Avant de reprendre le sujet initial du thread, quelques observations:
1. Le troll était assez énorme, et j'ai peine à croire qu'autant de
participants s'y soient jetés à pieds joints (mais force est de
reconnaitre que c'est le cas).
2. Il y a trois fois plus de réactions après le troll qu'avant,
déduisez-en ce que vous voulez...
3. Les mêmes personnes qui ont répondu auparavant de façon sensée au
thread se sont empressées de troller par la suite (et c'est ça le plus
triste, selon moi).
Cependant, je réponds pour parler d'autre chose; le sujet initial, en
l'occurrence:
Je pense faire partie de la génération (celle née dans les années 80)
qui se situe à la transition entre l'ordinateur "outil" et
l'ordinateur "média" (pour reprendre les termes de l'article sur
écrans). J'avais effectivement constaté que la plupart des jeunes (et
des moins jeunes, aussi) se comportait de façon navrante vis à vis de
l'outil informatique, et qu'ils ne saisissaient aucunement le
potentiel exceptionnel de cet outil. Quelques exemples, parmi
d'autres: la plupart n'ont pas un niveau de culture (connaissances) de
l'informatique satisfaisant, leur vocabulaire est très limité (sans
aller chercher des termes comme "erreur de segmentation", ou
"défragmentation", la plupart ne se font pas une idée correcte et
pertinente de la plupart des concepts simples), leur autonomie est
sujette à caution (en dehors de l'ouverture de fichiers classiques
avec des applications pré-installées, et de l'utilisation de ces
applications, ils ne savent pas faire grand chose), etc.
On pourrait croire qu'avoir, de façon précoce, un contact avec l'outil
informatique, aurait pu contribuer à mettre à l'aise toute une
génération vis à vis d'un outil exceptionnel. Mais je pense que cet
outil à été mal évalué, mal présenté par les parents et éducateurs, et
que donc, logiquement, il est mal appréhendé par les enfants.
D'autre part, pour en revenir donc au sujet _initial_ ;) , si Linux
n'est pas attractif pour les jeunes développeurs, il y a tout de même
quelques choses à rappeler avant de discuter de ce constat:
1. Le noyau Linux est utilisé encore majoritairement sur les OS
libres.
2. Le monde des SSII Français est TRÈS MAJORITAIREMENT tourné vers
le propriétaire, les habitudes y sont fortement encrées, et l'aversion
pour le libre est aussi assez forte, probablement par manque de
d'ouverture et de compétence des décisionnaires.
3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
"cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
plus rarement, MacOS X)
Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htm et
http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.jhtml?articleID"4400309).
Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
noyau Linux, ou plutôt de leur absence, voire même juste de la
présence d'une majorité de développeurs sénior dans le domaine. Mais
il n'est pas dit que les jeunes se désintéressent de Linux, c'est une
conclusion insinuée au fur et à mesure, et non exposée et/ou montrée
explicitement. Pire, aucun de ces deux liens ne cite de source.
L'information est donc construite à partir du discours arbitraire et
non vérifiable de trois personnes. Citez vos sources! :)
Venons en maintenant au débat en lui même, celui de savoir si oui ou
non les jeunes s'intéressent à écrire du code pour le noyau Linux, et,
surtout, pourquoi.
Alors, oui, je pense que ce qui est dit dans les articles cités est
partiellement vrai, à savoir le fait que peu de jeunes s'investissent
dans Linux. Les raisons principales sont pour moi assez évidentes.
Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile,
et donc,
requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
De fait, la
nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
Avant de reprendre le sujet initial du thread, quelques observations:
1. Le troll était assez énorme, et j'ai peine à croire qu'autant de
participants s'y soient jetés à pieds joints (mais force est de
reconnaitre que c'est le cas).
2. Il y a trois fois plus de réactions après le troll qu'avant,
déduisez-en ce que vous voulez...
3. Les mêmes personnes qui ont répondu auparavant de façon sensée au
thread se sont empressées de troller par la suite (et c'est ça le plus
triste, selon moi).
Cependant, je réponds pour parler d'autre chose; le sujet initial, en
l'occurrence:
Je pense faire partie de la génération (celle née dans les années 80)
qui se situe à la transition entre l'ordinateur "outil" et
l'ordinateur "média" (pour reprendre les termes de l'article sur
écrans). J'avais effectivement constaté que la plupart des jeunes (et
des moins jeunes, aussi) se comportait de façon navrante vis à vis de
l'outil informatique, et qu'ils ne saisissaient aucunement le
potentiel exceptionnel de cet outil. Quelques exemples, parmi
d'autres: la plupart n'ont pas un niveau de culture (connaissances) de
l'informatique satisfaisant, leur vocabulaire est très limité (sans
aller chercher des termes comme "erreur de segmentation", ou
"défragmentation", la plupart ne se font pas une idée correcte et
pertinente de la plupart des concepts simples), leur autonomie est
sujette à caution (en dehors de l'ouverture de fichiers classiques
avec des applications pré-installées, et de l'utilisation de ces
applications, ils ne savent pas faire grand chose), etc.
On pourrait croire qu'avoir, de façon précoce, un contact avec l'outil
informatique, aurait pu contribuer à mettre à l'aise toute une
génération vis à vis d'un outil exceptionnel. Mais je pense que cet
outil à été mal évalué, mal présenté par les parents et éducateurs, et
que donc, logiquement, il est mal appréhendé par les enfants.
D'autre part, pour en revenir donc au sujet _initial_ ;) , si Linux
n'est pas attractif pour les jeunes développeurs, il y a tout de même
quelques choses à rappeler avant de discuter de ce constat:
1. Le noyau Linux est utilisé encore majoritairement sur les OS
libres.
2. Le monde des SSII Français est TRÈS MAJORITAIREMENT tourné vers
le propriétaire, les habitudes y sont fortement encrées, et l'aversion
pour le libre est aussi assez forte, probablement par manque de
d'ouverture et de compétence des décisionnaires.
3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
"cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
plus rarement, MacOS X)
Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htm et
http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.jhtml?articleID"4400309).
Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
noyau Linux, ou plutôt de leur absence, voire même juste de la
présence d'une majorité de développeurs sénior dans le domaine. Mais
il n'est pas dit que les jeunes se désintéressent de Linux, c'est une
conclusion insinuée au fur et à mesure, et non exposée et/ou montrée
explicitement. Pire, aucun de ces deux liens ne cite de source.
L'information est donc construite à partir du discours arbitraire et
non vérifiable de trois personnes. Citez vos sources! :)
Venons en maintenant au débat en lui même, celui de savoir si oui ou
non les jeunes s'intéressent à écrire du code pour le noyau Linux, et,
surtout, pourquoi.
Alors, oui, je pense que ce qui est dit dans les articles cités est
partiellement vrai, à savoir le fait que peu de jeunes s'investissent
dans Linux. Les raisons principales sont pour moi assez évidentes.
Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile,
et donc,
requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
De fait, la
nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
Avant de reprendre le sujet initial du thread, quelques observations:
1. Le troll était assez énorme, et j'ai peine à croire qu'autant de
participants s'y soient jetés à pieds joints (mais force est de
reconnaitre que c'est le cas).
2. Il y a trois fois plus de réactions après le troll qu'avant,
déduisez-en ce que vous voulez...
3. Les mêmes personnes qui ont répondu auparavant de façon sensée au
thread se sont empressées de troller par la suite (et c'est ça le plus
triste, selon moi).
Cependant, je réponds pour parler d'autre chose; le sujet initial, en
l'occurrence:
Je pense faire partie de la génération (celle née dans les années 80)
qui se situe à la transition entre l'ordinateur "outil" et
l'ordinateur "média" (pour reprendre les termes de l'article sur
écrans). J'avais effectivement constaté que la plupart des jeunes (et
des moins jeunes, aussi) se comportait de façon navrante vis à vis de
l'outil informatique, et qu'ils ne saisissaient aucunement le
potentiel exceptionnel de cet outil. Quelques exemples, parmi
d'autres: la plupart n'ont pas un niveau de culture (connaissances) de
l'informatique satisfaisant, leur vocabulaire est très limité (sans
aller chercher des termes comme "erreur de segmentation", ou
"défragmentation", la plupart ne se font pas une idée correcte et
pertinente de la plupart des concepts simples), leur autonomie est
sujette à caution (en dehors de l'ouverture de fichiers classiques
avec des applications pré-installées, et de l'utilisation de ces
applications, ils ne savent pas faire grand chose), etc.
On pourrait croire qu'avoir, de façon précoce, un contact avec l'outil
informatique, aurait pu contribuer à mettre à l'aise toute une
génération vis à vis d'un outil exceptionnel. Mais je pense que cet
outil à été mal évalué, mal présenté par les parents et éducateurs, et
que donc, logiquement, il est mal appréhendé par les enfants.
D'autre part, pour en revenir donc au sujet _initial_ ;) , si Linux
n'est pas attractif pour les jeunes développeurs, il y a tout de même
quelques choses à rappeler avant de discuter de ce constat:
1. Le noyau Linux est utilisé encore majoritairement sur les OS
libres.
2. Le monde des SSII Français est TRÈS MAJORITAIREMENT tourné vers
le propriétaire, les habitudes y sont fortement encrées, et l'aversion
pour le libre est aussi assez forte, probablement par manque de
d'ouverture et de compétence des décisionnaires.
3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
"cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
plus rarement, MacOS X)
Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htm et
http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.jhtml?articleID"4400309).
Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
noyau Linux, ou plutôt de leur absence, voire même juste de la
présence d'une majorité de développeurs sénior dans le domaine. Mais
il n'est pas dit que les jeunes se désintéressent de Linux, c'est une
conclusion insinuée au fur et à mesure, et non exposée et/ou montrée
explicitement. Pire, aucun de ces deux liens ne cite de source.
L'information est donc construite à partir du discours arbitraire et
non vérifiable de trois personnes. Citez vos sources! :)
Venons en maintenant au débat en lui même, celui de savoir si oui ou
non les jeunes s'intéressent à écrire du code pour le noyau Linux, et,
surtout, pourquoi.
Alors, oui, je pense que ce qui est dit dans les articles cités est
partiellement vrai, à savoir le fait que peu de jeunes s'investissent
dans Linux. Les raisons principales sont pour moi assez évidentes.
Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile,
et donc,
requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
De fait, la
nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
Avant de reprendre le sujet initial du thread, quelques observations:
D'autre part, pour en revenir donc au sujet _initial_ ;) , si Linux
n'est pas attractif pour les jeunes développeurs, il y a tout de même
quelques choses à rappeler avant de discuter de ce constat:
2. Le monde des SSII Français est TRÈS MAJORITAIREMENT tourné vers
le propriétaire, les habitudes y sont fortement encrées, et l'aversion
pour le libre est aussi assez forte, probablement par manque de
d'ouverture et de compétence des décisionnaires.
Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htm et
http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.jhtml?articleID"4400309).
Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
noyau Linux, ou plutôt de leur absence,
dans Linux. Les raisons principales sont pour moi assez évidentes.
Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs. De fait, la
nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
Avant de reprendre le sujet initial du thread, quelques observations:
D'autre part, pour en revenir donc au sujet _initial_ ;) , si Linux
n'est pas attractif pour les jeunes développeurs, il y a tout de même
quelques choses à rappeler avant de discuter de ce constat:
2. Le monde des SSII Français est TRÈS MAJORITAIREMENT tourné vers
le propriétaire, les habitudes y sont fortement encrées, et l'aversion
pour le libre est aussi assez forte, probablement par manque de
d'ouverture et de compétence des décisionnaires.
Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htm et
http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.jhtml?articleID"4400309).
Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
noyau Linux, ou plutôt de leur absence,
dans Linux. Les raisons principales sont pour moi assez évidentes.
Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs. De fait, la
nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
Avant de reprendre le sujet initial du thread, quelques observations:
D'autre part, pour en revenir donc au sujet _initial_ ;) , si Linux
n'est pas attractif pour les jeunes développeurs, il y a tout de même
quelques choses à rappeler avant de discuter de ce constat:
2. Le monde des SSII Français est TRÈS MAJORITAIREMENT tourné vers
le propriétaire, les habitudes y sont fortement encrées, et l'aversion
pour le libre est aussi assez forte, probablement par manque de
d'ouverture et de compétence des décisionnaires.
Puis, considérons maintenant la fiabilité de l'information: l'article
cité en premier est en fait une longue diatribe ne reposant que sur
deux liens (http://apcmag.com/linux-now-75-corporate.htm et
http://www.informationweek.com/news/software/open_source/showArticle.jhtml?articleID"4400309).
Ces liens traitent des jeunes développeurs qui travaillent sur le
noyau Linux, ou plutôt de leur absence,
dans Linux. Les raisons principales sont pour moi assez évidentes.
Premièrement, écrire du code pour Linux est difficile, et donc,
requiert une somme de compétences non négligeables. De ce fait, les
personnes en mesure de le faire se trouvent être des personnes
expérimentées et qualifiées. Ce qui élimine de fait une majorité de
jeunes (ceux qui n'ont pas eu leur bac à 15 ans avec mention :)).
Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà écrit, et même
si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs. De fait, la
nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donnée est
fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictement
nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pour.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne.
Le Tue, 20 Apr 2010 11:41:53 +0000, JKB a écrit :L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne.
et pourtant, quand on voit l'attrait pour les sciences des gamins de
12-13 ans, je me demande bien *quand* commence le gâchis, et
*pourquoi* ...
Le Tue, 20 Apr 2010 11:41:53 +0000, JKB a écrit :
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne.
et pourtant, quand on voit l'attrait pour les sciences des gamins de
12-13 ans, je me demande bien *quand* commence le gâchis, et
*pourquoi* ...
Le Tue, 20 Apr 2010 11:41:53 +0000, JKB a écrit :L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
n'intéressent plus personne.
et pourtant, quand on voit l'attrait pour les sciences des gamins de
12-13 ans, je me demande bien *quand* commence le gâchis, et
*pourquoi* ...
Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
Le Tue, 20 Apr 2010 13:07:05 +0000, JKB a écrit :Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
dans mon souvenir elle faisait autre chose ;-)
Le Tue, 20 Apr 2010 13:07:05 +0000, JKB a écrit :
Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
dans mon souvenir elle faisait autre chose ;-)
Le Tue, 20 Apr 2010 13:07:05 +0000, JKB a écrit :Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
dans mon souvenir elle faisait autre chose ;-)
Le Tue, 20 Apr 2010 11:41:53 +0000, JKB a écrit :
> L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
> n'intéressent plus personne.
et pourtant, quand on voit l'attrait pour les sciences des gamins de
12-13 ans, je me demande bien *quand* commence le gâchis, et
*pourquoi* ...
Le Tue, 20 Apr 2010 11:41:53 +0000, JKB a écrit :
> L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
> n'intéressent plus personne.
et pourtant, quand on voit l'attrait pour les sciences des gamins de
12-13 ans, je me demande bien *quand* commence le gâchis, et
*pourquoi* ...
Le Tue, 20 Apr 2010 11:41:53 +0000, JKB a écrit :
> L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sciences
> n'intéressent plus personne.
et pourtant, quand on voit l'attrait pour les sciences des gamins de
12-13 ans, je me demande bien *quand* commence le gâchis, et
*pourquoi* ...
Le 20-04-2010, ? propos de Re: Pourquoi Linux n'est il plus
attractif pour les jeûnes développeurs ?,
Professeur Méphisto ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le Tue, 20 Apr 2010 13:07:05 +0000, JKB a écrit :Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
dans mon souvenir elle faisait autre chose ;-)
Si elle bèse, c'est que tu as appris le phranssais avec
pipotruc ;-) Parce que le 'becquette', c'est bien pour Be...
Le 20-04-2010, ? propos de Re: Pourquoi Linux n'est il plus
attractif pour les jeûnes développeurs ?,
Professeur Méphisto ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :
Le Tue, 20 Apr 2010 13:07:05 +0000, JKB a écrit :
Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
dans mon souvenir elle faisait autre chose ;-)
Si elle bèse, c'est que tu as appris le phranssais avec
pipotruc ;-) Parce que le 'becquette', c'est bien pour Be...
Le 20-04-2010, ? propos de Re: Pourquoi Linux n'est il plus
attractif pour les jeûnes développeurs ?,
Professeur Méphisto ?crivait dans fr.comp.os.linux.debats :Le Tue, 20 Apr 2010 13:07:05 +0000, JKB a écrit :Lili becquete bien chez nous
oncle Ferdinand Nestor
dans mon souvenir elle faisait autre chose ;-)
Si elle bèse, c'est que tu as appris le phranssais avec
pipotruc ;-) Parce que le 'becquette', c'est bien pour Be...
Je pense pour ma part qu'il y a un problème de fond. Po ur enseigner
dans le supérieur, le niveau moyen de connaissance est en baisse
malgré tout ce qu'on peut lire par-ci par-là. En él ectronique, le
jour où je trouve encore un électronicien débutant capable de faire
un push-pull de classe AB sans griller un composant, je l 'embauche
illico ! En informatique, c'est pareil. Et le problème ne vient pas
de madame Michu ou de sa nièce, le problème vient aus si par le haut.
La culture générale d'un ingénieur est de plus en p lus lamentable.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sc iences
n'intéressent plus personne. Les bancs des université s scientifiques
et des grandes écoles (sauf commerce, hein, faut pas ri goler,
pourquoi faire des études scientifiques de 5 à 8 ans pour pouvoir au
bout de 10 ans de labeur s'acheter une Peugeot 607 alors qu'en
sortant d'une école de commerce, on peut s'acheter une Benz en deux ?)
se vident de plus en plus (ou alors, il faut prendre n'im porte qui,
ce qui n'est pas une solution). En informatique, tu te re trouves
avec des types issus d'écoles soi-disant spécialisé es (les plus
marantes étant l'EPITECH et l'EPITA) qui savent faire d u
clickodrome, mais qui sont perdus pour l'immense majorit é dès que tu
leur demande vraiment d'administrer une machine avec une VT et les
outils standard (sans s, pour pipomachin, standard est un adjectif
invariable). Lorsqu'il s'agit d'écrire un "hello, world !" en Java,
en Objective C, en tout ce que tu veux et à la mode, tu vas encore
trouver du monde. Lorsqu'il s'agit d'attaquer les couches basses en
C (en C propre, hein, pas en bidouille explosive et plant ogène !),
il n'y a plus personne et ça ne s'arrange pas. Alors lo rsqu'il
s'agit de pondre un système d'exploitation, ça peut a ssez rapidement
devenir amusant.
Je te rassure tout de suite, si le développement du noy au continue
comme ça, ça risque de changer rapidement. Je vois de plus en plus
de NetBSD et de FreeBSD autour de moi (je ne parle pas d' OpenBSD qui
est hors course pour un certain nombre de points techniqu es et qui
viole allègrement les specs Posix). C'est d'ailleurs as sez amusant,
depuis le noyau Linux 2.6, NetBSD a repris du poil de la bête.
As-tu déjà bossé avec des SSII ? As-tu déjà dis cuté _technique_ avec
un type envoyé par une SSII ? Les SSII courantes sont d es boîtes
d'interim pour informaticien et on n'y trouve pas les mei lleurs.
Simplement des pauvres types qui n'ont que ça pour boss er.
> 3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
> les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
> "cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
> ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
> plus rarement, MacOS X)
P'taing, on n'a pas du voir les mêmes. Ça fait pas lo in de vingt ans
que je vois passer des SSII et j'ai bossé par le pass é chez SFR et
au CNET (devenu depuis FT R&R puis Orange lab) et je n'ai jamais vu
des applications de plus haut niveau que ce qu'on faisait en
interne.
Ouaips, il faut savoir coder en mode noyau, donc sans gar de fou et
un tantinet proprement.
Explique-moi juste une chose. Comment se fait-il qu'il y a dix ou
quinze ans, on trouvait des jeunes avec ses compétences et qu'on en
trouve plus aujourd'hui ?
> Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà é crit, et même
> si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
> fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire...
> De fait, la
> nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donn ée est
> fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
> Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
> plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictem ent
> nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pou r.
C'est parfaitement faux. Je contribue au libre, mais c'es t un effet
de bord et sans être payé directement pour faire ça . Je contribue au
libre parce que ça me donne un panel d'utilisateurs pou r débusquer
mes bugs à moi. Il y a tout un tas de raisons différe nces hors
philanthropie maladive ou salaire qui font qu'on peut con tribuer au
libre.
Je pense pour ma part qu'il y a un problème de fond. Po ur enseigner
dans le supérieur, le niveau moyen de connaissance est en baisse
malgré tout ce qu'on peut lire par-ci par-là. En él ectronique, le
jour où je trouve encore un électronicien débutant capable de faire
un push-pull de classe AB sans griller un composant, je l 'embauche
illico ! En informatique, c'est pareil. Et le problème ne vient pas
de madame Michu ou de sa nièce, le problème vient aus si par le haut.
La culture générale d'un ingénieur est de plus en p lus lamentable.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sc iences
n'intéressent plus personne. Les bancs des université s scientifiques
et des grandes écoles (sauf commerce, hein, faut pas ri goler,
pourquoi faire des études scientifiques de 5 à 8 ans pour pouvoir au
bout de 10 ans de labeur s'acheter une Peugeot 607 alors qu'en
sortant d'une école de commerce, on peut s'acheter une Benz en deux ?)
se vident de plus en plus (ou alors, il faut prendre n'im porte qui,
ce qui n'est pas une solution). En informatique, tu te re trouves
avec des types issus d'écoles soi-disant spécialisé es (les plus
marantes étant l'EPITECH et l'EPITA) qui savent faire d u
clickodrome, mais qui sont perdus pour l'immense majorit é dès que tu
leur demande vraiment d'administrer une machine avec une VT et les
outils standard (sans s, pour pipomachin, standard est un adjectif
invariable). Lorsqu'il s'agit d'écrire un "hello, world !" en Java,
en Objective C, en tout ce que tu veux et à la mode, tu vas encore
trouver du monde. Lorsqu'il s'agit d'attaquer les couches basses en
C (en C propre, hein, pas en bidouille explosive et plant ogène !),
il n'y a plus personne et ça ne s'arrange pas. Alors lo rsqu'il
s'agit de pondre un système d'exploitation, ça peut a ssez rapidement
devenir amusant.
Je te rassure tout de suite, si le développement du noy au continue
comme ça, ça risque de changer rapidement. Je vois de plus en plus
de NetBSD et de FreeBSD autour de moi (je ne parle pas d' OpenBSD qui
est hors course pour un certain nombre de points techniqu es et qui
viole allègrement les specs Posix). C'est d'ailleurs as sez amusant,
depuis le noyau Linux 2.6, NetBSD a repris du poil de la bête.
As-tu déjà bossé avec des SSII ? As-tu déjà dis cuté _technique_ avec
un type envoyé par une SSII ? Les SSII courantes sont d es boîtes
d'interim pour informaticien et on n'y trouve pas les mei lleurs.
Simplement des pauvres types qui n'ont que ça pour boss er.
> 3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
> les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
> "cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
> ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
> plus rarement, MacOS X)
P'taing, on n'a pas du voir les mêmes. Ça fait pas lo in de vingt ans
que je vois passer des SSII et j'ai bossé par le pass é chez SFR et
au CNET (devenu depuis FT R&R puis Orange lab) et je n'ai jamais vu
des applications de plus haut niveau que ce qu'on faisait en
interne.
Ouaips, il faut savoir coder en mode noyau, donc sans gar de fou et
un tantinet proprement.
Explique-moi juste une chose. Comment se fait-il qu'il y a dix ou
quinze ans, on trouvait des jeunes avec ses compétences et qu'on en
trouve plus aujourd'hui ?
> Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà é crit, et même
> si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
> fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire...
> De fait, la
> nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donn ée est
> fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
> Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
> plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictem ent
> nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pou r.
C'est parfaitement faux. Je contribue au libre, mais c'es t un effet
de bord et sans être payé directement pour faire ça . Je contribue au
libre parce que ça me donne un panel d'utilisateurs pou r débusquer
mes bugs à moi. Il y a tout un tas de raisons différe nces hors
philanthropie maladive ou salaire qui font qu'on peut con tribuer au
libre.
Je pense pour ma part qu'il y a un problème de fond. Po ur enseigner
dans le supérieur, le niveau moyen de connaissance est en baisse
malgré tout ce qu'on peut lire par-ci par-là. En él ectronique, le
jour où je trouve encore un électronicien débutant capable de faire
un push-pull de classe AB sans griller un composant, je l 'embauche
illico ! En informatique, c'est pareil. Et le problème ne vient pas
de madame Michu ou de sa nièce, le problème vient aus si par le haut.
La culture générale d'un ingénieur est de plus en p lus lamentable.
L'esprit critique fait de plus en plus défaut et les sc iences
n'intéressent plus personne. Les bancs des université s scientifiques
et des grandes écoles (sauf commerce, hein, faut pas ri goler,
pourquoi faire des études scientifiques de 5 à 8 ans pour pouvoir au
bout de 10 ans de labeur s'acheter une Peugeot 607 alors qu'en
sortant d'une école de commerce, on peut s'acheter une Benz en deux ?)
se vident de plus en plus (ou alors, il faut prendre n'im porte qui,
ce qui n'est pas une solution). En informatique, tu te re trouves
avec des types issus d'écoles soi-disant spécialisé es (les plus
marantes étant l'EPITECH et l'EPITA) qui savent faire d u
clickodrome, mais qui sont perdus pour l'immense majorit é dès que tu
leur demande vraiment d'administrer une machine avec une VT et les
outils standard (sans s, pour pipomachin, standard est un adjectif
invariable). Lorsqu'il s'agit d'écrire un "hello, world !" en Java,
en Objective C, en tout ce que tu veux et à la mode, tu vas encore
trouver du monde. Lorsqu'il s'agit d'attaquer les couches basses en
C (en C propre, hein, pas en bidouille explosive et plant ogène !),
il n'y a plus personne et ça ne s'arrange pas. Alors lo rsqu'il
s'agit de pondre un système d'exploitation, ça peut a ssez rapidement
devenir amusant.
Je te rassure tout de suite, si le développement du noy au continue
comme ça, ça risque de changer rapidement. Je vois de plus en plus
de NetBSD et de FreeBSD autour de moi (je ne parle pas d' OpenBSD qui
est hors course pour un certain nombre de points techniqu es et qui
viole allègrement les specs Posix). C'est d'ailleurs as sez amusant,
depuis le noyau Linux 2.6, NetBSD a repris du poil de la bête.
As-tu déjà bossé avec des SSII ? As-tu déjà dis cuté _technique_ avec
un type envoyé par une SSII ? Les SSII courantes sont d es boîtes
d'interim pour informaticien et on n'y trouve pas les mei lleurs.
Simplement des pauvres types qui n'ont que ça pour boss er.
> 3. Le monde des SSII Français est aussi très fortement tourné vers
> les applications haut niveau, ce qui est généralement synonyme de
> "cross-platform", et donc de "je garde ce que j'ai pour développer",
> ce qui signifie, pour les raisons ci-dessus: windows (et parfois, mais
> plus rarement, MacOS X)
P'taing, on n'a pas du voir les mêmes. Ça fait pas lo in de vingt ans
que je vois passer des SSII et j'ai bossé par le pass é chez SFR et
au CNET (devenu depuis FT R&R puis Orange lab) et je n'ai jamais vu
des applications de plus haut niveau que ce qu'on faisait en
interne.
Ouaips, il faut savoir coder en mode noyau, donc sans gar de fou et
un tantinet proprement.
Explique-moi juste une chose. Comment se fait-il qu'il y a dix ou
quinze ans, on trouvait des jeunes avec ses compétences et qu'on en
trouve plus aujourd'hui ?
> Ensuite, la plupart de ce qui est nécessaire à été déjà é crit, et même
> si ce n'est peut être pas toujours "propre", et fini, c'est
> fonctionnel, et satisfaisant pour les utilisateurs.
Qu'est-ce qu'il ne faut pas lire...
> De fait, la
> nécessité d'écrire du code pour obtenir une fonctionnalité donn ée est
> fortement réduite, voire nulle. Enfin, écrire du code pour le noyau
> Linux n'est pas forcément amusant, ce qui conduira sans doute la
> plupart des développeurs à ne l'écrire que lorsque c'est strictem ent
> nécessaire (voir point précédent); ou lorsqu'ils sont payés pou r.
C'est parfaitement faux. Je contribue au libre, mais c'es t un effet
de bord et sans être payé directement pour faire ça . Je contribue au
libre parce que ça me donne un panel d'utilisateurs pou r débusquer
mes bugs à moi. Il y a tout un tas de raisons différe nces hors
philanthropie maladive ou salaire qui font qu'on peut con tribuer au
libre.