrote:Et ca marche à un tel point que vous êtes dedans au garde à vous avec
les 2 pieds dans la merde,
Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
hou la vilaine jalouse !
C'est quoi ce féminin pour qualifier une relation homosexuelle (à
supposer que P4 soit effectivement de sexe mâle) ?
Denier sa qualité masculine à un homo, ça ressemblerait-y pas à de
l'homophobie bas de plafond ?
Ou c'est juste que t'as le neurone fatigué ?
Le 19-04-2010, *.-pipolin-.* <> a écrit :
Michel Talon a formulé ce lundi :
P4nd1-P4nd4 <P4nd1-P4nd4@.net> wrote:
Et ca marche à un tel point que vous êtes dedans au garde à vous avec
les 2 pieds dans la merde,
Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
hou la vilaine jalouse !
C'est quoi ce féminin pour qualifier une relation homosexuelle (à
supposer que P4 soit effectivement de sexe mâle) ?
Denier sa qualité masculine à un homo, ça ressemblerait-y pas à de
l'homophobie bas de plafond ?
Ou c'est juste que t'as le neurone fatigué ?
Le 19-04-2010, *.-pipolin-.* <> a écrit :Michel Talon a formulé ce lundi :P4nd1-P4nd4 wrote:Et ca marche à un tel point que vous êtes dedans au garde à vous avec
les 2 pieds dans la merde,
Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
hou la vilaine jalouse !
C'est quoi ce féminin pour qualifier une relation homosexuelle (à
supposer que P4 soit effectivement de sexe mâle) ?
Denier sa qualité masculine à un homo, ça ressemblerait-y pas à de
l'homophobie bas de plafond ?
Ou c'est juste que t'as le neurone fatigué ?
P4nd1-P4nd4 wrote:
> Béni soit le nom de Bill !
personne n'a encore pris le risque de te dire qu'il
etait a la retraite ?
P4nd1-P4nd4 wrote:
> Béni soit le nom de Bill !
personne n'a encore pris le risque de te dire qu'il
etait a la retraite ?
P4nd1-P4nd4 wrote:
> Béni soit le nom de Bill !
personne n'a encore pris le risque de te dire qu'il
etait a la retraite ?
Hugolino a émis l'idée suivante :
> Le 19-04-2010, *.-pipolin-.* <> a écrit :
>> Michel Talon a formulé ce lundi :
>>>
>>> Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
>>> dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
>>
>> hou la vilaine jalouse !
>
> C'est quoi ce féminin pour qualifier une relation homosexuelle (à
> supposer que P4 soit effectivement de sexe mâle) ?
pourquoi pas ?
j'en connais à qui cela fait plus que plaisir !
> Denier sa qualité masculine à un homo, ça ressemblerait-y pas à de
> l'homophobie bas de plafond ?
seulement dans ton esprit médiocre !!!
> Ou c'est juste que t'as le neurone fatigué ?
t'engage pas sur ce terrain là, tu va te bruler les deux qu'il te
reste...
Hugolino a émis l'idée suivante :
> Le 19-04-2010, *.-pipolin-.* <> a écrit :
>> Michel Talon a formulé ce lundi :
>>>
>>> Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
>>> dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
>>
>> hou la vilaine jalouse !
>
> C'est quoi ce féminin pour qualifier une relation homosexuelle (à
> supposer que P4 soit effectivement de sexe mâle) ?
pourquoi pas ?
j'en connais à qui cela fait plus que plaisir !
> Denier sa qualité masculine à un homo, ça ressemblerait-y pas à de
> l'homophobie bas de plafond ?
seulement dans ton esprit médiocre !!!
> Ou c'est juste que t'as le neurone fatigué ?
t'engage pas sur ce terrain là, tu va te bruler les deux qu'il te
reste...
Hugolino a émis l'idée suivante :
> Le 19-04-2010, *.-pipolin-.* <> a écrit :
>> Michel Talon a formulé ce lundi :
>>>
>>> Pour continuer dans tes élégantes images, tu es à plat ventre le nez
>>> dans la merde, avec un gros Bill G. qui te sodomise allègrement.
>>
>> hou la vilaine jalouse !
>
> C'est quoi ce féminin pour qualifier une relation homosexuelle (à
> supposer que P4 soit effectivement de sexe mâle) ?
pourquoi pas ?
j'en connais à qui cela fait plus que plaisir !
> Denier sa qualité masculine à un homo, ça ressemblerait-y pas à de
> l'homophobie bas de plafond ?
seulement dans ton esprit médiocre !!!
> Ou c'est juste que t'as le neurone fatigué ?
t'engage pas sur ce terrain là, tu va te bruler les deux qu'il te
reste...